Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Histoire »

Les 15 plus belles rues du Vieux-Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 février 2021 Commentaires fermés sur Les 15 plus belles rues du Vieux-Québec

Québec Cité

Grâce à son architecture d’inspiration française et britannique, ses fortifications, ses bâtiments en pierres et ses rues étroites en pavés, le Vieux-Québec est un lieu pour savourer le présent…. et le passé! Pendant l’été, quelques-unes de ses rues pittoresques sont fermées à la circulation automobile les week-ends, permettant aux piétons de prendre toute la place et de profiter de l’ambiance festive des terrasses et de l’offre de kiosques de cuisine de rue de certains restaurants.

Chaussez-vous confortablement et plongez dans l’histoire des 15 plus belles rues de Québec.

Le site internet

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Tourisme.

Le Chronoscope: on a besoin de vos photos … chers mordus d’histoire urbaine !

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2021 2 commentaires

Le Chronoscope est une plateforme qui permet aux citoyens de consulter des photos d’archives, de les documenter (catégorie, mot-clé, date, commentaire) et de les géolocaliser.

Le Chronoscope

Québec

Voir aussi : Histoire, Photographies citadines.

Le premier habitant noir de Québec commémoré

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2021 Commentaires fermés sur Le premier habitant noir de Québec commémoré

Source : Catherine Lachaussée, Ici Radio-Canada Québec, le 19 février 2021

En plein mois de l’histoire des Noirs, la Ville de Québec pose un premier geste pour commémorer son héritage afro-québécois. Une stèle rappelant la vie d’Olivier Le Jeune, premier esclave et premier résident africain en Nouvelle-France, sera installée au mois de mai dans la cour du Séminaire de Québec.

L’idée de stèle vient de Webster, spécialiste de l’histoire des Noirs. La Ville n’a pas tardé à être séduite. Elle est devenue maître d’oeuvre du projet après qu’Olivier Le Jeune eut été désigné personnage historique par le ministère de la Culture et des Communications, grâce aux démarches de l’historien.

Le Jeune n’était encore qu’un enfant à son arrivée à Québec, en 1629. D’abord propriété du commandant britannique David Kirke, il a été vendu pour 50 écus à un commis français avant d’être cédé à Guillaume Couillard, quelques années plus tard. Il n’avait pas plus de 12 ans à l’époque. Baptisé par le père Paul Le Jeune, de qui il tient sans doute son patronyme, il est ensuite initié au petit catéchisme.

la suite

Voir aussi : Histoire.

Rénovation du vénérable pont Lavigueur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er février 2021 Commentaires fermés sur Rénovation du vénérable pont Lavigueur

Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 1er février 2021

Vieillissant, le petit pont métallique vert de la Pointe-aux-Lièvres, construit en 1916 durant le premier mandat du maire Henri-Edgar Lavigueur, profitera d’une cure de jouvence qui s’étirera jusqu’au mois d’août.
«Les travaux visent à remplacer des pièces d’acier, qui en sont à la fin de leur cycle de vie utile, situées sous le pont», indique la conseillère en communication municipale Wendy Whittom. «L’entrepreneur prendra des mesures pour la fabrication des pièces en février et les travaux de pose auront lieu de mars à août environ.»

Un document officiel récemment diffusé offre quelques détails techniques supplémentaires qui plairont aux amateurs d’ingénierie : «Les travaux consistent en la réfection du pont Lavigueur incluant les renforcements des goussets d’appui standards des axes, des appareils d’appui rotule, des cordes inférieures au droit des connexions et des goussets extérieurs, le renforcement partiel de goussets intérieurs et le remplacement d’un élément de portique endommagé.»

Plus facile à comprendre pour le commun des mortels (!), il est noté que l’entrepreneur ajoutera également des «plaques de protection contre l’infiltration de la neige».

Dans le document annonçant l’octroi du contrat, l’administration municipale prévient les usagers : «Une fermeture du pont avec chemin de détour est à prévoir.»

Après vérification, Wendy Whittom note cependant que les ouvriers devraient être en mesure de ne pas bloquer le passage. «Il s’agit de travaux de mise à niveau limités à la structure, il n’y a aucune intervention sur le tablier. De ce fait, il n’y aura pas d’entrave.»

la suite

Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Histoire, Transport.

La Maison Pollack: développement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 janvier 2021 Commentaires fermés sur La Maison Pollack: développement

Québec, le 15 janvier 2021

La Ville de Québec franchit une étape de plus vers l’acquisition de la Maison Pollack située au 1, Grande Allée Est. Rappelons que la Ville entend rénover le bâtiment une fois le transfert officialisé.

