Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Histoire »

La vente des bancs du Colisée aura lieu les 19 et 20 octobre prochains

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 octobre 2019 5 commentaires

Québec, le 8 octobre 2019 – La Ville de Québec annonce que la vente des bancs du Colisée se tiendra les 19 et 20 octobre prochains sur le site d’ExpoCité au stationnement P2, accessible par la rue Soumande. La Ville rappelle que seuls les bancs en bois blancs seront vendus aux citoyens au coût de 30 $ l’unité, par lot de 2, jusqu’à un maximum de 12 bancs par personne.

Carte.Centre Vidéotron

Spécifications techniques

Les bancs ne sont pas autoportants. Ces derniers doivent être fixés à un mur. Des travaux de menuiserie peuvent être nécessaires pour installer le tout de façon sécuritaire. Afin que l’assise soit confortable, prévoir les distances suivantes :

17 pouces entre le sol et le banc;
37 pouces de largeur pour 2 bancs;
26 à 27 pouces de profondeur.

Récupérer ses bancs
La Ville rappelle que les quelque 500 personnes qui ont déjà signifié leur intérêt seront contactées en priorité. Les autres personnes intéressées seront contactées individuellement par le personnel d’ExpoCité dans les jours à venir. Une plage horaire fixe leur sera communiquée afin de récupérer leurs bancs.

Les frais d’acquisition devront être payés sur place en argent comptant, ou encore par carte de crédit ou de débit.

Il est de la responsabilité des acheteurs de prévoir un véhicule assez spacieux pour accueillir les bancs et de prévoir l’aide nécessaire pour charger le tout.

Un autographe pour une bonne cause

Les nostalgiques du hockey pourront également payer un supplément de 25 $ pour avoir en prime, sur leurs bancs, une signature d’un ancien joueur des Nordiques. Un joueur sera présent pour l’occasion. Les sommes amassées seront remises à un organisme de charité.

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Voir aussi : Histoire, Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité.

Église Saint-Coeur-de-Marie: derniers jours de la démolition

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 octobre 2019 5 commentaires

Les 9 projets refusés par la Ville de Québec

D’autres photos fournies par un fidèle lecteur de Québec Urbain:

Et cette dernière d’un autre lecteur assidu (Peter Côté):

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Église, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

L’église et le cimetière Saint-Matthew (vers 1870)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 septembre 2019 Commentaires fermés sur L’église et le cimetière Saint-Matthew (vers 1870)

Jérôme Ouellet
Historien
Histoire Urbaine

Aux lendemains de la Conquête britannique, les communautés protestantes[1] de Québec, n’ayant aucun lieu d’inhumation consacré, sont contraints d’employer à cette fin des sites temporaires dont la gorge du bastion Saint-Louis[2]. Dans les années 1770, deux terrains contigus situés aux abords de la rue Saint-Jean sont acquis aux fins d’inhumation des défunts de confession anglicane et presbytérienne[3]. Il s’agit du premier cimetière non catholique de Québec[4]. À compter de 1822, des offices du culte anglican sont célébrés dans la maison du fossoyeur. Située dans le cimetière, elle est bientôt connue sous le nom de St. Matthew’s Chapel[5]; sa destruction lors de l’incendie du faubourg en 1845 entraine la construction d’un nouveau temple. Conçu par l’architecte-maçon John Cliff, le bâtiment religieux d’inspiration néogothique est inauguré en 1849.

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D’autres informations sur le site de la Ville de Québec

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Les conférences de la Société historique de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 septembre 2019 Commentaires fermés sur Les conférences de la Société historique de Québec

Le programme de ces conférences très courues.

Voir aussi : Conférences / évènements, Histoire, Québec La cité.

Une poursuite pour forcer la réfection de la maison Pollack

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 septembre 2019 Commentaires fermés sur Une poursuite pour forcer la réfection de la maison Pollack

Nicolas Saillant
Journal de Québec

L’avocat municipal François Marchand a présenté une poursuite pour forcer le propriétaire de la maison Pollack, résidence de la Grande Allée à valeur patrimoniale supérieure mais en décrépitude, à amorcer sa réfection immédiatement.

Alors que la Ville de Québec a enclenché les procédures d’expropriation contre le propriétaire de la maison Pollack déjà aux prises avec des infractions dépassant les 15 000 $, voilà que l’avocat municipal François Marchand s’invite dans le débat. L’ex-candidat à la direction de Démocratie Québec a déposé une poursuite pour forcer le début des travaux rapidement.

Reconnue grâce à ses colonnes imposantes construites par le propriétaire homme d’affaires Maurice Pollack, la maison de style néo-baroque est à l’abandon depuis environ sept ans. Des échafauds retiennent les colonnes alors que la grande demeure n’est plus habitée ni chauffée depuis toutes ces années.

