Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Types de projet »

Un espace vert temporaire à Fleur-de-Lys avant les gros travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 juin 2021 Commentaires fermés sur Un espace vert temporaire à Fleur-de-Lys avant les gros travaux

Source : Jean-Michel Genois Gagnon, Journal de Québec, le 29 juin 2021

Campus de l’UQTR, unités d’habitation, résidence pour personnes âgées et espaces verts. La «métamorphose» de 850 millions $ du centre commercial Fleur de Lys s’accélérera ces prochains mois.

Lundi, les propriétaires de l’immeuble, Trudel Alliance, ont annoncé certains travaux qui débuteront en août. Mais avant de s’attaquer aux chantiers de briques et de mortier, ils ont décidé d’aménager pour la population un espace vert «au beau milieu d’un stationnement», à proximité de la rue Soumande.
«Notre objectif, c’est que la clientèle et les commerçants bénéficient d’une zone verte qui n’est pas dans le chantier. (…) Nous avons déplacé des arbres et retiré de l’asphalte pour mettre du gazon», indique au Journal William Trudel, président et fondateur de Trudel Alliance.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Le Maguire – projet presque terminé

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 juin 2021 Commentaires fermés sur Le Maguire – projet presque terminé

Ce projet arrive à son terme sur Maguire tout près de l’intersection Bergemont.

Projet Le Maguire: état des travaux.

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Après la démolition, voici ce qui sera construit au 333, Grande Allée Est…

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 juin 2021 6 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

La démolition du 333, Grande Allée Est a suscité beaucoup d’intérêt chez les lecteurs du Soleil la semaine dernière. Mais nous n’avions pas en main la vision finale du promoteur pour l’immeuble de six étages qui poussera sur les gravats. Voici donc la plus récente mouture.

Martin De Rico est évaluateur agréé chez De Rico experts-conseils. Il a également développé une entreprise de gestion immobilière, Appartements Urbains. C’est elle qui pilote la transformation de l’immeuble bien connu de la Grande Allée Est pour le compte d’un investisseur montréalais. Un chantier d’environ 10 millions $.

Le bailleur de fonds de la métropole ne voulait pas administrer les bureaux qui se trouvaient dans l’ancien bâtiment issu de la fusion du «petit château» et de la structure moderne des années 1990, explique-t-il. «Il y avait beaucoup de désuétude. [Et] 22 000 pieds carrés ça coûte beaucoup trop cher à opérer.»

L’acquéreur voulait donc des logements. «C’est tout du locatif, il n’y a rien à vendre, c’est tout à Dans le petit château du début du XXe siècle, 4 «maisons de ville» seront aménagées, explique M. De Rico. Des logis sur deux étages.

L’aile à construire autour, comptera une trentaine d’appartements. «Des unités de type studio, 3 ½, 4 ½ et 5 ½ de 500 à 1800 pieds carrés.»

«Tout le stationnement qui est en dessous on va le conserver», ajoute-t-il. Il y a 52 cases de stationnement.»

Néanmoins, notre interlocuteur estime qu’entre le quart et le tiers de locataires n’auront pas d’autos! Il se base sur les besoins des résidents d’autres bâtiments dont il s’occupe dans les parages. «Dans les trois propriétés qu’on administre dans le secteur, de 20 % à 25 % des gens n’ont pas de voiture.»

La proximité des plaines d’Abraham, de l’avenue Cartier, du Vieux-Québec ainsi que la présence de nombreux trajets de transport en commun suffiraient à plusieurs.

Pour des détails, il faut visiter le site Web. La livraison est annoncée pour l’été 2022.

Les autres immeubles gérés par les Appartements Urbains dans le quartier sont : la Passerelle construit durant la rénovation du IGA Deschênes du chemin Sainte-Foy; le 105, chemin Sainte-Foy, à l’intersection de l’avenue Cartier; le 120, René-Lévesque Ouest.

L’article

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Portrait de l’habitation à Québec de janvier à mai 2021

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 juin 2021 Commentaires fermés sur Portrait de l’habitation à Québec de janvier à mai 2021

Québec, le 21 juin 2021 – La Ville de Québec présente un portrait enviable du marché résidentiel sur son territoire et réitère sa volonté de répondre aux besoins de 2 000 ménages en attente d’un logement subventionné et des jeunes familles souhaitant acquérir une première propriété.