Le Tribunal administratif du Québec a déterminé, en novembre 2020, l’indemnité provisionnelle pour l’expropriation de la Maison Pollack au montant de 896 000 $. Afin de se conformer à cette décision, le comité exécutif a entériné hier une somme supplémentaire de 293 000 $ à la provision déjà versée en décembre 2019. D’autres étapes sont nécessaires avant la prise de possession officielle par la Ville, dont l’enregistrement de l’avis de transfert de propriété relié à l’expropriation, accompagné de délais prévus à la loi. L’indemnité finale de l’expropriation reste toutefois à déterminer à la suite des procédures judiciaires toujours en cours.

Plusieurs étapes nécessaires

Rappelons que le 18 septembre 2017, le conseil municipal approuvait l’acquisition, de gré à gré ou par expropriation, de l’immeuble. Plusieurs étapes étaient nécessaires avant que la Ville ne puisse prendre possession de l’immeuble. Un avis d’expropriation avait été publié le 13 mars 2019 au bureau de la publicité des droits, suivi du processus judiciaire d’expropriation.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

[QUIZ] Joseph-Ferdinand Peachy, un architecte influent en sept questions

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 janvier 2021 Commentaires fermés sur [QUIZ] Joseph-Ferdinand Peachy, un architecte influent en sept questions

Le Soleil.
Collaboration de la Société historique de Québec (Nicolas Lacroix)

Plusieurs architectes ont laissé leur empreinte dans la ville de Québec. Président de l’Association des architectes de la province de Québec et de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec et membre du conseil municipal pendant 21 ans, Joseph-Ferdinand Peachy (1830-1903) est l’un d’eux.
On lui doit de nombreuses résidences, de multiples édifices commerciaux et religieux et une influence significative sur ses élèves et successeurs. La Société historique de Québec vous invite à le découvrir par l’entremise de sept de ses réalisations

L’article et le quiz

Voir aussi : Architecture urbaine, Histoire.

Quiz sur Samuel de Champlain

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 décembre 2020 Commentaires fermés sur Quiz sur Samuel de Champlain

Quelque chose de nouveau ce matin : un quiz historique sur Samuel de Champlain. Merci à M. Pierre Dubeau, pour cette nouveauté qui testera vos connaissances sur le fondateur de notre belle ville. Le lien pour la page web du questionnaire ainsi que les réponses se retrouvent à la toute fin.

1- Entre 1603 et 1635, combien de séjours Samuel de Champlain a-t-il fait en Amérique du Nord ?
9
11
13
15

2- Durant sa carrière militaire (1595-1598), quelle était la fonction de Samuel de Champlain en 1597 ?
Vaguemestre de régiment
fourrier
Enseigne, puis Capitaine de compagnie
Maréchal des logis

3- En 1608, Samuel de Champlain et François Du Pont Gravé partent pour le Canada. Samuel de Champlain se rend à Québec à bord de la Levrette, dirigée par Pierre Chauvin, Sieur de la Pierre. Quant à François Du Pont Gravé il se dirige vers Tadoussac pour y faire du commerce, mais quel était le nom de son navire ?
Le Lièvre
L’Espérance
Le Saint-Étienne
Le Dauphin

4- En quelle année Samuel de Champlain publie-t-il sa dernière carte ?
1613
1632
1635
1629

5- Dans son Traité de la marine et du devoir d’un bon marinier que publiera en 1632 Samuel de Champlain, il y explique qu’il y a deux activités indispensables pour être un parfait navigateur : Cartographier et … ?
Dessiner
Topographier
Planifier
Portraiturer

6- En 1601, Samuel de Champlain hérite de son oncle Guillaume Allène, dit le « Capitaine Provençal » a entre autres une petite propriété viticole près de la Rochelle. A quel endroit se situait cette propriété ?
La Genette
Les Quatre-Vents
La Jarne
La Pallice

7- Durant un combat contre des Mohawks, Samuel de Champlain est blessé légèrement à l’oreille et au cou par des pointes de flèche. Plus tard, lors d’une tentative d’assaut d’un village fortifié iroquois, il reçoit deux flèches qui le blessent à la jambe dont une au genou ? En quelle année eut lieu cette tentative avortée ?
1603
1609
1615
1610

8- En 1618, Samuel de Champlain avait une idée de projet pour la ville de Québec. Quel était ce projet ?
Construire un fort en Haute-ville
Construire une cité nommée Ludovica en l’honneur de Louis XIII
Agrandir l’Abitation
Reconstruire une nouvelle Habitation à la place de la première

9- À la mort de Champlain, combien de personnes environ vivaient dans la colonie ?
150
80
240
60

10- Qui fut enterré auprès de Samuel de Champlain dans sa chapelle en 1642 ?
Hélène Boullé
Le père Lallemant
François Derré de Gand
Le père Raimbault

Quiz et réponses.

