Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Arrondissement La Cité-Limoilou »

Emplacement de Giguère Automobiles : une pomme de discorde

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 juin 2011 Commentaires fermés sur Emplacement de Giguère Automobiles : une pomme de discorde

Source : Annie Morin, Le Soleil, le 29 juin 2011

(Québec) L’un des terrains identifiés pour accueillir un hôtel, juste devant l’emplacement du futur amphithéâtre, fait l’objet d’une bataille judiciaire entre GM Développement et la Ville de Québec.

Le terrain, qui totalise près de 20 000 mètres carrés (deux hectares), est situé entre le boulevard Wilfrid-Hamel et la rue de l’Espinay, à l’angle de l’autoroute Laurentienne. Détenu et exploité par Giguère Automobiles jusqu’en 2005, il a appartenu à Placements Giro jusqu’à sa revente, en novembre 2009, à GM Développement.

Cet entrepreneur immobilier s’est fait connaître dans le quartier Saint-Roch, où il possède pratiquement tous les immeubles donnant sur la rue Saint-Joseph. Il s’attaque maintenant à l’écoquartier D’Estimauville en construisant le premier de deux édifices fédéraux.

Le problème, du point de vue du nouvel acquéreur, c’est que la Ville de Québec a imposé sur le terrain une «réserve pour fins publiques», véritable porte ouverte à l’expropriation. Et pas n’importe quand : entre le moment où l’offre d’achat a été acceptée, le 27 septembre 2009, et celui où l’acte de vente a été signé, le 2 novembre suivant.

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Des visionnaires de St-Roch voient encore plus loin.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Des tunnels pour relier les édifices d’Expo-Cité ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 juin 2011 16 commentaires

Source : Stéphanie Martin, Le Soleil, le 29 juin 2011

(Rome, Italie) Régis Labeaume a des idées nouvelles en tête pour rendre ExpoCité plus attrayante. Et cela inclut un lien souterrain, un réseau de navettes et un énorme lustre.

On ne pourra pas accuser le maire de Québec de manquer d’imagination. En marge d’une visite de chantier, mardi, à Rome, M. Labeaume a fait part de ses nouveaux projets pour le secteur de l’amphithéâtre. Des projets qu’il gardait pour lui jusqu’à maintenant, mais qu’il compte bien partager dès son retour à Québec avec le chargé de projet Jacques A. Bédard.

Sa première idée consiste à relier par un tunnel de quelques dizaines de mètres les principaux bâtiments d’ExpoCité. «Vous avez le Pavillon de la jeunesse et le grand Pavillon de l’agriculture et tout ça est relié à l’amphithéâtre par un souterrain», explique le maire. Cela aurait deux avantages, selon lui : créer un lien direct pour que les congressistes ne soient pas forcés de sortir en hiver et donner un accès facile aux joueurs de hockey qui circuleraient entre la glace du Colisée et celle d’entraînement du Pavillon de la jeunesse.

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La ville reluque des terrains d’Hydro dans le secteur du Colisée

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Infrastructures sportives, Projet - un nouveau colisée.

La vente de l’école Stadacona encore contestée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 juin 2011 Commentaires fermés sur La vente de l’école Stadacona encore contestée

La commission scolaire de la Capitale demande à la Cour d’appel de renverser la décision du juge Frank Barakett, qui l’oblige à vendre l’école Stadacona au groupe Norplex pour la somme de 1 million $.

Rappelons que l’école avait été mise en vente en 2007 par la commission scolaire. Norplex avait alors présenté la plus haute soumission pour l’immeuble situé avenue François-1er, pour y aménager 40 condos. Après l’ouverture des soumissions, la commission scolaire avait toutefois décidé d’annuler l’appel d’offres, jugeant le prix obtenu insuffisant.

via Pierre Asselin du Soleil.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.

Cohabitat renaît de ses cendres

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 juin 2011 Commentaires fermés sur Cohabitat renaît de ses cendres

Isabelle Porter
Le Devoir


Après sept ans de démarches, de réunions, de chicanes, d’essais et d’erreurs, un projet d’habitations communautaires pour 40 familles voit le jour à Québec

(…) Après sept ans de démarches, de réunions, de chicanes, d’essais, d’erreurs et de petites victoires, le projet Cohabitat vient d’entrer dans sa phase finale. Vingt-six propriétaires (sur un total de 40) ont signé leur promesse d’achat et la construction devrait débuter en août. «Il faut de la détermination et savoir ce qu’on veut pour faire un projet comme le nôtre», résume l’initiateur du projet, Michel Desgagnés, 44 ans.

