La patience est de mise pour voir la transformation de ce quartier.
La patience est de mise pour voir la transformation de ce quartier.
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Écoquartier, Nouvel urbanisme.
Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil, le 15 août 2016
(Québec) La Ville de Québec veut savoir si nettoyer les sédiments de la Saint-Charles à l’aide des marées du fleuve sera suffisant pour rendre possible le projet de Régis Labeaume de permettre le kayak ou le patin sur la rivière à la hauteur du centre-ville.
Le comité exécutif de la Ville de Québec a accordé en juillet des contrats à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) et à l’Université Laval pour évaluer ces 18 prochains mois «les impacts du transport des sédiments par l’optimisation de la gestion de l’ouverture de la vanne du barrage Samson de la rivière Saint-Charles».
L’octroi de ces deux subventions de recherche confirme le reportage du Soleil qui, en février, avançait cette hypothèse comme façon d’enlever la boue accumulée dans le fond du cours d’eau à la hauteur des quartiers Saint-Sauveur et Saint-Roch.
L’idée est en somme de voir si laisser entrer régulièrement l’eau du fleuve avec son fort débit sera suffisant pour enlever les sédiments accumulés dans le fond de la rivière.
Voir aussi : Environnement, Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie.
Source : Annie Morin, Le Soleil, le 19 juillet 2016
(Québec) La Ville de Québec a cessé l’installation massive d’ampoules DEL dans ses lampadaires. Bien qu’elles soient plus économiques, leur lumière est si blanche qu’elle pourrait nuire au sommeil des citoyens.
La Ville avait pour objectif de remplacer 32 000 des 50 000 luminaires (têtes de lampadaires et ampoules) sur son territoire d’ici l’automne 2018. Leur conversion aux diodes électroluminescentes (DEL), une technologie beaucoup moins énergivore, laissait présager des économies substantielles.
Dans le bulletin municipal de novembre 2015, les autorités mettaient également de l’avant l’argument de la sécurité, puisque «la lumière produite par les luminaires DEL est beaucoup plus blanche et procure un éclairage nettement supérieur à celui des luminaires traditionnels».
Des études de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et une récente position de l’American Medical Association (AMA) mettent toutefois en garde contre les effets négatifs sur la santé de ce type d’éclairage. Celui-ci contient trop de bleu, une couleur qui perturbe la production de mélatonine et donc le cycle du sommeil. D’autres problèmes de santé, comme la dépression et le diabète, peuvent en découler.
An LED Light Display Takes Over an Avenue in Quebec City.
LED : Québec devrait-elle emboîter le pas ?
À consulter de la même source et crédit : Des gradateurs québécois pour diminuer la lumière des lampadaires DEL.
Voir aussi : Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Michèle Laferrière
Le Soleil
(Québec) Une firme d’urbanisme vient d’ouvrir à Québec, Groupe BC2. Guillaume Neveu, son patron, travaillait avant pour le promoteur Groupe Dallaire. La ville et son secteur immobilier, il connaît. Il a donc été mandaté par ses collègues montréalais pour résoudre « le mystère Québec ». (…)
Guillaume Neveu s’est donné comme mandat de «faire converger l’ensemble des professionnels de l’aménagement urbain» à Québec. Il accompagne les villes et les promoteurs en cette ère où les enjeux se complexifient, entre les exigences des premières et la frénésie de développement des seconds. (…)
Il travaille ainsi dans le quartier Montcalm, avec des promoteurs qui veulent mettre en valeur des «terrains vacants et des immeubles d’intérêt». Il est tenu au secret sur leurs emplacements.
Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou, Nouvel urbanisme.
Source : ÉCOLE D’ARCHITECTURE DE L’UNIVERSITÉ LAVAL, Steve Fortier-Evers
Pour consulter le projet, il faut aller sur la page, ici.
Voir aussi : Infrastructures sportives, Message d'intérêt public, Nouvel urbanisme.
Alexandra Perron
Le Soleil
(Québec) Une borne interactive qui projette un horaire de bus au sol. Des bancs et des tables publics déverrouillables et modulables pour un événement. Un système de repérage de places de stationnement. Les idées fusent pour faire de Québec une ville intelligente.
Le manufacturier d’éclairage architectural Lumca, établi dans la région depuis 25 ans, a lancé une invitation à des étudiants en design de produits de l’Université Laval. Leur mandat : créer du mobilier urbain intelligent, complémentaire aux lampadaires technologiques de la compagnie qui éclairent les parcs et les rues.
Voir aussi : Art de vivre en ville, Art urbain, Nouvel urbanisme, Ville intelligente.
Source : Annie Morin, Le Soleil, le 15 mars 2016
(Québec) Le gouvernement du Québec annoncera ce matin qu’il finance l’attendu bureau d’étude du Service rapide par bus (SRB) planifié par les villes de Québec et de Lévis.
Une conférence de presse est prévue à 11h30 «sur le projet de système de transport collectif entre Québec et Lévis». Trois ministres seront sur place pour l’occasion. Celui des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, Jacques Daoust, le président du Conseil du trésor et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Sam Hamad, et la ministre responsable du Travail et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, Dominique Vien.
Régis Labeaume et Gilles Lehouillier, les maires des deux villes concernées, seront aussi de la partie.
Voir aussi : Nouvel urbanisme, Tramway à Québec, Transport en commun.
Source : Vincent Fortier, Le Huff Post, le 5 mars 2016
Nous avons demandé à des designers, des artistes, des chercheurs et des citadins de nous dire comment ils voyaient le banc de parc…
«Un banc, c’est un outil social dans l’espace public. Il encourage le dialogue entre l’usager et le passant, le résidant et le visiteur. Le meilleur banc sort de l’ordinaire, fait rire, ramène en enfance et fait oublier les barrières sociales qu’on s’impose.»
– L’artiste Jeppe Hein, créateur du projet Modified Social Bench (photo), à mi-chemin entre l’art et le mobilier urbain«Un banc public doit être confortable, beau, propre, attirant et être là où on a besoin de lui. Il doit contribuer à l’image positive de la ville et être un ambassadeur pour les touristes. Plusieurs bancs à Montréal répondent à ces critères, comme les nouveaux bancs du quartier chinois, les fauteuils du Quartier des spectacles, les bancs colorés de la rue Fairmount ou ceux de la Place Valois.»
– Carle Bernier-Genest, ex-conseiller municipal et auteur du blogue C’est toi ma Ville«Le banc est plus qu’un objet du mobilier urbain. C’est une occasion de socialiser, de prolonger son chez-soi dans l’espace public, de rencontrer ses voisins, d’apprécier l’architecture et la verdure de la ville.»
– Véronique Fournier, directrice générale du Centre d’écologie urbaine de Montréal«Le banc public permet de voir et d’être vu. Cette façon d’appartenir à la ville est particulièrement appréciée des populations plus marginalisées, qu’on repousse parfois de certains environnements ou établissements.»
– Clare Rishbeth, chercheuse principale du projet The Bench Project et chargée de cours au département d’aménagement de l’Université de Sheffield, au Royaume-Uni«Un bon projet de mobilier urbain offre un moment de pause et de sécurité dans l’effervescence de la ville. L’objet doit fournir intimité et confort. Il doit s’adapter aux besoins d’une personne seule comme d’un groupe d’individus.»
– Charles-Édouard Dorion, finissant au baccalauréat en design de l’environnement de l’UQAM et concepteur, avec Camille Chabat, du placottoir lauréat du Festival Mode et Design, en 2015.
Doit-on être fiers des bancs publics de la Ville de Québec ?
Voir aussi : Nouvel urbanisme.
Source : Radio-Canada
L’homme d’affaires Alexandre Taillefer affirme qu’il lancera à Québec une flotte de taxis électriques Téo Taxi, comme il l’a fait à Montréal à l’automne.
Alexandre Taillefer confirme que le service sera implanté dans la capitale d’ici la fin 2016. Il en a discuté avec le maire de Québec, Régis Labeaume.
« J’ai eu hier des indications de la part de M. Labeaume qu’il souhaitait qu’on vienne s’implanter sur le marché chez vous. Ce sont des taxis qui opèrent aujourd’hui à Québec et qu’on va convaincre de joindre un modèle qui nous permet de faire des économies substantielles à cause de l’électrification des voitures. »
Selon lui, cela permet de récupérer des coûts d’exploitation d’environ 15 %.
Voir aussi : Nouvel urbanisme.
Premier rapport de suivi et de mise en oeuvre
Après trois ans de mise en œuvre, les élus de la CMQ ont pris acte d’un premier rapport de monitorage du PMAD. Ce dernier permet de constater les progrès accomplis de même que les défis qui demeurent afin d’en arriver à un développement du territoire qui soit mieux structuré, durable et attractif. Outre plusieurs indicateurs quantifiables, le rapport met en lumière les nombreuses actions métropolitaines, locales et régionales menées par les MRC et les municipalités du territoire de la CMQ en cohérence avec le PMAD : adoption de règlements de concordance au PMAD, adoption de plans de réduction des gaz à effet de serre, inventaire des milieux naturels, financement de projets en lien avec la trame verte et bleue métropolitaine, projets d’écoquartiers, etc.
Le rapport permet de constater que le territoire s’oriente de plus en plus vers les objectifs fondamentaux de PMAD, soit une saine gestion de l’urbanisation, la mise en valeur des attraits naturels et récréatifs ainsi qu’une utilisation accrue du transport en commun par une planification intégrée de l’aménagement du territoire et du transport. Bien que des efforts restent à faire, notamment pour accroitre les parts modales associées au transport en commun, ce rapport permet de constater les progrès réalisés dans l’atteinte d’un développement plus durable du territoire.
Voir aussi : Message d'intérêt public, Nouvel urbanisme.