Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Terminal de granules de bois : le projet commence à prendre forme

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 novembre 2013 51 commentaires

Silos granules Silos granule

Silo.granule * Il y aurait même (aucun trucage) un signe ostentatoire visible en fin d’avant-midi …

* Merci à un citoyen de la rive-sud pour les photographies et cet article

Radio-Canada
Québec

Les citoyens qui habitent près de l’anse au Foulon se sont réveillés samedi avec une vue différente donnant sur le fleuve. L’érection du premier dôme du projet de terminal de granules de bois d’Arrimage Québec a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi.

Une immense membrane souple a été gonflée pour prendre la forme du premier dôme de granules de bois. La membrane sera solidifiée à l’aide de béton dans les prochaines semaines.

Pour l’instant, on ignore à quel moment le deuxième dôme du projet de terminal sera érigé.

La suite

La Mairie en accord avec 2 silos mais pas un de plus * Valérie Gaudreau (Le Soleil)

La position de la Commmunauté métropolitaine de Québec

Un billet précédent

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.


51 commentaires

  1. davedeux

    16 novembre 2013 à 12 h 23

    À la limite, c’est de l’art conceptuel. Vraiment bien cette structure.
    Très tendance.
    Le plus ironique là-dedans, si un concepteur de théâtre connu
    de Québec avait proposé un tel concept le long de la Promenade
    Champlain, tout le monde aurait crié au génie. Même le premier
    magistrat aurait approuvé.
    Mais que voulez-vous, c’est industriel donc au départ pas beau, pas concept.
    À la limite, c’est presque érotique

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  2. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    16 novembre 2013 à 12 h 31

    1 – Je suis 100% d’accord avec d’exporter des granules de bois, cela génère peu de GES puisqu’une forêt bien gérée a un bilan de CO2 neutre. Donc ici les GES sont pour le transport de la dite marchandise, bateau + camion. Je crois que c’est mieux que le pétrole et le gaz naturel. De plus, l’industrie forestière a vécu des années difficiles et je trouve ça bien que l’on développe de nouveaux débouchés.

    2 – On a dépensé pas loin d’une centaine de millions pour la promenade Samuel-de-Champlain. Dans mon esprit et l’esprit de bien des gens, c’est qu’on allait redonner aux gens l’accès au fleuve sur une zone la plus large possible, donc que la zone allait devenir de moins en moins industrielle. Québec est une ville touristique, je ne pense pas que les arrêteront de venir à cause de ces silos, mais ça nuit tout de même…

    C que je ne comprends pas là-dedans, est-ce que le port de Québec a été le seul port considéré? Pourquoi pas Cacouna?

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    • jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

      16 novembre 2013 à 13 h 01

      Vous avez raison de rappeler le désir de redonner l’accès au fleuve. Par contre, pour ce qui est de toute cette section de l’Anse au Foulon, terminal de granules ou non, l’activité portuaire est là pour y rester et cette section ne sera jamais accessible comme le reste de la bordure fluviale. Même sans les boules, on ne verra pas davantage le fleuve en faisant du vélo dans ce coin.

      Et votre commentaire à propos de Cacouna pose bien le problème de la place du port dans l’économie de la Capitale, C’est beau les jolies promenades, mais ça ne fait pas travailler grand monde. Comme c’est là le port fait face à une levée de boucliers chaque fois qu’il soumet un projet (terminal Lauralco, le terminal de croisières qui a vu une levée de boucliers, même chose chaque fois que quoi que ce soit est proposé du côté des battures).

      Veut-on vraiment d’un port? Un port c’est gros, sale, bruyant et pas très joli…

      Par ailleurs, le port a tout un exercice de réflexion à faire sur sa façon de cohabiter avec ses voisins et il doit cesser de gérer ses communications et ses relations avec le milieu comme une bande de peewees comme il le fait dans cette crise et dans celle de la poussière sur Limoilou…

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    • Yvan Dutil

      16 novembre 2013 à 18 h 02

      Il semble que Cacouna ne soit pas bien relié à la voie ferrée.

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    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      16 novembre 2013 à 18 h 41

      @Yvan Dutil :

      Ok, ça a du bon sens.Ça reste tout de même que je crois qu’un emplacement plus socialement acceptable aurait pu être trouvé sans trop de difficultés.

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  3. Franks Utilisateur de Québec Urbain

    16 novembre 2013 à 12 h 56

    Première réaction : Oh my god…
    Suivi d’un double facepalm ( pour les deux silos…)

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  4. Orbitale Utilisateur de Québec Urbain

    16 novembre 2013 à 15 h 09

    Déjà, si ça ne serait pas d’un blanc immaculé, ça aiderait.

