Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Qualité et milieu de vie »

Affichage : la Ville fait marche arrière

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 septembre 2008 3 commentaires

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 23 septembre 2008.

Les nouvelles règles d’affichage appliquées depuis avril à Québec sont désormais choses du passé. Retournant à l’ancien règlement, la Ville a cessé depuis une semaine d’appliquer les controversées restrictions qui dictaient l’apparence des commerces, a confirmé au Soleil François Picard, responsable du dossier au comité exécutif.

Présentées en avril, ces contraintes à l’affichage dans la capitale avaient aussitôt provoqué un tollé chez les commerçants qui y voyaient une trop grande ingérence de la Ville dans la gestion de leurs affaires. Ceux-ci étaient d’autant plus irrités que le «futur» règlement qui devait être adopté en décembre s’appliquait dès sa présentation, le 17 avril. Du coup, les commerces en rénovation ou en construction voyaient leurs demandes de permis souvent refusées.

Mais depuis le 14 septembre, Québec a tout bonnement cessé de les appliquer pour retourner aux anciennes règles. (…)

La suite. Aussi, ce billet: Affichage : la grogne s’étend.

Voir aussi : Commercial, Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Comment vendre Québec?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 septembre 2008 12 commentaires

Jean Cazes, 19 septembre 2008.

Source: François Bourque, Le Soleil (Chronique), 11 septembre 2008.

L’été 2008 rappelle combien des «événements culturels originaux» comme le Moulin à images ou une grosse pointure comme McCartney peuvent attirer des visiteurs et faire le bonheur de l’économie locale.

On l’avait vu déjà avec Rodin au Musée des Beaux-Arts, par exemple. Mais la démonstration de cet été est encore plus éloquente.

Le projet du maire Labeaume de créer un fonds pour financer ces événements est donc une excellente idée. (…)

Quelle est la meilleure façon de vendre Québec? En diffusant des images du Vieux-Québec et de montagnes enneigées ou en offrant davantage de spectacles? C’est la question que soulève M. Labeaume.

La réponse : ça dépend à qui on veut vendre Québec. Si c’est aux autres citoyens du Québec, on pourrait peut-être renoncer au marketing dans la province, rediriger l’argent vers des spectacles et espérer que les médias et le bouche à oreille feront le reste. Ça pourrait marcher.

Mais si on veut se vendre hors Québec, peut-être vaut-il mieux continuer à diffuser des cartes postales du Château Frontenac et du Vieux-Québec, car ce sont encore nos meilleurs «produits d’appel». (…)

La suite.

Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Fêtes populaires et événements publics, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Scènes urbaines.

Habiter les quartiers centraux, ou vivre à quelques pas des commodités du quotidien

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 septembre 2008 21 commentaires

Jean Cazes

Ces derniers jours, j’ai joint l’utile à l’agréable en évaluant la distance en minutes à pied (et à un rythme très « mononc' »!) séparant mon domicile de la 17e Rue (localisation et photo panoramique ci-haut) de quelques commerces et services de l’arrondissement Limoilou implantés à l’ouest et au sud de chez moi.

Voici donc dans le désordre les résultats de ma petite étude:

– 2 min d’un gros dépanneur (L’Impact, 4e Avenue)
– 6 min d’un guichet automatique (Caisse populaire Desjardins de Limoilou, succ. Saint-Fidèle, 4e Avenue)
– 9 min d’un supermarché (Intermarché Limoilou, boul. des Capucins)
– 6 min d’un collège (cégep de Limoilou, 8e Avenue)
– 4 min d’une ressource d’aide psychologique (l’AutonHommie, 3e Avenue et artère commerciale principale de Limoilou)
– 5 min d’une quincaillerie (Rona, 3e Avenue)
– 9 min d’une pharmacie (Brunet, 3e Avenue)
– 3 min d’un centre récréo-sportif communautaire (Centre Ferland, 8e Avenue)
– 6 min d’une boulangerie réputée (La Fournée Bio, 3e Avenue)
– 3 min d’un comptoir de crème glacé très populaire durant la belle saison (Lido, 3e Avenue – à droite de la photo ci-haut)
– 17 min d’une bibliothèque de la Ville (Saint-Charles, 4e Avenue)
– 8 min d’un « bar culte » (Le Bal du Lézard, 3e Avenue)
– 12 min d’un petit resto de quartier (Moka Snack Bar, 4e Avenue)
– 8 min d’une boutique spécialisée en vélo (Demers bicyclettes et skis de fond, 3e Avenue)
– 3 min d’un centre de la petite enfance (Jardin bleu, 3e Avenue – à gauche de la photo ci-haut)
– 14 min de deux espaces verts urbains d’envergure (parc Cartier-Brébeuf / parc linéaire de la rivière Saint-Charles)
– 9 min d’un hôpital (Saint-François-D’Assise, 1ère Avenue)
– 4 min d’une école secondaire (Notre-Dame-de-Roc-Amadour, boul. Cardinal-Villeneuve)

