Annie Morin
Le Soleil
(Québec) La première politique québécoise du transport collectif visait une augmentation globale de 8% de l’achalandage et de 16% de l’offre de services entre 2006 et 2011. L’achalandage a plutôt grimpé de 11%, le nombre d’heures de services de 19% et le nombre de kilomètres parcourus en autobus et en métro de 23% en cinq ans. À Québec, le Réseau de transport de la Capitale a fait légèrement mieux que cette moyenne.





