Le long de l’avenue D’Estimauville…
À consulter, ce billet: Scènes urbaines: beautés et p’tites misères de l’hiver québécois, saison 2007-2008 (16).
Le long de l’avenue D’Estimauville…
À consulter, ce billet: Scènes urbaines: beautés et p’tites misères de l’hiver québécois, saison 2007-2008 (16).
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Environnement, Météo, Scènes urbaines.
Source : Éric Moreault, Le Soleil, le 22 avril 2008
 Québec servira de laboratoire à un important projet novateur de véhicules hybrides à batteries rechargeables haute performance. Ces véhicules constituent un élément-clé de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, a-t-on soutenu hier lors du dévoilement à l’Université Laval.
EnerSys, le plus important producteur mondial de batteries industrielles, a développé cette technologie qui possède deux particularités. La première est que la batterie au lithium-ion peut être branchée et rechargée à partir d’une prise de courant domestique. La deuxième concerne le faible coût de ces batteries en comparaison avec celles qui sont commercialisées actuellement.
Pour les fins de l’étude de quatre ans, on a d’abord remplacé la batterie d’une Prius hybride par le prototype lithium-ion, qui lui assure une autonomie de 70 km et une faible consommation de 2,2 litres au 100 km.
Le choix d’EnerSys s’est porté sur Québec en raison du faible coût de l’électricité, qui assure une rentabilité financière plus aisée au concept; du climat quatre saisons parfois extrême; de ses particularités routières ainsi que de sa grande réceptivité aux idées environnementales.(…)
la source, et cet article sur l’auto électrique et celui-çi sur les efforts de la ville en la matière
Bon, si nous pouvons du coup marier environnement et développement économique de la ville quel beau coup çà serait. Déjà que Québec est une ville dotée de quantité astronomique d’arbres si on pouvait diminuer la pollution automobile à son strict minimum. Mais çà , çà prendra des dizaines d’années. La ville fait son effort avec sa flotte de véhicules, on commence à se dégêner à la RTC mais le plus gros morceau restera les automobiles des particuliers. Mais bon au moins çà avance…Â
Voir aussi : Environnement, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie.
Source: LA PRESSE CANADIENNE, TQS, 19 avril 2008.
MONTREAL – Le gouvernement de l’Ontario vient de lever l’interdiction des cordes à linge.
Cet été, les Ontariens auront donc le choix de faire sécher leur vêtements et couvertures sur une corde à linge extérieure. (…)
Dans la plupart des grandes villes du Québec, on permet l’installation de cordes à linge, mais uniquement dans les cours arrière, comme à Gatineau. Mais certaines villes, comme Montréal et Longueuil, précisent qu’on ne doit pas les apercevoir de la rue, ce qui est déjà plus contraignant.
L’Ontario souligne qu’utiliser les cordes à linge extérieures plutôt que la sécheuse électrique peut permettre d’économiser en électricité, mais aussi de réduire les émissions de gaz à effet de serre. (…)
La suite. À consulter aussi, entre autres billets: Touche pas à ma corde à linge!.
Voir aussi : Environnement, S'inspirer d'ailleurs.
Source: Éric Moreault, Le Soleil, 21 avril 2008.
(…) Les organisateurs de l’événement, né le 22 avril 1970, ne se trompent pas en insistant désormais pour que le Jour de la Terre se déroule 365 jours par année au lieu de devenir un sauf-conduit pour le gaspillage, la surconsommation et la pollution — tant parmi la population, les gouvernements que les entreprises privées.
La récupération de l’événement prend plusieurs formes. Ce peut être de vagues énoncés d’intention d’un gouvernement. Ou carrément des motifs mercantiles comme la chaîne Best Buy qui offre de recycler ordinateurs, télés et lecteurs MP3… à l’achat de nouveaux produits! (…)
Ce détournement à son profit (ou à celui des actionnaires) se pratique couramment en environnement, surtout depuis que l’écologie bénéficie d’un effet de mode. Ce que nos voisins appellent greenwashing et nos cousins écoblanchiment consiste à venÂdre un produit, un règlement ou une loi sous de fausses représentations environnementales afin de se donner une image verte. (…)
Alors, que faire pour trier le bon grain de l’ivraie? Comme pour tout le reste de notre vie en société : avoir l’esprit critique, s’informer auprès de sources crédibles et être prêt à changer ses mauvaises habitudes. Mais surtout, se rendre compte que c’est bien beau utiliser un savon sans phosphate ou étendre son linge sur la corde à linge; si de tels comportements ne s’accompagnent pas de changements fondamentaux dans nos habitudes de transport et d’habitation, ils ne donnent pas grand-chose. (…)
La suite. À consulter aussi, entre autres billets: Un débat à finir?.
Voir aussi : Environnement, Geste de solidarité & communautaires.
Voici donc mes premières photos pour Québec Urbain prises avec mon nouveau joujou!
À consulter, ce billet: Parc Cartier-Brébeuf – La rivière Lairet à découvert.
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Environnement, Parc, Patrimoine et lieux historiques.
Source: Nouvelles de l’UdeM, 19 avril 2008.
Il ne se passe pas une journée sans que les enjeux énergétiques ne fassent la manchette. Chaque fois, on pointe du doigt un coupable bien précis : les spéculateurs, une mauvaise nouvelle en Iran, etc. Or, ces événements quotidiens sont le reflet d’une crise énergétique mondiale structurelle qui aura un impact majeur sur notre société. Il est donc essentiel de comprendre l’origine et les enjeux de cette crise si on veut s’y préparer et réduire son impact.
