Cet article fait partie d’une série portant sur le premier plan d’urbanisme pour la Ville de Québec commandé par le maire Lucien Borne réalisé par Jacques Gréber, Edouard Fiset et Roland Bédard entre 1949 et 1956.

Ce qui frappe en lisant le rapport d’urbanisme de Gréber, Fiset & Bédard déposé en 1956 à la Ville de Québec est sa vision. Les paramètres ont tout de même changé énormément depuis un demi-siècle. L’étalement urbain s’est réalisé et le centre-ville a souffert du déplacement de l’activité commerciale vers la banlieue avec la venue des centres d’achat et plus récemment des « power-centers ». En le comparant au plan de mobilité durable de la Ville de Québec publié en juin 2010, on constate qu’ils ont beaucoup de similitudes. En regardant les dernières réalisations et les derniers projets développés pour la région, on dirait même que le plan de Gréber est toujours d’actualité. (suite…)

Source : Alexandre Lampron, Le Journal de Québec, le 21 mai 2011

LONGUEUIL – Plutôt que d’utiliser la répression, la Ville de Longueuil a opté pour la concertation afin d’enrayer la problématique des graffitis. Le conseil municipal a approuvé mardi la mise en place d’un projet pilote d’art urbain dans les arrondissements de Saint-Hubert et Greenfield Park.

Ces projets sont basés sur des expériences positives menées dans d’autres municipalités. Ainsi, dans le cadre des projets, les murs du chalet du parc Pierre-et-Bernard-Lucas (Saint-Hubert) et du chalet du parc René-Veillet (Greenfield Park) serviront de canevas pour l’élaboration de fresques thématiques. Elles contribueront à embellir l’espace dans un souci du respect de l’environnement visuel des citoyens.

« Cette année, nous voulons valider certaines hypothèses de travail pour prendre des actions futures et en arriver à des résultats plus concluants, a mentionné en entrevue Séverine Pain, agente de développement en revitalisation urbaine intégrée (RUI), accompagnée de David Miljour, directeur de la Maison des jeunes La Porte ouverte. La répression n’est pas la solution. Il faut avoir une approche beaucoup plus intégrée. »

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Plus de 1000 graffiti disparus des murs du centre-ville.

Pour faire suite à ce billet sur cette enquête, au 16 mai 2011, 444 répondants ont complété les 3 modules et 286 qui sont en cours. L’enquête se continue. Participez ! :)

Le Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa) de l’Université Laval lance aujourd’hui une enquête Internet aux résidents de la Communauté métropolitaine de Québec (CMQ).

La grande région de Québec est en effervescence. Plusieurs grands projets d’équipements publics, de transport et de règlementations sont mis de l’avant par les municipalités : l’amphithéâtre, le tramway ou les écoquartiers à Québec ou encore le secteur de la tête des ponts à Lévis, pour n’en nommer que quelques-uns.

Peu de données sont toutefois disponibles pour comprendre les besoins, la diversité des familles, la complexité du quotidien et les aspirations des 715 000 habitants de la CMQ . Cette enquête vise à mieux cerner les différents profils de citoyens résidant sur ce vaste territoire dans le but d’informer son aménagement durable.

Cette enquête, à laquelle s’associent la CMQ et le Réseau de Transport de la Capitale, constitue la première étape d’une démarche de recherche visant à mobiliser les résidents de la CMQ autour des questions urbaines et régionales par le biais d’Internet et des médias sociaux. Elle s’inscrit dans le cadre du projet de recherche Québec 2020 : Vers un projet collectif d’aménagement durable qui se poursuivra jusqu’en 2014.

Participez à l’enquête et courez la chance de gagner un des trois iPad2, cinq iPod touch et dix iPod nano!

Pour participer à cette enquête ou pour en savoir plus : Demain Québec

* Québec Urbain a été choisi avec deux autres médias de Québec (Le Soleil, Radio-Canada) pour lancer cette enquête.

* Suivi: Au lendemain du lancement, déjà 400 réponses. Merci de continuer ! :)

Source : 7sur7, le 8 mai 2011

Elle s’alimente à l’énergie solaire, compacte les déchets et envoie un SMS lorsqu’elle est pleine: la poubelle du futur est testée depuis un peu plus d’un an en banlieue parisienne.

A Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), quatre de ces poubelles ont été installées autour de la place du marché, entourée de terrasses de restaurants et proche d’un grand fast-food. « On était confronté à un problème insurmontable de nettoyage », reconnaît le maire Emmanuel Lamy (UMP), interrogé par l’AFP.

Les poubelles habituelles débordaient et les marches du parvis, lieu de rencontre apprécié des jeunes, étaient jonchés de papiers, d’emballages et de petits déchets.

