Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Planification urbaine »

Trois nouveaux jardins communautaires à Québec d’ici l’automne

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mars 2018 Commentaires fermés sur Trois nouveaux jardins communautaires à Québec d’ici l’automne

Jean-Frédéric Moreau
Le Soleil

La Ville de Québec confirme que trois nouveaux jardins communautaires verront le jour d’ici l’automne.

Ces jardins sont la Ruche Vanier, le Domaine de Maizerets et La Comtoise. Le projet au Domaine Maizerets servira d’ailleurs de vitrine afin que les citoyens puissent le visiter et s’inspirer pour proposer des projets.

La Ville a dans sa mire 44 lieux à travers son territoire où des jardins communautaires pourraient pousser d’ici 2023.

L’entente conclue entre la Ville de Québec, les Urbainculteurs et Nature Québec s’inscrit dans le financement de 4,3 M$ déjà prévu dans le plan triennal d’immobilisation 2018-2019-2020 pour différentes initiatives en matière d’agriculture urbaine.

Le comuniqué de la Ville de Québec

Voir aussi : Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Complexes immobiliers: le nec plus ultra

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 février 2018 6 commentaires

Chantal Lapointe
Magazine CAA

Ce qui distingue ces projets nouveau genre ? Outre leur nombre important d’unités d’habitation, parfois plusieurs milliers, le fait qu’ils incluent aussi des commerces et des services. On se veut loin des cités-dortoirs.

C’est une tendance qui s’observe dans toutes les grandes villes d’Amérique du Nord. De tout nouveaux quartiers résidentiels voient le jour sur d’anciens terrains industriels, où l’on peut vivre, travailler et s’amuser sans avoir à utiliser sa voiture. « De plus en plus, les promoteurs considèrent de tels ensembles comme des quartiers complets autour d’un noyau de transport. La valeur des terrains favorise le développement multiusage », explique Roberto D’Abate, vice-président, Services-conseils immobiliers chez PwC, cabinet d’expertise et de services financiers. « Quand on construit verticalement, on consomme beaucoup moins d’espaces verts. C’est un argument qui plaît aux acheteurs. commente Marco Fontaine, directeur des ventes et du marketing pour le promoteur Devimco Immobilier, qui s’occupe du projet Solar Uniquartier à Brossard.

À l’heure actuelle, il n’est pas de nouveau projet d’aménagement qui ne veuille associer logements, bureaux et commerces. Annoncé récemment, Westbury Montréal, un projet de 250 millions de dollars, sera aménagé près du futur complexe commercial Royalmount prévu à l’angle des autoroutes 15 et 40. Il inclura condos, hôtel de luxe, commerces de services, restau- rants, jardin et salles d’entraînement. Il sera axé sur le transport en commun et conçu selon des standards d’aménagement durable. « Les projets mixtes se développent autour du concept « live – work – play », soit l’idée de vivre sans pratiquement sortir du quartier. Cela part d’un désir profond de passer moins de temps dans la voiture, » affirme Sam Scalia, président de Devmont, promoteur du projet.

À La Prairie, Symbiocité regroupera 1 400 habitations sur un immense terrain adjacent au Parc de conservation du marais, au croisement de la route 104 et de l’autoroute 30. Il mise sur l’arrivée probable du système léger sur rail (SLR) électrique sur la Rive-Sud,tout comme Solar Uniquartier, à Brossard, un autre lotissement colossal estimé à 1,3 milliard de dollars. Solar Uniquartier prévoit quelque 2 600 unités résidentielles, un centre de conférence, un complexe sport, santé et loisirs, un centre d’affaires collaboratif, un hôtel, des commerces et une grande place publique au nord-est du Quartier Dix30.

Ces mégaprojets mixtes ne se concentrent pas que dans la région de Montréal. À Québec, le projet Lebourgneuf (200 millions), piloté par Développement Beaubourg en partenariat avec Nova Construction, associera des appartements en copropriété et en location ainsi que des commerces dans un petit village à dimension humaine. « Ce n’est pas une mode passagère, dit Guy St-Gelais, de Développement Beaubourg. Les gens rêvent d’une qualité de vie. Ils en ont marre du temps perdu dans le trafic. »

Acheter une copropriété dans un nouveau quartier de ce type, est-ce un bon investissement ? Nous avons posé la question à Élaine St-Denis, évaluatrice agréée chez Bourassa, Jodoin à Longueuil. « Avec l’engorgement du système routier, l’éclatement des familles et l’individualisme très présent dans la société actuelle, ces ensembles sont appréciés, car ils recréent des petits centres-villes, des pôles d’attraction où la vie sociale est facilitée » dit-elle.

