Taïeb Moalla
Journal de Québec
À la suite d’une forte mobilisation citoyenne, la Ville de Québec a décidé de ne pas donner son aval à la mouture actuelle du projet immobilier controversé qui devait se réaliser au 955, Grande Allée Ouest.
Taïeb Moalla
Journal de Québec
À la suite d’une forte mobilisation citoyenne, la Ville de Québec a décidé de ne pas donner son aval à la mouture actuelle du projet immobilier controversé qui devait se réaliser au 955, Grande Allée Ouest.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
Jean-François Racine
Journal de Québec
Des citoyens continuent de s’opposer férocement au projet immobilier proposé par Immeubles Simard sur la Grande Allée.
Le regroupement proteste puisque la Ville de Québec procédera, selon eux, à un vote important sans que les citoyens n’aient obtenu de réponses aux mémoires déposés. Les signataires d’une lettre ouverte déplorent la consultation citoyenne tenue le 12 mai dernier. Ils dénoncent ainsi le projet de changement du PPU (Programme particulier d’urbanisme) du 955 Grande-Allée Ouest.
Le projet ne tient compte, disent-ils, de la facture identitaire du quartier ni de sa réalité géographique.
Leurs inquiétudes touchent notamment la circulation, les arbres et la tranquillité du secteur.
Les nouveaux bâtiments seraient construits autour de l’ancien édifice de Loto-Québec, qui abritera toujours des bureaux.
Le règlement permettant la construction pourrait être modifié bientôt. Un immeuble de quelques étages et 180 logements est prévu avec un stationnement souterrain. Le projet totalise 40 millions de dollars.
La page Facebook des gens s’opposant au projet
L’opinion de François Bourque (Le Soleil)
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
Stéphanie Martin
Journal de Québec
Partagé entre deux options, le conseil de quartier du Vieux-Limoilou a finalement tranché en faveur d’un passage du tramway sur la 3e plutôt que sur la 4e Avenue, mais déplore le manque d’information sur le projet.
Dans une résolution adoptée le 19 mai, le conseil de quartier «estime qu’à l’étape actuelle, en fonction du peu d’information fournie, un passage du tramway sur la 3e Avenue serait à préconiser.
Les membres ont étudié attentivement les deux options proposées de tracé entre le pont Drouin et le chemin de la Canardière: un passage par la 3e Avenue, qui est commerciale, ou encore un tracé sur la 4e Avenue, résidentielle. Le conseil avait d’abord énoncé une préférence pour la 4e Avenue.
Mais en énumérant méthodiquement les avantages et les inconvénients de chaque option, il a finalement choisi d’opter pour la 3e Avenue. «On a l’impression que l’opportunité était plus intéressante, plus transformatrice pour le quartier si on tente de l’intégrer à l’artère cœur et phare de notre quartier», relate le président Raymond Poirier.
Le conseil y voit l’occasion de rendre l’artère conviviale, de lui donner une signature distinctive et de permettre l’instauration d’une nouvelle offre de consommation.
D’un autre côté, on s’inquiète de l’impact des travaux, de la possible hausse des loyers et de l’impossibilité de présenter de grands événements sur la portion sud une fois que le tramway sera implanté.
La décision n’a pas été simple, dit M. Poirier. «C’est pas facile parce qu’on demande aux citoyens de se prononcer sur une base émotive sur un projet qui n’est pas encore bâti. Beaucoup de questions restent encore en suspens.» Et même si l’option choisie semble présenter des avantages, elle comporte aussi des risques, témoigne M. Poirier. On s’inquiète notamment des questions de circulation dans le secteur avec la nouvelle donne.
Le conseil déplore «le manque d’information factuelle relativement aux deux options proposées dans le cadre des présentes consultations, et que, lors des rencontres citoyennes, des réponses floues ou imprécises soient données à des questions précises».
Pour M. Poirier, il est important que le bureau de projet du tramway demeure en lien constant avec le conseil de quartier afin que les citoyens puissent se prononcer au fil de l’avancement du projet.