C’est dans ce but que Normand Mousseau, professeur au Département de physique, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en physique numérique des matériaux complexes à l’Université de Montréal, a écrit « Au bout du pétrole. Tout ce que vous devez savoir sur la crise énergétique » publié par les Éditions MultiMondes.
Ce livre présente la crise énergétique dans un contexte québécois et canadien. Il se termine sur une conclusion choc : en matière d’énergie, les politiciens de tous les niveaux se comportent en autruches. (…)
À consulter aussi, entre autres billets: Rouler à l’électricité�… ou la fuite en avant?.
Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.
J’étais loin d’être d’accord avec l’ensemble de l’oeuvre de Mme Boucher lorsqu’elle était à la tête de Sainte-Foy. Mais sur ce point, la défunte mairesse avait tout à fait raison!
Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 18 avril 2008.
Québec éliminera d’ici cinq ans tous les panneaux publicitaires de son territoire. Le nouveau règlement d’urbanisme que doit adopter la Ville en décembre forcera les entreprises louant de tels espaces à les démanteler.
«Le nouveau règlement propose en effet que les panneaux-réclames soient désormais interdits sur l’ensemble du territoire. On utilise le pouvoir qu’on a pour les faire disparaître d’ici cinq ans», a indiqué hier le directeur général adjoint de la Ville, Serge Viau. (…)
Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Le maire Tremblay devrait-il prendre le métro? (Source: François Cardinal, La Presse, 14 avril 2008.)
Les chefs d’entreprise le savent bien : pour s’assurer de la qualité de leurs produits, ils doivent les tester eux-mêmes. Ils doivent se mettre dans la peau du client, expérimenter le service à la clientèle, vérifier la fiabilité de leur marchandise.
De la même manière, les conseillers municipaux doivent se mêler à la foule pour tâter le pouls de leurs concitoyens, arpenter les trottoirs pour constater leur étroitesse, déambuler au centre-ville pour évaluer sa propreté.
Pourquoi, dans ce cas, ne croise-t-on à peu près jamais d’élus dans le métro, l’autobus et le train de banlieue ? (…)
Le maire de Londres, dont on soupçonne l’horaire plutôt chargé, prend fréquemment le « tube ». La mairesse d’Hambourg, une ville ayant la même population que Montréal, monte quotidiennement dans l’autobus. Le maire de New York se fait un devoir de prendre le métro une fois par semaine.
Plus près de nous, Robert Perreault croisait chaque jour ses « clients » lorsqu’il était président de la STCUM, l’ancêtre de la STM. Le chef du NPD, Jack Layton, se déplaçait en tramway ou en vélo lorsqu’il était conseiller municipal à Toronto. (…)
Prêcher par l’exemple, vous dites ?
> En mai 2002, le maire Tremblay a participé au jour V (pour vélo) en enfourchant une bicyclette pour se rendre au travail. Mais là s’est arrêté son volontarisme. Le vélo, loué, a été aussitôt retourné. Le maire est rentré à la maison en Mercedes.
> Lorsqu’il était président de la société de transport en commun de Québec, Gilles Marcotte ne prenait jamais l’autobus. Il a expliqué pourquoi en avril 2007 : pas assez fiable, pas assez confortable, a-t-il dit. (…)
Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs, Transport en commun.
Devinez quel essai je m’achèterai au prochain Salon du livre! ;-)
Source: Éric Moreault, Le Soleil, 12 avril 2008.
L’homme est-il encore un bipède? Après tout, il passe plus de temps assis que debout. Le sédentaire doit donc réapprendre… à marcher! Et se libérer du joug de l’automobile. Mais les villes sont conçues pour les bagnoles, ce qui rend la marche difficile, voire périlleuse. Avec de nombreuses conséquences sociales, environnementales et en matière de santé publique. La Québécoise Marie Demers propose de façon convaincante, avec son livre Pour une ville qui marche, une nouvelle vision de l’aménagement urbain centrée sur le piéton et le cycliste plutôt que l’automobiliste (…)
Q Québec est une ville de chars, comment peut être reçu un tel discours?
R Je suis perplexe, pour ne pas dire sceptique. On a développé cette mentalité d’autoroutes, de banlieues et d’étalement urbain. Ce qu’il y a de plus négatif en Amérique du Nord, on le fait. On ne peut se comparer avec ce qui se fait en France, on vit en Amérique du Nord, on semble l’oublier. Les villes ont été créées un peu de la même façon. Les problèmes sont les mêmes et les solutions vont être les mêmes. À Québec, il faut mettre un frein à l’étalement urbain et au développement autour. Si la population n’est pas plus dense, on ne pourra mettre un accent plus grand sur le transport en commun, la marche et le vélo. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Pour une ville qui marche, de Marie Demers
Voir aussi : Étalement urbain, Environnement, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Vélo.
Source: Marie-Claude Boileau, Le Carrefour de Québec, 8 avril 2008.
Vieux-Limoilou – Taxi Coop changera ses installations situées au coin de la 4e Rue et de la 2e Avenue. Dépanneur, lave-auto et station-service seront démolis puis reconstruits de manière plus écologique.
Des travaux estimés entre 2,4M et 3,5M$ seront effectués. Le dépanneur, le lave-auto et la station-service seront complètement transformés. «Nous allons tout démolir afin de procéder à la décontamination du terrain. Ensuite, nous allons tout refaire en neuf», soutient ANDRÉ LAJEUNESSE, chargé de projet. Les installations seront reconstruites sur le terrain, mais dans un emplacement différent. (…)
La suite. À consulter, ce billet: Stations-services vacantes (45) à Québec: Des taxes?.
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Commercial, Environnement.