À noter par ailleurs que je demeure entre autres à moins d’une demi-heure de marche de ces pôles d’attractions majeures que sont le Nouvo Saint-Roch et le Domaine de Maizerets. Me manque quelques « frippes » ou « bébelles »? Je suis à 22 min à pied d’un centre commercial à vocation régionale (Place Fleur-de-Lys). Enfin, si je désire m’aventurer plus loin, 2, 9 et encore 9 de ces « précieuses » minutes me séparent respectivement des Métrobus 802, 800 et 801!

À consulter, entre autres billets: Vivre sans voiture, un an (et +) après.

Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Art de vivre en ville, Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Scènes urbaines.

400e: Échos très positifs

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 septembre 2008 3 commentaires

Une excellente nouvelle, mais en même temps, je m’interroge: 400 répondants, est-ce un échantillon suffisant pour en tirer des chiffres aussi précis?

Source: Radio-Canada (Québec), 21 septembre 2008.

(…) Pour 52 % des répondants, le spectacle de l’ex-Beatle Paul McCartney vu par 250 000 personnes a été l’événement le plus marquant. Céline Dion, qui a chanté devant 200 000 personnes sur les plaines d’Abraham, a été le choix de 20 % des répondants comme moment mémorable.

Le travail de Robert Lepage, avec son Moulin à images, a également été remarqué et apprécié par la moitié des répondants, tout comme le tour de chant de Sir Paul. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Un peu plus haut, un peu plus loin.

Voir aussi : Fêtes populaires et événements publics, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Politique municipale: Purge au RMQ

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 septembre 2008 13 commentaires

Source: Radio-Canada (Québec), 19 septembre 2008.

Le nouveau chef du Renouveau municipal de Québec (RMQ), Alain Loubier, impose sa loi en faisant le ménage dans ses rangs. Il montre la porte à Louise Lapointe, conseillère du district de Saint-Sauveur et Pierre Blouin, conseiller du district des Châtels. « Le fond du problème, explique Loubier, c’est qu’on sentait qu’ils n’étaient plus avec nous. On sentait que le désir de poursuivre le travail au sein de formation politique n’était pas là. » (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: L’opposition s’effrite à l’hôtel de ville.

Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Circulation : près de la saturation dans Sainte-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 septembre 2008 82 commentaires

Si des projets voient le jour sur les 27 terrains disponibles actuellement dans le secteur du boulevard Laurier, la Ville de Québec estime que de 9000 à 14 000 automobiles viendraient s’ajouter aux heures de pointe. Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve.

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 19 septembre 2008.

Québec tient à développer D’Estimauville pour éviter de transformer Sainte-Foy en véritable stationnement à ciel ouvert. Déjà que la circulation dans le secteur des centres commerciaux «approche de la saturation», reconnaît le directeur des transports à la Ville, Marc Des Rivières.

Devant la multiplication des projets à l’embouchure des ponts, la Ville a tenté d’évaluer l’impact d’un développement effréné de Sainte-Foy sur la circulation. Et à en croire la simulation informatisée, le réseau routier serait incapable d’absorber le débit d’automobiles. À chaque feu de circulation, les automobilistes auraient à patienter plusieurs cycles de lumières.

Si des projets voient le jour sur les 27 terrains disponibles actuellement dans ce secteur, Québec estime que de 9000 à 14 000 automobiles viendraient s’ajouter aux heures de pointe, faisant doubler, tripler et même quadrupler la circulation sur certaines artères. (…)

Sombre ironie, tandis que le secteur D’Estimauville est vu comme la solution pour éviter un engorgement à l’ouest, sa relance est minée par le développement de Sainte-Foy. D’ici 2011, 10 nouvelles tours à bureaux seront construites à Québec, dont les trois plus importantes se trouveront le long du boulevard Laurier.

«À la fin 2011, le taux d’inoccupation va être en équilibre à 7 % (ndlr : contre 3,6 % actuellement). On va entrer dans une situation où un nouveau projet pourrait mettre le marché en déséquilibre», explique un économiste de la Ville, Jean-Pierre Lessard.