« Les taux d’intérêt à la baisse et les salaires à la hausse ont favorisé une demande marquée sur le marché de l’habitation, a déclaré le maire de Québec, M. Régis Labeaume. Le nombre important de permis délivrés depuis le début de l’année et de mises en chantier démontrent que l’offre suit la demande. Cependant, les besoins des jeunes familles et des ménages à faible revenu demeurent. D’ailleurs, avec 511 unités du programme AccèsLogis réservées depuis janvier 2021, le nombre d’habitations disponibles pour démarrer de nouveaux projets de logements sociaux et abordables d’ici la fin de l’année est à zéro. Compte tenu du délai moyen de deux ans entre l’attribution des logements et le début de la construction, si aucune nouvelle unité n’est attribuée, une diminution considérable des mises en chantier en 2023-2024 est à prévoir. »

Selon les données de recensement, à Québec, un ménage sur cinq consacrait plus de 30 % de son revenu pour se loger en 2016. Afin de contrer ce phénomène, la Vision de l’habitation prévoit la création de 2 600 nouveaux logements sociaux et abordables d’ici 2025, notamment grâce à la Fiducie foncière communautaire de Québec. Pour atteindre son objectif, la Ville vise l’obtention d’unités supplémentaires AccèsLogis.

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Portail et enjeux de l’habitation à Québec

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Un projet mesuré pour le carrefour historique de Sillery

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 juin 2021 2 commentaires

François Bourque
Le Soleil

Nouveau débat et mobilisation de citoyens sur un projet immobilier aux portes de l’arrondissement historique de Sillery.
Rien de commun cependant avec d’autres qui ont attiré l’attention ces dernières semaines. Celui du 955, Grande Allée (édifice de Loto-Québec) par exemple, que la Ville vient de renvoyer sur les planches à dessin.

Le projet d’immeuble résidentiel sur le site de l’ancienne station-service Ultramar, coin Maguire et chemin Saint-Louis, est d’une autre nature. Beaucoup plus acceptable au plan urbain et de la qualité de vie du voisinage.

La Ville de Québec souhaite y permettre trois étages et 17 logements avec un édicule donnant accès à une galerie sur le toit orientée sur le chemin Saint-Louis pour protéger l’intimité des voisins derrière.

Ce projet n’implique pas de démolition d’immeuble patrimonial. Pas de perte de paysage ou de points de vue précieux. Pas d’arbres, de boisés ou de verdure sacrifiés. Pas de hauteur démesurée. Pas d’effet de mur comme souvent avec les très gros immeubles.

Pas d’impact notable sur la circulation. Pas de matériaux ou de formes qui détonnent avec la rue Maguire ou la brique rouge des immeubles en face, chemin Saint-Louis (restaurant Montego et boutique Sports Maguire).

On est ici à proximité d’une rue commerciale où les résidents pourront aller à pied et on est tout près du transport en commun.

Au plan urbain, il est difficile de trouver à redire de ce projet dont un des promoteurs, Mario Bernardo, est propriétaire du Montego en face.

Ceux qui s’y opposent semblent oublier que le zonage actuel permet déjà quatre étages sur l’ensemble du terrain, plus un édicule sur le toit. Le zonage actuel oblige aussi à un rez-de-chaussée commercial.

Le changement proposé vise à réduire la hauteur permise à trois étages et fait disparaître l’obligation commerciale. Cela fait de la place pour cinq logements de plus que le zonage actuel (17 au lieu de 12).

L’amendement au PPU Sillery et au zonage vise aussi à permettre un seul bâtiment sur le site plutôt que deux ou trois. Cela rendrait possible un stationnement en sous-terrain plutôt qu’en surface.

On le sait. Tout immeuble nouveau, même le plus modeste ou le plus réussi, dérange l’ordre établi.

Les voisins immédiats y perdent toujours un peu d’air, d’intimité ou de vue. Leur réflexe de protéger leurs «acquis» est légitime, même quand l’intérêt général peut justifier un projet.

Échaudés par les ambitions parfois démesurées des administrations publiques, les conseils de quartier et autres groupes militants sont aussi devenus méfiants. On ne s’en surprend plus et il est difficile de les blâmer.

J’ai pourtant sursauté devant l’avis de la Coalition pour l’arrondissement historique de Sillery. Le groupe s’oppose à ce projet pour le motif que sa «modernité et l’emprise de la construction… détonnent avec l’esprit du lieu de ce carrefour».

L’esprit du lieu?

