Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Planification urbaine »

Les citoyens peuvent dès maintenant profiter de sept nouvelles rues partagées

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 juillet 2020 Commentaires fermés sur Les citoyens peuvent dès maintenant profiter de sept nouvelles rues partagées

Québec, le 3 juillet 2020 – La Ville de Québec est heureuse de dévoiler les premières rues partagées implantées pour la saison estivale, dont la rue Raoul-Jobin, dans le quartier Saint-Sauveur, sur le tronçon situé entre les rues de l’Aqueduc et de Carillon.

(…)

Voici la liste des rues partagées implantées actuellement :

113e Rue; Entre Avenue Saint-Grégoire et Cul-de-sac

3e Avenue Est: Entre 47e Rue Est et 5e Avenue Est

Rue Hélène-Boullé: Entre Lien cyclable du collège Saint-Stanislas et Rue Rochette

Impasse Marie-GuyarT: Entre Rue des Dames-Ursulines et Cul-de-sac

Rue Raoul-Jobin: Entre Rue de l’Aqueduc et Rue de Carillon

Rue Saint-Gabriel Entre Rue de Claire-Fontaine et Côte Sainte-Geneviève

Trait-carré Est/Ouest: Au nord du boulevard Louis XIV

Les rues partagées permettent une cohabitation harmonieuse sur la voie publique entre les piétons, les cyclistes et les automobilistes. La vitesse y est limitée à 20 km/h et le stationnement demeure permis selon les conditions habituelles.

Le communiqué

Voir aussi : Art de vivre en ville, Densification, Environnement, Nouvel urbanisme.

Oui dans ma cour !

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 juin 2020 Commentaires fermés sur Oui dans ma cour !

Vivre en ville

La densification est une solution incontournable et les promoteurs sont des acteurs clés pour y parvenir. Pour faciliter la mise en œuvre de pratiques de bon voisinage et stimuler un dialogue constructif sur la densification, Vivre en Ville propose une nouvelle publication gratuite : Relever les défis de la densification grâce à la collaboration.

Présentée en 4 fiches pratiques, cette trousse vise à intégrer les pratiques de bon voisinages à tous les aspects de la promotion immobilière, du premier jour du projet jusqu’au chantier :

Fiche 01 : Planifier les pratiques de bon voisinage dès le premier jour
Fiche 02 : Entrer en relation avec le milieu : les conditions pour une démarche réussie
Fiche 03 : Concevoir un projet de densification bien intégré
Fiche 04 : Veiller au bon voisinage durant le chantier

Trousse de bon voisinage

Vivre en Ville présente son initiative Oui dans ma cour! S’allier pour des milieux de vie de qualité dans le cadre d’une entrevue offerte à Philippe Bourke, chargé de cours à l’Université de Sherbrooke. Dans cette entrevue en deux parties, Catherine Boisclair, urbaniste à Vivre en Ville, explique d’abord la démarche et le processus proposé par cette initiative. La deuxième vidéo porte sur les apprentissages, défis et perspectives.

Cette vidéo a été réalisée à l’intention des étudiants du cours Les conflits environnementaux et leurs enjeux dans le cadre du programme de 2e cycle en médiation environnementale du Centre de formation en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke. Vivre en Ville remercie le CUFE pour l’enregistrement des vidéos.

Voir aussi : Architecture urbaine, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie.

Rapport mensuel sur le marché immobilier de Québec – Avril 2020

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 mai 2020 Commentaires fermés sur Rapport mensuel sur le marché immobilier de Québec – Avril 2020

Source

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité.

La pandémie va-t-elle remettre en cause la densité urbaine?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 avril 2020 1 commentaire

François Grenier
Magazine 100º

À l’heure où la plupart des pays peinent à aplatir la courbe de contamination à la COVID-19, certains se demandent si cette pandémie ne va pas à jamais transformer le visage de nos villes. Au point même, parfois, de mettre au banc des accusés la densité de leur population. Or, rien n’est moins certain.