« Au Québec, nous ne sommes pas encore habitués à la densité. Mais avec l’accroissement des investissements étrangers, l’arrivée d’immigrants habitués à vivre dans des espaces restreints et prêts à vivre en famille dans des appartements, ce type d’habitation sera très recherché et devrait prendre de la valeur », souligne Mme St-Denis. Roberto D’Abate rappelle cependant la prudence d’usage : « Pour tout achat d’une copropriété, il faut s’assurer de la bonne gestion du complexe, de l’existence d’un fonds de prévoyance et du respect de tous les aspects légaux. »

La cohabitation entre les commerces et les habitations crée un sentiment de convivialité et de sécurité chez les résidents, mais peut aussi comporter des défis. « Il est important d’assurer l’intimité des résidents dans les gros ensembles », considère Sam Scalia. D’autre part, les parcs et les installations de loisir d’un complexe immobilier impliquent aussi des coûts. « Il faut que les infrastructures soient conservées en bon état », dit Élaine St-Denis.

Le plus grand défi, quand on élabore ces mégaprojets, c’est de bien planifier l’urbanisme, car les gens ne veulent pas se retrouver dans un ghetto, souligne Marco Fontaine : « Il s’agit de concevoir un ensemble architectural pas trop homogène, et de prévoir des zones d’environnement vraiment naturel. » Au final, c’est cet équilibre qui fera de ces endroits des lieux de vie harmonieux et attirants tant pour les baby-boomers que pour les milléniaux.

Voir aussi : Densification, Publications & ressources Internet.

Limoilou: Opposition à un projet de tour

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 février 2018 32 commentaires

Marc Allard
Le Soleil

Dominic Martin habite avec sa conjointe et ses deux enfants sur la rue Leclerc, dans le Vieux-Limoilou. À quelques pas de chez lui, le promoteur ACERO Groupe Immobilier projette de construire une tour d’habitation de 18 étages sur le site de l’église Saint-François d’Assise.

M. Martin a vu les images de la tour. Il a écouté le promoteur au conseil de quartier arguer que son projet contribuerait à la densification que souhaitent la Ville de Québec et son maire, Régis Labeaume. Son verdict? Non merci.

Avec ses nombreux duplex et triplex, Limoilou devrait continuer à se densifier à une hauteur raisonnable, fait-il valoir. Pour lui, pas question de défigurer le cœur du quartier avec une tour de 18 étages. «On confond la 1re Avenue avec le boulevard Laurier», déplore-t-il.

Ces jours-ci, comme de plus en plus de citoyens du secteur, Dominic Martin se mobilise pour ne pas voir l’immeuble de 123 logements apparaître dans son voisinage.

Un groupe d’une dizaine de résidents des rues Leclerc, Royal-Roussillon et Ozanam ont formé le groupe «Action Limoilou» et mis en ligne une pétition demandant au conseil municipal de Québec de maintenir le zonage actuel de cinq étages pour toute construction érigée sur le site de l’église désaffectée. La pétition en ligne a enregistré environ une centaine de signatures.

La suite

La pétition

Monsieur le Maire ou le complexe de la hauteur Dominic Martin, Point de vue (Le Soleil)

Oui à une tour dans Limoilou Pierre Gagné, Carrefour des lecteurs (Le Soleil)

Un billet précédent

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Densification, Hauteur.

Le bulletin municipal de février 2018

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 février 2018 Commentaires fermés sur Le bulletin municipal de février 2018

Québec, le 12 février 2018 – Le numéro de février du bulletin municipal Ma ville sera distribué dans tous les foyers à compter de demain, le mardi 13 février.

À lire

En plus d’inclure une page spéciale sur les activités proposées pour la semaine de relâche, ce numéro présente un dossier sur le budget 2018 et traitera notamment des sujets suivants :

– l’entretien des rues en hiver ou comment favoriser un déneigement efficace;

– l’inscription aux activités de loisir pour la session printemps-été;

– la démocratie municipale et les différentes instances qui la soutiennent;

– des activités pour profiter de l’hiver et du printemps;

– des idées de sorties et des endroits à découvrir;

– des nouvelles locales, propres à chaque arrondissement.

Produit par le Service des communications, le bulletin Ma ville paraît trois fois par année. Il est distribué par la poste; chaque foyer en reçoit un exemplaire dans sa boîte aux lettres.

Le Bulletin municipal

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité.

En parlant de densification …

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 février 2018 9 commentaires

Taïeb Moalla
Journal de Québec

Il faut combattre l’étalement urbain qui coûte de plus en plus cher aux individus et à la communauté, a affirmé Régis Labeaume.

C’est ce que le maire de Québec a soutenu, mardi midi, à l’Université Laval, en prononçant un discours devant les participants au colloque Réseau immobilier 2018.

