Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Arrondissement La Cité-Limoilou »

Le LIM: 26 nouveaux condos dans le Vieux-Limoilou

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 février 2018 2 commentaires

Le Carrefour de Québec

Vieux-Limoilou — Synchro Immobilier prévoit ériger un immeuble de 26 condominiums sur le site du garage Automobiles André Boies, soit à l’intersection de la 1re Avenue et de la 4e Rue. Les unités sont en vente à partir de 169 900$.

L’immeuble de trois étages sera composé d’une structure de bois. Façade de brique et escalier métallique, le promoteur immobilier écrit «le Lim donnera l’impression d’avoir toujours fait partie du quartier Limoilou.»

En tout, cinq types de logements sont en vente. Les 3 1/2 sont en vente à partir de 169 900$ tandis que les 4 1/2 sont offerts à partir de 214 900$. La superficie variera entre 510 pieds carrés et 1199 pieds carrés.

(…)

Précisons que Synchro Immobilier est derrière les projets Le Kaméléon, les écocondos Origine et Condo Le 77. Le projet possède sa fiche sur le site du duProprio.

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Le LIM

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.

Bataille pour réduire la vitesse à 30 km/h partout dans Saint-Jean-Baptiste

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 février 2018 6 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Le Comité populaire Saint-Jean-Baptiste reprend le bâton du pèlerin dans l’espoir de convaincre la mairie de la capitale de réduire la circulation automobile dans le faubourg. Il réclame maintenant que la limite de vitesse soit réduite à 30 km/h dans toutes les rues.

«On a décidé de passer à l’offensive», annonce Marc Boutin, membre du comité aménagement du Compop. «Il y a un ras-le-bol par rapport à la vitesse, à l’agressivité des automobilistes.»

«Le quartier Saint-Jean-Baptiste est d’abord un quartier résidentiel», poursuit-il en déplorant que les travailleurs des banlieues s’y faufilent en voiture matin et soir dans l’espoir d’économiser quelques minutes. «Le trafic de transit est un problème.»

Jeudi matin, sa collègue Marie-Ève Duchesne a donc accroché une symbolique affiche limitant la vitesse à 30 km/h sur la rue Saint-Jean pour marquer le début d’une campagne de sensibilisation qui, espère-t-elle, touchera les élus municipaux. «On demande à la Ville d’intervenir pour réduire la vitesse dans l’ensemble des rues […] du faubourg. Dans le quartier, on marche beaucoup. C’est un enjeu de sécurité.»

Mme Duchesne promet de maintenir le sujet dans l’actualité, notamment en effectuant une occupation de rue «dérangeante» durant le printemps. Et prévient que la réduction de la vitesse n’est qu’une première étape; le Compop veut que toutes les voies du quartier deviennent «partagées» comme la côte Sainte-Claire. C’est quoi ? Dans ces rues, piétons, cyclistes et automobilistes circulent sur le bitume, à basse vitesse. Les autos doivent «partager».

Une bonne idée ?

Est-ce une bonne stratégie de réduire la vitesse à 30 km/h dans les rues ? Tout à fait, répond sans hésiter le directeur général d’Accès transports viables, Étienne Grandmont. Les études scientifiques démontreraient que cette diminution engendre une augmentation de 80% des chances de survie pour un piéton ou un cycliste après une collision.

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Réduire la limite à 30 km/h dans toutes les rues du faubourg Saint-Jean-Baptiste, tel que demandé par le comité des citoyens du coin? Le conseiller municipal Patrick Voyer se dit à l’écoute… mais affirme que les voitures circulent déjà dans le quartier à une vitesse qui s’approche de cette cible. Le Soleil

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.

La démolition de l’église du Très-Saint-Sacrement envisagée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 février 2018 11 commentaires

Jonathan Bernard
FM 93

Le FM93 a appris que l’église Saint-Sacrement, située au haut de la côte du même nom, pourrait fermer et même passer sous le pic des démolisseurs.

C’est l’une des éventualités à l’étude alors que les coffres de la fabrique sont à sec, et que des travaux de l’ordre de 3M$ seront nécessaires dans un horizon de 10 ans.

Environ 75 paroissiens ont été informés de cette hypothèse vendredi dernier lors d’une assemblée lors de laquelle le conseil de fabrique a dressé un sombre portrait de la situation.

L’église se trouve dans un tel état de détérioration qu’un paroissien nous a confié que c’était comparable à «la gangrène».

Le curé de la paroisse, le père Gérard Busque, a refusé de confirmer cette information, indiquant qu’il était prématuré d’avancer une telle éventualité. Qu’un rapport avait été commandé par l’Archevêque afin d’avoir un portrait complet de la situation.

Au Diocèse, le Vicaire général nous a indiqué que la situation de l’église était «difficile», voire même «très critique».

Mgr Marc Pelchat n’a pas caché que les paroissiens de la nouvelle paroisse fusionnée auront à réfléchir sur la nécessité de conserver trois églises, soit l’église Saint-Charles-Garnier, Saint-Michel-de-Sillery, et celle du Très-Saint-Sacrement. Le même genre d’exercice que celui effectué dans la nouvelle grande paroisse Saint-Jean-Baptiste, et qui a mené à la désacralisation de l’église du même nom.

