Photo captée dans ma rue, aux petites heures du matin. Adorable.

Est-ce que je suis le seul à ne pas apprécier les affiches électorales, que je trouve très comparables à des pourriels, mais dont il n’existe aucun «anti-spam » ? Les politiciens devraient s’inspirer de la feue mairesse qui ses faits élire sans la moindre pancarte.

C’est une façon dépassée de faire de la politique, qui pollue la planète ainsi que l’environnement visuel de nos quartiers. Parions que certains graffiteurs inspirés sauront trouver d’excellentes idées qui feront sourire les passants.

Tant qu’à « tripper gratte-ciel » à Québec, pourquoi pas un projet inspiré par exemple de celui illustré ci-contre (proposition « The Living Towers »), particulièrement dans le secteur D’Estimauville en rappel de l’ancienne Ferme SMA? Ça pourrait nous mettre sur la « map »! ;-)

Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 30 août 2008.

Depuis une vingtaine d’années, l’agriculture est revenue en ville. Les projets de jardins communautaires et d’agriculture sur les toits sont de plus en plus nombreux dans les villes européennes et nord-américaines. La crise alimentaire et la crise énergétique ont amené des chercheurs et des architectes à proposer et dessiner des projets futuristes d’édifices en milieu urbain avec une vocation agricole. Le professeur en santé publique Dickson Despommiers (!) de l’université Columbia va jusqu’à proposer un gratte-ciel de trente étages qui servirait à nourrir une population urbaine de 50,000 personnes.

Écoutons Réjean Lemoine.

Le reportage radio (env. 6 min.). À consulter aussi: Vertical Farm.

Source: Radio-Canada (Québec), 5 septembre 2008.

La pénurie de main-d’oeuvre se traduit par une baisse du taux de chômage à Québec et dans Chaudière-Appalaches.

En août, le taux a atteint 4,1 %, comparativement à 4,7 % pour le mois de juillet dans la Vieille Capitale. (…)

Dans l’ensemble de la province, la situation de l’emploi a peu bougé, mais le taux de chômage a augmenté à 7,7 %, en raison du plus grand nombre de personnes qui se cherchaient du travail. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Plein emploi sur Québec.

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 5 septembre 2008.

Dure semaine pour le Renouveau municipal de Québec (RMQ). Le départ d’un deuxième conseiller en une semaine prive désormais l’opposition de sa majorité à l’hôtel de ville. Reconnaissant l’échec de sa stratégie d’ouverture envers le maire Labeaume, le chef Jean-Marie Matte a cédé sa place à Alain Loubier pour tenter de freiner l’effritement du parti.

Les tuiles tombent avec une étonnante rapidité depuis lundi soir. En plein conseil municipal, le conseiller Yvon Bussières (Saint-Sacrement) présentait sa lettre de démission du RMQ. Puis le lendemain, c’était au tour de son collègue de Saint-Émile, Steeve Verret, de claquer la porte pour siéger comme indépendant. Du coup, l’opposition perd sa majorité à l’hôtel de ville, ne détenant plus que 18 voix sur 39. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Conseil municipal: L’opposition vide son sac.

Source: Radio-Canada (Québec), 3 septembre 2008.

(…) Cette entente octroie une aide financière de 37,5 millions de dollars pour l’agrandissement du PEPS, le Pavillon de l’éducation physique et des sports de l’Université Laval.

Il y a plus de trois ans, le projet de modernisation était évalué à 75 millions de dollars. Le recteur de l’Université Laval, Denis Brière rappelle toutefois que depuis ce temps la facture a augmenté d’au moins 10 millions de dollars. Il précise que les trois paliers de gouvernements sont au courant de cette situation.

De son côté, le Musée national des beaux-arts de Québec reçoit également une part du gâteau. Les gouvernements accordent 33,7 millions de dollars également pour un projet d’agrandissement évalué à 90 millions de dollars. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Labeaume étale ses demandes.

Source: Marc Allard, Le Soleil, 3 septembre 2008.

À quelques jours du déclenchement des élections fédérales, le maire de Québec, Régis Labeaume, assure qu’il ne veut prendre position pour aucun des partis. Mais il demande aux candidats de prendre position sur une douzaine de projets prisés par la Ville. (…)

Sans donner plus de détails, Régis Labeaume a parlé hier pour la première fois d’un train à grande vitesse (TGV) qui relierait non seulement Québec à Windsor, en Ontario, mais Québec à Chicago, aux États-Unis. Et il a demandé aux partis politiques de se prononcer sur cette idée.

