Source : Québec Hebdo

La Ville de Québec désire informer la population que des restrictions à la circulation seront en vigueur le lundi 23 novembre sur une portion de la côte de la Potasse.
De 9 h à 15 h 30, la circulation sera interdite sur la côte de la Potasse, entre les deux bretelles de l’autoroute Dufferin-Montmorency. Les automobilistes devront emprunter les rues des Glacis et D’Aiguillon.

Ces restrictions sont nécessaires afin d’effectuer le montage d’une structure pour l’événement «Big Air 2010» qui se tiendra le 23 janvier.

l’article

Le communiqué de la ville.

Le Big Air l’an dernier sur Québec Urbain.

Renée Larochelle
Au fil des évènements

Ceux qui choisissent de vivre en banlieue vous le diront: ils ne se verraient pas venir travailler autrement qu’en automobile et ils n’échangeraient pour rien au monde leur maison unifamiliale pour un appartement en ville

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Pascale Guéricolas
Au fil des évènements

Un colloque sur les capitales et le patrimoine au 21e siècle a réuni des ethnologues, des anthropologues, des historiens, des architectes, mais aussi des spécialistes en études touristiques. (…) En se penchant sur le cas de Québec, cité où il réside depuis 25 ans, l’historien de l’Université Laval Laurier Turgeon en a surpris plus d’un.

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Les quartiers historiques : Pressions, enjeux, actions

Colloque international, dans le cadre des États généraux du Vieux-Québec, organisé par l’Institut du Nouveau Monde (Montréal, Canada) à l’initiative du Comité des citoyens du Vieux-Québec (Québec, Canada).

Québec, 20-21 mai 2010 Appel à communications
Les quartiers historiques constituent des réalités complexes. Qu’ils figurent ou non sur la liste des sites du patrimoine mondial de l’UNESCO, on les érige en hauts lieux patrimoniaux dont une industrie touristique ramifiée à l’échelle internationale se charge d’assurer la fréquentation. En outre, on assiste depuis quelques décennies à des mouvements de population sans précédent dans les quartiers historiques qui sont en partie dévolus à des usages résidentiels. Parfois, on y retrouve
de puissants processus de gentrification au fil desquels de jeunes ménages professionnels aisés s’ajoutent ou se substituent à la trame des anciennes populations locales. Cela alimente les multiples pressions qui s’exercent de part et d’autre sur leur marché immobilier. Sur le plan
commercial, la construction des liens de proximité y est rendue particulièrement complexe sous le poids conjugué de l’industrie touristique et des tendances économiques contemporaines,
notamment celles qui sont caractéristiques de l’évolution récente des quartiers centraux. Les quartiers historiques sont à l’image de scènes plurifonctionnelles où les débats publics se jouent entre le rythme de la vie locale et les dynamiques identitaires, culturelles, économiques et
politiques nationales et même supra-nationales.
En faisant appel à des études de cas tirées de tels contextes locaux partout dans le monde, le colloque entend examiner attentivement les problématiques majeures et les principaux enjeux qui caractérisent les quartiers historiques du XXIe siècle. Pour ce faire, nous sollicitons des
propositions en provenance de toutes les sphères de la communauté scientifique, de la sphère politique, d’administrateurs municipaux et de représentants de groupes associatifs, nommément associations de commerçants et de citoyens.
Les propositions de communication, d’une longueur de 500 mots, seront accompagnées d’une notice bio-bibliographique d’une page. Elles s’articuleront autour de quatre axes principaux mais non exclusifs :
1- Les expériences de « mise en patrimoine » et de « mise en tourisme » dans les quartiers historiques ; les stratégies retenues par leurs acteurs ; les tensions, les conflits et les négociations auxquels donnent lieu la mise en patrimoine et la mise en tourisme des quartiers
historiques.
2- Les dynamiques relatives à l’habitat et au commerce dans les quartiers historiques ; l’hôtellerie illégale ; les mécanismes et les processus sous-jacents au développement des marchés immobiliers et les pressions qui s’exercent sur eux ; les divers contextes et modalités
entourant la construction des liens de proximité sur les plans de l’habitat, de la vie de quartier et du commerce ; les mouvements associatifs et leurs rapports avec les dynamiques d’habitation et de commerce ; la place de l’urbanisme et du zonage dans le développement
des quartiers historiques.
3- Les liens démographiques, économiques, politiques et culturels entre les quartiers centraux et les quartiers historiques ; les expériences passées et présentes de rénovation urbaine (urban renewal) et les idéologies qui les sous-tendent ou qui les ont sous-tendues.
4- Les expériences de concertation, passées et présentes, visant la prise en charge, par les communautés locales, des quartiers historiques.
Les propositions de communications seront arbitrées par le comité scientifique du colloque. Les communications pourront être présentées en français ou en anglais. Les conférenciers retenus devront fournir le texte de leur conférence au plus tard une semaine avant la tenue du colloque.
Préalablement au colloque, les communications seront mises en ligne pour le bénéfice de l’ensemble des participants. À la suite de l’événement, les textes bonifiés feront l’objet d’une publication savante arbitrée par un comité indépendant.
Les propositions de communications sont attendues au plus tard le 15 décembre 2010 à l’adresse suivante : vieux-quebec@inm.qc.ca