«L’étalement urbain contribue à mettre une forte pression sur la mobilité et le réseau routier. Il nuit aussi à nos objectifs de protection des prises d’eau potable dans certains secteurs. De plus, l’étalement a des coûts publics et privés que nous ne pouvons pas nous permettre d’ignorer», a-t-il signalé. D’après lui, «connecter le tuyau [d’égout] de la Ville [à Limoilou], c’est peut-être 10 000 $. Pour le payeur de taxes, c’est une bonne affaire. Amenez le tuyau jusqu’au nord du Lac-Saint-Charles, vous ne verrez jamais la couleur de votre argent», a-t-il illustré.

À titre individuel, le coût de l’étalement est tout sauf négligeable. «Oui, le prix des terrains et des maisons est généralement plus abordable en périphérie, mais, à l’opposé, les coûts de déplacement peuvent être près de deux fois plus élevés», a lâché le maire.

Ce dernier a cité une étude de l’Université d’Ottawa basée sur l’exemple de la Ville de Halifax. «Leur conclusion est qu’il en coûte environ deux fois et demie plus cher à la Ville pour les ménages en périphérie que pour les ménages en milieu urbain», a-t-il ajouté.

C’est d’ailleurs ce qui explique que Québec veuille se développer à l’intérieur de son périmètre urbain, au cours des 20 prochaines années. Dans son Schéma d’aménagement et de développement (SAD), l’agglomération prévoit de loger les nouvelles familles essentiellement du côté des terres agricoles de Beauport (Sœurs de la Charité) et de Saint-Augustin-de-Desmaures.

Édifices en hauteur

Le maire a également insisté pour dire que la construction en hauteur est une des bases du développement durable. Il a donné l’exemple du projet du Groupe immobilier Acero qui prévoit une tour de 18 étages dans le Vieux-Limoilou à la place de l’église Saint-François-d’Assise. Actuellement, le zonage limite la hauteur à cinq étages dans ce secteur.

Évitant de se mouiller sur le nombre précis d’étages qui devraient être permis, M. Labeaume a pris soin de dire que c’est au promoteur d’assurer l’acceptabilité sociale d’autant plus qu’il n’y aura plus de référendums pour ce type de projets. «On a dit au promoteur : travaillez avec le monde, rends-le [le projet) encore plus beau, vends ton affaire, a fait savoir le maire. Généralement, là où il y a des Métrobus et du transport structurant, il va falloir qu’on densifie.»

D’autre part, Régis Labeaume a promis que les consultations publiques de la Ville de Québec pour le projet Phare, à Sainte-Foy, débuteront «avant l’été» 2018.

Voir aussi : Étalement urbain.

Commission de la capitale nationale du Québec: Plan directeur du littoral est

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 février 2018 1 commentaire

La Commission de la capitale nationale du Québec, en partenariat avec la Ville de Québec et le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, a réalisé un plan directeur ayant pour objectif la réappropriation et la revalorisation du littoral du Saint-Laurent sur un territoire de 8 km, entre le domaine de Maizerets et le parc de la Chute-Montmorency, dans l’arrondissement Beauport, à Québec.

Cette vision propose de nouveaux aménagements afin de retisser les liens entre la ville et le fleuve. Le Plan directeur de développement urbain et de mise en valeur du littoral est et de ses abords pointe les secteurs à privilégier et propose une série d’interventions prometteuses pour mettre en valeur les battures de Beauport. Il présente également des visuels inspirants et suggère des approches d’aménagement modernes et respectueuses du génie du lieu, s’inscrivant en continuité des interventions sur le littoral déjà réalisées dans la capitale.

Consultation publique : une vision bonifiée grâce à l’implication citoyenne

Deux ateliers consultatifs ont eu lieu le mardi 5 décembre 2017, auxquels ont participé environ 70 citoyennes et citoyens. En petits groupes, ils ont pu émettre leurs commentaires sur le plan directeur, préciser leurs besoins pour le secteur et contribuer à la priorisation des phases de développement. De plus, du 17 novembre 2017 au 15 janvier 2018, la population était invitée à remplir notre formulaire Web de consultation, afin de commenter la vision d’aménagement proposée, de nourrir les propositions d’aménagement et de bonifier la réflexion entreprise par les partenaires.

Rapport synthèse de consultation

La Commission de la capitale nationale du Québec a produit un rapport synthèse de consultation du Plan directeur du littoral est. Ce rapport présente les principaux faits saillants de la démarche consultative. Il inclut également en annexe de façon anonyme toute l’information recueillie lors des ateliers ainsi que tous les formulaires Web reçus.

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Le rapport synthèse de consultation

Voir aussi : Message d'intérêt public, Parc, Publications & ressources Internet.

La banlieue, moins chère qu’en ville?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 janvier 2018 19 commentaires

Stéphane Desjardins
Journal de Montréal

Vous voulez vous acheter une maison? Vous pensez que la banlieue est moins chère que la ville? Refaites vos calculs.