Au boom immobilier que connaît Québec, une pause devrait donc survenir en 2012-2013, retardant la relance de D’Estimauville. Même la «consolidation» de Saint-Roch est compromise, note M. Lessard qui assure toutefois ne pas avoir constaté de ralentissement dans le développement du quartier. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Modification au Plan directeur d’aménagement et de développement: le comité exécutif fixe des normes maximales.

Voir aussi : Arrondissement Beauport, Arrondissement La Cité - St-Roch, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Qualité et milieu de vie.

Marché du Vieux-Port : Labeaume donne le feu vert

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 septembre 2008 4 commentaires

Source: Annie Morin, Le Soleil, 19 septembre 2008.

L’administration Labeaume s’apprête à investir 5 à 10 millions $ dans le Marché du Vieux-Port pour le rendre plus attrayant et plus confortable.

La somme exacte sera inscrite au Programme triennal d’immobilisation (PTI) qui est actuellement en élaboration et qui sera adopté d’ici Noël. Les travaux de rénovation commenceront dès le printemps.

À noter qu’en faisant le choix du Vieux-Port, l’administration Labeaume enterre l’idée d’investir dans des marchés satellites en banlieue, comme le voulait une étude commandée par le CLD de Québec. Faute de personnel, les maraîchers ne voudraient pas y aller de toute façon. Le marché public de Sainte-Foy, lui, continue sur son erre d’aller.

S’il rêve d’un «vrai marché» pour la capitale, le maire Labeaume refuse d’évoquer un modèle précis, comme le à Ottawa ou le marché Jean-Talon à Montréal. «Il faut que ce soit pour le moins confortable, bien installé pour les marchands qui sont là, à l’année longue. Mais il ne faut pas que ce soit trop «informatisé». Le plaisir d’aller là, c’est d’avoir des étals. Moi, j’espère qu’il va rester des blés d’inde en poche. Il faut que ça garde un aspect terroir. Quand tu vas là, c’est parce que tu veux vivre une autre expérience», explique-t-il, soucieux d’éviter à tout prix l’ambiance «supermarché». (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: 400e de Québec: Pas payant pour les producteurs.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Commercial, Marché du Vieux-Port, Qualité et milieu de vie.

Moulin à images : Lepage prêt à pousser son œuvre plus loin

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 septembre 2008 29 commentaires

D’autres villes, dont Montréal, ont demandé à projeter le Moulin chez elles. On leur a fait comprendre que l’aventure n’aurait lieu qu’à Québec. Photothèque Le Soleil, Jocelyn Bernier.

Parlant de culture, et surtout d’inculture, c’est avec grand plaisir que j’ai lu entre autres la réplique de Robert Lepage sur des préjugés maladroitement exploités ces derniers temps envers les « artistes gâtés », un milieu que je connais bien en passant.

Rapport avec l' »urbain »? La Capitale est une merveilleuse ville de culture, justement, base de son industrie touristique florissante et d’une qualité de vie pour ses citoyens qui fait des jaloux partout dans la province… même à Montréal! On rapporte dans Le Soleil que « les dépenses des activités culturelles totalisent près de 2,2 miliards $ dans la grande région de Québec et 31 000 emplois directs et indirects y sont créés » et que près de 50% des artistes – des passionnés avant tout -, gagnent moins de 20 000$ annuellement…

Source: Anne Drolet, Le Soleil, 18 septembre 2008.

Malgré le succès connu par le Moulin à images dans sa forme actuelle, son créateur Robert Lepage n’a pas l’intention de s’asseoir sur ses lauriers si son œuvre devait revivre. Non seulement il tient à remodeler environ 25 % du spectacle, mais il pourrait même revoir en partie le concept pour y intégrer des artistes en chair et en os et ne pas seulement projeter des images.

Le créateur du Moulin, qui avait souhaité au départ que son œuvre ne soit diffusée que pour l’été du 400e, avait annoncé il y a deux semaines qu’il était prêt à lui donner un second souffle. «On m’a convaincu, mais il y avait des conditions par exemple», a affirmé Robert Lepage, en marge d’une conférence sur l’art et les nouvelles technologies. Il exige donc de remodeler au moins 25 % du spectacle, notamment pour en extraire les éléments qui réfèrent au 400e et qui paraîtraient incongrus. (…)

Robert Lepage a aussi fait savoir que d’autres villes avaient demandé à projeter le Moulin chez elles, dont Montréal. Mais on leur a fait comprendre que l’aventure n’aurait lieu qu’à Québec et qu’il faudrait donc se déplacer pour le voir.

