* Merci à un fidèle lecteur (Jean-Pierre Duval) pour cette photo de la construction du stationnement Sears, à Place Laurier (maintenant Laurier) en 1971. D’autres photos suivront dans un avenir rapproché.
* Merci à un fidèle lecteur (Jean-Pierre Duval) pour cette photo de la construction du stationnement Sears, à Place Laurier (maintenant Laurier) en 1971. D’autres photos suivront dans un avenir rapproché.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Histoire, Voyage dans le temps.
Pour faire suite à ce billet sur cette enquête, au 16 mai 2011, 444 répondants ont complété les 3 modules et 286 qui sont en cours. L’enquête se continue. Participez ! :)
Voir aussi : Message d'intérêt public, Nouvel urbanisme, Publications & ressources Internet, Québec La cité.
Cet article fait partie d’une série portant sur le premier plan d’urbanisme pour la Ville de Québec commandé par le maire Lucien Borne réalisé par Jacques Gréber, Edouard Fiset et Roland Bédard entre 1949 et 1956.
L’augmentation de la popularité de l’automobile au début du siècle a apporté bon nombre de problématiques à notre vieille ville mal adaptée à ces nouveaux et nombreux chars d’acier. En 1950, on dénombre 10 000 voitures dans la région métropolitaine de Québec. Ce nombre grimpe à 60 000 vers 1960. Les bouchons de circulation et les difficultés de se rendre à bon port font partie des préoccupations des citoyens de l’époque. En 1950, il n’existe aucun lien routier périphérique. Si un voyageur interurbain provient du Saguenay ou la côte de Beaupré, il doit emprunter les rues municipales pour se rendre au Pont de Québec. On rapporte de nombreux accidents puisque toute la circulation de transit devait emprunter les rues étroites de Québec. Ces mêmes rues étaient souvent des artères commerciales très achalandées. Dans le rapport Gréber, on explique qu’il n’existe aucun réseau logique et fonctionnel de voies de circulation dans la région.Voir aussi : Histoire, Voyage dans le temps.
Un lecteur assidu (Jacques Martin) que je remercie nous donne cette information quant à une réalisation extraordinaire, en bois. Ailleurs.
Voir aussi : Architecture urbaine.
Vous aimez l’architecture ? Sur ce site, auquel on peut s’abonner par leur liste de diffusion, on y trouve souvent des projets magnifiques.
En voici un: Une bibliothèque
Voir aussi : Architecture urbaine, S'inspirer d'ailleurs.
Le projet était pour l’époque révolutionnaire et a inspiré d’autres écoquartiers d’Angleterre et d’ailleurs depuis bientôt une décennie.
Un quartier de la lointaine banlieue de Londres où les résidants allaient pouvoir «vivre vert», c’est-à-dire : économiser l’eau et l’énergie, recycler les ordures, brancher la voiture électrique à la porte ou se déplacer à vélo ou en transport public.
Une architecture novatrice qui permet à tous les logements, même à ceux aux étages, d’avoir un coin de jardin ou une grande terrasse verte privée.
Voir aussi : S'inspirer d'ailleurs.
Catherine Boisclair, Présidente d’Accès transports viables
Xavier Mercier Méthé, Coordonnateur aux dossiers
La sortie de Carole Després, professeur à l’Université Laval, nous rappelle qu’il y a deux attitudes face à un problème complexe comme celui de la mobilité durable : ne rien faire par fatalisme, ou essayer de trouver des solutions.
Vrai, une partie importante de la population vit présentement en banlieue et il est très difficile de la desservir adéquatement par le transport collectif, notamment le tramway. Ce que la chercheuse oublie, c’est que les gens ont adopté ce mode de vie parce que les conditions étaient réunies : autoroutes, voitures abordables, pétrole bon marché…
Or, ce mode de développement est un cul-de-sac
La suite dans Québec Hebdo
Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.
François Bourque
Le Soleil
(Québec) L’hôtelier Jacques Robitaille, propriétaire de l’immeuble abritant l’ancien YMCA de la place D’Youville, confirme avoir accepté une offre d’achat d’Ex Machina.
La compagnie de Robert Lepage envisage d’y aménager une nouvelle salle de spectacle de 650 places. Une sorte de «plan B» pour le Diamant, dont la version initiale prévoyait une construction à flanc de falaise, entre les bretelles de l’autoroute Dufferin.
Cette hypothèse est aujourd’hui jugée inabordable, malgré les efforts pour essayer d’en réduire les coûts.
L’offre d’achat d’Ex Machina est valide jusqu’à l’automne, mais est conditionnelle aux résultats d’une étude sur la faisabilité du projet de Diamant.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.
Un lecteur (Jeanson Morin) nous fait part que « la Ville me répond à une question portant sur le développement du quartier près du Boulevard de la Morille. Je demandais si le quartier envisagé pourrait ressembler à la rue commerciale du Campanile, mixte et dynamique. »
Voici la réponse de la Ville de Québec:
Les édifices projetés au nord de la Morille auront 4 étages. Les rez-de-chaussée seront utilisés à des commerces de taille réduite. Les étages sont destinés aux logements. Le concept retenu pour ce secteur de la Ville vise à permettre la création d’un milieu d’animation à l’échelle du quartier. Une place publique y sera aménagée au même endroit. Ces bâtiments seront en lien avec une collectrice desservant le Centre Communautaire de Lebourgneuf. Les liaisons piétonnes et cyclables y seront encouragées également et facilitées.
Le secteur du Campanile a été aménagé voilà plus de vingt ans. Il est peu probable que le concept architectural retenu à l’époque soit le même sur le boulevard de la Morille. Toutefois, les objectifs poursuivis par la Ville visent justement à créer une animation urbaine pouvant s’inspirer de celle observée sur la rue du Campanile. Toutefois, la Ville ne dispose pas des outils normatifs requis pour imposer un design précis des bâtiments dans le cadre d’un projet de développement. Il revient au promoteur du projet et à son architecte de proposer un projet qui verra à respecter les objectifs de la Ville.
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières.
* Selon l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec (APCHQ)
François Cattapan
Journal Habitation
Dans son mémoire présenté cette semaine à la Commission de l’aménagement du territoire, dans le cadre de la Consultation générale sur l’avant-projet de loi sur l’aménagement durable du territoire et l’urbanisme (LADTU), l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec (APCHQ) a émis notamment le souhait que la nouvelle législation d’urbanisme favorise le développement et qu’on évite d’utiliser le secteur de l’habitation comme s’il s’agissait d’un guichet automatique pour les Villes.
Pour l’organisme patronal regroupant des entrepreneurs résidentiels l’élément le plus frappant de cet avant-projet de loi est sans contredit l’octroi de nouveaux pouvoirs aux municipalités. En effet, il est mentionné que ceux-ci pourraient leur permettre, par exemple, d’imposer aux propriétaires de nouvelles constructions résidentielles des frais qui serviraient à financer le transport en commun ou des pistes cyclables. Selon l’APCHQ, cela est inapproprié et inéquitable, puisque les coûts de services tels que le transport en commun doivent normalement être financés par les taxes foncières de tous les résidents.
Voir aussi : Architecture urbaine, Publications & ressources Internet.