On parle ici d’une station-­service désaffectée et de sa cour d’asphalte.

Partout ailleurs, les citoyens supplient la Ville d’activer la reconstruction sur les terrains vacants des anciens postes d’essence.

La Coalition et le conseil de quartier voudraient ici que la Ville ou la Commission de la capitale nationale achète le terrain et en fasse un parc ou une porte d’entrée de l’arrondissement historique de Sillery.

Ils évoquent la présence sur le terrain derrière de la maison patrimoniale Timmony (construction 1835) où ont logé les marchands de bois et anciens maires de Sillery Charles et James Timmony.

Cette maison est en effet reconnue pour sa valeur «supérieure» dans le répertoire du patrimoine bâti de la Ville.

L’accès à cette maison se faisait à l’origine par le chemin Saint-Louis, mais ce lien n’existe plus.

Vouloir le restaurer ou l’évoquer mènerait tout droit dans la cour arrière des citoyens qui habitent la maison qui a sa façade sur la rue Louis-H.-LaFontaine.

Pour atténuer l’impact visuel, la Ville exigera du promoteur qu’il aménage un mur vert du côté de la maison Timmony, m’informe la conseillère Émilie Villeneuve.

Pour ce qui est d’un parc, on convient tous de leur importance dans la vie des quartiers. Sauf que c’est difficilement un enjeu ici.

Il y a dans le quadrant voisin de ce même carrefour le grand cimetière Mount Hermon qui descend jusqu’à la falaise en contre-bas. C’est un des très beaux «parcs» de Québec.

Les autorités publiques ne peuvent quand même pas acheter tous les terrains vacants pour éviter aux voisins de subir un nouvel immeuble.

La Coalition plaide avec raison pour le respect du «plan de conservation du site patrimonial de Sillery». Celui-ci couvre tous les quartiers au sud du chemin Saint-Louis, de la côte Gignac à la rue de Laune. Cela inclut le secteur du chemin du Foulon au pied de la falaise.

Le ministère de la Culture a juridiction sur ce site et devra se prononcer sur le changement demandé au PPU et au zonage pour l’ancienne station Ultramar.

Je ne veux pas présumer de sa décision, mais le ministère avait approuvé l’actuel PPU Sillery créé en 2015.

Ce plan s’intéresse à toutes les caractéristiques du site historique : cadre naturel, réseau viaire (rues), système parcellaire (découpage des lots), cadre bâti, unités de paysage, qualités visuelles, patrimoine archéologique, etc.

Ces «témoignages» de différentes époques doivent être protégés dans «un esprit de continuité et de cohérence», indique le plan.

Pour les nouvelles constructions, le plan demande de s’inspirer des «caractéristiques historiques du milieu d’insertion», mais «sans imiter les bâtiments existants, de manière à affirmer son époque de construction».

La Commission d’urbanisme de la Ville de Québec devra aussi se prononcer sur l’architecture et l’intégration au voisinage du nouvel immeuble.

Dans l’ordre actuel des choses, la question du patrimoine arrive à la fin du processus d’approbation des projets.

Serait-il plus opportun de le faire au début? C’est ce que suggère Pierre Vagneux, président de la Coalition pour l’arrondissement historique.

Un questionnement «patrimonial» doit précéder la discussion, croit-il. M. Vagneux déplore que le «réflexe patrimonial» que l’on aurait dû avoir n’ait «pas été initié».

Je ne sais pas si ça aurait changé quelque chose dans le débat présent, mais la question mérite d’être posée.

Des citoyens et groupes de pression arrivent régulièrement à faire reculer les villes ou des promoteurs. Parfois sous la menace d’un référendum; parfois par la pression publique ou simplement par la discussion.

L’exemple le plus récent est celui du 955, Grande Allée, mais il y en a d’autres.

On a vu ce printemps le promoteur d’un gros projet résidentiel sur le chemin des Quatre-Bourgeois revoir les plans avec la Ville après avoir entendu les craintes des citoyens.

Nicolas Côté, de Clef Développement, a fractionné en quatre le «mur-édifice» qui était prévu; il a augmenté les marges de recul dans la cour arrière et a abaissé les hauteurs en deçà des hauteurs autorisées.

Au final, «le projet respectera l’ensemble de nos préoccupations, trois étages, environ 14 mètres de marge arrière et pas de mur édifice», se réjouit le porte-parole du groupe de citoyens du voisinage, Robert MacKay, dans un courriel envoyé au Soleil il y a quelques jours.

