Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Planification urbaine »

Nouvelle politique de participation à Québec. Point de vue d’une citoyenne impliquée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 novembre 2018 4 commentaires

Anne-Sophie Desprez, administratrice élue et secrétaire du conseil de quartier de Montcalm à Québec. Elle est également responsable des communications pour l’organisme Action patrimoine.

Magazine Continuité

Les conseils de quartier jouent un rôle important au cœur de la vie démocratique de Québec et dans les décisions qui concernent l’aménagement de l’espace urbain. Dans le contexte de la refonte de la politique de participation citoyenne de la Ville, Anne-Sophie Desprez, administratrice élue du conseil de quartier de Montcalm, se demande quelle place sera réservée à ces instances dans l’avenir.

Pour la Ville de Québec, comme pour bien d’autres municipalités, la participation publique est à un carrefour. Par l’adoption, en juillet 2018, du Règlement sur la participation publique en matière d’aménagement et d’urbanisme, le gouvernement a autorisé les municipalités du Québec à abolir les référendums citoyens à condition qu’elles se dotent d’une politique de participation publique. Si un référendum représente un pouvoir de pression sans égal pour les citoyens, une politique de participation, pourvu qu’elle ne soit pas juste une occasion de transmettre de l’information, leur permet de se prononcer régulièrement sur les questions qui touchent leur ville. Dans bien des municipalités à travers le monde, les politiques de consultation et de participation fleurissent. Elles permettent aux citoyens de donner leur avis au moyen de plateformes diverses telles que des sondages en ligne, des ateliers de conception de projets, des séances de consultation ou encore des cafés de conversation.

Sous la forme qu’ils prennent à Québec, les conseils de quartier sont des instances qui n’existent pas ailleurs dans la province, même pas à Montréal. Composés de membres élus et fonctionnant à la manière d’un conseil d’administration, ils offrent un lieu d’échange et de collaboration pour les résidents, les commerçants et les travailleurs. Ils ont aussi pour rôle de représenter ces personnes auprès des élus municipaux. Ce n’est pas pour rien qu’on appelle conseils ces groupes reconnus par la Ville. Lorsqu’il les a créés avec son équipe en 1989, Jean-Paul L’Allier, ancien ministre et maire de Québec de l’époque, voulait qu’ils soient des instances politiques. Ainsi, dans une conférence, en 2014, il avait affirmé à propos de cette démarche : « On s’est dit : on va faire des conseils de quartier à Québec, mais on va les faire sans responsabilités administratives et avec des responsabilités politiques. Les gens qui s’impliquaient voulaient s’occuper de leur espace urbain […]. » Dans le contexte du réaménagement et de la revitalisation de Saint-Roch et face à la spéculation immobilière qui visait le quartier, l’objectif était d’aller chercher l’appui et les idées de la population pour faire émerger d’autres projets.

Selon les données de la Ville de Québec, il y avait deux conseils de quartier en 1993, soit avant la fusion de Québec avec les municipalités environnantes ; on en compte aujourd’hui 27 (sur 35 quartiers), qui donnent une voix à ceux qui n’en ont pas toujours. Cette organisation crée sans conteste un lien privilégié entre la population, les membres du conseil municipal et les fonctionnaires. En assemblée, bon nombre de sujets passent sur la table : les grandes orientations et politiques de la Ville, la qualité et l’accessibilité des services municipaux, les initiatives citoyennes, la mobilité, la gestion des déchets, mais surtout l’aménagement du territoire. Qu’il s’agisse des routes, des trottoirs, des projets immobiliers, de la sauvegarde des édifices ou de la mise en valeur du patrimoine, toutes ces questions sont de l’ordre de l’aménagement et font appel à la vision qu’ont les citoyens de leur quartier. Les avis énoncés par les conseils de quartier peuvent concerner les changements de zonage, notamment pour les projets immobiliers. Ils peuvent aussi porter sur des modifications aux règlements d’urbanisme pour l’adoption, par exemple, d’un programme particulier d’urbanisme (PPU) ou d’un plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA) dans une zone déterminée.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Initiatives citoyennes, Nouvel urbanisme.

Les terres des Soeurs de la Charité: le rêve américain et les terres agricoles

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 novembre 2018 1 commentaire

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / Le gouvernement a rejeté pour la seconde fois cet automne, le projet de schéma d’aménagement de Québec qui prévoyait le dézonage de 567 hectares de terres agricoles, l’équivalent de plus de cinq fois les Plaines d’Abraham.
Dans une lettre au maire Régis Labeaume, le ministère des Affaires municipales indique que ce projet n’est «pas conforme» aux orientations» du gouvernement et renvoie la ville aux planches à dessin.

