Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Art de vivre en ville »

Les jardins de l’assemblée nationale: Des nouveautés comestibles à découvrir

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 juin 2013 Commentaires fermés sur Les jardins de l’assemblée nationale: Des nouveautés comestibles à découvrir

Le président de l’Assemblée nationale, M. Jacques Chagnon, a présenté aujourd’hui les nouveaux éléments des jardins qui se trouvent devant la façade de l’hôtel du Parlement, soit des aménagements de végétaux comestibles en terre et hors sol.

Ces aménagements sont le fruit d’une collaboration de l’Assemblée nationale avec les Urbainculteurs, un organisme à but non lucratif voué à la promotion du jardinage et de l’agriculture urbaine. « Ces arrangements de fruits, de légumes et de fines herbes permettront aux visiteurs de se familiariser avec certaines cultures emblématiques du Québec comme le maïs, la courge ou les haricots », a souligné le président.

Ce projet d’agriculture urbaine s’inscrit dans la planification annuelle de l’aménagement extérieur de l’hôtel du Parlement. L’entretien de ces potagers urbains sont confiés à des étudiants de l’Université Laval, dans le contexte d’un partenariat conclu en 1986 afin d’initier des étudiants à l’horticulture ornementale. En plus de ses potagers urbains, l’Assemblée s’inscrit aussi dans le projet Miel urbain, une initiative des Urbainculteurs en collaboration avec la Miellerie de Champlain, qui consiste à installer des ruches dans la ville de Québec, notamment sur des toits jardins. Des ruches seront donc installées sur le toit de l’édifice Jean-Antoine-Panet de l’Assemblée nationale. La production des fruits et légumes et du miel servira au restaurant Le Parlementaire, tandis que les surplus seront donnés à l’organisme communautaire Le Pignon bleu.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art de vivre en ville, Environnement.

Une famille, une rue: Saint-Joseph au coeur du centre-ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mars 2013 9 commentaires

Michèle Laferrière
Le Soleil

(Québec) Catherine et Thomas vivent avec leurs filles de sept et deux ans dans le nombril de Québec, au coeur palpitant du centre-ville, entre une brasserie et une épicerie, au-dessus d’une librairie, de biais avec une boulangerie. Loin de les irriter, le bourdonnement de la rue Saint-Joseph les rassure et leur donne le sentiment de «faire partie d’un tout».

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art de vivre en ville.

La rue Cartier, une rue culturelle ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 avril 2012 6 commentaires

Source : Stéphanie Martin, Le Soleil, le 25 avril 2012

(Québec) Le secteur de l’avenue Cartier, nouveau quartier culturel? Les commerçants du coin ont de grandes ambitions et ça commence cet été, du 2 au 15 juillet, avec la venue du Festival OFF et plusieurs jours d’animation en lien avec le Forum mondial de la langue française.

«On est dans un quadrilatère où il y a le Grand Théâtre, divers théâtres, l’Opéra de Québec, le Musée national des beaux-arts. Est-ce que ce sera le « Quartier culturel », le « Quartier des beaux-arts »? L’appellation finale n’est pas encore déterminée. Ce qu’on sait, c’est que la culture est l’orientation de base», a révélé hier Marc-André Pâlin, directeur général d’Espace Cartier, anciennement l’Association des commerçants de l’axe Montcalm.

La réflexion est déjà amorcée depuis un an, entre les commerçants, la Ville de Québec, le Musée national des beaux-arts du Québec et l’Office du tourisme, a expliqué M. Pâlin. Un mandat a aussi été donné à une firme spécialisée pour orienter le développement du quartier.

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Vers une multiplication des rues piétonnières.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Art de vivre en ville, Québec La cité.

L’arbre, le maire et les architectes

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 avril 2012 1 commentaire

Marie-Claude Lortie
La Presse

(QUÉBEC) Jean-Paul L’Allier, qui a été maire de Québec pendant 16 ans, n’a pas envie de jouer les gérants d’estrade. Vous ne l’entendrez donc pas parler du projet d’amphithéâtre de Régis Labeaume et pas plus des projets montréalais du moment, comme la transformation de Griffintown, des anciens terrains de Blue Bonnets et de la gare de triage d’Outremont. Mais de ses années à l’hôtel de ville de la capitale provinciale, il a tiré de nombreuses leçons sur le développement urbain. Et il n’hésite pas à les partager, comme il l’a fait le week-end dernier dans sa ville, dans le cadre du congrès annuel de l’Association des architectes paysagistes du Québec. (…) «La fierté, note M. L’Allier, c’est le moteur du développement d’une ville.»

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Voir aussi : Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Nouvel urbanisme.

Pouvons-nous éviter les points de rupture dans le développement de la ville?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 février 2012 63 commentaires

Cette question m’a sauté aux yeux pendant le débat autour de l’îlot Irving et différents autres projets depuis quelques années. La ville dans son ensemble est prise avec une démographie croissante et des problèmes de circulation et de disponibilité de terrains sur son territoire.

La croissance ultrarapide des nouvelles banlieues de la grande ville de Québec (Shannon, St-Gabriel, Tewksberry, Stoneham, Lac Beauport, St-Brigitte-de-Laval et la côte de Beaupré) est une démonstration du peu de solutions abordables pour les nouveaux arrivants pour vivre en ville. Historiquement, notre ville a connu un développement à l’horizontale en conquérant les terres agricoles avoisinantes au fil des ans. Vue de haut, elle est essentiellement meublée de maisons bon marché plein-pied la plupart du temps. Mais, il faut se rendre à l’évidence que ces nouveaux territoires ne seront jamais réellement bien desservis par des liens routiers rapides. Les emprises se font rares et c’est à contre-courant de paver de nouvelles routes à 6 voies de larges en 2012. La qualité de vie recherchée en périphérie deviendra nécessairement un enfer à cause des transports.