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  5. J.

    16 novembre 2013 à 15 h 37

    Ce sont de belles photos. il faut lancer un concours de photographie. Il y a des choses étonnantes à en tirer. Des photographes artistes pourront nous surprendre. Faire contre mauvaise fortune bon coeur. Tout le monde à l’oeuvre. Le soir, la nuit, le matin, la neige, etc.

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  6. J.

    16 novembre 2013 à 16 h 04

    Les silos de la Bunge font 30 mètres (tel que dit à la télé). Cette structure fait 45 mètres. Une fois et demi les silos. Méchante masse. Mais on a quand même rendu artistiquement avantageux les silos avec Robert Lepage. Les gens de Québec les apprécient dorénavant d’avantage. Même s’ils sont une masse importante dans le paysage. Un certain espoir. Avant que le pourtour ne soit recouvert de tags ?

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  7. davedeux

    16 novembre 2013 à 16 h 09

    Le plus ironique dans toute cette saga, est que:

    1/L’administration municipale ce transforme en « Nimby » et à
    recours aux mêmes arguments que les citoyens qui s’opposent
    au construction en hauteur dans leurs quartiers. Ça c’est un
    véritable opéra comique.

    2/Que l’ensemble des arguments déployés pour s’opposer
    à cette construction (près du Château, près du patrimoine de
    l’UNESCO…) pourrait très bien s’appliquer à l’îlot St-Vincent-de-Paul.

    Un peu ou beaucoup d’hypocrisie dans cette histoire?
    A vous de juger

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    • Jeff M

      16 novembre 2013 à 17 h 03

      Non, franchement, ce n’est pas du tout les mêmes enjeux. Mettez ce silo au coin de René Lévesque et Cartier, je crois que vous comprendrez.
      Mettez le petit immeuble de six étages près du port, je crois que vous comprendrez encore plus.
      Au delà du panorama, l’enjeux de la densification concerne aussi le simple fait d’amener plus de gens dans les quartiers centraux.

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      • davedeux

        16 novembre 2013 à 17 h 44

        Justement, ils ne sont pas au coin Lévesque/Cartier mais dans
        un lieu prévu à cet effet, c’est-a-dire le port de Québec.
        Si on ne peut plus installer des infrastructures économiques
        dans un lieu prévu à cet effet, où vont-elles aller?

        C’est un port et il est normal que l’on y trouve des structures
        prévues qui correspondent à l’activité économique du lieu.

        Vous voulez une vue dégagée, je vous suggère de militer pour la
        démolition des condos du Vieux-Port, un beau cas de pollution
        visuelle.

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      • Léonce Naud

        16 novembre 2013 à 18 h 37

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      • Jeff M

        16 novembre 2013 à 22 h 28

        La définition de ce qu’est une pollution visuelle peut changer d’une personne à l’autre. Ce qui est certain, le port est une sorte de zone franche. On peut difficilement reprocher à la ville d’abuser d’un droit, elle n’en a pas du tout dans ce cas ci, contrairement au NIMBY de la rue Cartier ou de St-Jean-Baptiste. Alors il est où votre opéra comique?

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  8. Jean François Côté

    16 novembre 2013 à 20 h 30

    La vue sur le fleuve est absolument dégagée un kilomètre en amont sur le belvédère des anses de Sillery. Un peu plus à l’ouest ,il y a le quai des cageux et on peut même y pêcher le doré et respirer le fleuve.

    Si on pousse vers Cap Rouge la plage de la mairesse ou Jacques Cartier. Et aussi la marina de Cap Rouge.

    Ah oui j’oubliais la magnifique et méconnue anse Brown au cap Blanc.

    Je ne crois pas que ces deux silos en aucun cas puissent briser ou brimer l’accès au fleuve.

    Pour les résidents je comprends, mais à partir du moment que tu décides d’aller vivre près d’installations portuaires … à un certain moment il est possible qu’il y ait expansion d’infrastructures.

    Mais ce qui me fait plaisir est qu’il n’y aura pas d’ouverture de registre…ça fait du bien pour une fois !

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      16 novembre 2013 à 21 h 21

      A Radio-Canada *télé* ils ont trouvé une propriétaire d’une condo aux Jardins Mérici qui voit maintenant une partie du silo blanc et qui, évidemment, trouve sa vue sur le fleuve être amochée …

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      • Jeff M

        17 novembre 2013 à 06 h 47

        J’ai vu le reportage. De son condo, on voit le petit bout du sommet qui sort des arbres. J’ai pas trouvé que c’était la façon la plus convaincante de dénoncer la chose. Ça faisait « dame riche qui se plaint pour peu ».