Les terres des Sœurs de la Charité, le long de l’avenue Bourg-Royal à Beauport, comptent pour plus du tiers (211 hectares) des espaces agricoles convoités par Québec.

Le promoteur Michel Dallaire et l’administration Labeaume y projettent un nouveau quartier résidentiel de 6500 unités d’habitation dont les profits iraient à des causes communautaires.

Le schéma rejeté prévoyait aussi le dézonage d’autres terres du secteur Bourg-Royal (194 hectares) et de Saint-Augustin (162 hectares).

Ce qui est moins connu, c’est que la Ville en a d’autres dans sa mire dans l’ouest de Beauport, à Charlesbourg et à Val-Bélair, marquées en rouge sur la carte avec la légende «secteur en évaluation».

Loin de s’essouffler, la pression sur les terres agricoles de Québec risque d’aller en s’amplifiant.

(…)

* C’est la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ) qui aura le dernier mot sur les projets de dézonage de Québec.

Elle n’a encore reçu aucune demande pour les terres des Sœurs de la Charité ou de Saint-Augustin.

Un critère essentiel pour un dézonage est qu’il ne doit pas y avoir d’autres espaces appropriés disponibles. On voit venir le débat.

Il peut arriver «dans certaines circonstances», que le gouvernement se saisisse d’une demande à la place de la CPTAQ, prévient son président Me Stéphane Labrie. On parlerait alors d’une décision politique qui bulldozerait les règles de protection des terres agricoles. Ce ne serait pas souhaitable.

(…)

Il ne semble pas logique de dézoner les rares terres agricoles de qualité en pleine ville au moment où l’intérêt augmente pour l’agriculture urbaine, les productions locales et la réduction des «kilomètres alimentaires».

La Ville de Québec y est elle-même sensible. Elle soutient par exemple des jardins de voisinage et envisage de permettre la culture en façade des résidences.

Elle dépense aussi des millions pour un grand marché à ExpoCité. Imaginez le plaisir et le beau message si on pouvait aller acheter à ce marché des légumes qui auraient poussé trois kilomètres plus loin, sur les terres des Sœurs de la Charité.

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Voir aussi : Agriculture urbaine, Étalement urbain.

Le Calendrier 2019 de la Société historique de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 novembre 2018 Commentaires fermés sur Le Calendrier 2019 de la Société historique de Québec

La Société historique de Québec est heureuse de présenter, l’édition 2019, de son Calendrier de vues anciennes de Québec.

Québec-14 novembre 2018- La Société historique de Québec est très fière de présenter la XXXVIIIe édition du Calendrier de vues anciennes de Québec qui permet cette année encore de présenter le visage de la Capitale à vol d’oiseau à travers les événements religieux, sociaux et sportifs.

Les images représentées, accompagnées de textes documentés, les événements historiques évoqués et le cadre dans lequel ils évoluent, suscitent un intérêt marqué et toutes ses éditions antérieures, sont de véritables cahiers d’histoire. L’ensemble de ces éditions constituent donc une collection de grande valeur historique, ethnologique et sert d’outil pédagogique. Le Calendrier de vues anciennes de Québec souligne dans cette édition 2019 – par multiple de 25 – les anniversaires heureux ou malheureux des faits et gestes qui ont jalonné l’histoire de Québec, ville du patrimoine mondial.

Différents auteurs soulignent par des textes, à chacun des mois, un événement ou un personnage. On remonte ainsi le cours de l’histoire, jusqu’à la fondation de la ville de Québec. Les faits suivants sont soulignés : le 225e anniversaire de l’entrée en fonction de l’Acte de judicature, le 200e anniversaire du décès du professeur et ministre de l’Église presbytérienne d’Écosse Alexander Spark, les 150es anniversaires de la création de la Gazette officielle et du décès de James Forsyth, les 125es anniversaires des décès du premier ministre Honoré Mercier et du député John Hear ainsi que le 100e anniversaire du décès du premier ministre sir Wilfrid Laurier. La publication rappelle également les 75es anniversaires de la remise de la Croix Victoria au major Paul Triquet ainsi que des décès du maire de Québec sir Georges Garneau et de l’architecte bénédictin Dom Bellot. Nous évoquons aussi les 50es anniversaires du décès de l’ethnologue Marius Barbeau, de la création de l’École nationale d’administration publique, de la fin des écoles normales, du rappel par le journal L’Action des suites du rapport Martin, commission d’enquête sur le logement dans la cité de Québec, et du projet de loi (« bill 63 ») pour promouvoir l’enseignement de la langue française. Par ailleurs, le 50e anniversaire de la venue à Québec de la princesse Grace de Monaco est souligné par une illustration documentée.

Partez à la découverte du Québec d’antan, dont les illustrations proviennent de supports aussi variés que l’aquarelle, la photographie, et la carte postale.