Il faut planifier inévitablement une forme de densification au centre-ville à court terme pour éviter cette problématique. Mais, pouvons-nous réellement éviter des points de rupture lorsqu’on décide de modifier un territoire déjà occupé depuis de nombreuses années?

Cette rupture est l’argument principal des opposants aux projets de densification. Ils avancent avec raison que le nouvel édifice ne s’harmonisera pas avec la trame urbaine. Mais, suivant cette logique, comment peut-on entreprendre la densification? Quelle est la première étape? Si on évite cette rupture, passe-t-on à côté de l’objectif?

La région regorge d’exemples où, à un moment précis, un projet immobilier a profondément transformé le paysage urbain. Des projets fortement contestés à l’époque qui se sont avérés des joyaux architecturaux plus tard. Nous avons qu’à penser au Château Frontenac et à l’édifice Price. Toutefois, les contre-exemples sont nombreux aussi comme l’Hôtel-Dieu et le bunker de la rue Grande-Allée.

En ce qui concerne le quartier St-Jean-Baptiste et sa trame urbaine, il faut faire un petit cours d’histoire pour la comprendre. Il faut savoir que la ville de Québec a connu une crise économique entre 1850 et 1940. Cette crise a fait ralentir les investissements immobiliers qui à gelé dans le temps cette trame urbaine. Dans un contexte normal, ce quartier aurait connu davantage de rénovation urbaine et oui la densification aurait été au rendez-vous étant donné sa proximité au centre-ville et sa position en haute-ville. Sachant ça, doit-on niveler par le bas et conformer l’ensemble des nouvelles constructions aux anciens immeubles qui ont déjoué le temps en dépassant de leur durée de vie utile? La question se pose. J’ai récemment participé à un débat à l’émission Agora à VOX sur ces questions (voir émission du 2012-02-08).

Malgré que je suis un défenseur du patrimoine bâti, je crois qu’on doit densifier considérablement le centre-ville pour soulager les transports sur le territoire. Quelle est votre opinion?

Mise à jour 22:49 : Nous avons discuté de ce billet dans notre chronique mensuelle à l’émission la Capitale Blogue. Je vous invite à écouter.

Chronique Québec Urbain à la Capitale Blogue 2012-02-12

Voir aussi : Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Étalement urbain, Qualité et milieu de vie.

Québec : ville de toits verts, de toits-terrasses et de toits jardins

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 août 2011 3 commentaires

guideperrier.com

La ville de Québec présente de nombreux exemples de toits verts, de toits-terrasses et parfois de toits jardins. Dans le Vieux-Québec, les fortes dénivellations permettent d’avoir des vues sur ces toits et de se familiariser avec ces concepts.(…)
Le « Potager des visionnaires » déçoit. En 2008, le Musée de la civilisation aménageait un grand jardin sur ses toits et terrasses au coût de 1,2 million de dollars avec le nom de Potager des visionnaires

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Voir aussi : Art de vivre en ville, Québec La cité.

La toile du Wi-Fi s’étend sur Québec: Suite

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er août 2011 15 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — La possibilité de se connecter à Internet de partout commence à devenir un attrait important des villes du XXIe siècle. Regards sur le cas de Québec qui s’impose déjà comme une première de classe en la matière. (…) Depuis 2006, ZAP a installé pas moins de 404 bornes de ce genre à Québec, ce qui en fait, de loin, la ville la plus Wi-Fi au Québec.

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Voir aussi : Art de vivre en ville, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Le Petit Champlain : le meilleur quartier du Canada

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 mai 2011 15 commentaires

Cette affirmation ne procède d’aucun, mais absolument d’aucun chauvinisme. Ce n’est pas nous qui l’affirmons, c’est l’Institut canadien des urbanistes. Ce très crédible organisme regroupe quelque 7000 urbanistes a mari usque ad mare.

L’Institut a organisé cette année la première d’une compétition annuelle, Le Canada, c’est ma place. Débutant en novembre et durant quatre mois, des gens de partout ont voté pour les endroits méritant une «reconnaissance spéciale» et ce, dans trois catégories : rue, quartier, place publique.

Source: Comité des citoyens du Vieux-Québec

* Merci à un fidèle lecteur (André Bernatchez)

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Art de vivre en ville, Commercial.

Les condos Eurêka, phase 2

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 avril 2011 1 commentaire

Au début du mois de décembre s’est amorcé la construction de la phase deux des condominiums Eurêka sur la rue St-Vallier à Québec. Le projet offrira 8 nouvelles unités de 900 à 1200 pi2 avec stationnement sous-terrain, le tout reparti sur 5 niveaux. À l’instar de la phase 1, les unités profiterons d’une structure de béton et d’une généreuse fenestration, le tout dans un ensemble contemporain mariant la maçonnerie et le bois


tiré de la page Facebook du projet.

En 2008, le Journal Habitation nous annonçait la première phase de ce projet.

Eurêka : des condos en formule résolument citadine.

crédit : Jacques Bélanger

Le site du projet.

Merci à M. Jacques Martin pour tous ces liens.

Condos Eurêka : État des travaux.

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité - St-Roch, Art de vivre en ville, Condo.

Un New-Yorkais à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mars 2011 5 commentaires

Le saviez-vous? Un des lecteurs de plus longue date de Québec urbain est un New-Yorkais vivant à temps partiel à Québec. On parle de son amour pour Québec dans un article du Soleil ce matin.

C’est un des plaisirs de Québec urbain. Avec le temps, j’y ai créé de belles amitiés. Dominick est maintenant un bon ami à moi.

Voir aussi : Art de vivre en ville, Tourisme.