Source: Gilles Angers Le Soleil, 30 août 2006
La Ville de Québec veille rigoureusement à la préservation de son parc de logements locatifs. Ainsi, les propriétaires désireux de convertir leur immeuble locatif en copropriété divise se butent d’ordinaire à un refus de sa part au motif principal du faible taux d’inoccupation.
Dans la région de Québec, en effet, le taux est encore sous le point d’équilibre (3 %). D’après la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), il était de 1,4 % en octobre 2005 et estime qu’il devrait atteindre 2 % d’ici la fin de 2006 et 2,5 % en 2007.
«Depuis la fusion en 2002, une dizaine de demandes de conversion d’immeubles locatifs de trois à quatre unités sont annuellement présentées à l’administration. Dans 90 % des cas, la conversion n’est pas autorisée», déclare Jacques Perron du service des communications de la Ville.
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