Saint-Roch a trop longtemps été le déversoir des déshérités de la ville de Québec, déplorent Geneviève Marcon et Jean Campeau.
Des investissements privés et publics de 415 millions de dollars injectés dans Saint-Roch au cours des 15 dernières années n’ont pas suffi à revitaliser complètement le quartier. Il faudra plus de résidants, plus de travailleurs, de touristes et d’artistes préviennent les promoteurs.
La Ville de Québec doit s’assurer de ne pas briser l’élan donné dans Saint-Roch sous prétexte de revitaliser d’autres secteurs de la ville, préviennent Jean Campeau et Geneviève Marcon.