Ouverture officielle, aujourd’hui, dans le cadre du Sommet de la Francophonie (le site du Sommet, incluant des communiqués de presse)!

Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 17 octobre 2008.

(…) Des planchers en béton vernis, des murs entièrement noirs en «polymère acrylique», un design ultramoderne… On est bien loin du look un peu vieillot qui caractérisait les lieux avant que la France ne choisisse d’investir 1,6 million $ dans la rénovation de ce hall pour souligner le 400e de Québec.

Le choc sera agréable pour certains et moins pour d’autres. Les amoureux du patrimoine auraient sans doute préféré que les concepteurs conservent les vieux planchers de bois et le style d’antan de cette partie de l’édifice de la côte de la Fabrique. Mais l’architecte français Franklin Azzi assure que les boiseries de l’ancien hall ne dataient que de 30 ans et n’avaient pas de valeur réelle. «On a fait l’analyse du bâtiment et des menuiseries qui existaient et on n’a pas considéré ça comme du patrimoine», a-t-il expliqué au Soleil, qui a pu visiter les lieux en exclusivité, hier matin. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Inauguration prochaine pour le “Centre de la francophonie des Amériques�.

Localisation (GoogleMap: carte et photo satellitaire)

À consulter, entre autres billets: Panorama urbain (34)….

« Question : Quelle est la résidence la plus photographiée à Québec après le Château Frontenac?

Réponse : Le Conservatoire, un ensemble architectural situé au 30, rue Saint-Denis, dans le Vieux-Québec.

Cet immeuble qui ouvre la perspective de la rue Saint-Denis, près de l’escalier de la rue Sainte-Ursule, a la réputation incontestée d’être le point de vue le plus fréquenté par les photographes. Les postes canadiennes ne s’y sont pas trompées en émettant, en 1968, un timbre de 1 $ à l’effigie du Conservatoire et de la rue Saint-Denis. » (…)

La suite

Source: Le Soleil Louis-Guy Lemieux 10 octobre 2008

Selon un communiqué émis par la Ville de Paris, le maire Bertrand Delanoë inaugurera cette semaine l’oeuvre offerte par Paris à la Ville de Québec pour son 400e.

Le sculpteur lumière Patrick Rimoux en est l’auteur. Il est également celui qui mettra en lumière le Centre de la Francophonie situé tout juste en face de l’Hôtel de Ville de Québec.

Certains l’ignorent peut-être, mais plusieurs bâtiments de la Ville sont reliés par de courts tunnels au stationnement souterrain du secteur. À titre d’exemple, celui ci-contre, joignant le Clarendon et l’édifice Price tels qu’illustrés dans la photo suivante.

À consulter, entre autres billets: Un Québec souterrain.

Le Royal Princess (c’est bien lui, finalement!), un fidèle visiteur, était accosté cette semaine en face de Place Royale.

À consulter, entre autres billets: Le retour… 2008.

Québec, le 3 octobre 2008 – La Ville de Québec invite la population à venir assister à l’arrivée des voitures du Rallye énergie alternative des Laurentides 2008, aujourd’hui, le vendredi 3 octobre à compter de 16 h. Les voitures seront stationnées sur la rue du Fort, près du Château Frontenac.

Un rallye différent
Les seules voitures admissibles à ce rallye sont les Civic et Insight de Honda, la Prius de Toyota et la Smart fortwo diesel. Ce sont des véhicules qui consomment 5 litres ou moins de carburant au 100 kilomètres.

Contrairement aux rallyes traditionnels, celui-ci n’est pas un concours de vitesse. Les pilotes sont évalués sur leur consommation de carburant et sur la régularité de leur conduite.

Trajet emprunté
La première étape de ce rallye se terminera à Québec, ce soir. Après avoir parcouru plus de 325 kilomètres sur les routes de Charlevoix et dans la région du lac Saint-Jean, les pilotes passeront la nuit au Château Frontenac. Ils repartiront ensuite le samedi 4 octobre à 9 h, pour se rendre jusqu’à Saint-Jérôme, en passant par Trois-Rivières.

Le Rallye énergie alternative des Laurentides 2008 est une épreuve sanctionnée par la FIA (Fédération internationale de l’automobile), qui compte au total 22 équipes inscrites, qui devront parcourir 640 kilomètres.

Communiqué de la Ville de Québec.

Source : Julie Lemieux, Le Soleil, le 1er 0ctobre 2008

Le Centre de la francophonie des Amériques sera inauguré le 18 octobre, en plein coeur du sommet qui réunira les chefs d’État francophones du monde. Le président français, Nicolas Sarkozy, et le premier ministre québécois, Jean Charest, procéderont à l’ouverture officielle de ce Centre, qui a été rénové en partie par la France pour le 400e anniversaire de Québec.

Situé au Musée de l’Amérique française, dans le Vieux-Québec, le Centre aura pour mission de permettre un plus grand rayonnement de la culture et de la langue française dans les Amériques. Pour souligner les 400 ans de la capitale, la France a choisi d’offrir la rénovation du hall d’entrée de l’édifice aux Québécois. Un legs d’une valeur d’environ 2,4 millions $.

Le cadeau de la France a fait bien des vagues au cours des dernières années. L’ex-maire de Québec Jean-Paul L’Allier avait proposé à l’Élysée de construire un gigantesque escalier entre la basse et la haute ville pour souligner le 400e. Une proposition qui n’avait pas fait l’unanimité au sein de la population.

la suite, et cet article tout récent

Ce sera un bel édifice c’est certain, mais on reste un peu sur notre « faim » pour ce cadeau de la France. Et surtout que l’on apprend que la belle Carla ne sera pas de l’inauguration…

La photo ci-haut est tirée de mon reportage photo suivant: L’automne coloré à Québec (une suite et une fin!)

Source: Robert Fleury, Le Soleil (Chronique), 27 septembre 2008.

Le projet d’agrandissement du Capitole de Québec à la place D’Youville, près de la porte Saint-Jean, semble séduisant : 70 chambres d’hôtel de plus, une salle de spectacles de 400 places, un stationnement souterrain, une piscine, un centre de conditionnement physique, des condos, des boutiques spécialisées… (…)

Par contre, il serait opportun dans des projets de l’ampleur de celui de M. Pilote, et de ceux qui suivront à l’avenir, que la Ville exige une participation financière du promoteur dans des initiatives soutenues par la communauté (épicerie ou habitation coopérative, locaux communautaires…).

Autrement, les gens d’affaires profitent de l’arrondissement historique sans con­trepartie, les résidants ne récoltant trop souvent que des inconvénients. (…)

En effet, les résidants du «Vieux» n’ont cessé de perdre des services ces dernières années. Il n’y a plus de supermarché digne de ce nom. Une clinique de médecine familiale et un centre dentaire viennent de fermer leurs portes. Jusqu’à leur école de garçons qui fuit en banlieue…

Même si les hôtels et les boutiques de T-shirts foisonnent, où sont les épiceries, les quincailleries, les bars, les cafés et les petits bistros qui ont fait le bonheur des générations passées dans le vieux quartier latin?

Sans céder à la nostalgie, il faut réaliser que si des citoyens ont choisi le Vieux-Québec, c’est pour y trouver un milieu de vie. Or, les voilà obligés de s’approvisionner dans des quartiers voisins ou même en banlieue. Ils doivent utiliser leur automobile… sans pouvoir se garer au retour devant la porte. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: La dernière épicerie intra-muros ferme ses portes (bis).

« Time bandit » ?