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      • Anne-Marie Laroche

        17 novembre 2013 à 09 h 56

        Décidément, le syndrome du pas dans ma cour est fort en vogue chez certains. Crier au scandale pour cette « obstruction » minimale de sa vue, ça dépasse l’entendement. La madame dans son beau condo cache elle-même la vue à d’autres qui sont installés derrière son immeuble. Bref, du chialage de gens à l’aise qui ne pensent qu’à eux. Cet endroit abrite un port, ce n’est pas un parc. Un port a pour mission de permettre le chargement et le déchargement des bateaux. C’est un endroit industriel. Qu’on en revienne !

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    • davedeux

      17 novembre 2013 à 06 h 05

      Je suis entièrement d’accord avec vous.

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  9. Jean François Côté

    16 novembre 2013 à 21 h 56

    Ça pourrait être aussi des arbres qui poussent de types épinettes. pins ou ormes d’Amérique que pourraient obstruer (partiellement )sa vue sur le fleuve.

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  10. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    16 novembre 2013 à 23 h 40

    Ils ont du chercher longtemps pour trouver le proprio qui le voit au Jardin Mérici,,,, Mon père y habite, a une vue spectaculaire sur le fleuve et ne le voit pas du tout.

    Bon on peut tu le dire que c’est sans doute l’endroit de Cap-rouge jusqu’à Beauport où cela a le moins d’impact.La falaise d’un bord et le bout le plus industriel du port.

    Pas particulièrement laid non plus(faut qu’il reste propre) Et comme a dit l’autre c’est bien beau avoir des parcs ,des promenades et autres, mais ça prend des emplois aussi.

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  11. jac

    17 novembre 2013 à 00 h 03

    Je suis allé faire un tour cet apres-midi (il faisait tres beau)
    Compte tenu de sa situation , je n’ai pas trouvé de scandales a signaler;
    l’impact est limitée! (par la falaise abrupte, par la situation dans un milieu industriel)
    C,est sur qu’il ne faudra pas récidiver ailleurs sur la Promenade Champlain.

    J’aimerais mieux un maire qui lutterait pour « négocier ce projet » plutôt qu’un maire qui veut faire torpiller ce projet.
    Négocier ce projet au « donnant-donnant » .
    Par exemple: OK pour ce projet si tu débarrasse un des monticules de gravier ou de sel et que tu nettoies. »

    Je suis d’accord avec le principe du scandale révélée par l’urbaniste Viau mais dans les faits , il n’y a pas tellement de quoi partir une guerre.
    On ne peut partir une guerre pour la Madame qui habite sur Mérici et qui obstrue elle-même les Plaines avec son condo!

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  12. J.

    17 novembre 2013 à 06 h 36

    Prince-Rupert, Québec, silos, granules de bois, mauvais endroit, exportation, consultation publique, Arrimage Québec, économie québécoise, Ontario.
    http://www.ledevoir.com/politique/ville-de-quebec/392936/prince-rupert-a-debattu-avant-quebec

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  13. J.

    17 novembre 2013 à 06 h 40

    Il y en aura deux. Deux au début. Mais combien d’autres par la suite s’ajouteront si le commerce des granules de bois explose ?
    http://www.dometechnology.com/yorkshire-wood-pellet-storage/

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    • Léonce Naud

      17 novembre 2013 à 07 h 44

      S’ils sont situés dans le même secteur, ce n’est pas le genre de choses qui surprendront les croisiéristes outre mesure.

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    • J.

      19 novembre 2013 à 04 h 13

      Le maire Labeaume ou son entourage lit/lisent Québec urbain: »Le maire signale avoir «un honnête doute» quant à la possibilité de voir apparaître «d’autres (silos) de 45 mètres si le marché va bien». La semaine dernière, la compagnie Arrimage du Saint-Laurent n’avait pas exclu de construire d’autres dômes si elle y voyait un intérêt économique. »

      Et il en emprunte presque les phrases !.

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  14. davedeux

    17 novembre 2013 à 06 h 40

    Toute cette saga provient d’un mauvais contrôle des émotions.
    C’est quoi « une vue sur le fleuve », ce n’est qu’une information
    qui part de l’oeil et ce dirige vers le cerveau et qui est interprété
    de façon différente selon les personnalités. Logiquement, les
    silos sont bien à leurs places et obstruent à peine un petit 1% du
    paysage. Toute est une question de mauvais contrôle des émotions chez certains. Comme des enfants, les motions primaires comme la jouissance visuelle, prennent le dessus et obstruent leurs pensées logiques.
    Partir en guerre pour un détail de la vie, est sans doute le symptôme d’un désordre émotif non-contrôlé.
    La « perte d’une jouissance visuelle », c’est tout simplement une
    émotion mal assimilée. Comment s’en sortir, simple, des exercices
    de contrôle émotionnel avec un intervenant en psyco-béhavioriste.

