On ne reconnaitra plus du tout l’établissement du YWCA sur la rue Holland. Pour en savoir plus, vous n’avez qu’à visiter ce site : YWCA Québec.
On ne reconnaitra plus du tout l’établissement du YWCA sur la rue Holland. Pour en savoir plus, vous n’avez qu’à visiter ce site : YWCA Québec.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Institutionnel.
Le projet Klé sur la Cité Verte achève et à côté les maisons sont terminées. Verra-t-on de nouveaux travaux sur les terrains qui demeurent vacants très bientôt ? Sur le site du projet, on parle de la phase 1, alors une nouvelle phase démarrera-t-elle avant la prochaine saison froide ?
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Écoquartier, Logement locatif ou social, Résidentiel.
Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec
Les clients qui fréquentent Laurier Québec, Place de la Cité et Place Ste-Foy pourront traverser d’un centre commercial à l’autre par des passerelles piétonnières modernes qui seront aménagées d’ici 2019, a-t-on annoncé jeudi.
Afin d’améliorer la sécurité des piétons, Ivanhoe Cambridge et Cominar ont dévoilé des maquettes de leur projet commun lors d’un point de presse avec la Ville de Québec.
Fini les conflits avec les automobilistes entre les trois centres commerciaux. Les piétons n’auront plus à mettre le nez dehors pour fréquenter l’un ou l’autre des établissements.La rue Bernardin Morin entre Place Ste-Foy et Place de la Cité sera définitivement fermée à la circulation automobile puisque la passerelle sera aménagée au niveau du sol. Celle qui permettra de circuler à pied entre Place Ste-Foy et Laurier Québec sera construite en hauteur et surplombera l’avenue Jean-de Quen qui deviendra «plus fluide», s’est réjoui le maire Labeaume.
Muret protecteur sur Laurier
La Ville de Québec a de son côté annoncé la construction d’un muret de protection «temporaire» pour les piétons dans le terre-plein central, à la hauteur des deux traversées piétonnières du boulevard Laurier. Les travaux devraient être complétés à la fin du mois de juillet. Le contrat, évalué entre 75 000 $ et 100 000 $.
Un billet précédent en … 2011
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.
Valérie Gaudreau
Le Soleil
(Québec) La population de la Ville de Québec augmentera moins rapidement que prévu ces 20 prochaines années, selon une nouvelle mouture du schéma d’aménagement et de développement. Malgré tout, l’administration Labeaume garde le cap vers le dézonage de terres agricoles.
Objectif : dégager de l’espace pour construire des maisons unifamiliales et des duplex qui retiendront les jeunes familles sur le territoire de l’agglomération Québec.
«On sait que la demande sera beaucoup pour des maisons et des duplex, parce que ce qu’on souhaite est de retenir des jeunes familles», a dit la vice-présidente du comité exécutif, Julie Lemieux. Il s’agit de l’un des principaux constats qui émergent de la deuxième version du Schéma d’aménagement et de développement (SAD) présenté mardi.
Voir aussi : Étalement urbain, Résidentiel.
SCHL
Phénomène grandissant dans la région métropolitaine de Montréal, la location de copropriétés atteint aujourd’hui une proportion inégalée. Faisant notamment écho à la vigueur de la construction et à des conditions de marché favorables aux acheteurs pendant plusieurs années, un pourcentage accru de copropriétés ont été achetées par des investisseurs puis offertes en location.
À l’aube de l’achèvement de nombreux ensembles de copropriétés et d’appartements à Ville-Marie et Griffintown, la question se pose quant à la rentabilité de ce type d’investissement et à l’évolution du marché des copropriétés en location.
La moitié des copropriétés en location affichent des flux de trésorerie positifs.
Malgré un large éventail de rendements, 54 % des copropriétés à l’étude présentaient un rendement brut d’exploitation entre -5 % et 5 %.
La demande est forte, mais l’augmentation attendue de l’offre pourrait excéder la demande à court terme et entraîner une hausse du taux d’inoccupation sur le marché des copropriétés en location.
Compte tenu du grand nombre de logements en construction, certaines des unités qui seront bientôt achevées aboutiront vraisemblablement sur le marché de la revente, de sorte que le marché des copropriétés continuera de favoriser les acheteurs à court terme.
Voir aussi : Condo.
Henry Grabar
Slate
Cities will weather this concentrated economic downturn because they went through it 50 years ago. Their neighbors may not be so lucky.
One by one, the problems that America has long dismissed as “urban” have marched into the suburbs: crime, poverty, hunger, deindustrialization, drug addiction, civil unrest. The dissolution of community institutions. An aging stock of unwanted houses.
To which we can add: the decline of retail. It has been a decade since the media declared the death of the mall, in a year that would be the first in a half-century that no new malls were built in America. It has since become apparent that the problem is a little bigger than that: Brick-and-mortar retail in general is gasping for breath. The Limited, a women’s clothing store, shut down 250 stores and laid off 4,000 workers earlier this year. Sears Holdings will close 150 stores, including 108 Kmarts, and Macy’s will close another 100. As anchor stores close, more and more malls are entering foreclosure. Financial instruments composed of debt from mall deals are looking as risky as their counterparts in residential debt did before the housing crisis.
Voir aussi : Commercial.
