Le Grand Marché ouvrira le 14 juin avec des célébrations sur 3 jours.
Quant au marché aux puces de Sainte-Foy, il déménage.
Le Grand Marché ouvrira le 14 juin avec des célébrations sur 3 jours.
Quant au marché aux puces de Sainte-Foy, il déménage.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Fêtes populaires et événements publics, Marché du Vieux-Port.
*Illustration: Journal de Québec et Acero
Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec
Le groupe immobilier ACERO prévoit construire un immeuble de sept à neuf étages sur le boulevard Laurier, à un jet de pierre de l’hôtel Alt Québec. La facture du projet devrait avoisiner les 30 millions $.
Mercredi, le promoteur a dévoilé sur les réseaux sociaux les premières images de son édifice de verre avec des locaux pour bureaux ainsi que commerciaux. Si tout se déroule selon ses plans de l’entreprise, la première pelletée de terre pourrait se faire dès l’automne prochain. La livraison est prévue pour 2021.
«Avant de débuter le chantier, il faut toutefois obtenir les plans finaux pour la construction du tramway sur le boulevard Laurier. Cela pourrait avoir des impacts sur l’implantation finale du projet», explique au Journal le président d’ACERO, Benoît Raymond. «Nous voulons construire un édifice de prestige. Un joyau pour Québec. Nous avons déjà deux étages de louer», poursuit-il.
Le promoteur mentionne que le zonage pour son site permettrait une construction jusqu’à 17 étages. En raison de la superficie de son terrain, soit 22 000 pieds carrés, il envisage au maximum neuf étages. Un stationnement souterrain de 5 étages sera également aménagé.
Par ailleurs, ACERO démarrera au cours des prochaines semaines la construction d’un nouvel édifice de 30 000 pieds carrés sur la rue Semple, à Québec. Un projet immobilier de 5 millions $. La firme de génie-conseil Pageau Morel a déjà confirmé qu’elle serait l’un des locataires.
Pour le projet visant la construction d’une tour de 18 étages et 123 logements sur le site de l’église Saint-François-d’Assise, dans Limoilou, ACERO affirme aussi attendre les plans finaux du tramway pour statuer sur l’échéancier des travaux.
* Merci à un très fidèle lecteur (Nathan)
Un billet précédent de Martin Otis
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.
Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec
Le Groupe Dallaire souhaite revoir l’image des parcs industriels de Québec, a appris Le Journal. Carottes, tomates, poivrons, piments et concombres seront cultivés sur les toits de ses édifices dans l’Espace d’innovation Chauveau.
«Je me suis posé les questions : Est-ce que je fais un parc industriel comme avant ou j’innove ? Est-ce que je veux bâtir le parc industriel de demain?» indique Michel Dallaire, président et chef de la direction du Groupe Dallaire, avouant s’être un peu inspiré du chantier de potager sur toiture à l’édifice de Revenu Québec, une propriété d’Industrielle Alliance.
C’est justement en partenariat avec l’entreprise Du toit à la table – qui a collaboré avec Industrielle Alliance – que le projet dans l’Espace d’innovation Chauveau se réalisera. Il s’agit d’une jeune pousse qui brasse des affaires dans l’agriculture urbaine.
Les travaux pour la construction des premiers édifices devraient débuter cet été. L’objectif est de démarrer la culture dès l’an prochain.
110 M$ pour la première phase
La première phase du chantier, dont la facture avoisinera les 110 millions $, prévoit la sortie de terre de huit à dix établissements sur le site de 3 millions de pieds carrés. «En plus de permettre la culture de légumes, cela nous permettra aussi lorsqu’on pense développement durable d’éliminer les îlots de chaleur», explique M. Dallaire.
«Dans la phase deux du développement, on pourrait penser à intégrer des serres. On cherche à développer le site en fonction des attentes des nouvelles générations», poursuit-il.
Selon Du toit à la table, qui sera responsable de l’entretien et de la commercialisation, les 700 000 pieds carrés disponibles permettront de produire environ 900 paniers de légumes et fruits par semaine.
Pour le promoteur, ce projet représentera une augmentation de la facture des travaux d’environ 5 %.
Parmi «les plus importants»
«Selon nos recherches, il s’agira de l’un des projets sur toitures les plus importants au monde», note le président Du toit à la table, François St-Pierre. «Le plus grand répertorié est en France (14 000 m2). Le projet du Groupe Dallaire devrait atteindre (pour la première phase) 65 000 m2.»
Par ailleurs, le Groupe Dallaire souhaite aménager sur le site des douches, des endroits pour les vélos ainsi qu’une garderie. La Ville prévoit aussi y installer une piste cyclable et des sentiers pédestres.