    Oubliez pas que la majorité des guerres ont été le fait d’émotions
    ingérables.
    Faire des “pauses cortico-thalamiques qui consiste à différer ses émotions pour laisser le temps au cerveau, côté raison, de prendre la situation en mains.

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  15. Jeff

    17 novembre 2013 à 12 h 22

    Au moins le seul avantage c’est que ça va cacher les granules de bois du paysage. Faut se dire que toute grandes ville a ce genre d’installation.

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  16. Carl Utilisateur de Québec Urbain

    17 novembre 2013 à 15 h 10

    Avec un peu d’imagination, on pourrait avoir quelque chose comme ceci:

    http://goo.gl/KlYoCz

    que tout conducteur en route pour Cape Cod remarqué – c’est plutôt immanquable.

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  17. davedeux

    17 novembre 2013 à 17 h 01

    @Gérald Gobeil
    « Pour vous la sculpture de Charles Daudelin n’est qu’une structure rouillée ? Eh ben »

    Euh…oui elle est rouillé. Et après?

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  18. Simon Bastien

    18 novembre 2013 à 00 h 10

    Verrue, ou tempête dans un verre d’eau? : http://imageshack.com/i/neyfvcj

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  19. christian

    19 novembre 2013 à 09 h 41

    Je crois qu’on a encore là une situation qui a été « gonflée » par les médias, où l’on cherche à tout prix des « victimes » (je ne pensais pas que Radio-Canada allait embarquer dans ce genre de chose) qui vont venir nous expliquer comment leur vie va être chamboulée à tout jamais par ces 2 bâtiments, et par-dessus tout, le maire a embarqué allègrement dans ce cirque ridicule.

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    • J.

      19 novembre 2013 à 11 h 47

      Christian, ces silos, il faudra les remplir et les vider… régulièrement, soit à chaque chargement de navire en partance pour l’Angleterre au début, débouché prévu. Ces granules de bois qu’on entreposera dans ces silos seront d’abord placés dans ces silos. Puis on les chargera sur les navires. Mais ils viendront, au début, de l’Ontario. Comment voyageront-ils? par train ? par camion? et à quelle fréquence? Avec quelle pollution sonore et quelle pollution de poussières lors de tous ces transbordements ? Ce ne sont pas des silos que l’on remplira une fois pour toute. Alors acheteriez-vous une résidence dans ce secteur ? Ou juste en haut de la montagne vis-à-vis? Et les vents qui charrieront les poussières, vous pourriez vivre avec ?
      On n’a pas fini de parler de la nuisance que ces deux silos vont causer.

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  20. Fernand Trudel

    19 novembre 2013 à 10 h 56

    L’anse-au-foulon est un port de tranbordement de marchandises actif. Je m’attendait à lire beaucoup de levées de bouclier mais à part les gens des Jardins de Mérici, il y a pas de tollés. Oui, c’est un débouché plus vert pour nos scieries québécoises qui se sont fait malmenées par les baisses d’exportation de 2X4 aux États-Unis et le barrage médiatique des écolos comme le chantre Richard Desjardins qui s’attaque maintenant aux mines.

    Ne vous fatiguez pas gens de l’ouest urbain, nous à l’est on nous annonce le déplacement de la plage dans la cour arrière de deux nouveaux quais sur la baie de Beauport et on attend toujours le projet d’aménagement de la bordure du fleuve comme la promenade Champlain. Nous ça fait depuis 2006 qu’on nous promet des esquisses qu’on a toujours pas vu. On a priorisé un lien piétonnier pour rejoindre la place jacques-Cartier et on se prépare à une autre phase vers l’est du boulevard Champlain. J’ai le temps de mourrir avant qu’apparaisse l’ombre d’un projet pour le littoral est. Notre piste cyclable passe à coté deux dépotoirs à neige et est située entre deux autoroutes parallèles. Je défie les vélomanes de voir le fleuve par dessus l’autoroute Dufferin-Montmorency. C’est pas grave les éternels oubliés dans l’aménagement urbain ne se plaignent pas et votent Labeaume les yeux fermés.

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  21. «Le» lecteur assidu

    20 novembre 2013 à 08 h 28

    *@ Fernand

    #1 : Heureux de constater votre « retour » sur Québec Urbain;

    #2 : Bien que j’approuve plusieurs de vos points de vue concernant notamment « la région de l’Est », la piste cyclable et l’Autoroute Dufferin-Montmorency n’ont pas été concues sous l’administration municipale actuelle; de mémoire, cela remonte aux années 60-70;

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