Source: Éric Moreault, Le Soleil, 5 janvier 2008.

Contrairement à l’image caricaturale souvent véhiculée, les Québécois ont une perception positive et une bonne connaissance de Québec. Reste que 15 % de la population ignore qu’il s’agit de la capitale du Québec.

Une donnée qui n’émeut pas Raynald Harvey, le président de la firme de sondage Unimarketing. «Toutes proportions gardées, c’est très bas. Surtout qu’il y a une partie de la population qui s’intéresse très peu aux questions d’affaires publiques. La confusion avec Ottawa (5 %) m’a fait sourire.»

Le statut de capitale a longtemps entaché la perception de Québec — surtout dans les médias. Or, ceux lui accolent une image négative sont quantité négligeable, même à Montréal. Quand il s’agit de choisir l’affirmation qui décrit le mieux la capitale, seulement 5 % estime qu’il s’agit d’une ville de fonctionnaires un peu ennuyeuse et 3 % d’un gros village plutôt fermé d’esprit. (…)

Plus de 10 ans après le départ des Nordiques de Québec vers le Colorado, les Québécois espèrent encore un improbable retour. Mais ils ne sont pas convaincus que Québec serait capable de «faire vivre» une équipe de la Ligue canadienne de football (LCF)!

En effet, les trois quarts des Québécois seraient favorables au retour des Nordiques (ou d’une équipe de hockey de la Ligue nationale) dans la capitale. Fait intéressant, la proportion est similaire à Québec et à Montréal que dans les régions. La nostalgie de l’intense rivalité Canadien-Nordiques a certainement un rôle à jouer dans cet appui massif — il culmine d’ailleurs chez les 35 à 44 ans, qui ont vécu celle-ci dans leur jeunesse.

C’est à Québec même que les opposants (23 %) sont les plus nombreux. Y en aurait-il eu plus si l’aspect financier d’un tel retour avait été abordé? (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Rajeunir Québec, un défi ardu.

Pour faite suite à un récent billet de Carol, j’ai retrouvé par hasard sur le Net cet excellent article, archivé (et toujours d’actualité) du défunt magazine FrancVert où j’ai déjà fait de la pige (à titre d’exemple, ce dossier).

Évidemment, ici, je « prêche pour ma paroisse » en tant que citoyen de longue date de Limoilou! ;-)

Source: Monique Laforge, FrancVert, 1992.

Pour les gens du GRAME [Groupe de recherche appliquée en macroécologie], la solution écologique ne réside pas dans la fuite vers la banlieue, mais bien dans un réaménagement des zones à moyenne et haute densité des villes. «Si tout le monde vivait en banlieue dans une Maison de l’environnement, la consommation mondiale d’essence serait multipliée par dix», estime Yves Guérard, président du GRAME. Et que dire de la perte de terres agricoles qu’occasionneraient de tels développements? (…)

Vivre en milieu urbain offre de nombreux avantages dont la proximité des lieux de travail et d’études, la possibilité de se déplacer à pied, en vélo ou en transport en commun et la diversité des activités culturelles et sportives. Avec un peu d’effort et d’imagination, il est possible de créer des aménagements beaucoup plus intéressants à partir des conditions actuelles de la vie dans les centres urbains. C’est ainsi qu’entre en jeu l’idée brillante du GRAME: la qualité équivalent-bungalow (QEB). (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Scènes Urbaines: Étalement urbain ???.

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 6 janvier 2008.

Un appareil photo jetable entre les mains, les élèves de l’école primaire Sainte-Chrétienne à Beauport ont capturé en image le plus beau comme le plus laid de leur quartier. Et ils ont maintenant plein de suggestions à faire aux adultes pour améliorer le secteur!

À force d’y jouer et d’y courir, les enfants connaissent comme personne leur quartier du Vieux-Moulin, porte d’entrée ouest de Beauport, adossé à Limoilou. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Je clique sur Québec!.

Eh! oui, 25 heures à peine séparent ces deux photos… mais quelque 2900 km tout de même! Une première pour moi, très envoûtante, pour ce type de voyage. Mais il faut aussi avoir l’intérêt de découvrir la culture locale, et de s’organiser pour s’y abreuver hors des murs des grands complexes hôteliers où l’on est gâtés… et encadrés à souhait!

Retour au bercail, à la réalité, et au travail lundi…

Cela dit, Québec sous le brouillard apaisant d’un redoux d’hiver ou ce classique paysage des tropiques, ci-bas: qu’est-ce qui est le plus inspirant? C’est bien relatif…

Je consulte ma pile de Soleil, j’écoute Radio-Canada et je lis les commentaires sur Québec Urbain concernant les activités du lancement du 400e. À prime abord, des lacunes dans l’organisation, mais un immense succès de foule qui au moins, témoigne du sens de la fête des Québécois à l’image de la réputation des… Cubains!

Comme promis, je vous présenterai plus tard quelques photos de La Havane. À +

À voir aussi, ce billet: Beautés et p’tites… (5).

Source : Michèle Laferrière, Le Soleil, 5 janvier 2008

(…)C’est aussi Robert Blatter qui a dessiné les plans du Colisée de Québec, sur la base d’un brevet allemand, précise George Leahy. «Les gens prenaient des gageures sur le moment où il s’effondrerait, raconte-t-il. Mais Blatter avait fait le pari de le construire, même si ça n’avait jamais été réalisé de cette façon au Canada.»(…)

le reste de l’article

Je suis sur que cette photo ramènera bien des souvenirs au plus vieux qui parcourent ce blog. On entend presque les Jean-Claude Trembly, Réal Cloutier, Marc Tardif glisser sur la glace de ce Colisée, enfumé à l’époque par les cigarettes autorisé dans l’enceinte.

Québec et l’hiver: une association magique!

Le phénomène de l’hôtel de glace n’y est pas étranger.
L’éphémère glacial. Vous y êtes allés? C’est si près de Québec.

Un reportage

Quelle atmosphère extraordinaire! Bravo Québec :-)