Une réflexion qui devra être guidée par l’ampleur des travaux de maçonnerie et de toiture. Des travaux qui étaient insoupçonnés avant l’effondrement en mai dernier d’une partie de la façade ouest.

Depuis, des travaux de plus de 775 000$ ont été réalisés pour sécuriser la façade et solidifier les deux clochers. Une facture qui a complètement fait disparaître le coussin d’environ 400 000$ que possédait la fabrique.

De surcroît, le Diocèse a accordé un prêt de 300 000$ à la fabrique afin qu’elle puisse payer ses factures. Un prêt qui sera difficile à rembourser, puisque les entrées d’argent annuelles couvrent à peine les coûts d’opérations.

La date effective de la fusion des trois paroisses, soit le 1er janvier 2019, pourrait marquer la fin des activités pastorales entre les murs de l’église construite entre 1919 et 1923.

Une date, qui aurait été mentionnée lors de la rencontre, mais que le père Busque et le Diocèse ont refusé de nous confirmer.

En guise de remplacement, on envisagerait de construire sur le site un tout nouveau centre communautaire multifonctionnel.

Le monastère situé à l’arrière de l’église pourrait également changer de vocation, puisque les Pères du Très-Saint-Sacrement, et les autres religieux qui y résident compteraient quitter les lieux d’ici cinq ans.

À terme, les paroissiens seraient invités à se recueillir à l’église Saint-Charles-Garnier, comme ce fut le cas durant la fermeture temporaire de l’église du Très-Saint-Sacrement.

Église Saint-Jean-Baptiste: 10 millions pour sa rénovation

La Ville alloue 15 M$ pour restaurer sept églises

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Six notable moments in the Château Frontenac’s 125-year history

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 février 2018 Commentaires fermés sur Six notable moments in the Château Frontenac’s 125-year history

* Photo: Fairmont

Karen Burshtein
Canadian Geographic

A castle with turrets on a hill overlooking a mighty river and a quaint old town: it does strike a pose. Little wonder, then, that the Fairmont Le Château Frontenac in Quebec City claims to be the most photographed hotel in the world. In this time of ubiquitous smartphone cameras and social media posts, that’s a difficult claim to quantify. What isn’t in doubt, though, is the hotel’s place in the Canadian passport (check page 24) and in the pages of history.

The grand railway hotel, which this year celebrates its 125th anniversary, has borne witness to some notable moments in Canadian politics and pop culture. Even its location is significant: it was built on the site of the 1864 Quebec Conference, where the fathers of Confederation met to continue hammering out the British North America Act. Here’s a look back at some other historic happenings in the life of the Château Frontenac.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Le presbytère Saint-Roch transformé en coopérative de condos à petit prix

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 février 2018 2 commentaires

Photo: Patrice Laroche (Le Soleil)

Radio-Canada

Une dizaine de ménages à revenu moyen pourront s’établir en plein cœur de Québec. Le presbytère Saint-Roch, sur la rue Saint-Joseph, sera transformé en coopérative qui vendra ses unités d’habitation jusqu’à 40 % moins cher que la valeur marchande.

Par exemple, un 3 et demi se vendra autour de 120 000 $, tandis que le prix de vente d’un 6 et demi sera d’environ 245 000 $, sensiblement en dessous des prix habituels du quartier Saint-Roch.

« L’idée derrière ce nouveau modèle, c’est de donner accès de manière abordable à la propriété, mais pas seulement pour le premier acheteur », explique Nathalie Genois, directrice du développement chez SOSACO, l’organisme qui accompagne les promoteurs du projet.

Si une unité est éventuellement revendue, ce sont les membres de la coopérative qui choisiront les futurs propriétaires.

Afin de préserver l’équité intergénérationnelle, le prix de vente de l’unité sera aussi régularisé par la coopérative et le Fonds coop accès proprio (FCAP) en fonction de l’inflation.

« Ce qu’on souhaite, c’est de maintenir les ménages dans les quartiers centraux et à des gens qui, normalement, n’auraient pas accès à la propriété ». (Nathalie Genois, directrice du développement chez SOSACO)

Projet livré en 2019

Une dizaine de citoyens intéressés par le projet ont d’ailleurs participé à une rencontre d’information, samedi matin, afin de s’impliquer dans le processus de décision.

« On a quand même un bassin de personnes qui sont vraiment intéressées. Il y a des gens qui ont même fait un dépôt symbolique pour s’engager », indique Mme Genois.

La coopérative doit prendre possession du presbytère d’ici la fin du mois de mars. Le projet est évalué à 2,6 millions de dollars et devrait voir le jour à l’été 2019.

Il est réalisé grâce à la Fédération des coopératives d’habitation de Québec, Chaudière-Appalaches. Un projet semblable avait été lancé il y a près de deux ans à Sherbrooke.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.

