Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Technologie »

Le secret de la ville de Québec pour se passer d’Amazon

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 janvier 2024 3 commentaires

Marc Allard
Le Soleil

Amazon n’aurait pas de quoi se réjouir en voyant à quel point Québec peut se passer de ses services.

Parmi les plus grandes villes québécoises, la capitale est celle qui dépense le moins auprès du géant du commerce en ligne, a montré une enquête des Coops de l’information. Par exemple, Québec dépense 20 fois moins que Lévis sur Amazon.

Ces derniers mois, Québec a d’ailleurs reçu des appels de Montréal et de Lévis pour savoir comment elle s’y prenait pour réduire au minimum ses sorties d’argent auprès du géant du commerce en ligne.

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Les prix des propriétés ont-ils augmenté ou diminué près de chez vous ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 juin 2023 2 commentaires

Laurianne Croteau
Cédric Gagnon
Catherine Bombardier
Le Devoir

La folie immobilière provoquée par la pandémie n’a pas eu le même effet dans toutes les régions du Québec. Au cours de la dernière année, la banlieue de Montréal — sur la Rive-Nord comme sur la Rive-Sud — a connu les plus grandes corrections de prix, à l’instar de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. Dans le Bas-Saint-Laurent, les prix ont au contraire continué de grimper.

« Avec les hausses consécutives des taux d’intérêt depuis l’été dernier, les prix ont baissé de 19 % entre le sommet d’avril 2022 et décembre 2022 », constate d’emblée Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché à l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). « Mais depuis ce temps-là, ils ont repris à la hausse. » La diminution moyenne des prix des maisons au Québec n’est ainsi que de 4 % entre le premier trimestre de 2022 et celui de 2023.

Malgré la tendance générale, une transaction sur dix s’est conclue avec de la surenchère au début de cette année. C’est comparable à ce qu’on voyait avant la pandémie, donc une accalmie par rapport à l’an dernier, alors qu’une transaction sur deux faisait l’objet d’une surenchère. « On était à des niveaux extrêmement élevés, historiques même », note l’analyste.

Les prix des propriétés ont-ils augmenté ou au contraire diminué près de chez vous ? Le Devoir a obtenu les données des ventes de maisons unifamiliales et de condos effectuées sur Centris entre le 1er janvier et le 31 mars de 2022 et de 2023.

Entrez le nom de votre municipalité ci-dessous ou cliquez directement sur votre région sur notre carte interactive pour obtenir une réponse.

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Zone InnoVitam : des citoyens demandent de revoir le projet

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 janvier 2023 Commentaires fermés sur Zone InnoVitam : des citoyens demandent de revoir le projet

Source : Louis-Philippe Arsenault, Radio-Canada, le 16 janvier 2023


Les 15 terrains ciblés par la zone d’innovation n’ont pas encore trouvé preneur.
PHOTO : VILLE DE QUÉBEC

L’organisme La Table citoyenne Littoral Est demande à la Ville de Québec de revoir la vocation des 15 terrains du quartier Maizerets dédiés à la zone de développement techno-industriel InnoVitam.

L’organisme communautaire déplore que le projet se soit élaboré sans aucune étude d’impact. La future zone d’innovation a déjà des effets sur l’embourgeoisement du quartier avec la construction récente d’immeubles à condos haut de gamme, soutient la présidente de la Table citoyenne, Marie-Hélène Deshaies.

Il y a une hausse des prix des loyers, il y a des gens qui sont évincés, il y a des gens qui perdent leur logement, observe-t-elle.
Pour l’instant, la vocation de la totalité des terrains n’est plus négociable à l’exception de celui du garage municipal de La Canardière. La Table citoyenne tente de convaincre la Ville de Québec d’en faire un centre social autogéré.

[C’est un projet qu’]on a bâti avec d’autres citoyens qui sont inclus là-dedans, mais aussi des groupes communautaires qui ont des besoins de locaux, qui ont des besoins d’équipements partagés, indique Mme Deshaies.