Par ailleurs, le maire Régis Labeaume a mentionné que Robert Lepage n’avait pas empoché un sou pour ce projet et que tout l’argent avait été investi dans le Moulin. «Il dit tout le temps ça, mais il n’est pas supposé le dire. Le vrai mécénat est supposé être anonyme», a simplement répondu le créateur.

La suite. À consulter, entre autres billets: Le Moulin à Images: Deuxième vie ?

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Fêtes populaires et événements publics, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Circulation bloquée sur Dorchester

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 septembre 2008 12 commentaires

Des travaux en vu d’éviter l’affaissement de l’ancien tunnel reliant la bibliothèque Gabrielle-Roy et la partie ouest de la rue St-Joseph ont eu lieu aujourd’hui sur Dorchester. Je ne sais pas quand ils se termineront et je n’ai rien vu sur le site de la ville mais si quelqu’un a meilleur oeil que moi, je suis certain qu’il nous en fera part.

ajout du 18 septembre :

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Message d'intérêt public, Photographies citadines, Qualité et milieu de vie.

Un vrai retour au centre?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 septembre 2008 7 commentaires

En exposant ici la synthèse de l’étude qu’a mené l’un de mes anciens profs de géographie, mon intention première n’était pas d’appuyer mordicus les convictions profondes des « 5 extrémistes qui tiennent malheureusement ce site en otage. » [sic].

Mais disons que cet article tout frais tombait à point, dans le contexte des commentaires musclés découlant d’un récent billet… ;-)

Source: Renée Larochelle, Au fil des événements, 18 septembre 2008.

Après plusieurs décennies de pertes en ce qui concerne le nombre de résidents, l’arrondissement La Cité, qui constitue le cœur urbain de Québec, a connu un regain démographique appréciable durant les dernières années. De 1996 à 2001, cet arrondissement s’est en effet enrichi de plus de 2 000 personnes ayant choisi de s’établir dans l’un ou l’autre des huit quartiers qui le composent: la colline Parlementaire, Montcalm, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Roch, Saint-Sacrement, Saint-Sauveur, le Vieux-Québec Basse-Ville et le Vieux-Québec Haute-Ville. Si certains quartiers affichent un taux de croissance élevé comme le Vieux-Québec Basse-Ville (12,31 %) le Vieux-Québec Haute-Ville (7,27 %) et Saint-Roch (7,21 %), ce taux est plus faible dans des quartiers moins centraux comme Montcalm (3,34 %) et Saint-Sauveur (1,07 %).

Malgré ces différences, il n’en demeure pas moins que tous les quartiers de l’arrondissement La Cité sont touchés par cette hausse, ce qui représente une excellente nouvelle en cette année du 400e anniversaire de Québec, estime Paul Villeneuve, chercheur au Centre de recherche en aménagement et développement (CRAD). (…)

Selon le géographe, la revalorisation du mode de vie urbain, où par exemple la marche et le vélo remplacent l’utilisation de l’automobile, gagne en popularité auprès d’une partie des résidents du centre. Graduellement, des personnes qui souhaitent pratiquer un genre de vie en accord avec les valeurs liées au développement durable optent pour la vie au centre. L’amélioration de la qualité de vie qu’on y trouve compte pour beaucoup dans ce choix. Ainsi, il y a un demi-siècle, la densité de population dans certains quartiers de même que dans les logements était très élevée. Au cours des années, la plupart des quartiers ont été réaménagés et se sont transformés, des résidences et logements ont été démolis tandis que d’autres ont été restaurés. On ne peut cependant pas parler de gentrification, estime Paul Villeneuve, du moins pas pour l’ensemble de l’arrondissement La Cité, bien que des quartiers comme le Vieux-Québec Basse-Ville soient nettement en voie de se gentrifier. «Les résidents de La Cité, anciens et nouveaux, sont plus scolarisés que ceux du reste de la ville, mais ils sont moins fortunés, les premiers parce qu’ils sont souvent retraités, les deuxièmes parce qu’ils sont plus jeunes», dit le chercheur. (…)

La suite. À consulter, en complément, ce billet: Retour au centre-ville à Québec (document audio, Radio-Canada).

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Arrondissement La Cité - St-Roch, Arrondissement La Cité - St-Sauveur, Art de vivre en ville, Étalement urbain, Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.