Au cours de son histoire, l’humanité a été frappée par de nombreuses épidémies et plus récemment par des pandémies. Plusieurs de ces sombres épisodes ont durablement marqué les esprits et parfois entraîné des changements majeurs dans l’aménagement des infrastructures urbaines.

Les épidémies de choléra, par exemple, qui ont frappé Londres au milieu du 19e siècle, offrent l’un des cas les plus célèbres de transformation en profondeur d’une ville. Après avoir découvert que l’agent infectieux se propageait dans l’eau, on a entrepris de colossaux travaux d’ingénierie afin de reconfigurer entièrement le réseau d’égouts, ce qui a entraîné l’élimination de la maladie.

L’une des leçons intéressantes du cas de Londres, c’est que, une fois compris le mode de propagation d’une maladie, il est ensuite possible de prendre des mesures – ici des travaux pour protéger les puits d’eau potable – afin de se prémunir contre sa menace. Si bien que, aujourd’hui, Londres n’a jamais été plus dense, ni plus populeuse.

Dans le cas qui nous occupe, et nous préoccupe, on pourra bien sûr objecter que le mode de propagation de la COVID-19 est très différent de celui du choléra. Soit. Toutefois, les mesures de distanciation sociale préconisées pour freiner la progression de la maladie ne permettent pas de conclure que la densité de population dans une ville représente fatalement un facteur d’aggravation1.

« Lorsqu’on analyse froidement la situation, explique Christian Savard, directeur général de Vivre en Ville, on constate que la densité n’est pas nécessairement responsable de la propagation du coronavirus. Si c’était le cas, Hong Kong, l’une des villes les plus densément peuplées au monde, aurait dû être durement touchée par la COVID-19. Or, même si elle a été parmi les premières à être contaminée, elle a rapidement réussi à contenir la contagion. »

Un constat qui, paradoxalement, se vérifie aussi à New York, pourtant de loin le principal foyer d’infection aux États-Unis. En effet, toutes proportions gardées, ce ne sont pas les quartiers les plus denses de la ville qui sont les plus touchés. Autrement dit, bien d’autres facteurs conditionnent la propagation du virus, parmi lesquels certains n’hésitent pas à inclure l’aménagement et la forme bâtie.

Bien plus que la densité, c’est le caractère cosmopolite de New York qui explique le nombre de cas de la COVID-19. « Au Moyen Âge, les villes portuaires, parce qu’elles étaient ouvertes sur le monde, explique Christian Savard, étaient les portes d’entrée des épidémies. Aujourd’hui, ce sont les grandes villes, avec leurs aéroports internationaux. »

La pandémie que nous vivons a clairement pris de court les autorités publiques partout à travers la planète. Pourtant, elle était attendue, voire annoncée. Les épidémiologistes ne pouvaient pas prédire quand elle surviendrait, mais ils nous avaient prévenus que toutes les conditions étaient actuellement réunies pour que cela se produise. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un coup d’œil sur la liste des virus émergents qui sont apparus au cours des dernières décennies, de la fièvre de Marburg (1967) jusqu’à l’Ebola (2014) en passant par le V.I.H. (1981) ou le SRAS (2002).

Tous ces virus sont d’origine animale et ont réussi, à la suite de mutations, à franchir la barrière des espèces pour infecter les humains. L’un des premiers facteurs en cause, c’est la destruction accélérée des écosystèmes, notamment celle des forêts tropicales souvent effectuée de manière clandestine. Cela occasionne la multiplication des contacts entre humains et animaux sauvages, entre autres le braconnage, et donc les chances pour un virus de se propager dans les populations humaines.

La suite

Voir aussi : Densification.

Québec 1608-2008: 400 ans d’accès public à l’eau

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 avril 2020 4 commentaires

Bonjour M. Gobeil,

Pour le cas où vous seriez d’avis que le texte ci-joint intéresserait les afficionados de Québec Urbain.

Il s’agit probablement de la meilleure recherche sur la question – peut-être la seule à exister sur le sujet.

Elle n’a pas été diffusée par quelque média que ce soit jusqu’à présent.

Bon mois d’avril confiné.. !