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Nouvelles bornes de stationnement et nouvelle application bientôt à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 décembre 2022 Commentaires fermés sur Nouvelles bornes de stationnement et nouvelle application bientôt à Québec

Source : Louis Gagné, Radio-Canada, le 12 décembre 2022


PHOTO : RADIO-CANADA / LOUIS GAGNÉ

La Ville de Québec va de l’avant avec son projet d’acquérir de nouvelles bornes de stationnement utilisant une technologie de paiement par plaque d’immatriculation plutôt que par numéro d’espace. Elle renonce par ailleurs à moderniser son application de paiement maison Copilote, qui sera remplacée par un logiciel supporté par l’entreprise qui lui fournira les bornes.

La Municipalité a publié lundi un appel de propositions pour la modernisation de la solution de gestion du stationnement. Elle souhaite procéder à l’acquisition de 143 bornes alimentées par panneau solaire permettant le paiement en espèces et l’impression d’un reçu.

L’an dernier, l’administration Marchand avait annoncé le remplacement imminent des quelque 200 bornes de paiement de stationnement acquises en 2012, dont le déploiement avait nécessité des investissements de 1,7 million de dollars.

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Électrification des transports en milieu urbain

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 septembre 2022 Commentaires fermés sur Électrification des transports en milieu urbain

Pour outiller les municipalités appelées à réagir ou à prendre part à l’électrification des transports, Vivre en Ville propose une approche et des stratégies inspirantes visant à favoriser l’émergence de milieux urbanisés où l’intégration des modes électriques leur permet de participer non seulement à la transition énergétique, mais aussi au déploiement de la mobilité durable.

Les propositions de l’organisme

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Un centre de données aux limites de Vanier ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 mai 2021 4 commentaires

Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 9 mai 2021

Un investisseur privé, Hydro-Québec et la Ville de Québec poussent pour qu’apparaisse un ample bâtiment de 5 étages, bourré de technologies de pointe, sur une vaste friche appartenant à la société d’État… Voici les infos que nous avons grappillées. Aujourd’hui, nous sommes dans le quartier Vanier. Le lot inoccupé, convoité, se trouve sur la rive ouest de l’autoroute Laurentienne. Et au nord de la voie ferrée qui longe la rue Soumande.

On aperçoit, plus loin, le centre commercial Fleur de lys et le gros amphithéâtre blanc d’ExpoCité.

Le propriétaire du terrain que nous foulons : Hydro-Québec. Son lot fait pratiquement 500 000 mètres carrés. C’est plus ou moins 5,4 millions de pieds carrés. Il y a donc de la place.

Trop de place, en fait, pour les besoins de la société d’État, explique au Soleil le conseiller en relations avec le milieu Marc-Antoine Ruest. Un morceau a donc été mis aux enchères.

Pas tout le lot. Car il y a ici des installations stratégiques pour Hydro-Québec. Sur l’affiche à l’entrée du 2, rue Samson, il est écrit que les gros transformateurs des postes Québec II ainsi que Frontenac 1 et 2 s’y trouvent.

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Le site visé.

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Le miracle québécois expliqué

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 mai 2021 2 commentaires

Jean-Philippe Décarie
La Presse

Depuis 25 ans maintenant, l’économie de la ville de Québec s’est résolument transformée grâce à l’essor soutenu d’entreprises du secteur privé, principalement de haute technologie, qui a insufflé à la ville un dynamisme jamais vu ici et inégalé au pays. Québec était la municipalité qui affichait le plus bas taux de chômage au Canada avant la pandémie, et elle a repris le premier rang des villes canadiennes avec un taux de sans-emploi de 4,9 % en mars dernier. Le maire Régis Labeaume nous explique le miracle québécois.

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Le souffle de la nouvelle économie à Québec

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Pour un usage plus judicieux des espaces publics en transport

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er août 2020 1 commentaire

Catherine Morency, ing., PH.D.
professeure à Polytechnique Montréal, Titulaire de la Chaire Mobilité
Points de vue (Le Soleil)