L’état d’insalubrité de la maison Pollack a poussé la Ville à émettre plusieurs infractions jusqu’à lancer des procédures d’expropriation l’hiver dernier. L’avocat affirme maintenant qu’il s’agit d’une question de « santé publique », mais que la Ville « néglige » de régler le problème.

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Et la réplique de la Ville de Québec:

La Ville rappelle qu’elle souhaite acquérir la Maison Pollack
Québec, le 23 septembre 2019 – La Ville de Québec tient à rappeler qu’en janvier 2019, elle a entrepris le processus d’acquisition (de gré à gré ou par expropriation) de la Maison Pollack.

Considérant qu’aucun projet de développement du bâtiment n’a été concrétisé à ce jour, la Ville souhaite clore ce dossier et envisage l’acquisition des lieux dans un avenir proche.

Il s’agit de la meilleure solution considérant l’état du bâtiment, non entretenu au cours des dernières décennies.

Le communiqué

Le propriétaire

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Une maison de la Nouvelle-France bientôt démolie à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 septembre 2019 5 commentaires

Image: Radio-Canada

Jean-François Nadeau
Le Devoir

Une des plus vieilles demeures québécoises n’est pas encore rasée, mais sur le site Internet de la Ville de Québec, on indique qu’elle l’est déjà. La Ville a accordé à ses propriétaires, sans plus de formalité, un permis de démolition au cours de l’été.

Située dans le secteur Neufchâtel, à un jet de pierre de la rivière Saint-Charles, la maison Pasquier date de l’époque de la Nouvelle-France. Elle est l’un des rares témoins encore debout des demeures des 50 000 colons qui vivaient alors aux abords du Saint-Laurent.

Entre juillet et août 2019, la Ville de Québec a accordé trois permis de démolition pour des maisons pourtant répertoriées au registre du patrimoine municipal, rapporte une enquête de Québec Hebdo conduite par la journaliste Perrine Gruson.

La Ville de Québec n’a pas été à même de répondre mardi aux questions renouvelées du Devoir adressées à ce sujet à son service des communications.

Une décision décriée

La Société d’histoire de la Haute-Saint-Charles, la Fédération Histoire Québec et le Groupe d’initiatives et de recherches appliquées au milieu (GIRAM) dénoncent à l’unisson la décision de la Ville de Québec d’accorder un tel permis de démolition. « Rien ne justifie de sacrifier un bâtiment pareil », soutient l’avocat Charles Breton-Demeule, de la Société d’histoire de la Haute-Saint-Charles.

« Même si la maison a été modifiée au fil du temps, elle est en bon état et témoigne de l’enracinement d’une famille dans l’histoire de ce pays », explique Breton-Demeule. La maison a été habitée par des descendants de son premier habitant, Philippe Paquet, de 1698 jusqu’à tout récemment. « Ce qui donne environ huit générations d’une même famille dans une même maison », explique Breton-Desmeule. Une filiation vraiment très rare. Une pierre commémorative, en granite rouge, signale d’ailleurs l’intérêt historique de la maison à l’attention des passants.

L’historien Mario Lussier, professeur au cégep Lévis-Lauzon, a conduit des études au sujet des bâtiments du secteur. « Les titres notariés montrent qu’une maison a été vendue à Philippe Paquet à cet endroit le 4 novembre 1698. Est-ce que c’est exactement la même maison dont on parle aujourd’hui ? On peut penser que oui, à cause du toit, des lucarnes, de sa disposition franc sud. On est certain en tout cas que la maison actuelle existait bel et bien en 1733. C’est donc une des plus vieilles maisons à Québec, et une des plus vieilles de tout le Québec. »

Même si la maison a été modifiée au fil du temps, elle est en bon état et témoigne de l’enracinement d’une famille dans l’histoire de ce pays

— Charles Breton-Demeule
La maison Pasquier se trouve à proximité d’une ancienne chapelle. Des processions religieuses se sont longtemps arrêtées là, comme en témoignent des photographies anciennes. « Tout cela ajoute à l’intérêt du lieu », selon l’historien Mario Lussier.

« Inconcevable »

La maison Pasquier est répertoriée au registre du patrimoine de la Ville de Québec, mais ne jouit d’aucune protection particulière malgré ses origines et son histoire. Obtenir un permis de démolition n’a donc été qu’une formalité.

Pourtant, selon la Ville de Québec, « la valeur patrimoniale de cette maison, érigée sur la terre qu’a occupée Philippe Pasquier (Paquet) en 1698, réside dans son ancienneté et son intérêt architectural. Le toit à croupe à pente prononcée ainsi que le plan rectangulaire et les lucarnes à croupe sont des caractéristiques des maisons d’inspiration française construites au Québec aux XVIIe et XVIIIe siècles ».

