Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Art de vivre en ville Â»

Un concours de design urbain pour le Nouvo St-Roch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 février 2009 1 commentaire

« (Québec) Relancé à grands coups de millions de dollars, Saint-Roch montre à nouveau des signes d’essoufflement, reconnaît le maire Régis Labeaume. Question de donner au secteur un nouvel électrochoc, Québec lance un important concours de design urbain afin de rendre le quartier encore plus attrayant. Ainsi, la Ville espère inciter les jeunes qui y travaillent à carrément en faire leur domicile. » (…)

La suite dans le journal Le Soleil

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Art de vivre en ville, Conférences / évènements.

Labeaume voudrait rénover les abords de l’Hôtel de Ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 décembre 2008 4 commentaires

Source : Josée Guimond, Le Soleil, le 10 décembre 2008

(Québec) Le maire de Québec Régis Labeaume n’est jamais à court d’idées pour de nouveaux projets… pour toutes sortes de projets! Un exemple? Réaliser la mise en lumière de l’hôtel de ville de Québec, qui se sent bien intimidé tout à côté de l’édifice Price, mis en lumière récemment par Commission de la capitale nationale du Québec (CCNQ).

Le maire assistait, mardi, à la mise en lumière officielle de l’église Notre-Dame-des-Victoires, à place Royale. Lors de sa courte allocution et s’adressant au président de la CCNQ, Jacques Langlois, M. Labeaume lui a lancé à la blague que s’il se cherchait des projets d’édifices à illuminer, il suggérait fortement l’hôtel de ville de Québec. En fait, M. Labeaume ne blaguait qu’à moitié.

«On va voir comment ça peut se faire, on se met à la recherche de partenaires et on le fait,» explique simplement Régis Labeaume au Soleil. Précisément, M. le maire voudrait bien revamper complètement les abords de l’édifice, les jardins de l’Hôtel-de-Ville. «C’est tellement laid!» s’exclame-t-il spontanément. Et M. Labeaume sait être spontané.

la suite

et ici on parlait justement de la mise en lumière de l’édifice Price

l’idée n’est pas mauvaise puisque c’est vrai que ce n’est pas très accueillant, reste à voir les coûts…

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Art de vivre en ville, Message d'intérêt public, Patrimoine et lieux historiques, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Le regroupement québécois contre le bruit (RQCB)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 décembre 2008 34 commentaires

En-tête RQCB

La droit à la sainte paix; l’art de vivre en ville…

Moi, un « mononc’ grincheux pas d’son temps »? Peut-être! Toujours est-il que j’ai eu l’idée de vous présenter ce site à la suite de mes dernières expériences d’utilisateur de la RTC, puisque je dois délaisser mon vélo (parfois mes pieds, aussi, hiver oblige!) pour voyager de mon domicile à mon travail.

Voici: l’autre soir, c’était un troupeau d’ados dont la moitié d’entres eux avaient le « téléphone à poche » à l’oreille. Les « genres comme » et les « Téoulà »: insupportable! Et que dire aussi, et surtout, de ce « tata » (précision de dernière minute: un adulte!) qui hier midi, discutait des « vrais affaires » tout fort, sur le trajet du 801, sous le regard écoeuré des autres passagers!! Enfin… *soupir*

Au fait: à quand l’interdiction du foutu cellulaire dans les autobus? Sur ce, bonne journée! ;-)

Sources: RQCB.

La fondation du Regroupement québécois contre le bruit (RQCB) est née d’un ras-le-bol mais surtout du sentiment qu’il y avait très grande urgence d’agir. Le RQCB estime en effet que le bruit au Québec est en train de devenir un véritable fléau. L’hiver : les motoneiges pétaradantes (puantes et polluantes) sur tout le territoire du Québec ; l’été : les motomarines assommantes, les « speed boats », les quads tapageurs, un très grand nombre de motocyclettes ultra-bruyantes, la trottinette à moteur récemment apparue comme si ce n’était pas déjà assez, de même, qu’en ville, les ravages produits par les silencieux modifiés de plus en plus fréquents, les systèmes de son de voitures poussés à plein volume et une musique immensément trop forte dans un très grand nombre de commerces, salles de cinéma, lieux d’entraînement, restaurants, etc. Jusqu’aux jouets d’enfants trop bruyants, plusieurs études le démontrent.

Les nuisances sonores sont multiples, généralisées. Au point qu’il devient presque impossible de se retrouver dans des lieux où le silence existe encore. (…)

À lire: Autobus mieux isolés s.v.p.! (blogue de Nicolas). À consulter aussi, entre autres billets: Sur le bon usage du cellulaire dans les lieux publics… et Le Québec pourrait avoir une politique du bruit.

Voir aussi : Art de vivre en ville, Environnement, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Transport en commun.

La piste cyclable coûterait cinq fois plus cher que prévu

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 novembre 2008 20 commentaires

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 21 novembre 2008.