Après avoir enclenché la reconfiguration spatio-temporelle des systèmes d’activités et s’être activé à contracter la ville, il faut transférer les déplacements faits en auto-solo vers des modes de transport plus sobres.
Phase 2. Les réseaux routiers font piètre figure d’un point de vue optimisation : véhicules privés pratiquement vides (< 1,2 personne par automobile en pointe), capacité mal utilisée (si on tient compte des sièges vides, le taux d’utilisation de grands corridors de transport montréalais est sous les 10 %), priorisation des modes les moins efficaces sur les emprises publiques (la capacité de transport des personnes offerte par une voie dédiée à l’autosolo est moindre que celle dédiée au transport en commun, au vélo ou même à la marche), abondance d’espaces de stationnement gratuits. Face à une mobilité plutôt désorganisée, où chacun détermine ses comportements, il est essentiel que les conditions d’usage des différents modes de transport incitent les voyageurs à faire des choix qui tiennent compte des impacts globaux : GES, sécurité, polluants, santé publique, utilisation des ressources, étalement urbain, congestion, équité. Il faut favoriser le recours à des modes de transport plus efficients en rendant les solutions de rechange plus compétitives, efficaces, confortables, abordables et accessibles par rapport à l’autosolo. Et il doit y avoir plusieurs options pour répondre aux besoins de tous les segments de population et types de déplacements. Cette diversité est essentielle pour affranchir les citoyens de la nécessité de posséder un, deux voire plus de véhicules privés. Rendre les solutions de rechange à l’autosolo plus attractives Il existe plusieurs solutions de rechange à l’automobile privée : la marche, le vélo, les modes partagés, le transport à la demande et le transport en commun, colonne vertébrale des options par rapport à l’autosolo. Celles-ci doivent devenir des options de choix pour plus de déplacements et plus de personnes. Dans les régions métropolitaines du Québec, entre 20 et 24 % des déplacements quotidiens pourraient se faire à pied ou à vélo. Pour engendrer un transfert modal, il faut offrir des infrastructures piétonnes et cyclables sécuritaires, efficaces et confortables pour tous les segments de population (incluant enfants, personnes âgées et à mobilité réduite). Quant au transport en commun, qui a une capacité de transport nettement plus élevée que la voie dédiée à l’autosolo, il est urgent qu’on le sorte de la congestion et qu’on lui offre des conditions d’opération dignes d’un pays développé. Rendre l’autosolo moins attractive Notre territoire s’est construit pour et autour de l’automobile. Tellement que les autres usagers se sentent souvent «de trop». Remettre l’automobile au niveau hiérarchique approprié et favoriser l’adoption de comportements plus durables, individuellement et collectivement, exige de : procéder au rééquilibrage équitable des espaces-temps urbains (à Mont­réal, moins de 0,5 % de la voirie est dédiée au transport en commun exclusif alors que la voiture stationnée bénéficie de 30 % de ce même espace) et réduire les débits et vitesses de circulation, principaux facteurs de risques d’accidents de la route; flexibiliser le financement des municipalités pour les inciter à adopter de meilleures pratiques de développement urbain et réduire les distorsions métropolitaines; ajuster les coûts et conditions d’utilisation de l’automobile (surtaxe gros véhicules, taxes kilométriques, offre de stationnement) pour rééquilibrer l’arbitrage entre les coûts de transport et d’habitation et internaliser la valeur économique des impacts négatifs générés par son usage. Phase 3. Pour tous les déplacements en automobile privée sans alternative viable, il faut travailler à améliorer le bilan (énergétique, GES, santé, équité, etc.) de chaque kilomètre parcouru. Changer les conditionsde déplacement Le niveau de consommation énergétique varie en fonction de plusieurs facteurs : température, état de la chaussée, pente, type de véhicule, vitesse, comportement de conduite. Conduire en congestion implique une plus grande consommation d’essence (et donc plus de GES) par kilomètre parcouru en raison des accélérations et décélérations fréquentes. Reporter des déplacements hors des pointes et améliorer la fluidité (à ne pas confondre avec vitesse car on peut très bien avoir une fluidité lente) contribue à réduire l’empreinte des kilomètres motorisés. Favoriser les véhicules écoénergétiques de petite taille En ne gérant pas la flotte de véhicules, le Québec a manqué une belle occasion de réduire ses émissions de GES. Il faut tarifer l’achat de véhicules ayant une plus forte consommation énergétique, mais aussi ceux de plus grande taille, car ils contribuent davantage à la congestion; une estimation a permis de montrer la différence de temps de déplacement sur un tronçon congestionné de 5 km : si tout le monde conduisait une Smart Fortwo, cela prendrait 3,7 minutes, alors que si tout le monde conduisait une Ford Expedition, cela prendrait 12,7 minutes! Qu’elle soit à essence ou électrique, l‘automobile a une empreinte écologique et contribue à encombrer les réseaux, tant en mouvement que stationnée. Et, comme on dit, «faudrait bien arrêter d’investir dans le problème…» en cessant de financer l’achat de véhicules privés. Finalement, certaines règles d’or devraient être respectées dans le choix des stratégies à mettre en place : être adaptées pour tous les segments de la population (jeunes, personnes âgées, avec limitations, etc.); couvrir tous les besoins de déplacements (travail, loisir, longue distance, etc.); être accessibles économiquement; être cohérentes avec les autres cibles collectives; donner priorité aux impacts collectifs. L’article