Mardi, le maire de Québec, Régis Labeaume, a dit comprendre les raisons qui ont amené le conseil de quartier à voter cette résolution.
«Ils se disent qu’on ne peut pas manquer cette occasion, avec construction d’un tramway, de passer sur l’artère commerciale. Et on parle de trois coins de rue. C’est une excellente analyse. On va voir ce qu’il en est quand on va vous revenir avec ça.»
Les consultations sont toujours en cours et la réflexion n’est pas terminée à la Ville, a-t-il ajouté.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Le trou d’eau et de boue creusé à l’intersection de la 1re Avenue et du pont Drouin dans Limoilou sera bientôt oublié! Un bâtiment de 5 étages, abritant 63 logements, est en construction sur le lot adossé à la rivière Saint-Charles.
La «pisciculture» est fermée, annonce avec un sourire l’architecte George Blouin, président de Synchro Immobilier. «On a retourné les poissons à la rivière et on a commencé le chantier! […] La première coulée de béton aura lieu vendredi.»
Voilà trois ans que le lot a été excavé afin de retirer la contamination. Puis, il s’est rempli d’eau. La Ville est intervenue à quelques reprises, à la demande de citoyens, pour que la piscine artificielle soit vidée, ce que le promoteur avait fait.
La Ville ne sévissait toutefois pas contre l’entreprise immobilière puisqu’un projet résidentiel était à l’étude par ses fonctionnaires. Projet qui devait être lancé en 2019, tel que le rapportait Le Soleil.
Attendre le tramway
Pourquoi ne s’est-il pas réalisé? «Le projet a été mis sur la glace par la Ville de Québec en attendant l’étude pour le tramway», fait valoir George Blouin. Avant de permettre l’érection d’un immeuble, les autorités voulaient vérifier si le terrain devait être exproprié pour le futur réseau structurant de transport en commun, dit-il.
Cette question réglée, Synchro Immobilier est retournée à la table à dessin : le bâtiment qui devait compter autour de 40 logements en regroupera finalement 63, du studio au 5 1/2.
Tout inclus
C’est une tendance dans l’immobilier locatif, le loyer mensuel inclura une panoplie de services et d’équipements qualifiés de «haut de gamme» : Internet, climatisation et chauffage, douche en céramique, comptoir de granite, rangement pour les vélos, aire de repos extérieure avec des tables… «C’est pas mal la mode d’essayer d’éviter que le locataire ait des frais à payer en plus de son loyer», note M. Blouin. «Il a un paiement à faire.»
Le bâtiment de 13 400 pieds carrés de superficie aura une forme en C, avec des façades sur la 1re Avenue, sur le parc du Vieux-Passage et vers la rivière. Au centre, il y aura une petite cour intérieure.
Et, ça va coûter combien habiter là? «Ça commence à partir de 900 $ tout inclus.» La liste des «condos locatifs» et des prix sera peaufinée, puis diffusée d’ici le début juillet. L’arrivée des locataires au 445, 1re Avenue est prévue en juin 2022.
Et l’eau?
Au fait, votre immeuble aura-t-il les pieds dans l’eau? George Blouin explique que le trou était plus profond que la future fondation. Il a été en partie rempli de gravier compacté. La fondation serait ainsi plus haute que la nappe phréatique et la rivière.
LE PARKE, COMME DANS GEORGE HOLMES PARKE
Le nouvel immeuble résidentiel de Synchro Immobilier a été baptisé Le Parke. Comme dans George Holmes Parke, propriétaire de grands lots dans le secteur au XIXe siècle. Aussi parce que plusieurs parcs sont situés à proximité : rivière Saint-Charles, Pointe-aux-Lièvres, Cartier-Brébeuf, Vieux-Passage.