Bien à vous,

Léonce Naud
Société des gens de baignade

Québec 1608 – 2008 – 400 ans d’accès public à l’eau

Un extrait: En effet, durant deux cents ans, soit depuis la fondation de Québec jusqu’à l’époque de la croissance extrêmement rapide du commerce du bois et de la construction navale (1608 à 1808), les citoyens de la ville ont joui d’accès libres et gratuits aux rivages urbains.

Voir aussi : Publications & ressources Internet.

Vision préliminaire de l’habitation 2020-2030 à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 mars 2020 2 commentaires

Québec, le 11 mars 2020 – La Ville de Québec dévoile aujourd’hui la version préliminaire de la Vision de l’habitation 2020-2030. La Vision met de l’avant de nouvelles stratégies d’intervention en habitation et mobilise les parties prenantes afin de faire face aux défis de la prochaine décennie et de saisir les occasions qui se présentent. Elle prend en compte les besoins variés de la population en misant sur l’abordabilité du logement, le soutien à la réalisation de résidences pour aînés, le vivre-ensemble et l’aménagement de lieux de rencontre.

(…)

Parmi les pistes d’actions mises de l’avant, la Ville prévoit notamment la création de 5 000 nouveaux logements. Pour atteindre cet objectif, elle souhaite entre autres :

Réaliser 2 600 nouveaux logements sociaux et abordables :
o Créer une réserve foncière par la mise en place d’un fonds 20 M$ sur 5 ans, dédié au logement social qui par un effet de levier, générera des acquisitions de terrains d’une valeur de 50 M$.

o Développer des stratégies avec les promoteurs pour inclure des logements sociaux dans certains projets résidentiels privés.

o Collaborer avec le CIUSSS Capitale-Nationale pour soutenir l’accompagnement des locataires et la gestion des milieux de vie.

Encourager la création de 2 000 places en résidences privées pour aînés :
o Mieux exploiter le potentiel résidentiel de certains sites, notamment les centres commerciaux par l’ajout d’espaces résidentiels aux étages supérieurs.

Soutenir la réalisation de 400 logements accessoires :
o Procéder à des modifications règlementaires afin de permettre la construction de mini-maisons et d’annexes résidentielles partout sur le territoire.

Aménager des lieux de rencontre dans tous les quartiers :
o Dédier 20 M$ à l’aménagement de 40 places publiques dans les différents quartiers de la ville.

Un document sur cette vision

Consultations:

Le mercredi 1er avril, 19 h
Édifice Andrée-P.-Boucher
1130, route de l’Église, salle du conseil

Le mardi 7 avril, 13 h
Club social Victoria
170, rue du Cardinal-Maurice-Roy

Consultation en ligne

Logements sociaux, places pour aînés et mini-maisons à Québec Stéphanie Martin (Journal de Québec). Un extrait: On veut aussi ajouter 2000 places en résidences pour aînés. Pour ce faire, la Ville compte entre autres modifier le zonage des centres commerciaux pour y inclure des logements en hauteur. Un peu comme dans le cas du Mail Cap-Rouge. Elle augmentera le nombre de permis pour ce type de logement.

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Rapport mensuel (février) sur le marché immobilier à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 mars 2020 Commentaires fermés sur Rapport mensuel (février) sur le marché immobilier à Québec

Source: JLR Solutions foncières

Voir aussi : Condo, Publications & ressources Internet, Québec La cité, Résidentiel.

Dépôt du rapport final de la Trame verte et bleue métropolitaine

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 mars 2020 Commentaires fermés sur Dépôt du rapport final de la Trame verte et bleue métropolitaine

Communauté métropolitaine de Québec

21 février 2020

Le rapport final présentant l’ensemble des travaux effectués dans le cadre de la Trame verte et bleue métropolitaine a été déposé lors de la séance du conseil de la CMQ. Ce document expose les nombreuses interventions et aménagements effectués au cours des sept années du protocole afin de réaliser douze projets municipaux. Ces projets ont non seulement permis de concrétiser la Trame verte et bleue métropolitaine, mais ont également permis d’atteindre des objectifs identifiés au Plan métropolitain d’aménagement et de développement de la CMQ. Le rapport expose également les réalisations effectuées dans le cadre du projet CMQ, dont l’objectif était de réaliser une planification détaillée de la Trame verte et bleue métropolitaine, alimentée par de nombreuses études.

