Pendant la construction

Vincent Larouche
La Presse

Après un blitz de discussions qui s’est étiré jusque tard dans la nuit de jeudi à vendredi, l’entente entre la Ville de Québec et Quebecor pour la gestion du futur amphithéâtre a finalement été signée.

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1949: Un Colisée flambant neuf en 7 mois Stéphanie Martin (Le Soleil)

Le château de Jean Béliveau Stéphanie Martin (Le Soleil)

Les détails de l’entente * Mise à jour (6 septembre 2011)

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Source : Nicolas Saillant, Journal de Québec, le 8 août 2011

La Ville de Québec a lancé un appel d’offres visant à aménager les bureaux qui accueilleront l’équipe de gestion de projet du futur amphithéâtre multifonctionnel.

Cette étape mineure, mais nécessaire, a pour but de réaménager les locaux qui appartiennent à la Ville. Ceux-ci sont situés dans l’ancien hippodrome sur les terrains d’ExpoCité et accueillent présentement le directeur de projet, Jacques A. Bédard, ainsi que sa secrétaire, explique le porte-parole de la Ville, Jacques Perron.

L’endroit sera aménagé pour recevoir environ 25 personnes, dont des chargés de projet, des ingénieurs, des architectes et des adjoints qui devraient commencer à entrer en poste vers la fin septembre.

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Et dans la même veine, cet article de TVA Nouvelles :

L’Ancienne-Lorette attend toujours « ses » documents.

Et puis, toujours confiant, de voir Michel Bergeron faire la première mise au jeu officielle des « Nordiques 2.0 » en 2015 dans les nouvelles installations ? Régis Labeaume a-t-il bien fait de brandir la coupe Stanley, dimanche, ou cela nous portera malheur ? …

Des aménagements splendides pour ce nouveau parc. C’est à voir. A 29°C, la clientèle était tout de même présente

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Source : Karine Gagnon, TVA Nouvelles, le 14 juillet 2011

Le Club Jockey du Québec, qui a ramené les courses de chevaux à Québec et dont fait partie Serge Savard, ancien joueur et dg des Canadiens, planche sur un projet d’hippodrome multifonctionnel de 16 millions de dollars avec scène permanente qui pourrait accueillir jusqu’à 50 000 personnes.

Les grandes lignes du projet ont déjà été présentées l’an dernier au maire Labeaume, qui en a glissé un mot publiquement cet hiver. Depuis, le tout a évolué pour atteindre autour de 16 millions $ sur cinq ans. Un plan d’affaires sera déposé cet automne à la Ville de Québec, laquelle est propriétaire du site.

Situé juste derrière le Centre de foires et tout près du futur amphithéâtre, l’hippodrome de Québec, seule piste du genre au Québec, serait ainsi doté d’une scène permanente, au centre du rond de course.

«On peut être créatif et ce sera exceptionnel en Amérique du Nord, mais on ne veut cannibaliser aucun événement; on va aller frapper à la porte du Festival d’été, par exemple, et notre objectif serait d’être complémentaire», a exposé Jocelyn Faucher, porte-parole du Club Jockey, lors d’un entretien avec Le Journal.

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Courses de chevaux à l’hippodrome : l’espoir existe encore.

La ville reprend possession du terrain de l’hippodrome.

A-t-on enfin trouvé une solution viable au problème récurrent qu’est l’hippodrome ?

Source : Stéphanie Martin, Le Soleil, le 29 juin 2011

(Rome, Italie) Régis Labeaume a des idées nouvelles en tête pour rendre ExpoCité plus attrayante. Et cela inclut un lien souterrain, un réseau de navettes et un énorme lustre.

On ne pourra pas accuser le maire de Québec de manquer d’imagination. En marge d’une visite de chantier, mardi, à Rome, M. Labeaume a fait part de ses nouveaux projets pour le secteur de l’amphithéâtre. Des projets qu’il gardait pour lui jusqu’à maintenant, mais qu’il compte bien partager dès son retour à Québec avec le chargé de projet Jacques A. Bédard.

Sa première idée consiste à relier par un tunnel de quelques dizaines de mètres les principaux bâtiments d’ExpoCité. «Vous avez le Pavillon de la jeunesse et le grand Pavillon de l’agriculture et tout ça est relié à l’amphithéâtre par un souterrain», explique le maire. Cela aurait deux avantages, selon lui : créer un lien direct pour que les congressistes ne soient pas forcés de sortir en hiver et donner un accès facile aux joueurs de hockey qui circuleraient entre la glace du Colisée et celle d’entraînement du Pavillon de la jeunesse.

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La ville reluque des terrains d’Hydro dans le secteur du Colisée

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* Merci à un fidèle lecteur (Jacques Martin)

Source : Jean-François Cliche, Le Soleil, le 26 mai 2011

(Québec) La Ville de Québec plantera son usine de biométhanisation dans le quartier Maizerets, juste à côté de sa station d’épuration des eaux usées située près de la baie de Beauport, d’après ce qu’a pu apprendre Le Soleil auprès de plusieurs sources.

La nouvelle devrait être confirmée jeudi lors d’une conférence de presse à laquelle participeront, à 15h, le maire Régis Labeaume et le ministre de l’Environnement Pierre Arcand.

Annoncée en janvier 2010, la construction de l’usine coûtera 57 millions $, incluant le prix des «bacs bruns» dont il faudra équiper la population. De cette somme, la Ville de Québec paiera 22,8 millions $, le provincial 17,7 millions $ et le fédéral 16,5 millions $. On prévoit qu’elle produira 4,4 millions de mètres cubes de biogaz et permettra à la Ville de réduire de 3,8 % les émissions de gaz à effet de serre sur son territoire.

Essentiellement, une usine de biométhanisation est une sorte d’immense estomac où la matière putrescible est digérée, littéralement, par des bactéries. Comme le tout se passe en l’absence d’oxygène, les microbes ne rejetteront pas de gaz carbonique (CO2), ou très peu, mais produiront plutôt du méthane (CH4), qui est le principal composant du gaz naturel. Celui-ci pourra ensuite être utilisé comme carburant, et le reste de la matière «digérée» sera une forme d’engrais.

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Usine de compostage : bientôt fixé ?

Le secteur portuaire et de la baie de Beauport sur Google Maps.

Source : Marc-André Gagnon, Canoë info, le 9 mai 2011

QUÉBEC – Des citoyens sont en rogne contre la Ville de Québec: au moins une quinzaine d’arbres matures seront bientôt coupés dans le parc Victoria, afin de permettre l’aménagement d’un nouveau terrain de soccer à surface synthétique, un projet de 2,4 millions $.
Sur le groupe Facebook «Parc Victoria: Non à la construction de la court de soccer» (sic), créé par Pedro Carbajal, on fait valoir plusieurs arguments: manque d’information, nombre d’espaces de stationnement insuffisant, nuisances causées par le bruit des travaux et éventuellement celui des matchs en soirée, de mai à octobre.

«Nous ne sommes pas contre l’activité sportive en soi, sauf qu’il s’agit d’un parc qui vient à peine d’être aménagé et qui, en plus, offrait déjà plusieurs terrains de soccer», a expliqué une autre citoyenne, Marie-Ève Labrecque. Selon Mme Labrecque, c’est une vingtaine d’arbres matures qui disparaîtront au profit d’une surface synthétique, qui n’a rien d’écologique.

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Trop d’arbres matures abattus à la ville de Québec ?

Un terrain du quartier Saint-Sauveur rasé de ses arbres.

L’impressionnante structure de bois réalisée par Nordic prend forme.