«George Holmes Parke est un ancien constructeur de navires qui possède des terrains sur le bord de la rivière Saint-Charles, à Limoilou», lit-on dans cette page du site Web de la Ville de Québec. «Au 19e siècle, de petits villages sont créés à Limoilou qui constitue alors la banlieue nord de la ville. Cette expansion de Québec est favorisée par la prospérité des chantiers navals de Saint-Roch et les problèmes de relogement des familles à la suite du grand incendie du faubourg Saint-Roch, en 1845.»
«Sur ses terres de Limoilou, George Holmes Parke fonde Ringfield ou Parkeville, près de l’actuel monument Cartier-Brébeuf. L’industrie principale de Parkeville est un moulin à scie, près duquel habite son propriétaire.»
Ancienne villa
«Construite en 1851, la villa de Parke, appelée villa Ringfield, est toujours visible au 1185, avenue La Sarre. Maintenant propriété du centre récréatif Saint-François-D’Assise, la villa coincée dans un développement résidentiel du début du 20e siècle est encore aujourd’hui communément appelée la villa de carton parce qu’elle a abrité pendant plusieurs années un commerce d’emballages de carton.»
La valeur patrimoniale de la villa est jugée «supérieure», lit-on dans cette fiche du Répertoire du patrimoine bâti de la Ville de Québec. «Construite en 1840 d’après les plans d’un prestigieux architecte, le Britannique Frederick Hacker, la villa compte parmi les plus anciens exemples de villa néoclassique à Québec.»
«Hormis la villa Ringfield, il ne subsiste plus rien de Parkeville à compter de 1885.»
En 1854, une ruelle a reçu le nom de l’homme d’affaires, la ruelle Parke. Située dans Saint-Roch, elle se nomme aujourd’hui rue Sagard.
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POURQUOI LE PARC DU VIEUX-PASSAGE?
Si vous avez encore soif d’informations historiques, allez lire ce feuillet qui raconte qu’une fortification avait été édifiée ici sous la gouverne de Montcalm avant l’attaque britannique de 1759.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
L’endroit (un garage désaffecté) qui serait maintenant propriété de la Ville de Québec deviendra un parc qui sera très « vert » selon le maire de Québec. Il y aura aussi une station pour le tramway. En attendant que le tout se réalise, un article paru dans Monmontcalm nous apprend que l’artiste Ilana Pichon réalise cette oeuvre artistique.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art urbain.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Un promoteur immobilier entend éliminer un stationnement de surface du chemin de Sainte-Foy, situé en face de l’hôpital du Saint-Sacrement, pour faire pousser un immeuble résidentiel. En plus, il transformera complètement l’édifice voisin, où a longtemps résidé le ministère de la Santé, pour y aménager encore plus de logements.
Disons-le d’emblée, la Ville est en faveur du projet. La Commission d’urbanisme a approuvé les plans, après avoir demandé quelques modifications afin de limiter l’impact sur les voisins.
Et le conseiller municipal du district Montcalm-Saint-Sacrement, Yvon Bussières, y voit une occasion à saisir de densifier le chemin Sainte-Foy. «C’est un beau projet pour le quartier de partir d’un stationnement pour faire de l’habitation.»
Un promoteur immobilier entend éliminer un stationnement de surface du chemin de Sainte-Foy, situé en face de l’hôpital du Saint-Sacrement, pour faire pousser un immeuble résidentiel. En plus, il transformera complètement l’édifice voisin, où a longtemps résidé le ministère de la Santé, pour y aménager encore plus de logements.
Disons-le d’emblée, la Ville est en faveur du projet. La Commission d’urbanisme a approuvé les plans, après avoir demandé quelques modifications afin de limiter l’impact sur les voisins.
Et le conseiller municipal du district Montcalm-Saint-Sacrement, Yvon Bussières, y voit une occasion à saisir de densifier le chemin Sainte-Foy. «C’est un beau projet pour le quartier de partir d’un stationnement pour faire de l’habitation.»