Le projet de piste cyclable du maire Labeaume pour relier l’Université Laval à la Colline parlementaire risque d’être beaucoup plus coûteux que prévu. Loin du million de dollars anticipé, une première évaluation place plutôt à 5 millions $ ces travaux, a appris Le Soleil.

Le tracé envisagé sur le boulevard René-Lévesque frappe en effet un obstacle de taille : sa largeur. L’artère est jugée trop étroite sur environ le tiers des 6 km de piste cyclable projetés, ce qui forcerait la Ville à l’élargir.

Évaluation sommaire du coût de l’opération : 5 millions $. C’est cinq fois le montant anticipé par le maire et inscrit au Plan directeur du réseau cyclable de la Ville de Québec récemment adopté par le conseil municipal.

Ainsi, autobus et cyclistes seraient appelés à partager un même corridor.

4,3 km de largeur

Mais voilà, pour être complètement sécuritaire, cette «voie mixte» devrait être large d’au moins 4,3 m. Selon une évaluation des 6 km du tracé, le boulevard René-Lévesque ne permettrait pas un tel aménagement sur le tiers de cette distance. Certes, un corridor moins large pourrait tout de même être aménagé, mais le danger pour les cyclistes augmenterait rapidement. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Piste cyclable sur le boulevard René-Lévesque: Le RTC parle d’une « décision politique ».

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Art de vivre en ville, Qualité et milieu de vie, Vélo.

Conférence à venir: « La réglementation de l’urbanisme et le citoyen », par Jean-Paul L’Allier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 novembre 2008 3 commentaires

Source: Au fil des événements, 13 novembre 2008.

Le jeudi 20 novembre, à 17 h, à l’Atrium du pavillon Charles-De Koninck, la Chaire de rédaction juridique Louis-Philippe-Pigeon de la Faculté de droit reçoit Jean-Paul L’Allier qui prononcera une conférence intitulée «La réglementation de l’urbanisme et le citoyen». L’ancien maire de Québec abordera d’un Å“il critique les modes d’intervention réglementaire en matière d’urbanisme dans une municipalité et la sédimentation de règles de droit de plus en plus incompréhensibles pour le citoyen que cette pratique génère. Dans ce contexte, comment arriver à faire du développement de qualité, respectueux de la démocratie municipale, mais avant tout de l’intérêt public? En somme, comment faire autrement? Louis Borgeat, président de l’Office de la protection du consommateur et juriste de grande renommée, sera aussi présent à cette conférence afin de commenter les propos de Jean-Paul L’Allier. Cet événement s’inscrit dans une série de conférences sur le thème «Rédaction juridique et démocratie» que donnera annuellement la Chaire de rédaction juridique Louis-Philippe-Pigeon. Rappelons que la mission de la Chaire est d’être un lieu de référence, de formation et de vulgarisation pour tous les professionnels, juristes et non-juristes qui se préoccupent de la qualité rédactionnelle des textes de nature juridique.

Voir aussi : Art de vivre en ville, Conférences / évènements, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Portail Livablestreets.com: l’exemple du Mobilien (Paris)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 novembre 2008 34 commentaires

streetfilms.com.

Ci-contre: capture d’image d’une vidéo exposant une initiative de cohabitation de différents modes de transport urbain dans la capitale française. « Origine du projet : Le PDU. Le Plan de Déplacements Urbains (PDU) définit les principes permettant d’organiser les déplacements de personnes, le transport des marchandises, la circulation, le stationnement. Ses orientations doivent concourir à diminuer le trafic. » Tout sur le Mobilien

Source: Livablestreets.com.

With the majority of the world’s 6.5 billion human beings now living in cities, building healthy, livable and affordable urban environments is critical to the mission of today’s global environmental movement.

The Livable Streets Network is an online community for people working to create sustainable cities through sensible urban planning, design, and transportation policy. We provide free, open source, web-based, resources to citizens working to create a greener economy, address climate change, reduce oil dependence, alleviate traffic congestion, and provide better access to good jobs in healthy communities.

We believe that people make a city great. Yet, so many of the world’s great cities dedicate too much of their precious, limited public space – their streets – to motor vehicles rather than people. We are working to redesign our communities around public transportation and walkable, bikeable streets. We are transforming parking lots into public plazas, busy intersections into town squares, and congested highways into bike paths. We are taking back our cities, one street at a time.

À consulter, entre autres billets: Doit-on en finir avec l’automobile? et Transport collectif: La Ville de Québec étudie le busway.

D’une pierre, deux coups! Merci à Pierre-Luc Auclair pour m’avoir fait découvrir à la fois son blogue (VéloUrbain.qc.ca) et cette autre fort intéressante et très documentée ressource Web.

Voir aussi : Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Environnement, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Scènes urbaines, Tramway à Québec, Transport en commun, Vélo.

