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Marie-Claude Boileau
Le Carrefour de Québec

Maizerets — Le quartier Maizerets suscite l’intérêt des promoteurs immobiliers. Plusieurs projets verront le jour au cours des prochains mois. (…)

Voici quelques-uns des projets à venir:

Concept St-Laurent
Le 18 : 32 condos
Terrain Henri-Bourassa : un immeuble de 8 étages.
Site du Couvent (qui sera possiblement démoli) : un immeuble de 8 étages.

Condos Napoléon (2385-2395, boul. Henri-Bourassa).
2 immeubles de 16 condos. Surtout des 4 1/2.

Garage Mécanique Germanique (1150, 18e Rue)
Le promoteur a affirmé au Carrefour que le nombre d’unité n’avait pas été encore fixé. De plus, il jonglait avec du condominium ou du locatif. À suivre.

Imprimerie Bergemont (1115, 18e Rue)
Une résidence multifamiliale de 14 logements.

1505, Trinité
8 condos.

Église St-Pie X (1925, 25e Rue)
Le promoteur, Concept St-Laurent, parle de 50 unités sur son site web. Pas d’autres détails pour le moment.

Angle de Vitré et 23e Rue.
12 condos.

Ancien terrain Olco (2445-2425, boul. Henri-Bourassa)
2 immeubles de 12 unités.

1785, chemin de la Canardière.
Développement CapitalUrbain prévoit construire 16 unités, mais rien n’est encore définitif.

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Stéphanie Morin
Le Soleil

(Bordeaux) Régis Labeaume aimerait voir plus de rues piétonnières dans sa ville. La rue Cartier, par exemple. Mais cette volonté pourrait se heurter au conservatisme des marchands

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Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Il n’y a jamais eu aussi peu de résidants permanents dans le Vieux-Québec depuis 60 ans au moins. Le quartier, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité, a vu sa population diminuer de 9,3 % entre 2006 et 2011, date du dernier recensement.

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* A lire : Partir ou rester Annie Morin (Le Soleil)

Rescaper le Vieux-Québec Comité des citoyens du Vieux-Québec

Radio-Canada
Québec

Québec accorde jusqu’à 30 millions de dollars pour appuyer Ex Machina dans la construction des deux salles de spectacles (dont l’une de 625 places) prévues dans le projet Diamant. Ex Machina et ses partenaires, dont la Ville de Québec, complèteront le financement du projet évalué à 60 millions de dollars.

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Merci à Gilles Maheux pour cette magnifique photo aérienne du site du centre de foires prise le 10 septembre 1936. On voit bien le futur site de l’actuel Colisée (construit en 1948) en haut de la piste de l’hippodrome. Notez aussi l’emplacement qui était convoité pour le futur amphithéâtre en bas à droite.

Site du centre de foires de Quebec le 10 septembre 1936

Lucie Lavigne
La Presse

On peut dynamiser une façade haute et étroite tout en la rendant fonctionnelle et originale. Exemple à l’appui.

Dans un secteur protégé du quartier Saint-Sacrement, à Québec, l’architecte Olivier Bourgeois a fait preuve d’imagination pour construire une maison hors du commun malgré les contraintes et la réglementation

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* Merci à un fidèle lecteur (Jeason Morin)

Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) Après avoir promis la livraison des écoquartiers à temps pour le défunt Forum universel des cultures de 2016, la Ville de Québec demande désormais aux promoteurs de la Pointe-aux-Lièvres de livrer les bâtiments d’ici 2023 au plus tard. (…) La nouvelle contrainte stipule seulement que les stationnements devront être majoritairement couverts. Le premier appel de propositions insistait plutôt pour que 100 % des cases de stationnements soient couvertes.

Autre nouveauté : le document permet officiellement l’intégration de stationnements étagés dans les aménagements. La Ville «considérera les critères de qualité pour l’architecture du bâtiment» si un promoteur préfère empiler les voitures plutôt que de les enfouir. Dans tous les cas, une majorité de stationnements devront se trouver «sous un toit permanent». Le ratio d’une case par logement demeure quant à lui intact.

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Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — Décontamination, aménagement d’une esplanade… La liste des dépenses à la charge des promoteurs s’allonge dans les écoquartiers.

Le consortium qui développera la première phase de l’écoquartier de Pointe-aux-Lièvres devra payer des millions de dollars en décontamination, révèlent les documents d’appel d’offres déposés au début du mois.

«Aucuns travaux [sic] de réhabilitation ne sont planifiés par la Ville», écrit-on à propos d’un lot. «Les frais estimés en 2010 s’élèvent à 10 millions», ajoute-t-on, avant de préciser que le ministère du Développement durable peut rembourser de 30 à 50 % de ces frais.

La Ville de Québec avait déjà investi des sommes importantes dans la décontamination de ce site où se trouvait l’incinérateur municipal jusqu’à 1976.

Or le maire Régis Labeaume a déjà laissé entendre qu’il souhaitait limiter les investissements municipaux dans ces projets. En novembre, lors du dépôt du Programme triennal d’immobilisations alors gonflé par l’amphithéâtre, il avait dit ne pas avoir «le goût qu’on en dépense beaucoup plus» que la réfection de l’avenue d’Estimauville de l’écoquartier du même nom.

Outre la décontamination, les promoteurs pourraient hériter des coûts de construction de l’esplanade que la Ville prévoyait au départ financer. «Il est possible que tout ou une partie des coûts reliés à la réalisation de l’esplanade urbaine soit à la charge du promoteur», lit-on dans une mise à jour de l’appel d’offres pour d’Estimauville.

Dans une autre mise à jour, la Ville se décharge aussi de toute responsabilité quant à la promotion des futurs quartiers verts. «La Ville ne prévoit pas d’initiative particulière pour inciter les gens à s’installer dans le quartier», peut-on lire.

Les documents d’appel d’offres indiquent que les immeubles de Pointe-aux-Lièvres pourront compter de quatre à dix étages. Le quartier devra en outre avoir une densité très élevée de 150 logements par hectare.

Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — Les résidents du projet communautaire Cohabitat, en haute ville, devront se contenter d’un espace de stationnement pour deux logements, soit deux fois moins que le ratio imposé par la Ville de Québec pour ses écoquartiers.

«On se dit qu’on évite l’étalement urbain. On choisit plutôt d’habiter dans un projet où les gens vont marcher, prendre l’autobus ou leur vélo», explique l’instigateur du projet, Michel Desgagnés

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