M. MacKay salue au passage la négociation menée par la Ville avec le promoteur. «Nous avons l’impression que les urbanistes de la Ville ont fait un bon travail et ont tenu compte de nos préoccupations», dit-il.

Cela vaut la peine d’être souligné.

L’été dernier, l’administration Lehouillier à Lévis a rapidement revu son plan de circulation aux abords du parc de l’anse Benson après avoir entendu les critiques de citoyens.

On ne dira jamais assez à quel point le dialogue et l’écoute permettent d’améliorer les projets et leur acceptabilité.

Mais il arrive aussi que des citoyens étirent l’élastique au point de compromettre la viabilité de tout projet et de condamner des terrains à l’immobilisme. Il faut alors être capable de dire c’est assez.

La chronique

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Pourquoi l’immeuble du 333, Grande Allée Est est-il mis en pièces?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 juin 2021 Commentaires fermés sur Pourquoi l’immeuble du 333, Grande Allée Est est-il mis en pièces?

Quebec – Demolition d un Immeuble Grande Allee – 333, Grande Allee Est – 16/06/2021 – le 16 juin 2021 – Photo Le Soleil Erick Labbe.

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Solel

L’immeuble du 333, Grande Allée Est tombe sous le pic des démolisseurs. L’édifice de bureaux ne sera bientôt qu’un tas de gravats. Que se passe-t-En fait, Mme Côté, le zonage a été revisé pour permettre un projet résidentiel sur les ruines de l’édifice de bureaux.

«Le permis de démolition et d’agrandissement a été délivré le 15 avril 2021», nous explique la conseillère en communication de la Ville, Audrey Perreault. «Le projet comporte 34 unités de logement et la hauteur est de 19,50 mètres (max : 20 mètres).» Avant, la limite était de 13 mètres.

Dans des documents officiels, nous apprenons également que l’immeuble aurait 6 étages. Aussi que les 52 cases de stationnement existantes, situées en sous-sol, seront conservées.

Le PPU modifié

«Le terrain du 333, Grande Allée Est fait partie du territoire du Programme particulier d’urbanisme pour la colline Parlementaire», ajoute Mme Perreault. «À l’hiver 2020, le PPU a été modifié pour autoriser la réalisation de ce projet.»

À l’époque, des esquisses architecturales avaient été diffusées. Mais les plans ont été un peu changés après. «Rappelons que le projet a subi plusieurs modifications afin de tenir compte des commentaires formulés par les citoyens lors des consultations publiques.»

À l’origine, par exemple, le promoteur voulait construire jusqu’à 25 mètres de haut. Dans une mouture plus récente, il demandait la permission d’aménager 41 logements. Finalement, il a réduit ses ambitions.

LE PETIT CHÂTEAU CONSERVÉ

Même si l’on pourrait voir deux immeubles au 333 et 335, Grande Allée Est, ils sont en fait fusionnés.

«Le site visé comporte un seul bâtiment construit à deux périodes distinctes de son histoire», lit-on dans des «exposés» résumant le dossier qui ont été préparés par l’administration municipale. «La portion la plus ancienne, reprenant les caractéristiques d’un petit château, a été construite au tout début du XXe siècle.»

«En 1990, quatre étages de bureaux se sont ajoutés au bâtiment ancien, doublant sa superficie qui totalise 2 000 m2 d’emprise au sol. Les trois niveaux de stationnement sont construits sous cette portion.»

Seulement les façades

L’intérieur du «château» a cependant été modernisé. «Les façades extérieures ont été bien conservées, mais il ne reste à l’intérieur aucune caractéristique d’époque due à la transformation complète de l’immeuble en bureaux.»

Néanmoins, le projet sur la table prévoit la conservation de l’ancienne portion, celle de gauche. «L’ajout d’étages s’effectuera du côté de la portion moderne de l’immeuble.»

Soulignons que la Ville a profité de la révision du zonage pour interdire les locations touristiques au 333.

L’Industrielle Alliance était propriétaire du 333, Grande Allée Est jusqu’en 2019. Jugeant que la location de ces bureaux était peu rentable, l’assureur a vendu.