Voir aussi : Histoire.

La maquette de Québec en 1808

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 décembre 2020 Commentaires fermés sur La maquette de Québec en 1808

Source : Catherine Lachaussée, Radio-Canada, le 4 décembre 2020

Aimeriez-vous voir Québec exactement comme elle était en 1808? Avec ses immeubles d’autrefois, et sans ceux construits par la suite? Ce voyage dans le temps est possible grâce à un outil unique au pays : la maquette Duberger. Bien qu’elle demeure largement méconnue du grand public, la maquette Duberger est un vrai trésor national! C’est aussi, à sa manière, une formidable machine à voyager dans le temps.

On la doit à l’arpenteur Jean-Baptiste Duberger. Il l’a construite entre 1806 et 1808, avec l’aide d’un ingénieur militaire, John By. Elle montre Québec exactement comme elle était à l’époque, alors que le gros de la ville se situait à l’intérieur des fortifications et dans les alentours immédiats.

la suite

Voir aussi : Histoire.

François Gravé, sieur du Pont

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 novembre 2020 Commentaires fermés sur François Gravé, sieur du Pont

Une autre capsule historique de M. Pierre Dubeau. Cette fois, on découvre François Gravé, sieur du Pont. Bonne lecture et bon enrichissement historique.

François Dupont-Gravé est un personnage méconnu de la Nouvelle-France et ce texte se penche davantage sur les premières années de sa carrière. Il ne faut pas oublier que Dupont-Gravé a enseigné à Champlain la diplomatie, et l’art de la navigation. Il avait une très bonne connaissance des peuples vivants sur ce territoire dès 1580.

François Gravé, Sieur du Pont, période 1560-1603.

Merci à M. Dubeau pour sa collaboration.

Voir aussi : Histoire.

Pourquoi le tramway de Québec a-t-il disparu, en 1948?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 novembre 2020 Commentaires fermés sur Pourquoi le tramway de Québec a-t-il disparu, en 1948?

Catherine Lachaussée
Radio-Canada

Le tramway électrique est resté longtemps sur les rails à Québec avant d’en être éjecté. Entré en fonction en juillet 1897, il est retiré de la circulation en mai 1948, après 50 ans de loyaux services. Pourquoi a-t-il disparu des rues? Pour plusieurs bonnes raisons, explique l’un des spécialistes du sujet à Québec, l’historien amateur Jean Breton.

Des économies de bouts de chandelle

La rentabilité des compagnies de tramway est un vrai défi au début du 20e siècle. Leurs finances étaient souvent précaires. En 1919, elles ont été 26 en Amérique du Nord à se retrouver en faillite précise Jean Breton.

Elles ne profitent d’aucune subvention publique et reposent entièrement sur les investissements de leurs actionnaires. Aussi, par souci d’économie, la Quebec Railway Light and Power Company s’est souvent tournée vers le marché des véhicules usagés pour renflouer sa flotte, au grand dam de sa clientèle.

À partir de 1916, le réseau de la capitale s’est rempli de vieux wagons dépareillés, souvent inconfortables, achetés d’abord à Philadelphie, puis à Montréal, New York, Boston et Toronto. Cette série d’achats malheureux va culminer pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que les bonnes affaires étaient devenues rares.

Une crise économique qui fait mal

En 1929, le krach boursier de Wall Street vient bouleverser l’économie du monde entier, et la Quebec Railway n’est pas épargnée. En un an, l’affluence dans ses véhicules a baissé de moitié, explique Jean Breton. Ses revenus provenant essentiellement de la billetterie, la compagnie s’est retrouvée dans une situation difficile quand elle s’est vue forcée de geler ses tarifs pour ménager sa clientèle appauvrie.

Elle avait pourtant un atout important dans son jeu : elle détenait le monopole de la vente d’électricité pour toute la ville! Mais à cause de la crise, ses tarifs d’électricité aussi avaient dû être revus à la baisse.

Cette disette tombait mal. Elle venait d’investir une fortune pour refaire son réseau de rails de 42 kilomètres, acheter de nouvelles voitures et remplacer 200 poteaux pourris, qui menaçaient de tomber avec leur filage électrique.

Le tramway sur les rails dès 1865

Québec a eu son tramway dès 1865, mais il s’agissait de voitures tirées par des chevaux, sur rails, mais sans filage électrique. Cette première version de notre transport en commun est demeurée en service jusqu’à l’arrivée du tramway électrique. Plusieurs des circuits du temps ont d’ailleurs servi de point de départ au réseau plus moderne qui a pris la relève, mais la porte Saint-Jean a dû être démolie pour laisser passer les nouveaux tramways et leur encombrant système de poteaux et de fils.