Rappelons qu’en 2013, un protocole d’entente entre la CMQ et le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) a été signé afin de financer des projets contribuant à la mise en place d’une trame verte et bleue métropolitaine. Par cette entente, les contributions financières du gouvernement du Québec (9,9 millions de dollars) et de la CMQ (4,9 millions de dollars) s’ajoutent aux sommes investies par le milieu (16,88 millions de dollars) afin de réaliser des projets structurants sur le territoire métropolitain. Les projets municipaux sélectionnés devaient miser sur la qualité des espaces naturels et récréotouristiques de la CMQ. Ces projets devaient également préserver la biodiversité, contribuer à la qualité des milieux de vie et établir des liens entre les espaces naturels et les collectivités humaines.

Le rapport final

Voir aussi : Environnement, Publications & ressources Internet.

Ville de Québec: 86 % des citoyens satisfaits des services municipaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 février 2020 Commentaires fermés sur Ville de Québec: 86 % des citoyens satisfaits des services municipaux

Québec, le 28 février 2020 – La Ville de Québec rend publics les résultats du deuxième sondage mené à l’automne dernier auprès des citoyens afin de mesurer leur degré de satisfaction à l’égard de différents services municipaux. Les résultats démontrent, entre autres, que 86 % des répondants sont satisfaits des services rendus par la Ville de Québec. Il s’agit d’une hausse de 2 % par rapport au précédent sondage mené en juin 2019.

Plus de 20 % des répondants ont cité la qualité des services reçus par la Ville pour expliquer leur satisfaction, alors que 19 % des personnes sondées ont souligné la propreté et l’entretien de la Ville. De plus, 87 % des citoyens sont satisfaits de la collecte des ordures et du recyclage et 93 % mentionnent se sentir en sécurité dans leur ville.

« Ces résultats témoignent une fois de plus de la bonne performance de la Ville pour les services aux citoyens, a déclaré le maire de Québec, M. Régis Labeaume. Notre engagement envers la population à faire de Québec une ville où il fait bon vivre se reflète dans ces chiffres. Nous comptons poursuivre dans cette voie. »

« Ce nouveau sondage nous fournit des données importantes sur lesquelles nous allons nous appuyer pour poursuivre notre quête d’excellence en matière de services à la population, a ajouté Mme Michelle Morin-Doyle, membre du comité exécutif responsable de l’interaction citoyenne. Je remercie les citoyens qui ont participé à cet exercice, leur participation est essentielle dans cette démarche de consultation que nous menons. »

Ce sondage est le deuxième d’une série qui se déploie à raison de quatre par année, de juin 2019 à juin 2021. La collecte de données s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue qui permet à l’administration municipale d’avoir un portrait évolutif de l’opinion des citoyens quant à sa prestation de services.

Chaque sondage mesure l’opinion des répondants sous trois aspects : les services municipaux en général (les mêmes questions sont posées d’un sondage à l’autre), les services saisonniers et un ou des dossiers d’importance pour la période visée. Notons que pour ce sondage, les participants ont été questionnés sur l’agriculture urbaine et la sécurité routière.

Les rapports de sondage sont rendus publics sur le site Internet de la Ville de Québec et en données ouvertes sur le site Données Québec du gouvernement provincial, au fur et à mesure que les rapports sont déposés par Léger Marketing, à qui la Ville a confié ce mandat par appel d’offres.

Méthodologie

La collecte des données a été réalisée du 11 au 20 octobre 2019 auprès de 1 002 répondants, répartis proportionnellement dans les six arrondissements de la ville. La marge d’erreur maximale est de ± 3,1 %.

La suite

Pour consulter les résultats du sondage

Québec: le déneigement, le manque de services et les nids-de-poule font grogner les citoyens Stéphanie Martin (Journal de Québec)

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité.