Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’usine Dominion Corset (avant 1897)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 février 2016 14 commentaires

Jérôme Ouellet
Vues anciennes de Québec

L’usine Dominion Corset est connue pour sa production de sous-vêtements féminins mais, on oublie qu’elle a été destinée initialement à la fabrication de chaussures. Son édification à l’angle des rues Charest[1] et Dorchester par l’homme d’affaires Guillaume Bresse (1833-1892) en 1871 est évocatrice de la reconversion industrielle alors en cours à Québec. En effet, la structure économique de la ville, pendant longtemps axée sur le commerce du bois et la construction navale, commence à se réorganiser autour de l’industrie des biens de consommation dont le cuir. (…) Au décès de Guillaume Bresse en 1892, son neveu lui succède à la tête de l’entreprise, mais est acculé à la faillite cinq ans plus tard. Georges-Élie Amyot (1856-1930), industriel actif dans le domaine de la corsetterie depuis 1886[4], entre alors en scène; il acquiert aux enchères la propriété de Bresse puis y intègre l’année suivante sa fabrique de corsets ainsi qu’une autre consacrée à la production de boîtes de carton

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* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)

* Note: Georges-Élie Amyot a aussi fait construire en haute-ville sa résidence dont Québec Urbain a parlé dans ce billet

Voir aussi : Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Château Frontenac: La pierre de la croix Malte du chevalier de Montmagny

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 février 2016 Commentaires fermés sur Château Frontenac: La pierre de la croix Malte du chevalier de Montmagny

Dans la cour d’honneur du Château Frontenac, sur le mur de l’aile de la salle de bal, au-dessus du grand arc de la porte cochère qui donne accès à la rue Saint-Louis et à la place d’Armes, est encastrée une pierre sur laquelle est sculptée une croix de Malte. Son origine est très ancienne, remontant au temps où régnait Louis Xlll et où le chevalier de Montmagny gouvernait à Québec. De récentes recherches nous aident à mieux apprécier la grande valeur symbolique et patrimoniale de cette fameuse croix.

C’est un article du magazine Prestige qui nous parle de ce petit trésor peu connu de Québec.

Voir aussi : Histoire.

La ville de Québec compte 542 000 habitants

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 février 2016 3 commentaires

Radio-Canada

Québec occupe le deuxième rang des villes les plus populeuses de la province, derrière Montréal, avec 542 000 habitants en juillet dernier. Les données de l’Institut de la statistique du Québec montrent que la population de Québec grandit plus vite qu’à Montréal depuis 10 ans. Par contre, d’autres villes attirent davantage de gens. Laval, Gatineau, Sherbrooke, Terrebonne et même Lévis observent des taux d’accroissement annuels plus élevés que Québec pour la même période.

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité.

Réorganisation policière: un poste de proximité au centre-ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 février 2016 3 commentaires

Jean-François Néron
Le Soleil

(Québec) La cour municipale et le centre de détention de la centrale de police du parc Victoria déménageraient dans l’actuel bâtiment qui abrite le service de la gestion des immeubles, à l’intersection des rues Prince-Édouard et du Pont, a appris Le Soleil. (…) Pour les personnes interrogées par Le Soleil, il s’agirait d’un choix logique en raison, notamment, de sa proximité avec le palais de justice de Québec, situé tout juste à 700 mètres. De leur avis, le service de police doit absolument garder des services accessibles au centre-ville, où habite une clientèle plus défavorisée. De plus, les quartiers centraux sont le théâtre d’interventions policières plus fréquentes.

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Un billet précédent

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.

Un promoteur qui ne tient pas ses promesses

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 février 2016 6 commentaires

Radio-Canada (Québec)

À Québec, un promoteur immobilier en faillite utilise un système de prête-nom pour rester en affaires. Jacques St-Pierre a demandé des acomptes à ses clients et ne les a pas remboursés quand son dernier projet est tombé à l’eau.

Michel Pelletier et Claudette Vallerand ont travaillé dur toute leur vie à l’entretien ménager d’un hôpital de Québec. À la retraite, ils décident d’acheter un condo dans un projet réalisé par le Groupe Condos Lov. Le promoteur Jacques St-Pierre leur demande 35 000 $ d’acompte.

Une vingtaine d’unités devaient être construites pour l’automne 2014 dans le quartier Limoilou, à Québec, sur un terrain occupé par un vendeur de véhicules d’occasion. Mais rien ne sera bâti.

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Un billet précédent qui parle des condos Luv

Un billet précédent en 2008 qui parle d’un autre projet du même promoteur

Le reportage de Radio-Canada (Émission La Facture)

Voir aussi : Condo.

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