Source : Régys Caron, Le Journal de Québec, 29 octobre 2009

Régis Labeaume promet de transformer l’édifice F.-X.-Drolet, sur la rue du Pont, en atelier de production et d’exposition artistique. Les 205 employés de la Ville qui travaillent à cet endroit seront déménagés.

L’édifice, sis à l’angle de la rue Saint-Édouard, dans le quartier Saint-Roch, abrite un garage municipal de huit portes, des ateliers et des bureaux. L’endroit idéal pour loger des artistes qui font dans la sculpture, la peinture ou la bande dessinée, la musique ou la danse, a exposé le chef de l’Équipe Labeaume, au moment où il divulguait ses engagements électoraux en matière de culture.

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Le mercredi 28 octobre 2009, à 19 heures, à l’école Saint-Louis-de-Gonzague, 980 rue Richelieu, G1R 1L5, Québec.

Monsieur Christian Yaccarini, PDG Société de développement Angus : Une entreprise d’économie sociale spécialisée dans la revitalisation urbaine:

« Voter au municipal… qu’ossa donne? » (Musée de la Civilisation. 29 octobre 2009, 19h30, Gratuit)

À quatre jours des élections, le réseau québécois de chercheurs en études urbaines « Villes Régions Monde », en collaboration avec le CRAD de l’Université Laval et le Musée de la civilisation, convie la population à une réflexion sur la démocratie municipale sur le thème « Voter au municipal : qu’ossa donne? ». Animé par Matthieu Dugal, chroniqueur culturel à Vox et TV5, cet événement vise à discuter des enjeux moins médiatisés qui éclairent la vie municipale sous un autre jour. Cinq invités lanceront le débat : Vincent Deslauriers, porte-parole du projet « Démocratie en route, Gaétan Beaulière, porte-parole du Projet Gatineau, Réjean Lemoine, chroniqueur urbain, ainsi que Laurence Bherer, professeure en science politique à l’Université de Montréal et Marie-Claude Prémont, professeure de droit à l’ENAP. Ils aborderont les principaux enjeux des affaires municipales ainsi que comment devrait s’opérer l’exercice du pouvoir et se structurer la façon dont les citoyens font entendre leur voix. La population est invitée à venir s’exprimer sur ces questions, dans une formule « café philosophique ». L’événement se tiendra dans le hall du Musée de la civilisation à 19 h 30. L’entrée est gratuite.

L’École d’architecture de l’Université Laval accueille les 1res Rencontre VRM sur le thème « Qu’est-ce qu’une ville peut faire… ? » (École d’architecture de l’Université Laval, 1 Côte de la Fabrique, Québec)

