Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Boucherie W.E. Bégin: le proprio jette l’éponge

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 mai 2016 1 commentaire

Normand Provencher
Le Soleil

(Québec) De guerre lasse, le propriétaire de l’ancienne boucherie W.E. Bégin, Luc Massicotte, jette l’éponge. L’homme d’affaires espère conclure sous peu la vente de son projet de condos qui doit remplacer l’édifice en décrépitude de la rue Saint-Jean. Ce n’est qu’une fois la transaction conclue que l’immeuble honni, à l’abandon depuis bientôt quatre ans, pourra disparaître sous le pic des démolisseurs.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Facadism: is it an architectural plague or preservation ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 mai 2016 Commentaires fermés sur Facadism: is it an architectural plague or preservation ?

Richard Longley
Now

It might be the dirtiest word in the conservationist’s dictionary, unless you prefer “facodomy” or landscape architect and planner Bob Allsopp’s “urban taxidermy.” It cannot be popular among architects either, who would rather design buildings that are wholly their own.

But if facadism – building new structures above, behind or inside the skins of heritage buildings – is so heinous, why is it so common?

Is it because, since Torontonians have lost so much of their city’s past, they are determined to hold on to fragments of what remains? Or is it because so many architects seem to have lost the knack of creating building fronts that impress, awe, intrigue, enchant or invite us to explore within?

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Voir aussi : Architecture urbaine.

Des trousses de nettoyage pour graffitis

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 mai 2016 3 commentaires

L’équipe de Graff’Cité est fière de vous annoncer le lancement d’un outil efficace et novateur en matière de lutte aux graffitis : les trousses de nettoyage autonome! Ces trousses clé en main seront mises gratuitement à la disposition des propriétaires de résidences et des commerçants des quartiers de Québec les plus touchés par le phénomène du graffiti, soit : Saint-Roch, Saint-Sauveur et Saint-Jean-Baptiste. Elles permettront au citoyen d’agir rapidement en cas de vandalisme sur leur immeuble, ce qui contribuera grandement à diminuer la prolifération du nombre de graffitis dans leur quartier. En effet, il est prouvé que plus un graffiti est nettoyé rapidement, moins il y a de chances que d’autres graffitis n’apparaissent puisque cela réduit l’effet d’entrainement.

En échange d’un dépôt de 20$, les citoyens peuvent dès maintenant se procurer une trousse complète dont ils disposeront pour 48h. Chaque trousse contient tout le matériel nécessaire au nettoyage autonome des graffitis, soit : un produit nettoyant, des gants en nitrile, un masque, des lunettes, une brosse et un tampon récurant.

75 trousses de nettoyage sont disponibles dans les trois points de chute suivant :

• Quartier Saint-Roch : Inter-Marché Saint-Roch au 272, rue Saint-Joseph Est
• Quartier Saint-Sauveur : Bijouterie Serge Gagnon au 254, rue Saint-Vallier Ouest
• Quartier Saint-Jean-Baptiste : Quincaillerie Rona au 298, rue d’Aiguillon

Des formations d’utilisation des trousses seront aussi offertes aux dates suivantes :
• Jeudi le 16 juin à 19h30 à l’ÉNAP
• Samedi le 16 juillet à 10h au Parc Durocher
• Mardi le 21 juin à 19h30 au Centre culture et environnement Frédéric Back

Pour sa part, la brigade de Graff’Cité sera encore active cet été afin de nettoyer l’arrondissement de La Cité-Limoilou de ses graffitis indésirables. Depuis maintenant 13 ans ce projet de réinsertion professionnelle du CJE de la Capitale Nationale engage chaque année une douzaine de jeunes éloignés du marché de l’emploi afin de leur faire vivre une expérience de travail concrète bonifiée par l’accompagnement psychosocial d’une équipe d’intervenants. Fait intéressant à noter cette année ; la flotte de véhicules augmente avec l’arrivée d’un deuxième camion de nettoyage!

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Message d'intérêt public.

Québec urbain à la radio

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 mai 2016 Commentaires fermés sur Québec urbain à la radio

Québec urbain est de retour à la radio aujourd’hui à 11:00 sur Énergie 98,9 avec l’animateur Mario Tremblay. Comme les fois précédentes, un bon tour de l’actualité urbanistique est au menu.

Sound cloud

Voir aussi : Message d'intérêt public.

Les fontaines Wallace à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 mai 2016 Commentaires fermés sur Les fontaines Wallace à Québec

L’antiquaire Marc Maison, celui qui a vendu à Simons la fontaine de Tourny, a mis en vente récemment une fontaine Wallace. Nous en avons deux à Québec, soit rue St-Paul et l’autre étant coin Avenue Cartier/Grande Allée. Connaissant l’antiquaire, je me suis informé et les fonderies GHM les fabriquent encore de nos jours, au coût de 29.000 Euros hors taxes, avec 9 mois d’attente. Les fontaines anciennes du 19è siècle sont classées monuments historiques, et cela vaut plutôt 80000 euros !

« Les fontaines Wallace (Source: Société historique de Québec)

En septembre 1998 se tenait à Québec le premier Symposium Paris-Québec sur la réhabilitation des cours d’eau en milieu urbain. À cette occasion, Daniel Meraud, le président du Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (SIAAP), fait part de son intention d’offrir une fontaine Wallace à la Ville de Québec pour symboliser la coopération franco-québécoise et plus particulièrement celle initiée par les deux agglomérations urbaines. Ce type de fontaine trouve son origine à la fin du XIXe siècle. Voyant la crise d’approvisionnement en eau qui affectait la capitale française au lendemain du siège de 1870, Richard Wallace offrait à la Ville de Paris une cinquantaine de fontaines d’eau potable dessinées par le sculpteur Charles-Eugène Lebourg. Celle offerte à la Ville de Québec est identique aux centaines de fontaines Wallace qu’on retrouve aujourd’hui dans la ville de Paris. Elle est située au coin nord-ouest de la rue Cartier et de la Grande Allée, Elle est inaugurée le 22 juin 2000 par le maire Jean-Paul L’Allier. Éventuellement, il y en aura une seconde sur la rue Saint-Paul, au croisement de la ruelle Légaré. On en retrouve également à Montréal et à Granby. » * Jean-François Caron (historien)

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Voir aussi : Histoire, Québec La cité.

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