Limoilou: Opposition à un projet de tour

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 février 2018 32 commentaires

Marc Allard
Le Soleil

Dominic Martin habite avec sa conjointe et ses deux enfants sur la rue Leclerc, dans le Vieux-Limoilou. À quelques pas de chez lui, le promoteur ACERO Groupe Immobilier projette de construire une tour d’habitation de 18 étages sur le site de l’église Saint-François d’Assise.

M. Martin a vu les images de la tour. Il a écouté le promoteur au conseil de quartier arguer que son projet contribuerait à la densification que souhaitent la Ville de Québec et son maire, Régis Labeaume. Son verdict? Non merci.

Avec ses nombreux duplex et triplex, Limoilou devrait continuer à se densifier à une hauteur raisonnable, fait-il valoir. Pour lui, pas question de défigurer le cœur du quartier avec une tour de 18 étages. «On confond la 1re Avenue avec le boulevard Laurier», déplore-t-il.

Ces jours-ci, comme de plus en plus de citoyens du secteur, Dominic Martin se mobilise pour ne pas voir l’immeuble de 123 logements apparaître dans son voisinage.

Un groupe d’une dizaine de résidents des rues Leclerc, Royal-Roussillon et Ozanam ont formé le groupe «Action Limoilou» et mis en ligne une pétition demandant au conseil municipal de Québec de maintenir le zonage actuel de cinq étages pour toute construction érigée sur le site de l’église désaffectée. La pétition en ligne a enregistré environ une centaine de signatures.

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La pétition

Monsieur le Maire ou le complexe de la hauteur Dominic Martin, Point de vue (Le Soleil)

Oui à une tour dans Limoilou Pierre Gagné, Carrefour des lecteurs (Le Soleil)

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Densification, Hauteur.

Le futur de la ville de Québec se dessine aux abords de Limoilou et de Saint-Roch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 février 2018 9 commentaires

Érick Rivard
Monlimoilou

Un important atelier de recherche-création en design urbain à l’École d’architecture de l’Université Laval a récemment proposé de modifier en profondeur le paysage d’entrée de ville au nord du quartier Saint-Roch par la transformation de l’autoroute Laurentienne en boulevard urbain. Dans la foulée, les deux groupes d’étudiants de maîtrise redessinent le secteur en véritables milieux de vie résidentiels.

La proposition de l’équipe de Maryse Béland, Florence Côté, David Diederich et Maxime Tremblay-Laverdière s’appuie sur la prolongation des rues Dorchester et de la Couronne jusqu’à la rue Soumande, entraînant la transformation des friches autoroutières, des abords de Place Fleur-de-Lys et des stationnements d’ExpoCité. Ainsi métamorphosée, l’armature urbaine présenterait alors un potentiel de développement insoupçonné, qui pourrait accueillir jusqu’à 4800 nouvelles unités de logement à un jet de pierre du centre-ville de Québec. Les étudiants proposent à cet effet une intéressante mixité résidentielle composée de maisons de ville, d’appartements locatifs, de plex et de logements sociaux.

Leurs projections s’ancrent en outre dans un réseau de transport en commun structurant. Le pont autoroutier au-dessus de la rivière Saint-Charles ferait notamment place à un ouvrage d’art convivial où tous les modes de transport seraient présents. À proximité, le Saint-Michel, un ancien ruisseau disparu depuis longtemps sous le béton et l’asphalte, renaîtrait au cœur du nouveau quartier.

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Présentation PDF du projet

Laboratoire de design urbain Automne 2017

Un autre projet de requalification de l’autoroute laurentienne

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou.

Le Château Frontenac parmi les hôtels-châteaux les plus romantiques au monde

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 février 2018 3 commentaires

* Photo: Emmanuel Coveney

Source: Le Soleil

MONTRÉAL – Le Château Frontenac fait partie des 15 hôtels-châteaux les plus romantiques du monde, selon l’éditeur de guides touristiques Fodors, qui a publié sa liste à quelques jours de la Saint-Valentin.

Fodors décrit l’hôtel de Québec comme un établissement «majestueux» et «élégant», offrant une vue impressionnante sur le fleuve Saint-Laurent.

L’éditeur parle de ses «commodités modernes, qui incluent des salles à manger opulentes, un nouveau spa et la modernisation de toutes ses chambres et ses suites».

Fodors précise que les châteaux, en général, «inspirent l’imagination» et offrent un décor propice à la romance.

Le seul autre château-hôtel nord-américain de la liste est le château Oheka, dans l’État de New York, aux États-Unis.

Deux châteaux français sont aussi nommés: l’Hôtel de la Cité Carcassonne-MGallery dans le Languedoc et le Château de Bagnols, dans le Beaujolais.

Le site web inclut dans sa liste des établissements en Écosse, en Italie, en Autriche, en Irlande, en Inde, au Pays de Galles, en Allemagne, aux Émirats arabes unis, en République tchèque, en Angleterre et en Chine.

Les 125 ans de notre Château Frontenac

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Patrimoine et lieux historiques.

Nouveau projet sur l’avenue des Braves

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 février 2018 Commentaires fermés sur Nouveau projet sur l’avenue des Braves

Le projet de ce constructeur

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.