Certes, le prix au pied carré d’une maison sera probablement moins élevé à Saint-Amable, Saint-Colomban ou Mascouche, qu’à Ahuntsic, Dollard-des-Ormeaux, sur le Plateau ou même à Pointe-aux-Trembles. Et c’est généralement plus cher dans la Haute-Ville ou à Sainte-Foy qu’à Neufchâtel ou Beauport. Mais le prix ne fait pas foi de tout. Il faut aussi tenir compte des besoins de votre famille, de la qualité et du coût de la vie, de votre budget, de vos liquidités et de la valeur de votre actif.

Par exemple, une majorité de jeunes familles misent sur la banlieue parce qu’ils estiment qu’ils ne peuvent se payer l’équivalent à Montréal. Pourtant, la vie banlieusarde comporte souvent des coûts cachés insoupçonnés, confirmés par des études qui se multiplient. Prenez les transports: une voiture moyenne coûte environ 10 000 $ par année à rouler (achat/location, essence, entretien, amortissement). Au bout de 25 ans, soit la durée normale d’une hypothèque, cette deuxième voiture banlieusarde financera votre maison située en ville.

Plus ou moins ?

En 2013, Luc Gagnon et Pierre-Olivier Pineau, de HEC Montréal, ont démontré qu’un couple avec deux enfants vivant en ville avec une seule voiture peut acheter une maison de 210 000 $ plus cher que le même ménage ayant choisi la banlieue et deux autos. S’ils roulent 20 000 km par année, ça équivaut à une hypothèque de 160 000 $. En fait, sur 40 ans, le coût de la vie sera moins élevé pour un couple se déplaçant en transports en commun, même si leur maison coûte 250 000 $ de plus à Toronto qu’à la banlieue, selon le Globe & Mail. Même logique à Montréal et à Québec.

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L’étude de 2013

Voir aussi : Densification.

Imprimer sa maison ? Pourquoi pas …

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 janvier 2018 Commentaires fermés sur Imprimer sa maison ? Pourquoi pas …

Nous sommes un organisme à but non lucratif qui rassemble une équipe afin de bâtir une machine pour imprimer des maisons, à part entière, avec divers matériaux. La machine ainsi que le logiciel seront libres d’utilisation et sans brevets.

Votre savoir est précieux et essentiel. Pour plus d’informations, lisez, parlons-en, ou encore, joignez-vous à la conversation via notre blog, ou notre page Facebook.

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Nicolas Labrie (architecte) un des ouvriers de ce projet, a déjà écrit sur Québec Urbain. Également dans ce billet et celui-ci sur une nouvelle vision de l’autoroute Laurentienne.

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Résidentiel, Technologie.

Sur la vente de condos à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 janvier 2018 Commentaires fermés sur Sur la vente de condos à Québec

JLR Solutions foncières (JLR conçoit des solutions innovantes basées sur l’intégration et la diffusion de données immobilières. Notre équipe compile et analyse annuellement plus de 500 000 transactions immobilières au Québec, en plus des rôles d’évaluation municipale, des permis de construction et des recensements de Statistique Canada.)

Malgré certaines tendances générales, le marché immobilier est spécfique à chaque région. Une augmentation des transactions a été constatée en 2017 dans le secteur des copropriétés dans l’ensemble des RMR de la province à l’exception de la région de Québec. Ce secteur continue à éprouver de la dif culté à se remettre du ralentissement du marché d’il y a quelques années. Même si l’offre surabondante des copropriétés dans cette région s’est quelque peu résorbée, les ventes tardent à reprendre. Ainsi, le nombre d’acquisitions de copropriétés a échi de 1 % dans cette région. Au contraire, les ventes de ce type d’habitation ont bondi de 10 % ou plus dans les régions de Montréal, Gatineau, Saguenay et Trois-Rivières

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Voir aussi : Condo, Publications & ressources Internet, Québec La cité.

Québec est la ville canadienne la plus attrayante pour les millénariaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 janvier 2018 1 commentaire

Marie-Renée Grondin
Journal de Québec

La Ville de Québec a tout pour plaire à la génération Y et figure au sommet des villes canadiennes les plus attrayantes pour les millénariaux.

Plusieurs facteurs ont été pris en compte dans ce classement réalisé par Point2homes.com, comme la qualité des emplois et les logements abordables.

En tout, l’attrait global de pas moins de 85 villes a été étudié selon plusieurs facteurs, soit l’abordabilité du logement, le taux de chômage, la satisfaction à l’égard de la vie, le taux de criminalité, les soins de santé, le climat, le niveau d’éducation et le pourcentage de millénariaux dans la population totale.

Les possibilités d’activités et de loisirs attrayants, les occasions de socialiser avec d’autres jeunes et le respect de l’environnement ont également été pris en compte dans la recherche.

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Voir aussi : Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.