Ce dernier a visité pas moins de 66 communautés du genre dans le monde avant de voir pousser la sienne. Créée au Danemark il y a 50 ans, la formule de la cohabitation est sensiblement la même partout. Les membres du groupe acquièrent un terrain sur lequel ils font construire des résidences avec au centre, une maison commune où ils se partagent cuisine, salle à manger, chambres d’amis, buanderie, salles de jeux pour les enfants, atelier, etc.

L’objectif? Économiser de l’espace et des fonds, mais surtout partager, se voisiner, vivre en communauté. La formule n’est pas trop contraignante puisque les gens n’ont pas l’obligation d’utiliser la cuisine collective et ont chacun la leur, mais il faut participer un minimum à la vie de groupe. «Le soir, il y a des repas communautaires et c’est chacun son tour, résume Michel Desgagnés. Admettons qu’on est dans la même équipe et que c’est notre tour, on se rejoint par exemple à 15h. Moi, je suis le cuisiner en chef, j’ai préparé le menu et toi, tu m’aides à couper les légumes avec l’aide d’une troisième personne. Ça devient une sorte d’activité sociale de faire des repas. Et à 18h, les voisins qui se sont inscrits viennent manger dans la salle à manger commune.»

Le Cohabitat de Québec sera construit dans le quartier Saint-Sacrement, non loin de l’Université Laval. Le coût total du projet s’élève à 10,2 millions, dont 700 000 $ seront investis dans la maison commune, une somme équivalant à la marge de profit que se dégagerait le promoteur s’il y en avait un, résume M. Desgagnés. Le groupe de propriétaires compte des personnes seules, avec ou sans enfants, des jeunes et des retraités. Certains ont acheté de petits appartements de trois pièces à 200 000 $; d’autres, des maisons de ville à quatre chambres d’une valeur de 335 000 $. Le design de l’ensemble a été confié à un architecte réputé, Pierre Thibault, qui se dit particulièrement séduit par le volet «intergénérationnel» de la démarche et la place donnée à l’entraide.

En parlant de la maison commune, il promet que ce sera «un bâtiment très poussé en matière de développement durable». Par contre, à la différence des écoquartiers, les résidants participent à toutes les étapes du projet. Ce qui fait dire au président du groupe environnemental Vivre en ville, Alexandre Turgeon, que la Ville de Québec gagnerait à s’en inspirer dans ses propres projets d’écoquartiers.

Un projet qui a failli avorter

Malgré ces bonnes nouvelles, 25 % des projets du genre avortent, selon Michel Desgagnés. C’est d’ailleurs ce qui a failli se produire en 2008, quatre ans après les premiers pas de Cohabitat. Incapable de se mettre d’accord sur le mode de décision et le choix du terrain, le groupe avait littéralement implosé. «On s’est trouvé un bouc émissaire. On pensait que s’il partait, ça allait régler le problème. Mais ça a eu l’effet d’une bombe. Les trois quarts des gens sont partis», raconte-t-il.

«Suite à ça, on a arrêté le projet et moi, je suis allé faire une formation en leadership à Montréal», raconte-t-il. À son retour, les trois ménages restants décident de choisir le terrain avant de recruter de nouveaux membres. En 2010, 13 ménages s’ajoutent, dont 7 de l’ancien projet.

Et qu’advient-il si un membre de la communauté nous est insupportable? «C’est un faux problème», rétorque Alexandre Turgeon. À son avis, on court autant de risques d’avoir des problèmes avec ses copropriétaires quand on achète un condominium.

Michel Desgagnés ajoute que lorsque ça marche, la satisfaction n’en est que plus grande. «C’est comme la différence entre vivre seul ou en couple. Tout seul, t’as la sainte paix et personne ne te dérange. Quand t’es en couple, y a des moments où c’est plus pénible que quand t’es seul. Mais quand ça va bien ensemble, ça devient plus grisant à deux.»

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.

Jeux d’eau à la mairie: La suite

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 juin 2011 19 commentaires

TVA/Québec

Le miroir d’eau avec lequel le maire Régis Labeaume était tombé en amour lors de son voyage à Bordeaux sera installé à Québec, mais dans une version beaucoup plus modeste.
Appelée fontaine architecturale, elle prendra forme dans les jardins de l’hôtel de ville de Québec, lesquels seront sous peu rénovés.

La fontaine architecturale sera composée de bassins permettant l’accumulation d’eau, lesquels donneront l’illusion d’un miroir. Également, on y retrouvera des jets d’eau motorisés, un système pour embrumer et un éclairage multicolore.

En outre, elle se transformera en place multifonctionnelle, utilisée entre autres pour des activités protocolaires et d’animation publique.

L’Esplanade devant l’hôtel de ville sera complètement remodelée en forme de demi-cercle. Elle deviendra un lieu protocolaire officiel, un lieu d’interprétation historique, de spectacles et d’activités ludiques.

Un rappel de l’ancienne Chapelle des Jésuites sera mis en valeur. En effet, du granit délimitera l’emplacement de son empreinte au sol, située sur la façade gauche de l’hôtel de ville.

Les façades sud et est de l’édifice devraient être illuminés les soirs par 33 immenses projecteurs enfouis dans le sol.

Finalement, l’administration Labeaume se donne comme défi de faire fonctionner le fameux cadeau de la Ville de Paris à Québec pour le 400e, la Fontaine de Tourny, laquelle n’a jamais fonctionné depuis 3 ans.

Si l’échéancier est respecté, les nouveaux jardins de l’hôtel de ville de Québec devrait être inaugurés en 2013.

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Le reportage TVA

Le cadeau de Paris pour le 400e ne sera complété qu’en 2012 Baptiste Ricard-Châtelain
(Le Soleil)

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Parc.

Des arbres centenaires abattus dans le quartier Saint-Sacrement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 juin 2011 6 commentaires

Radio-Canada (Québec)

Près d’une trentaine d’arbres matures ont été abattus dans le quartier Saint-Sacrement pour faire place à un projet immobilier, au grand désarroi de certains résidents.

Les 26 arbres, certains plus que centenaires, ont été abattus la semaine dernière. Le promoteur du projet immobilier, le Groupe Norplex, prévoit construire près de 200 condominiums sur le site de l’ancien collège Bellevue.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo, Projet - Allées de Bellevue.

L’entrevue – L’architecture comme projet de société

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 juin 2011 4 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir


Le créateur Pierre Thibault veut faire d’un immeuble de Québec une vitrine de l’architecture durable

Québec — Après s’être illustré comme concepteur de «maisons nature» qui se fondent dans la forêt, l’architecte de Québec Pierre Thibault s’est trouvé une nouvelle vocation: réinventer l’habitation en ville.

«Imagine si tous les toits devenaient des terrasses avec des coins potagers. Les gens s’enverraient la main d’un toit à l’autre!», lance cet idéaliste de 51 ans.

Partisan d’une architecture épurée, souvent faite de bois et recourant beaucoup à la lumière, Pierre Thibault s’est fait connaître pour ses projets au style très scandinave, voire zen. On lui doit notamment la nouvelle abbaye des moines de Val Notre-Dame qui lui a valu un prix d’excellence en architecture.

Passionné, il a la réputation de s’investir beaucoup dans ses projets. Et tout laisse croire que le nouveau ne dérogera pas à la règle. Le Québec, dit-il, devrait faire en architecture ce qu’il a fait en santé et être «distinct» du reste de l’Amérique du Nord. «J’aimerais qu’on devienne un peu plus danois, les Danois de l’Amérique du Nord», dit-il à propos du pays où, l’hiver, on déneige les pistes cyclables avant les routes…

Gagné depuis longtemps aux vertus du vélo et de la marche, l’architecte est révolté par ce qu’il observe au Québec. «J’espère qu’on va arrêter de se tirer dans le pied. Depuis 50 ans, on favorise des autoroutes. L’avenir est à faire de l’habitat en ville qui demande peu d’énergie, qui est agréable et près des services.»

Des appartements nouveau genre

L’habitation citadine l’a toujours intéressé, mais il n’avait pas de clients. Or voilà que le vent tourne. «J’ai fait plusieurs petites maisons à la japonaise sur le Plateau. Celle de Jean Lemire [l’explorateur], par exemple, fait 20 pieds sur 20 pieds sur trois étages, avec des trous et une terrasse sur le toit. Les gens entrent là-dedans et disent qu’ils trouvent ça grand, alors que c’est tout petit!»

Le sujet l’inspire tellement qu’il a décidé de servir lui-même de cobaye à de nouvelles façons de faire. Avec un groupe d’amis, il a acquis un immeuble dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, au centre-ville de Québec, pour y aménager des appartements nouveau genre. «Je veux que ça serve de vitrine pour montrer aux gens que c’est possible, à des prix pas trop élevés.»

Pour gagner de l’espace, les résidants pourront partager une salle de séjour et des chambres d’amis. Un grand escalier «convivial» favorisera les rencontres, une fenestration généreuse au sud permettra des économies d’énergie et on maximisera les espaces verts.

«Parce qu’on est en ville, on pense à tort qu’on ne peut pas avoir un contact avec la nature», déplore-t-il, citant en exemple son expérience d’un appartement en plein coeur de Milan où les résidants partageaient une cour et un grand arbre autour duquel ils se retrouvaient avec bonheur.

Quelque chose de romantique

La vision qu’a Pierre Thibault de la vie en ville a quelque chose de romantique. «On n’est pas la même personne suivant l’endroit où on habite», dit-il en opposant «celui qui vit en banlieue et prend son auto pour aller acheter une pinte de lait», et l’autre, en ville, qui «marche, s’arrête dans un café, croise des collègues et a un vrai échange».

L’architecte dit même cultiver le «fantasme» d’avoir un jour un café, un «lieu d’échanges et de rencontres», avec son agence d’architecture à l’étage. L’habitation de l’avenir, insiste-t-il, n’en sera pas axée sur la solitude. Ce n’est pas pour rien, d’ailleurs, que les instigateurs du premier projet de «cohabitat» au Québec ont fait appel à lui pour concevoir leur projet d’habitation, comme le rapportait Le Devoir mercredi dernier. Ce modèle d’inspiration scandinave cadre parfaitement avec l’idéal qu’il défend.

«Au Japon, ils ont calculé que les gens qui habitent dans des immeubles où il n’y a pas d’ascenseur vivent plus longtemps. Même chose pour ceux qui ont un potager et qui sont socialement intégrés à une communauté», souligne-t-il.

Pour lui, l’architecture, c’est bien plus que du bâti, «c’est le baromètre ultime de l’expression de nos valeurs». Engagé dans toutes sortes de débats, il a notamment siégé au comité créé par l’administration du maire Régis Labeaume pour penser le développement de la ville de Québec pour les vingt prochaines années.

Se disant «chanceux» et «comblé», Pierre Thibault fait partie de la minorité d’architectes québécois qui peuvent se permettre de dire non aux projets qui ne les inspirent pas. Aussi dit-il avoir atteint une étape dans sa carrière où il veut redonner.

Des modèles standardisés

Pour lui, il n’y a plus de doute: les bouchons de circulation qui accablent nos villes sont l’occasion de revoir complètement notre manière de vivre. «L’habitation en ville va regagner en faveur grâce à ça», avance-t-il.

Il trouve néanmoins qu’on ne valorise pas suffisamment la «création» en architecture et qu’on laisse encore les promoteurs nous imposer des modèles standardisés, froids, des projets rentables, mais tous pareils. Dans le manque d’espace en ville, il voit une invitation à l’innovation. «On a trop valorisé l’idée voulant que si tu n’as pas de contrainte tu vas faire de la meilleure architecture», dit-il en citant de nouveau le Japon en exemple.

Avec de «petits espaces», les Japonais arrivent à faire des «lieux chaleureux qui ne sont pas oppressants», observe-t-il. «Ils ont toutes sortes d’astuces en matière de design, ils travaillent beaucoup en verticalité avec de petites mezzanines, des escaliers délicats.»

Il suggère que le gouvernement soutienne «la valeur ajoutée» de la création en architecture par des incitatifs financiers. «On pourrait, par exemple, donner aux gens la possibilité de déduire [de leurs impôts], pendant cinq ans, la moitié des honoraires de leur concepteur.»

Pour lui, la discussion ne fait que commencer. Il a d’ailleurs décidé d’organiser à l’automne des rencontres publiques à Québec (le 20 septembre) et à Montréal (le 20 octobre), dans le but d’«éclairer des gens qui aimeraient contribuer à développer leur propre habitat urbain». Parions que l’on n’a pas fini d’en entendre parler…

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou, Québec La cité.

Le Cirque du Soleil urbain à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 juin 2011 Commentaires fermés sur Le Cirque du Soleil urbain à Québec

Vous avez manqué Les Chemins invisibles™ l’été dernier? Vous avez adoré votre expérience et aimeriez y retourner? Réjouissez-vous : l’événement du Cirque du Soleil® est de retour avec des performances acrobatiques inédites, des nouveaux personnages et des tableaux surprenants!

Dès la tombée de la nuit, rendez-vous sous les bretelles de l’autoroute Dufferin-Montmorency pour assister au troisième chapitre, Le Royaume de Tôle. L’Empereur convie le public, dans son royaume, à un cabaret urbain inusité.

Ce grand événement gratuit propose un alliage singulier de performances acrobatiques, de danses de rue, de musique et de multimédia portant la signature distinctive du Cirque du Soleil.

Cet événement est présenté tous les étés à Québec jusqu’en 2013, avec des nouveautés chaque année.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Fêtes populaires et événements publics.

Travaux sur l’immeuble Saint-Laurent

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 juin 2011 11 commentaires

Le poids des ans a fait son oeuvre et l’immeuble à logements Saint-Laurent doit subir des travaux fort importants. Son voisin, Le Louisbourg, premier immeuble à condos érigé à Québec, a eu le même sort depuis quelques années.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.