La maison tricentenaire Pasquier a été habitée jusqu’à tout récemment par les descendants d’une même famille qui se sont succédé pendant huit générations.

La maison, observe la Ville, a perdu certains de ses éléments architecturaux d’origine, modifiés petit à petit par plusieurs générations d’occupants. Mais « considérant plus spécifiquement son ancienneté, la maison possède une bonne valeur patrimoniale et un excellent potentiel de mise en valeur », en arrive à conclure la municipalité, sans que cela l’ait empêché de délivrer un permis de démolition.

Le président du GIRAM, Pierre-Paul Sénéchal, fulmine : « On se demande comment il se fait que les dirigeants de la Ville de Québec, avec ses 400 ans d’histoire, son discours d’accent d’Amérique, en soient venus à ajouter le nom de leur ville à la liste plus que douteuse des organisations municipales ayant fait preuve d’un laxisme inadmissible à ce chapitre. Qui, au sein du conseil municipal de Québec, lancera enfin le signal que tout cela doit finir ? »

« Il nous semble tout à fait inconcevable qu’un bâtiment si ancien et si représentatif de l’architecture traditionnelle québécoise puisse être démoli sans l’intervention du ministère de la Culture et des Communications », plaide l’avocat Charles Breton-Desmeule dans une lettre adressée à la ministre de la Culture Nathalie Roy qui la presse d’intervenir.

Vague de démolitions

Le président du GIRAM affirme que, « depuis plus d’un an, le Québec tout entier est aux prises avec une vague sans précédent de démolitions d’églises, de maisons anciennes et d’autres bâtiments patrimoniaux de grand intérêt ». Selon lui, ces démolitions auraient pu être évitées.

« On se retrouve, dit-il, face à des décisions prises à l’interne ou en catimini par des administrateurs ne brillant pas particulièrement pour leur rigueur et leur vision en matière de développement. Qui s’imagine que des touristes viennent au Québec pour admirer des condos-cubes ? »

L’annonce de la démolition prochaine de la maison Pasquier survient à Québec après la démolition récente de l’église d’inspiration byzantine Saint-Coeur-de-Marie, celle de la maison ancestrale Déry à Charlesbourg, celle aussi de la maison Chalifour-Rainville à Beauport, sans parler de la destruction, par le feu, de la villa Livernois, pour laquelle plusieurs signaux d’alarme avaient pourtant été lancés.

Clément Locat, président de la Fédération Histoire Québec, demande lui aussi à la ministre de la Culture « d’intervenir de toute urgence auprès de l’administration de la Ville de Québec ».

Au moment où ces lignes ont été écrites, le ministère de la Culture n’avait toujours pas été en mesure de répondre aux questions formulées par Le Devoir à ce propos.

Charles Breton-Demeule souhaite que la ministre Nathalie Roy utilise les provisions de la Loi sur le patrimoine pour que, selon l’article 76 de la loi, la démolition de cet immeuble soit empêchée. « Dans le contexte où la Ville de Québec a déjà autorisé la démolition de plusieurs autres immeubles patrimoniaux sur son territoire au cours des dernières années, écrit Charles Breton-Demeule, une intervention du ministère est nécessaire pour éviter la disparition de ce témoin ancien de l’occupation du territoire québécois. »

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La position de la Ville et celle de la Ministre de la Culture Patricia Cloutier (Le Soleil)

Voir aussi : Arrondissement Haute-St-Charles, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Plan hypothétique de Québec en 1639

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 septembre 2019 Commentaires fermés sur Plan hypothétique de Québec en 1639

Cliquer sur le lien pour avoir un aperçu, selon le blogue de M. Pierre Dubeau, du plan qu’aurait eu notre ville une trentaine d’années après sa fondation.

Notre belle ville en 1639.

Voir aussi : Histoire.

La Villa Livernois, nouvelle victime du laisser-aller du patrimoine?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 septembre 2019 1 commentaire

David Rémillard
Radio-Canada

L’historienne Catherine Ferland trouve inacceptable la disparition de la Villa Livernois, dimanche, en raison d’un incendie. Elle demande une meilleure préservation des bâtiments à valeur historique.

C’est quand même inouï qu’en 2019, on ne se donne pas les moyens de mieux préserver notre patrimoine ici au Québec […] On est à peine capable de conserver des bâtiments qui ont 100 ans, 200 ans. C’est inacceptable.

Mme Ferland soutenait le groupe de citoyens Sauvons la Villa Livernois et a déjà œuvré au sein de la Société d’histoire Les Rivières.