Le Calendrier 2019 de vues anciennes de Québec est disponible au coût de 12.95 $ dans la plupart des librairies de la Ville de Québec : Vieux-Québec, Charlesbourg, Sainte-Foy et Sillery, à la Tabagie J.E.Giguère, à la Boutique du Musée des beaux-arts du Québec, Musée de la civilisation, Musée du monastère des Augustines, plusieurs établissements commerciaux de Québec et au bureau de la Société historique de Québec, 6, rue de la Vieille-Université. G1R 5X8. Téléphone 418-694-1020 poste 256. courriel: info@societehistoriquedequebec.qc.ca

Voir aussi : Histoire, Patrimoine et lieux historiques, Publications & ressources Internet.

Début de travaux pour un nouvel édifice sur la Cité Verte

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 octobre 2018 Commentaires fermés sur Début de travaux pour un nouvel édifice sur la Cité Verte

Récemment je publiais un article à savoir s’il se tramait du nouveau sur le site de la Cité Verte; eh bien, la réponse est maintenant évidente : les travaux sont commencés pour, au moins, un nouvel édifice. De toute évidence, le bloc A sera érigé (sur ce plan), reste à voir si B,C et D seront faits dans le même élan.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Écoquartier.

Terres agricoles des Sœurs de la Charité: la Ville de Québec essuie un revers

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 octobre 2018 3 commentaires

Jean-François Néron
Le Soleil

Les opposants au dézonage des terres agricoles des Sœurs de la Charité à Beauport remportent une importante bataille. Le gouvernement du Québec a refusé le schéma d’aménagement de l’agglomération de Québec qui voudrait y voir pousser un quartier résidentiel.

L’Institut Jean-Garon et Voix citoyennes, deux organismes qui défendent l’intégrité des terres convoitées, ont fait l’annonce de cette nouvelle jeudi en fin d’après-midi. «J’ai reçu un appel du sous-ministre des Affaires municipales qui m’a confirmé avoir transmis vendredi à l’agglomération de Québec le refus du schéma d’aménagement, notamment en raison d’éléments liés au dézonage des terres agricoles», confirme Simon Bégin, président de l’Institut.

Pour lui, cette décision remet en question le projet de Groupe Dallaire. En 2014, le géant de l’immobilier faisait l’acquisition de 200 hectares de terrains par le biais de sa fondation pour y développer 6500 unités d’habitation. Un projet souhaité par la Ville de Québec.

Ici, deux visions s’opposent. Les défendeurs des terres agricoles soutiennent que la Ville a suffisamment de place disponible dans son périmètre urbain actuel pour accueillir les 33 000 nouveaux ménages attendus d’ici 20 ans. Pour eux, le dézonage ne ferait qu’accentuer l’étalement urbain.

De son côté, le maire Régis Labeaume argue que le dézonage vise justement à éviter l’étalement, en permettant à des familles de s’installer à Québec dans des maisons de type unifamilial plutôt que dans la «ceinture verte», comme à Stoneham ou à Lac-Beauport.

Au total, ce sont 600 hectares de terres agricoles qui sont visés par un dézonage dans l’agglomération de Québec. Comme le prévoit la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme, l’agglomération de Québec a maintenant 120 jours pour se conformer aux orientations du gouvernement.Parmi ces objectifs, il y a notamment la protection des terres agricoles», lance Me François Marchand, avocat-conseil auprès des organismes de défense des terres agricoles.

Mais bien malin celui qui peut dire quelle sera la prochaine offensive de l’administration Labeaume. Pour M. Bégin, la lutte continue.

«Pour prendre une analogie de hockey, ce refus c’est comme si la défense avait arrêté la rondelle. Le jeu se poursuit. Et le dernier rempart, c’est la commission de protection du territoire agricole.»

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Voir aussi : Arrondissement Beauport, Densification, Québec La cité.

Hôtel des Beaux-Arts

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 octobre 2018 5 commentaires

Hotel des Beaux-Arts

Situé à proximité d’un autre nouveau projet, le 155 Grande Allée est, l’Hôtel des Beaux-Arts est un projet d’agrandissement d’un hôtel/auberge existant en un établissement de premier plan.

La tour est sculptée de manière à minimiser l’ombre projetée du bâtiment ainsi qu’à amincir le volume principal sur la rue Galipeault. Cet effort permet aussi de souligner l’entrée de la nouvelle partie de l’hôtel sur cette rue, tout en dégageant le coin de l’édifice voisin. Les deux entrées (existante et nouvelle) se rejoignent dans un hall commun au rez-de-chaussée. Alors que les façades avant et arrière sont complètement vitrées pour maximiser les vues sur la ville et sur le fleuve, les façades latérales sont de nature minérale couleur terra-cotta, rouge-orangé afin de faire écho à la brique du quartier Montcalm.