L’acheteur a cependant voulu changer la vocation. «Utilisé pour des fonctions administratives, la désuétude du bâtiment actuel (petite superficie, configuration intérieure, désuétude fonctionnelle) ne permet pas au nouvel acquéreur d’offrir un prix compétitif sur le marché de la location d’espaces à bureaux, justifiant la raison de la vente par son propriétaire actuel», explique-t-on dans les documents municipaux. «Les frais d’exploitation sont largement supérieurs à ceux du marché de bureau locatif.»

La Ville a donc jugé que «le recyclage du bâtiment à des fins résidentielles apparaît la solution la plus intéressante».

Soulignons que la tour Martello et les autres bâtiments voisins ne sont pas inclus dans ce projet immobilier. «À l’arrière de la propriété est érigée la petite maison blanche, sise au 390, avenue Wilfrid-Laurier et la tour Martello 2, à droite de celle-ci. […] À l’est du site visé se situe l’immeuble du ministère de la Culture et des Communications.»

La maison de l’Opéra de Québec et l’hôtel Manoir de la tour sont également dans le coin.

Aux citoyens qui demandaient si la nouvelle construction pourrait empiéter sur ces lots, la Ville a répondu : «Ces immeubles ne sont pas touchés.»

L’article

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Le Projet au 955 Grande Allée ouest rejeté par la Ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 juin 2021 2 commentaires

Taïeb Moalla
Journal de Québec

À la suite d’une forte mobilisation citoyenne, la Ville de Québec a décidé de ne pas donner son aval à la mouture actuelle du projet immobilier controversé qui devait se réaliser au 955, Grande Allée Ouest.

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Le projet au 955 Grande Allée ouest: des citoyens toujours opposés à un projet immobilier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juin 2021 11 commentaires

Jean-François Racine
Journal de Québec

Des citoyens continuent de s’opposer férocement au projet immobilier proposé par Immeubles Simard sur la Grande Allée.

Le regroupement proteste puisque la Ville de Québec procédera, selon eux, à un vote important sans que les citoyens n’aient obtenu de réponses aux mémoires déposés. Les signataires d’une lettre ouverte déplorent la consultation citoyenne tenue le 12 mai dernier. Ils dénoncent ainsi le projet de changement du PPU (Programme particulier d’urbanisme) du 955 Grande-Allée Ouest.

Le projet ne tient compte, disent-ils, de la facture identitaire du quartier ni de sa réalité géographique.
Leurs inquiétudes touchent notamment la circulation, les arbres et la tranquillité du secteur.
Les nouveaux bâtiments seraient construits autour de l’ancien édifice de Loto-Québec, qui abritera toujours des bureaux.

Le règlement permettant la construction pourrait être modifié bientôt. Un immeuble de quelques étages et 180 logements est prévu avec un stationnement souterrain. Le projet totalise 40 millions de dollars.

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Un billet précédent

La page Facebook des gens s’opposant au projet

L’opinion de François Bourque (Le Soleil)

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Une nouvelle mouture pour le projet de l’îlot Charlevoix

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 mai 2021 1 commentaire

Source : David Rémillard, Radio-Canada, le 25 mai 2021

C’est finalement tout un quadrilatère du Vieux-Québec qui pourrait changer de visage avec le projet de l’îlot Charlevoix. D’abord présenté par la Ville comme un développement limité à un terrain désaffecté, près de l’Hôtel-Dieu, des discussions sont maintenant en cours afin de le connecter à la rue Saint-Jean.

Radio-Canada a appris que le développement immobilier prévu à l’îlot Charlevoix, dans la côte du Palais, fait l’objet de nouvelles analyses par la Ville de Québec. Le promoteur, groupe Capwood, a présenté de nouveaux plans à l’administration municipale, trois ans après avoir remporté l’appel de projets pour revitaliser ce secteur autrefois médiatisé pour sa colonie de chats errants.

Des discussions sont en effet en cours entre la Ville et le promoteur concernant l’îlot Charlevoix et un possible agrandissement du projet. Cette démarche suit le processus des projets majeurs à la Ville de Québec. Le projet est à l’étape préliminaire d’analyse, confirme la Ville dans un échange de courriels.

Selon nos informations, le projet immobilier s’étendrait maintenant à tout le quadrilatère formé des rues Charlevoix, de l’Hôtel-Dieu, Saint-Jean et de la côte du Palais. Dans la foulée, le groupe Capwood a fait l’acquisition de l’ancien bâtiment de la Banque de Montréal, rue Saint-Jean, lequel abrite présentement la boutique Cool As a Moose et un cabinet d’architecture.

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