THM Immobilier est propriétaire du stationnement et des bureaux situés de part et d’autre de l’avenue du Cardinal-Bégin depuis environ 20 ans. M. Benatar louait les 8 étages du 1005, chemin Sainte-Foy au ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) depuis des lustres. Aussi, même s’il en rêvait, il ne pouvait faire de plans de construction pour le stationnement voisin, les fonctionnaires l’utilisant.
Mais, en 2019, le MSSS a indiqué qu’il ne renouvellerait pas le lucratif bail. L’investisseur a alors mandaté une firme d’architecture pour réfléchir à l’avenir des propriétés.
Pourquoi avoir finalement choisi d’éliminer les bureaux et les stationnements pour accueillir de nouveaux habitants ? «Parce que, d’abord, c’est un secteur qui se prête plus au résidentiel», évalue David Benatar. «Et, deuxièmement, le bureau, à mon avis, il va y avoir une réduction de la demande.»
Il fait également valoir que «le taux d’inoccupation n’a jamais été aussi bas» pour les appartements. En résumé : «C’est l’offre et la demande !»
La Ville de Québec a récemment organisé une séance d’information publique afin de présenter le projet nommé Le Kozi. Régis Lechasseur, architecte chez Bougeois / Lechasseur a alors offert plus de détails au sujet des deux constructions.
– «Sur la propriété du 1005, chemin Sainte-Foy, l’édifice à bureaux existant de 8 étages, construit en 1979, sera reconverti en édifice à logements de 69 unités. Un curetage complet intérieur et extérieur sera réalisé. Seule la structure du bâtiment existant sera conservée.»
– «Sur la propriété du 815, avenue du Cardinal-Bégin, le projet consiste à construire un nouvel édifice à logements de 4 à 6 étages comprenant 39 unités sur le terrain accueillant présentement le stationnement.»
– «Les deux propriétés partageront des aires de stationnement, de manière à combler le manque de cases au 1005, chemin Sainte-Foy. Pour ce faire, 3 niveaux de stationnements souterrains seront construits sous le bâtiment B avec 76 cases intérieures. Au final, un total de 110 cases seront disponibles pour les 108 unités de logement des bâtiments A et B.»
– Même s’il y aura un stationnement souterrain qui limitera l’épaisseur du sol en surface, l’architecte assure qu’il pourra faire pousser des arbres autour de l’immeuble du 815, avenue du Cardinal-Bégin. Sur les plans, il a prévu des fosses qui seraient suffisamment grandes pour l’expansion des végétaux.
– Si le promoteur immobilier obtient ses permis d’ici juillet, le chantier sera lancé cet été pour une «livraison» des logements en juillet 2022.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.
La Maison de la diversité (mise à niveau : 3 M$)
Annoncée le 31 mars dernier, la Maison de la diversité mettra en valeur l’histoire et la culture de toutes les communautés, incluant celles de Québec, et fera rayonner la contribution de tous à notre histoire collective. Lieu permanent de rassemblement, de partage et d’apprentissage des cultures, les citoyens pourront s’y rencontrer, partager leurs connaissances culinaires, y voir des spectacles, etc. Avant d’arrêter son choix sur un lieu précis, la Ville évalue actuellement les besoins pour mettre sur pied le meilleur projet et déterminera ensuite si le concept sera déployé en plusieurs lieux, dont potentiellement la Maison Pollack.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Institutionnel, Patrimoine et lieux historiques.
Lors des séances publiques de cette semaine, le Bureau de projet du réseau structurant de transport en commun a eu la chance de présenter l’insertion du tramway entre le Pôle de Saint-Roch et le Pôle D’Estimauville et de discuter des options (3e ou 4e Avenue) permettant de rejoindre l’axe du chemin de la Canardière et de la localisation potentielle de certaines stations, en plus d’aborder plusieurs autres sujets.
Nous vous invitons maintenant à remplir le questionnaire qui est disponible sur la Plateforme de participation citoyenne, jusqu’au 28 mai prochain.
Au même endroit, vous trouverez également les présentations, les enregistrements des rencontres et un document Questions / Réponses.
Service de l’interaction citoyenne
Ville de Québec
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.