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Commercial.
Source : Maxime Corneau, Radio-Canada, le 5 mars 2019
Les citoyens qui rêvent de voir les trois grands centres commerciaux du boulevard Laurier reliés par des passerelles devront encore attendre. Le projet est officiellement remis en raison des travaux liés au développement du tramway.
La nouvelle a été confirmée par Caroline Lacroix, la vice-présidente communication et marketing pour Cominar, l’entreprise propriétaire de Place de la Cité.
En avril 2017, les propriétaires de Place de la Cité, Laurier Québec et Place Sainte-Foy avaient annoncé en grande pompe la construction de deux passerelles qui permettraient aux clients de circuler entre tous les centres commerciaux sans sortir à l’extérieur. Les travaux devaient être terminés en 2019.
« Le délai a été reporté compte tenu de l’ampleur des grands projets structurants sur lesquels la ville travaille », explique Caroline Lacroix. Cette dernière n’est par ailleurs pas en mesure de dire à quand sont remis les travaux.
« Au moment où on se parle, il n’y a pas de date », conclut-elle.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.
Agrandissement majeur du Capitole sur la rue Richelieu. Pour un peu plus d’informations, le lien vers le site de Coffrage LD, qui nous apprend que la hauteur du bâtiment sera de neuf étages.
Sur Google Maps, l’emplacement du bâtiment qui prend la place d’un stationnement extérieur.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Commercial.
Source : Arnaud Koenig-Soutière, Le Journal de Québec,, le 2 mars 2019
Les commerçants de la Grande Allée se réjouissent du projet de stationnement à étages qui se retrouve dans les cartons du Groupe Mach, qui vient de se porter acquéreur d’un autre terrain au centre-ville.
Le Groupe Mach, un joueur immobilier majeur au Québec, s’est récemment porté acquéreur d’un quadrilatère sur la Grande Allée, délimité entre les rues Senezergues et de la Chevrotière, tout juste à côté du Dagobert.
Les acquisitions de la société, propriété de l’homme d’affaires montréalais Vincent Chiara, ont été officialisées la semaine dernière. La transaction impliquant trois adresses, dont le bâtiment abritant le bar l’Ozone, s’élève à plus de 14 M$.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Commercial.
Jean-François Racine
Journal de Québec
TVA Nouvelles
Le Groupe Mach pourrait investir des dizaines de millions de dollars.
Un projet d’investissement de plusieurs dizaines de millions de dollars est sur la table à dessin dans le secteur de Grande Allée.
Le Groupe Mach est désormais propriétaire de tout un important quadrilatère entre les rues Senezergues et de la Chevrotière.
Cet espace inclut le Pub Ozone ainsi que le stationnement extérieur de la rue Berthelot, à l’arrière. Le bar n’est pas visé par le développement.
Selon TVA Nouvelles, la société envisage de construire un stationnement à étages, de même qu’une zone commerciale avec boutiques, services et aire de restauration. À terme, cette densification devrait réjouir les commerçants voisins, alors qu’une partie de la clientèle migre vers Saint-Roch et Limoilou. Les taxes et le prix des loyers ont souvent fait la manchette au cours de la dernière année.
Du développement
Aucun échéancier n’est encore disponible, mais la société en expansion devra respecter les règles en vigueur dans le secteur, tout comme le plan d’urbanisme.
Le Groupe Mach possède plusieurs édifices sur la Grande Allée, notamment le 560 (2 étages), le 566 (3 étages) et le 580 (6 étages), qui sont situés devant le Maurice Night Club et l’hôtel Le Concorde.
En 2015, la société est devenue un chef de file dans le domaine de l’immobilier à Québec avec l’achat d’édifices pour un peu plus de 100 millions $.
En 2013, Le Groupe Mach avait annoncé la réalisation d’une transaction immobilière en faisant l’acquisition, auprès du Fonds immobilier de solidarité FTQ, de six immeubles de bureaux et d’un immeuble mixte à vocation résidentielle et commerciale. Six des édifices acquis à l’époque par le Groupe Mach sont situés à Québec, le septième à Montréal.
Portefeuille varié
Le Groupe Mach, créé en 1999 par Vincent Chiara, propriétaire unique, détient un portefeuille très varié : immeubles de bureaux, commerciaux, industriels, résidentiels et institutionnels.
Son portefeuille immobilier comprend entre autres l’édifice Sun Life, la Tour CIBC, la tour de la Place Victoria, le site de la Maison Radio-Canada et l’Édifice Telus à Québec.