Source : Élisabeth Fleury, Le Soleil, le 11 avril 2017
(Québec) Les travaux de la première phase du nouveau complexe hospitalier du CHU de Québec, qui consiste en la construction du Centre intégré de cancérologie (CIC), débuteront en mai, au plus tard en juin, a-t-on annoncé mardi.
Construit au coût de 652,4 millions$ sur le site de l’hôpital de l’Enfant-Jésus, le CIC offrira un service de radio-oncologie «à la fine pointe» aux patients cancéreux de la région de Québec et de l’est de la province (examens et traitements), a précisé le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, en conférence de presse.
La fin des travaux et la mise en service du CIC sont prévues pour décembre 2020. Aucune interruption de services à l’hôpital de l’Enfant-Jésus n’est prévue pendant les travaux, qui incluront aussi la construction du cyclotron et de stationnnements.
Les travaux de la phase 1 seront financés en majeure partie par le gouvernement, qui dépliera près de 560 M$. Le CHU de Québec et sa fondation y contribueront respectivement à la hauteur de 54,4 M$ et de 28 M$.Pendant les travaux, quelque 879 places de stationnement temporaires réparties sur deux sites appartenant à Hydro-Québec, sur Henri-Bourrassa, seront mises à la disposition du personnel de l’hôpital.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Institutionnel.
Source : Jean-Michel Genois Gagnon, Le Soleil, le 11 avril 2017
(Québec) Un nouveau complexe pour personnes âgées ouvrira ses portes à l’automne 2018 à Val-Bélair. Un investissement de 65 millions $.
Les promoteurs du projet, le groupe beauceron Château Bellevue ont levé le voile sur leur nouveau développement situé dans le Carrefour de la Bravoure, mardi, aux représentants des médias.
L’édifice de dix étages, qui comptera 300 unités, possédera entre autres une piscine et un spa, une salle à manger située au dixième étage, un dépanneur, une pharmacie, un bistro, une salle de quilles, une salle de jeux, un cinéma, une unité de soins et une salle d’entraînement. Un stationnement sous-terrain sera également érigé.
La clientèle visée par ce projet est des retraités autonomes et en légère perte d’autonomie. Les travaux sont commencés depuis quelques semaines. À terme, les promoteurs estiment que leur développement permettra la création d’une cinquantaine d’emplois dans la région.«Nous offrons une formule tout-inclus comme un Club Med. […] Nous n’allons pas au Château Bellevue pour mourir, mais plutôt pour vivre», indique Frédéric Lepage, président-directeur général du groupe. «Ce n’est pas un complexe pour millionnaire, il s’adresse à tout le monde. Une personne peut habiter chez nous pour 1340 $ par mois», poursuit-il.
Voir aussi : Arrondissement Haute-St-Charles, Logement locatif ou social.
Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil, le 11 avril 2017
(Québec) Le pic des démolisseurs a commencé à résonner mardi à l’intérieur de la Caserne de Limoilou, ouvrant un nouveau chapitre dans la vie du bâtiment centenaire. De caserne de pompier pendant la majeure partie du siècle à salle de spectacles des années 1990, l’édifice de la 5e Rue accueillera bientôt des bureaux pour des petites entreprises.
«Une page se tourne», lance le directeur général de Méribec, Sylvain St-Jean. Casque de construction sur la tête, le promoteur qui a officiellement signé l’offre d’achat à la Ville de Québec pas plus tard qu’hier est fébrile alors qu’il reçoit Le Soleil dans l’édifice pour lequel il a déposé en décembre une offre d’achat de 475 000$. Fébrile de voir les travaux commencer dans la caserne de 1911 dont l’extérieur sera conservé.
La caserne a été en fonction jusqu’en 1992, avant d’être transformée en centre culturel. À l’intérieur, on retrouve d’ailleurs, et pas pour longtemps, des vestiges de L’Autre Caserne, la salle de spectacle qui a fait les belles heures de spectacles et de manifestations artistiques engagées jusqu’en 2004. Murs et colonnes de fausse brique, gargouilles sur les murs et ambiance rock un peu kitsch. Bientôt, le décor sombre et défraichi de l’édifice inoccupé depuis 13 ans changera complètement.
«Présentement j’appellerais ça plus la caverne que la caserne», ironise M. St-Jean qui promet un intérieur «lumineux» après les rénovations.
Pas de Casernes pour les tout-petits: Le projet vivra ailleurs.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.
Diane Tremblay
Journal de Québec
Le nombre de mises en chantier de logements locatifs, qui a atteint 228 unités depuis janvier 2017 dans la grande région de Québec, attire l’attention de la SCHL qui n’hésite pas à parler «de construction excessive» dans ce marché.
Si la tendance se maintient, la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) évalue que le taux d’inoccupation des logements pourrait atteindre les 6 % l’an prochain dans la région.
Selon l’organisme, le taux d’inoccupation a fait un bond de 4 % à 4,9 %, d’octobre 2015 à octobre 2016.
«Notre cadre d’analyse permet d’évaluer les signes de construction problématique dans les marchés de l’habitation au Canada. Pour la région de Québec spécifiquement, on estime qu’avec 6 % de taux d’inoccupation, il y a risque de construction excessive», a expliqué Nicolas Bernatchez, analyste de marché.
Voir aussi : Logement locatif ou social.