Jeudi le 29 octobre, le Centre de recherche en aménagement et développement de l’Université Laval accueille les 1res Rencontre Villes Région Monde sur le thème « Qu’est-ce qu’une ville peut faire… ? ». À quatre jours des élections municipales, cette première édition vise à mettre en place un rendez-vous annuel favorisant le dialogue entre les chercheurs en études urbaines et la communauté d’acteurs intéressés par l’aménagement des villes et de leur région métropolitaine. Cette journée de rencontres regroupera des professionnels en pratique privée, des cadres et employés de la fonction publique, des élus, ainsi que des représentants d’organismes et associations des six agglomérations urbaines du Québec. Pour l’occasion, un « Quartier des sciences » s’installera à l’École d’architecture dans l’Édifice du Vieux-Séminaire, hébergeant trois « cafés des sciences » en lien avec les questions suivantes: Comment concilier croissance urbaine et développement durable? Comment rallier les intérêts des acteurs face aux grands projets? Comment répondre à la diversité des besoins et des aspirations des citoyens? La formule « café des sciences » permettra un généreux temps de discussion entre les participants et la douzaine de chercheurs invités qui initieront les échanges. À la fin de la journée, un chercheur universitaire, une fonctionnaire à la retraite et un journaliste mettront en relation leur compréhension des principaux enjeux, défis et pistes de solution entendus au cours de la journée. Les chercheurs invités sont Pierre Gauthier, Université Concordia; Carole Després, Florent Joerin, Geneviève Vachon et Marie-Hélène Vandersmissen, Université Laval; Nik Luka, Université McGill; Laurence Bherer et Sandra Breux, Université de Montréal; Hélène Bélanger, Jean-Pierre Collin, Marie-Soleil Cloutier et Claire Poitras, INRS-UCS; Dominique André, ISQ; Isabelle Boucher, MAMROT; Josée Dion, SCHL ; Denis Jean, Ville de Québec; Perla Serfaty-Garzon, ex-employée de la Ville de Montréal; et Réjean Lemoine, chroniqueur urbain).

Renseignements / Coordonnatrices de l’événement :

Carole Després, professeure d’architecture et directrice du Centre de recherche en aménagement et développement, Université Laval : 418 656-2131, poste 3707
Laurence Bherer, professeure de science politiquer, Université de Montréal :
514 343-6111 poste 1704#

D’autres infos

Marie-Josée Nantel
Le Soleil

(Québec) Afin de favoriser l’accession à la propriété aux familles dans le Vieux-Québec, la candidate indépendante Anne Guérette, conseillère dans le district Vieux-Québec-Montcalm, propose que la Ville de Québec devienne promoteur immobilier.

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Appui de la candidate au Comité Populaire St-Jean-Baptiste

Un centre-ville pour gens âgés ?

Source : Radio-Canada

Le premier ministre du Québec a profité de cette annonce pour réitérer son souhait de voir la ville de Québec accueillir les Jeux olympiques d’hiver. Il pense que Québec est la ville idéale pour obtenir les Jeux à moyen terme.

Le maire sortant de Québec, Régis Labeaume, se réjouit des propos du premier ministre. « Je pense qu’il a parfaitement raison », a-t-il dit en rappelant que le premier ministre canadien Stephen Harper a mentionné récemment qu’il devrait y avoir des équipes de hockey professionnel à Québec, Hamilton et Winnipeg.

tiré de l’article suivant

et la citation du premier ministre du Québec concernant cette éventuelle candidature :

Il y a une autre ville dans le monde qui est à mes yeux faite sur mesure pour accueillir des Jeux olympiques d’hiver et c’est la ville de Québec. Je ne connais pas une ville au monde qui est mieux placée, dont l’histoire reflète ce que nous pouvons faire pour le sport.

La région est-elle mure pour une nouvelle candidature ? Les guerres de clocher qui ont miné la candidature de Québec 2002 sont-elles derrière nous ? Où tout simplement, c’est encore une dépense de « luxe » de s’aventurer dans une telle candidature ? La parole est aux citoyens…

Consultons cet article de Jean Cazes en octobre 2008 qui faisait le point sur le dossier.

Source : Régys Caron, Journal de Québec, le 22 octobre 2009

Daniel Dupuis demandera au ministère des Transports de rétrocéder à la Ville de L’Ancienne-Lorette l’emprise de l’autoroute 40 qui traverse la ville, s’il est élu le 1er novembre. M. Dupuis souhaite transformer cette bande de terre en friche en parc linéaire.

Il s’agit d’une bande de terrain qui s’étend sur un peu plus d’un kilomètre entre le boulevard Henri-IV et la route de l’Aéroport. Le ministère des Transports en est propriétaire et réserve ce terrain depuis 40 ans pour un éventuel prolongement de l’autoroute 40. « Couper la ville avec une autoroute, ça créerait une cicatrice épouvantable et ça augmenterait la pollution », plaide le chef de Démocratie Ancienne-Lorette en entrevue.

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Vous me permettrez ce petit crochet chez nos voisins, les boulevards urbains étant une forme de développement municipal très prisés à notre époque. Toutefois bien des « si » sont en suspens dans ce dossier…