Des détours à n’en plus finir

L’un des problèmes qu’affronte le tramway électrique dès ses débuts, en 1897, c’est l’étroitesse de nombreuses rues de la ville. Plusieurs n’ont qu’une seule voie. Cette contrainte va entraîner la création de longs circuits en forme de boucles, où les tramways ne circulent que dans un sens. En basse-ville, les circuits du Vieux-Limoilou, de Saint-François d’Assise-Stadacona et de Saint-Sauveur-Saint-Malo s’avèrent particulièrement pénibles pour les usagers, qui perdent un temps fou à aller d’un point A au point B.

Les automobilistes et les camionneurs, de plus en plus nombreux dans les rues, amplifient le problème, reprochant aux tramways de leur bloquer la voie, alors que les tramways, de leur côté, subissent les inconvénients d’une circulation qui s’alourdit d’année en année.

La banlieue négligée

Au fil du temps, la Quebec Railway semble s’être déconnectée des besoins de certains usagers, installés de plus en plus loin du centre-ville. Alors que l’administration des débuts avait su se servir du réseau pour développer la banlieue, celle qui suit dans les années 1920 semble plus soucieuse de faire des profits que de jouer les promoteurs.

En 1930, alors que la ville connaît une croissance considérable, la compagnie fait face à une série de plaintes d’usagers insatisfaits de Charlesbourg, Saint-Sacrement et Limoilou, qui réclament tous qu’on améliore le service. Les transformations demandées s’avèrent coûteuses, et le manque d’écoute de la compagnie envers sa clientèle en périphérie contribue à ternir sa réputation.

L’autobus fait son numéro

L’autobus cohabite avec le tramway dès 1916 dans la banlieue de Québec, et gagne vite en popularité. N’ayant pas besoin de rails pour rouler, il nécessite peu d’investissements, et s’avère très flexible.

En 1938, la compagnie Ford profite de la tenue à Québec du congrès annuel de l’American Transit Association pour présenter au maire Lucien Borne et à tous ses conseillers un petit bus carré de 25 pieds et de 27 sièges, dans lequel on les amène en tournée à travers la ville.

La visite se conclut chez Champoux, un concessionnaire en vue de la capitale, qui se fait un plaisir de vanter les multiples avantages du bus Ford par rapport au tramway. Ces premiers bus étaient tout petits, encore plus qu’un Midibus. On les appelait des boîtes à lunch, illustre Jean Breton.

Mais le maire est conquis.

La Ville est fatiguée d’entendre ses citoyens se plaindre du tramway. Il faut qu’on enlève ces tas de ferraille qui traînent dans le milieu de nos rues aurait déclaré un conseiller excédé. En 1938, la Ville décide que tous les tramways sur son territoire devront être remplacés par des bus avant le 31 août 1941. Et elle commence progressivement à retirer les rails des rues.

Un scénario condamné à se répéter?

En 1938, Sillery devient la première ville de la région à rouler exclusivement en bus. Les plans de Québec sont cependant retardés par l’arrivée de la guerre. L’accès restreint au carburant ainsi qu’aux pneus, à partir de 1942, l’oblige à se rabattre sur ses tramways pour plusieurs années encore. Elle doit même en acheter de nouveaux pour réussir à maintenir son service, alors que les rares autobus acquis jusque là roulent à pleine capacité.

Mais la transition n’est que partie remise. En mai 1948, les derniers tramways de la capitale sont retirés des rues. Ils connaissent une triste fin. La plupart sont brûlés. Seuls quelques-uns prennent le chemin de musées nord-américains.

Le mouvement de transition vers l’autobus est alors international, rappelle Jean Breton. Au début des années 1960, les villes qui ont choisi de conserver leur réseau de tramway — comme Toronto — font figure d’exceptions. Aux États-Unis, le cartel Esso/Goodyear/GM a joué un rôle majeur en encourageant les villes à se débarrasser de leurs tramways au profit du bus, rappelle Breton. Mais à Québec, le problème semble avoir été surtout économique. Remplacer les voitures coûtait une fortune. Pour une compagnie privée, c’était insoutenable à long terme.

En 2020, le portrait semble assez différent. D’une part, les réseaux de transport en commun peuvent compter sur les fonds publics, mais une nouvelle équation a aussi fait son apparition : la question environnementale.

« On n’avait aucun souci écologique, en 1938. C’est probablement ce qui est le plus fort aujourd’hui pour motiver un retour du tramway, en plus du fait que la technologie a bien changé. À l’époque, quand un tramway passait dans la rue, c’était un véritable tremblement de terre. Aujourd’hui, avec les wagons de dernière génération, les choses risquent d’être bien différentes », conclut-il.

L’article avec plusieurs photos d’époque.

Voir aussi : Histoire, Projet - Tramway, Tramway à Québec, Transport, Transport en commun.