Red Bull Crashed Ice: Un maire qui fait la sourde oreille

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 novembre 2008 47 commentaires

Avant de déblatérer encore et toujours contre les comités de citoyens, reconnaissons ici que plusieurs propositions alternatives et constructives ont été formulées, un peu comme dans le cas de la perspective d’une reprise du Moulin à images, en 2009. [billet]

Bref, dans ce dossier-ci, disons que j’ai de la « misère » envers l’attitude autocratique (encore!) de notre maire…

Source: Radio-Canada (Québec), 4 novembre 2008.

Le comité de citoyens du Vieux-Québec menace de recourir éventuellement aux tribunaux pour empêcher la tenue du Red Bull Crashed Ice dans le secteur de la côte de la Montagne 2010 et en 2011. Le comité de citoyens a reçu une fin de non-recevoir de la part du maire de Québec, lundi, au conseil municipal. (…)

Cependant, avec six semaines de travaux à subir année après année, la cinquantaine de résidents du secteur touché parlent d’une injustice à leur endroit. Cette semaine, de surcroît, la côte de la Montagne est fermée pour des travaux d’aqueduc, des travaux vraisemblablement reliés à l’aménagement de la piste de patinage extrême.

Ainsi, loin de désarmer devant l’attitude du maire Régis Labeaume, ce comité de citoyens compte se tourner du coté des promoteurs pour tenter de les convaincre qu’il y va des intérêts de tout le monde de tenir l’événement en alternance dans plusieurs secteurs de la ville. « Si la Ville et le maire restent “bouchésâ€? à ce qui nous semble tout à fait raisonnable comme scénario, c’est-à-dire à ce qu’il y ait une certaine itinérance de l’événement d’une année à l’autre, on va parler directement à Gestev et à Red Bull, et ces gens-là vont peut-être être plus ouverts et plus raisonnables que notre maire dans les circonstances », affirme le vice-président du comité de citoyens, Roger Bertrand. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: 400e: Pas que des effets positifs.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Art de vivre en ville, Commercial, Fêtes populaires et événements publics, Qualité et milieu de vie.

Scène urbaine: actes de vandalisme sur la rue Abraham-Martin

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 octobre 2008 16 commentaires

Jean Cazes, 7 octobre 2008.

Et si on instaurait la bastonnade aux « jeunes (ou moins jeunes) contrevenants » pris sur le fait? Je plaisante, bien sûr…

À consulter, entre autres billets: Scènes urbaines: le “tag�, ou l’art d’enlaidir ce que l’on cherche à embellir! (2).

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Art de vivre en ville, Qualité et milieu de vie.

Benoît Robert: Depuis 15 ans, le créateur de Communauto concilie économie, environnement et valeurs humanistes

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 octobre 2008 3 commentaires

Source: Danielle Ouellet, Contact, Automne 2008.

Avec sa vision de l’environnement bien ancrée dans la réalité économique, Benoît Robert (Aménagement du territoire 2006) a réussi une première en Amérique du Nord: rentabiliser un service de partage d’autos. Il a positionné l’automobile, haut symbole de pollution, comme une solution économique et écologique aux problèmes que pose le recours incessant à l’automobile personnelle dans les grandes villes. (…)

Benoît Robert a beau être pro-vélo et pro-piéton, il lui faut un véhicule pour faire de la randonnée pédestre, du canot-camping ou du ski de fond. C’est ce qui l’amène à explorer l’idée du partage d’autos, un service de location qui rendrait des automobiles disponibles 24 heures sur 24, pour de courtes périodes. (…)

En 1994, il lance une coopérative à Québec et, bientôt, une quinzaine de personnes se partagent trois véhicules. (…)

Communauto dessert aujourd’hui quelque 15 000 usagers à partir de 250 points de services à Montréal, Québec, Sherbrooke et Gatineau. Près de 80% de la flotte de 750 automobiles se trouve dans la métropole. Entre 2001 et 2006, le taux de croissance de l’entreprise a été de 332%: de quoi confondre les sceptiques. (…)

Dès 1994, un reportage de la CBC sur l’entreprise naissante a déclenché une avalanche de demandes d’information en provenance de Toronto, Ottawa, Boston, Vancouver, Seattle, Portland. Benoît Robert écarte alors la possibilité de franchises au profit de la collaboration. «Développez votre entreprise, et nous vous aiderons», leur répond-il. Aujourd’hui, il existe une véritable industrie de l’autopartage, dont les membres provenant d’Europe et d’Amérique du Nord se réunissent deux fois par année. Le concept se retrouve dans quelque 200 entreprises situées dans 650 villes, principalement en Allemagne, en Suisse, en Hollande, en Autriche et aux États-Unis. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: MINI DOSSIER. Journée en ville sans ma voiture: L’auto-partage, le chaînon manquant.

Voir aussi : Art de vivre en ville, Environnement, Qualité et milieu de vie.