Voir aussi : Environnement, Technologie, Transport, Transport en commun.

Application mobile 311 Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 juin 2020 Commentaires fermés sur Application mobile 311 Ville de Québec

Québec, le 16 juin 2020 – La Ville de Québec est fière d’offrir aux citoyens un nouvel outil pour faciliter leurs demandes d’intervention : l’application mobile 311 Ville de Québec. Disponible en téléchargement sur les plateformes App Store et Google Play, 311 Ville de Québec permet de soumettre des demandes d’intervention simples, comme rapporter un nid-de-poule, signaler des lumières de rues grillées ou encore demander une collecte d’encombrants.

Cette première version met de l’avant des fonctionnalités telles que la géolocalisation ou encore la prise de photo, à même l’application. L’ajout de nouvelles options, comme l’abonnement aux alertes et avis émis par la Ville, est également prévu dans les mois à venir.

« Avec l’application 311 Ville de Québec, la Ville démontre une fois de plus qu’elle a à cœur la qualité des services offerts aux citoyens, a déclaré le maire de Québec, M. Régis Labeaume. La nouvelle application permet un traitement plus rapide des demandes de citoyen et de mieux interagir avec eux en les informant aussitôt du statut des demandes qu’ils ont faites. »

Bien plus qu’un simple formulaire

311 Ville de Québec c’est bien plus qu’une simple application. Une version Web offrant les mêmes possibilités est également disponible sur le site internet de la Ville de Québec.

De plus, en se connectant ou en créant un compte utilisateur Ville de Québec, les citoyens peuvent utiliser soit l’application mobile soit sa version Web pour consulter l’état d’avancement et l’historique de leurs demandes, mettre à jour leur dossier et recevoir des notifications directement sur leur mobile lorsque le statut d’une demande est mis à jour. À noter que l’authentification permet à la Ville d’offrir une prestation de service personnalisée en permettant entre autres de contacter le demandeur si des précisions sont nécessaires ou encore pour lui donner des explications relatives à une décision.

L’application 311 Ville de Québec s’ajoute aux moyens de communication déjà disponibles, soit la ligne téléphonique et le courriel 311. Il s’agit d’une solution technologique qui répond aux besoins de mobilité et d’instantanéité tout en étant facile à utiliser.

UNe foire aux questions et un guide d’utilisation de l’application sont disponibles au ville.quebec.qc.ca. Les citoyens qui souhaitent obtenir des renseignements supplémentaires sont invités à composer le 311.

Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité, Technologie.

WIFI gratuit sur des artères commerciales de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 août 2019 Commentaires fermés sur WIFI gratuit sur des artères commerciales de Québec

Offrant déjà du Wifi gratuit dans ses édifices publics, la Ville de Québec poursuit l’expansion de son réseau et offre de nouveaux points d’accès gratuits sur des artères commerciales.

Lors de vos déplacements, repérez le visuel Wifi gratuit et suivez les indications pour vous connecter au réseau ZAP Québec.

Les artères actuellement couvertes sont :

Quai Saint-André;
la rue Dalhousie;
la rue du Marché-Champlain;
la Grande Allée, de l’avenue De Bourlamaque à la rue D’Auteuil; et
la rue Saint-Joseph.

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Voir aussi : Québec La cité, Technologie, Ville intelligente.