Le maire Labeaume a aussi demandé que l’aéroport de Québec soit doté d’un centre de dédouanement «qui ferait en sorte que par exemple les passagers n’auraient pas besoin de passer par Montréal pour se dédouaner et ensuite venir à Québec. Ça veut dire que Québec pourrait être une destination où il y a des vols directs».

Comme il le fait depuis plusieurs mois, M. Labeaume a de nouveau critiqué le travail des députés conservateurs de la région pour leur lenteur dans les dossiers qui touchent la capitale : la construction du Super PEPS à l’Université Laval, la reconstruction du Manège militaire, l’agrandissement du Musée national des beaux-arts et du Centre de foires, la rénovation des immeubles appartenant aux Augustines, l’implantation d’un édifice pour les fonctionnaires fédéraux dans le secteur d’Estimauville.

Régis Labeaume a de plus demandé aux candidats de se prononcer sur la construction d’un toit à l’anneau de glace Gaétan Boucher dans l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery et d’appuyer le projet de Robert Lepage, surnommé Le diamant, de transformer le tunnel abandonné de l’autoroute Dufferin en salle de théâtre. «On veut que ça se fasse!», a-t-il dit. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Un TGV dans 12 ans.

Source: Alexandre Noël, Le Soleil, 2 septembre 2008.

Autre fête du Travail, autre Réclame ta rue. Quelques centaines de personnes ont défilé dans les rues des quartiers Saint-Roch et Limoilou, hier, pour finalement occuper le boulevard des Capucins entre le chemin de la Canardière et la 8e Rue pour «se réapproprier l’espace public». (…)

Pour d’autres, le message était plus direct. «Vous êtes pas tannés d’attendre dans le traffic (sic), gang de caves?! Flushons les chars» pouvait-on lire sur l’un des panneaux d’homme-sandwich de Geoffroy, un étudiant en agro-alimentaire à l’Université Laval. «Je ne crois pas qu’on peut abolir l’automobile, je suis réaliste, mais on peut faire des changements. La ville est conçue pour les autos, il y a plein d’espaces pour les parkings. Si elle était conçue pour les gens, il y aurait plus d’espaces verts, on aurait une meilleure qualité de l’air, moins de pollution, moins de bruit.» (…)

La suite. À consulter aussi, entre autres billets: Reportage photo: Réclames ta rue 2008.

The Record, le quotidien de Kitchner-Waterloo, vient de mettre en ligne un extraordinaire vidéo sur la publicité dont nous sommes victime en milieu urbain. Le plus impressionnant, c’est que Ian Willms, l’auteur du vidéo/time lapse, n’est qu’un stagiaire.

PS: Aucunement besoin de comprendre l’anglais pour apprécier…

Source : Éric Boucher, Québec Hebdo, le 29 aout 2008

L’Académie Saint-Louis n’a toujours pas de terrains pour construire son pavillon Saint-Louis-de-Gonzague et il pourrait être difficile d’en trouver un à proximité du collège.

L’Actuel soulignait, dans son édition de la semaine dernière, que l’Académie Saint-Louis, de la rue Rive Boisée Sud dans Lebourgneuf, a récemment fait l’acquisition du collège privé centenaire de niveau primaire de la rue Richelieu dans le Vieux-Québec. L’Académie Saint-Louis compte dès septembre 2010 ajouter quelque 400 nouveaux élèves aux 300 élèves actuels de niveau primaire dans un pavillon à construire, d’ici là, à proximité de l’école secondaire. Le problème est que L’Académie ne possède toujours pas de terrains pour ce faire comme l’a confirmé à L’Actuel, le directeur de l’institution, Jocelyn Lee. La direction de l’établissement confirme avoir les yeux sur trois terrains à proximité. Deux de ces terrains sont adjacents au parc de l’escarpement dans le secteur des Méandres et appartiennent à la Ville de Québec. Une source sûre à la Ville a confirmé à L’Actuel que la Ville de Québec n’est pas du tout enchantée à l’idée de vendre ces terrains, pour en faire une école, à l’Académie Saint-Louis. Le troisième terrain appartient au promoteur Stéphane Huot.