Site du projet par CARGO Architecture

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Commercial, Densification, Hauteur.

Terres des Soeurs de la Charité: dézonage nécessaire, dit le maire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 septembre 2018 11 commentaires

Jean-François Néron
Le Soleil

L’opposition au dézonage des 200 hectares de terres agricoles de Sœurs de la Charité à Beauport n’ébranle pas l’administration Labeaume. Pour une seconde fois en une semaine, le maire de Québec a insisté sur la nécessité d’y permettre la construction de 6500 unités d’habitation.

Le maire de Québec n’en démord pas : l’ensemble résidentiel projeté par le groupe Dallaire est une pièce importante du puzzle pour permettre à la capitale d’accueillir les 28 600 nouveaux ménages attendus d’ici 2036.

Pendant que les élus lorgnent ces terres, le monde agricole s’émeut devant la perte potentielle de tant d’hectares cultivables de qualité à proximité de la ville.

En marge d’une conférence de presse sur un tout autre sujet à laquelle assistait, lundi, le promoteur du projet résidentiel, Michel Dallaire, le maire a réitéré sa position.

«L’opposition n’est pas nouvelle», a lancé M. Labeaume, au sujet de ce dossier qui fait la manchette depuis 2014. «Il y a bien des gens qui vont changer d’idée quand ils vont voir ce projet révolutionnaire.»

(…)

Le maire a aussi commenté la suggestion de plusieurs groupes environnementaux faite la semaine dernière de transformer l’autoroute Laurentienne en boulevard urbain depuis l’autoroute Félix-Leclerc jusqu’au parc Victoria. Selon eux, on pourrait y construire un potentiel de 6000 habitations ou plus. Un chiffre similaire à celui évoqué pour les terres de Sœurs de la Charité.

«Nous sommes pour développer ce secteur, entre Soumande et la rue du Roi. Au-delà [plus au nord], c’est difficile à construire. Ce n’est pas suffisant», tranche le maire. D’après lui, on parle plutôt de 5000 habitations, dont peut-être 2000 dans le secteur Fleur de Lys. Un plan de requalification de ce pôle d’habitation, incluant le boulevard Hamel jusqu’au boulevard Père-Lelièvre, doit être présenté à l’automne.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Étalement urbain.

Laurentienne Sud: une solution au dézonage des terres des Soeurs de la Charité

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 septembre 2018 15 commentaires

Crédit pour les illustrations: Accès Transports Viables

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Nul besoin de dézoner les terres des Sœurs de la Charité, estiment plusieurs organismes, qui plaident plutôt pour le développement des terrains le long de Laurentienne Sud qui doit selon eux être reconvertie en boulevard urbain.

Cinq organismes environnementaux et plusieurs conseils de quartier ont participé à une action jeudi en faveur de la création d’un boulevard urbain entre l’autoroute Félix-Leclerc et la rue Prince-Édouard. Car pour eux, une autoroute en milieu urbain en 2018 est une aberration.

Ils ont déployé une banderole sur une passerelle à la hauteur de la rue du Cardinal-Roy, invitant les gens à visiter le site Réinventer Laurentienwww.RéinventerLaurentienne.org.

«Il y a un potentiel d’au moins 6000 logements le long de Laurentienne», a fait valoir le directeur général d’Accès Transports viables, Étienne Grandmont, jeudi matin. C’est justement le nombre de logements dont la Ville de Québec veut permettre l’implantation chez les Sœurs de la Charité, à Beauport, et qui nécessitent le dézonage de terres agricoles. Les 200 hectares ont été vendus au développeur Michel Dallaire qui veut y construire 6500 portes.

«Il y a un grand potentiel qui peut pallier au besoin qu’on exprime du côté de l’agglomération de Québec pour les terres des Sœurs de la Charité», a soutenu M. Grandmont.

«On parle de 32 logements à l’hectare là-bas. Alors qu’ici on est dans du 40. C’est comparable en terme de superficie et de densité», a indiqué Étienne Grandmont, qui fait valoir que contrairement aux futures familles qui s’installeraient à Beauport, celles qui choisiraient de s’établir dans un quartier à proximité du centre-ville pourraient choisir des modes de transports durables comme le transport actif ou collectif plutôt que de contribuer à la congestion avec l’auto.

Les organismes ont interpellé les caucus des différents partis politiques en campagne électorale et souhaitent que les partis s’engagent à transformer la partie sud de Laurentienne. C’est le ministère des Transports qui est responsable de l’artère.

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Une pétition pour le boulevard Laurentien

Un billet précédent en 2011 ainsi qu’un autre en 2010 sur le même sujet. Des propositions très intéressantes également.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Étalement urbain, Densification, Nouvel urbanisme.