Elle s’est déplacée sur le terrain de la résidence du boulevard Masson, dimanche, pour voir ce qui restait du bâtiment centenaire touché par un incendie.

« La Villa Livernois, c’est un des rares exemplaires de l’architecture néo-Renaissance italienne à Québec », a-t-elle rappelé. « Je devrais dire était, puisque c’est un patrimoine qui vient de s’éteindre ».

Ce nouveau cas n’est pas sans lui rappeler celui de l’église Saint-Cœur-de-Marie, sur la Grande Allée. Tout comme l’église en cours de démolition, la Villa a été acquise par un promoteur immobilier avant d’être laissée à l’abandon pendant plusieurs années.

Ce qui est important dans ce dossier, c’est de voir à quel point on ne s’occupe pas bien de notre patrimoine au Québec et à Québec, a-t-elle tranché.

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Un billet précédent pour un projet d’un immeuble de 40 logements sur le site de la Villa Livernois

Un article de l’historienne Catherine Ferland sur la Villa Livernois

Incendie à la Villa Livernois: la Ville de Québec refuse un quelconque blâme Taïeb Moalla (Journal de Québec)

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

La place Jacques-Cartier: le diamant perdu de la basse-ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 septembre 2019 1 commentaire

Louis Bélanger
Point de vue
Le Soleil

POINT DE VUE / L’agrandissement de la bibliothèque Gabrielle-Roy qui débutera dans les prochains jours réduira encore l’espace public de la place Jacques-Cartier. Le journal Le Soleil croyait pourtant que c’était impossible (10 décembre 2017). Pourra-t-on encore parler d’une «place publique», tant l’espace y sera restreint?

Il y a tout juste cinq ans, la construction de la tour Fresk avait réduit comme peau de chagrin ce lieu public qui représentait le cœur du quartier Saint-Roch, sinon de la ville. Un repère important de Québec disparaissait ainsi. Déjà, plus personne ne pouvait se douter qu’il y avait eu là un monument de Jacques Cartier et une vaste place publique qui avait servi de lieu de rencontre et de ralliement de nombreuses fois dans l’histoire. Faudra-t-il mettre une plaque commémorative rappelant l’existence de cette place et de son monument?

Lors de perte patrimoniale, on déplore souvent l’action des promoteurs, mais dans le cas de la Place Jacques-Cartier, c’est la Ville elle-même qui a failli à son devoir de conservation. La tour pouvait être érigée tout à côté de la place et permettre, en face de la principale bibliothèque de la ville, l’aménagement d’une place digne de ce nom.

En fait, la chose peut-être la plus étonnante dans l’élimination de cette place historique est la faible protestation qu’elle a suscitée. Pourquoi tant d’habituels défenseurs du patrimoine sont-ils demeurés muets? Serait-ce que la place Jacques-Cartier, comme on le disait autrefois de la rivière Saint-Charles, a le défaut d’être située à la basse-ville? Se peut-il que la Ville ait misé pour sa triste besogne sur le manque d’intérêt des Québécois pour la basse-ville?

Jean-Paul L’Allier, s’étonnait que Saint-Roch ait été négligé depuis longtemps. Il voyait la beauté architecturale de ce quartier, son potentiel, son caractère à la fois urbain et humain. Il se désolait que le centre-ville ait été vidé pendant 30 ans au profit de la banlieue, ce qu’il estimait contraire à l’intérêt public.

Aujourd’hui, des intérêts privés préparent ce qu’ils appellent eux-mêmes un «nouveau centre-ville des affaires» à près de 8 km de l’actuel. Et le maire approuve… Au fond, le souhait de Jean-Paul L’Allier pour Saint-Roch et la basse-ville était peut-être de susciter un nouvel intérêt, une fierté des Québécois envers cette partie du centre-ville. La faible opposition à l’élimination de la place Jacques-Cartier montre que ce message a encore besoin d’être entendu.

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Un billet précédent en 2016

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Journée de solidarité des villes du patrimoine mondial de l’UNESCO: Dimanche 8 septembre 2019

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 septembre 2019 Commentaires fermés sur Journée de solidarité des villes du patrimoine mondial de l’UNESCO: Dimanche 8 septembre 2019

Le dimanche 8 septembre, participez à la Journée de solidarité des villes du patrimoine mondial pour découvrir ou redécouvrir le Vieux-Québec, site du patrimoine mondial de l’UNESCO. Pour l’occasion, diverses activités vous sont offertes.

Depuis 1995, la Journée de solidarité des villes du patrimoine mondial est célébrée le 8 septembre aux quatre coins du monde par les villes membres de l’Organisation des villes du patrimoine mondial (OVPM).

Toutes les activités

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Conférences / évènements, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.