Julie Rhéaume
Monsaintroch
Les architectes Bourgeois/Lechasseur, dont les bureaux de Québec sont présentement situés sur la rue Saint-Vallier Est, comptent déménager leurs pénates en 2022 dans un tout nouveau bâtiment qui serait construit au 533 du boulevard Langelier. Un garage désaffecté se trouve présentement à cet endroit.
La firme Bourgeois/Lechasseur loge actuellement près des Salons d’Edgar, sur la rue Saint-Vallier Est. Après 10 ans à cette adresse, les responsables avaient envie d’un local avec « plus de superficie », raconte l’architecte Olivier Bourgeois, en entrevue à Monsaintroch, le 12 mai.
Demeurer dans le quartier Saint-Roch s’est toutefois imposé. « On ne voulait pas nécessairement aller dans Saint-Sauveur, même si on avait regardé », dit-il. Olivier Bourgeois ajoute que les clients « adorent venir à nos bureaux » dans Saint-Roch. Après un rendez-vous, certains en profitent pour dîner dans l’un des restos du quartier, cite-t-il en exemple.
À prime abord, le bureau d’architectes avait été engagé par les propriétaires des lieux pour la conception d’un nouvel édifice situé au 533, boulevard Langelier, en remplacement du bâtiment actuel. M. Bourgeois et son collègue Régis Lechasseur ont toutefois craqué pour le futur espace et ont décidé d’y installer leurs bureaux. Ils en seront à la fois les concepteurs et ensuite les locataires, raconte M. Bourgeois.
« La belle visibilité » et l’emplacement des lieux ainsi que la bande de terrain dotée d’arbres qui sépare les deux voies du boulevard Langelier ont notamment joué dans la balance quant à cet éventuel déménagement.
L’équipe de Bourgeois/Lechasseur est passée de huit à 11 personnes. Une douzième devrait s’ajouter à l’été. Les nouveaux bureaux, d’une superficie de près de 2000 pieds carrés, pourront accommoder tout ce beau monde de manière « très confortable », dit M. Bourgeois.
Le nouvel édifice
L’ancien garage délabré du 533, boulevard Langelier sera démoli pour faire place à une nouvelle construction. Cet édifice devrait accueillir huit logements locatifs et un espace à bureau qui sera occupé par Bourgeois/Lechasseur. Des espaces de rangement, des « lockers locatifs », seront aussi accessibles à tous au sous-sol. Ceux-ci viendront combler un besoin dans le quartier, de dire M. Bourgeois.
Des espaces de stationnement intérieurs étaient d’abord prévus dans le projet, selon un document municipal. Ceux-ci seront finalement situés à l’extérieur de la bâtisse, d’après l’architecte. Bourgeois/Lechasseur devrait y aménager ses bureaux au début de 2022, précise l’interlocuteur.
Démarches auprès de la Ville
Avant que la construction du nouveau bâtiment puisse aller de l’avant, une demande de modifications au zonage et au programme particulier d’urbanisme (PPU) du secteur sud du centre-ville Saint-Roch, adopté en 2017, doit être approuvée par la Ville de Québec.
Des consultations écrites sont d’ailleurs en cours jusqu’au 21 mai. Ensuite, une demande d’opinion au conseil de quartier sur le règlement de concordance devrait avoir lieu le 27 mai.
Le règlement modifiant le PPU et l’entrée en vigueur sont prévus en juillet tandis que l’adoption du règlement de concordance et son entrée en vigueur doivent se faire en août.
Olivier Bourgeois souhaite que le changement de zonage se fasse et que le permis de construction soit accordé. Il a toutefois bon espoir que le projet obtiendra le feu vert de la Ville, d’autant plus que celui-ci a reçu un accueil favorable de la part de ses futurs voisins, dit-il.
À noter que nous avons tenté sans succès de joindre l’un des propriétaires de la bâtisse et du terrain actuels pour en savoir davantage sur le projet.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Logement locatif ou social.