Ailleurs à Québec, la société détient officiellement l’Édifice 410 Charest (anciennement Mountain Equipment Co-op), ainsi que le stationnement souterrain du côté du jardin Jean-Paul L’Allier et des bâtiments situés au 701, rue Saint-Joseph, et au 750, boulevard Charest Est, le tout pour une valeur de 54,6 M$.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.
Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec
La construction d’un édifice «phare» de 10 étages, qui changera radicalement l’entrée ouest du quartier Saint-Roch, pourrait débuter d’ici fin de l’année, espère le promoteur GM Développement.
Initialement surnommé «Le Cobalt», l’édifice sera finalement baptisé «Le Pied-à-terre», a appris Le Journal, et n’aura qu’une seule vocation, celle de condo-hôtel. L’immeuble au design singulier sera érigé sur le terrain en pointe d’une ancienne station-service au carrefour des boulevards Charest et Langelier puis de la rue Saint-Vallier Est. Il comptera 105 unités sur dix étages, avec un stationnement souterrain de trois étages.
Même si le mot «commerce» apparaît toujours au rez-de-chaussée sur les esquisses, il n’y en aura pas, nous a-t-on confirmé. Les promoteurs comptent finalement utiliser cet espace pour aménager des salles qui pourront accueillir des évènements corporatifs.
«Le projet a évolué avec le temps. C’est un condo-hôtel à 100 % maintenant. Il n’y a rien en lien avec du Airbnb. La réception va être organisée, les équipes de ménage vont être sur place. Pour le voisinage, c’est purement un hôtel qui s’en va là. Il faut vraiment le présenter comme le nouveau super-hôtel à l’entrée de Saint-Roch», a fait savoir Luc Guillot, associé chez Mallette, qui a été mandaté par GM Développement afin de monter le plan d’affaires.
(…)
Quant au permis de construction de la Ville de Québec, M. Guillot s’est dit confiant, en entrevue, de l’obtenir prochainement. Il ne reste selon lui que des «détails» à régler. Les plans présentés à la Ville respectent le zonage et la hauteur maximale prévue dans le secteur.
«On s’est assurés que l’intégration du bâtiment soit la plus harmonieuse possible avec son environnement immédiat. À l’entrée du centre-ville de Québec, ça prenait un bâtiment phare.»
Un billet précédent ainsi que ce billet de 2015
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.
Radio-Canada
Québec
La Ville de Québec souhaite transformer le secteur D’Estimauville en vaste zone d’innovation technologique. Pour réaliser son projet qui s’étendrait sur l’équivalent de 100 terrains de football, le maire prévient qu’il y aura des expropriations.
L’administration Labeaume souhaite notamment mettre la main sur une partie du terrain de l’usine Papiers White Birch.
« Je ne sais pas combien de temps White Birch va durer, mais il y aurait moyen de réaménager le terrain. Il y a trois bassins de décantation, mais ils ne les utilisent pas tous les trois. Ça peut se déménager », explique le maire de Québec.
La Ville compte aussi demander le déménagement d’entreprises comme AIM et Glassine. Le dépôt à neige du secteur D’Estimauville et le garage municipal seraient aussi appelés à disparaître.
Le processus pourrait prendre du temps. Il faudrait négocier avec les entreprises visées, qui n’ont pas encore été informées du projet. Régis Labeaume soutient également qu’une loi devrait être adoptée par le gouvernement Legault pour faciliter les expropriations.
Projet sur 10 ans
Le projet vise à favoriser, d’ici 10 ans, l’implantation de laboratoires et d’entreprises dans les secteurs des sciences de la vie, des activités logistiques et des technologies propres.
Le maire a présenté son projet au premier ministre François Legault. Pour la première phase du projet, la Ville de Québec demande au provincial d’investir 100 millions de dollars qui serviraient surtout à décontaminer des sols.
« C’est un projet avec un impact immense. Tu changes carrément la basse-ville avec ce projet-là, mais dramatiquement. C’est un projet immense pour une ville. On n’a pas vu ça depuis très longtemps », soutient Régis Labeaume.
Création de milliers d’emplois
À terme, l’administration Labeaume estime pouvoir attirer 280 entreprises technologiques. Le projet créerait 15 000 emplois et apporterait un milliard de dollars par année en salaires, selon la Ville.
Le maire souligne qu’aucun citoyen ne sera exproprié.
« L’objectif, c’est impact zéro pour tous les gens de Limoilou, du bas Giffard aussi. En expropriant des industries, on veut faire en sorte que l’environnement deviennne sain », affirme Régis Labeaume.
Le gouvernement n’a pas encore donné son appui au projet.
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Commercial.