Contactée par l’équipementier français Plastic Omnium qui installe cette poubelle innovante, la municipalité a accepté le test et le résultat est « probant » à plus d’un titre, selon le maire.

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Nouveau mobilier urbain.

Une des pages du site de Plastic Omnium.

Je serais curieux de voir l’avis de notre maire sur cette idée.

Source : Journal de Québec, le 7 mai 2011

QUÉBEC – Pour contrer sa «dévitalisation actuelle», une étude prône une importante transformation du Vieux-Québec, suggérant notamment qu’il devienne un quartier piétonnier.

L’étude menée par la firme Patri-Arch, pour le compte du ministère de la Culture du Québec, fait part de la «gravité de la situation» et de «l’énorme pression» que la circulation automobile fait subir aux résidants et aux visiteurs.

Le document signale que c’est 24 000 automobiles, 1000 camions et 230 autobus par jour qui circulent dans les artères du quartier que l’on veut pourtant beau et accueillant.

La firme cite comme modèles possibles des villes européennes principalement dédiées aux piétons, comme Venise et Bruges, où l’importance accordée à la qualité de l’espace public et à l’aménagement des places domine toute autre considération urbaine.

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Je crois que ce sera fort passionnant de discuter de ce sujet.

Je sens que j’ouvre ici une « boite de Pandore » mais je crois qu’il ne faudrait pas bon plus oublier. Je vous laisse discourir sans en ajouter davantage…

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 30 mars 2011

Jugée laide et hétéroclite, la porte d’entrée de la capitale nationale, à la tête des ponts, deviendra d’ici à 10 ans une vitrine majeure sur « Québec, la ville moderne et prospère ».

C’est l’objectif commun que poursuivent le ministre Sam Hamad et le maire Régis Labeaume, qui ont annoncé hier la signature d’une entente afin de se doter d’un schéma directeur et de mettre sur pied un bureau de projet. C’est une première étape majeure, selon le maire.

Le gouvernement du Québec et la Ville souhaitent faire du secteur un endroit exceptionnel, la signature de Québec, comme l’a exprimé le ministre Hamad. « Ça va changer l’image et l’entrée de la capitale », dit-il, soulignant que le réaménagement permettra un meilleur lien avec la Rive-Sud, une meilleure coordination du transport en commun et tiendra compte du projet de tramway.

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Une mine d’or à la tête des ponts.

Gracieuseté de Gérald Gobeil

Une démarche pour redessiner l’entrée de la capitale nationale sur le site de la Commission de la Capitale Nationale.

Source : Ian Bussières, Le Soleil, le 23 mars 2011

(Québec) Alors qu’elle s’était engagée à l’inclure dans le parc immobilier de la Cité Verte, le groupe financier SSQ a procédé hier à la démolition de la maison Raymond-Casgrain, cons­truite en 1850, en raison de son caractère dangereux pour le public et du fait qu’elle n’avait pas une grande valeur historique.

Les travaux ont débuté hier matin et, en fin d’après-midi, il ne restait plus que les fondations de la maison qui devait au départ servir de pavillon de services pour une piscine aménagée dans un jardin communautaire. Tous les résidus de la démolition seront ensuite recyclés à l’entreprise Enviro-Cycle de Saint-Isidore pour être réutilisés dans la Cité Verte.

«Ce n’est pas de gaieté de coeur, mais nous n’avions pas le choix! On aurait aimé la conserver mais nous avons fait faire une expertise et les ingénieurs ont tellement décelé de problématiques incorrigibles que c’en était devenu dangereux pour le public. On ne pouvait pas prendre la chance de recycler ce bâtiment-là», a déclaré hier au Soleil Jean Morency, pdg de SSQ Immobilier.

La maison Raymond-Casgrain cédera sa place à la centrale de gestion des matières résiduelles et à l’écocentre de la Cité Verte. «Le volet piscine et gymnase sera finalement déplacé ailleurs sur le site», précise M. Morency.

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La maison sur Google Maps.

Source : Radio-Canada, le 16 mars 2011

La Ville de Québec lance un appel d’offres pour une étude sur la circulation et le transport au carrefour de l’autoroute Laurentienne et du Boulevard Wilfrid-Hamel où elle prévoit construire le nouvel amphithéâtre. La Ville veut étudier les déplacements et l’accès au secteur.

Quatre scénarios seront analysés dont celui d’enlever toutes les bretelles d’accès à l’autoroute Laurentienne et les déplacer vers le sud est. La Ville pourrait aussi aménager un tunnel sous le boulevard Wilfrid-Hamel.

L’idée est de rendre la circulation plus fluide pour permettre la revitalisation du secteur.

l’article

Vous me permettrez l’usage du mot « éventuel » dans le titre de mon billet…