Source: JLR
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Céline Fabries
Le Soleil
L’effervescence du marché immobilier à Québec ne montre aucun signe de ralentissement. Les prix continuent de grimper, et les acheteurs — surtout les jeunes — n’hésitent pas à payer le prix fort pour accéder à la propriété.
Selon la plus récente Étude sur le prix des maisons et les prévisions du marché de Royal LePage, la région de Québec demeure en tête du marché immobilier canadien.
Une forte demande combinée à une pénurie persistante de maisons unifamiliales alimente la hausse des prix, tant pour les maisons que pour les copropriétés.
Au deuxième trimestre, le prix médian d’une propriété à Québec a atteint 439 100 $, en hausse de 13,5% par rapport à la même période en 2024. Il s’agit de la plus forte croissance au pays pour un cinquième trimestre consécutif.
Les maisons unifamiliales détachées affichent une hausse encore plus marquée: leur prix médian a bondi de 15,5% sur un an, atteignant 468 100 $.
«Les gens, surtout les aînés, ne veulent pas vendre. Ils préfèrent rester chez eux le plus longtemps possible plutôt que d’emménager en RPA», explique Michèle Fournier, vice-présidente et courtière chez Royal LePage Inter-Québec.
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Source : Journal d Québec , le 12 juillet 2025
Après avoir fait relâche pendant quelques années, Léger a produit une grande enquête pour mesurer l’indice de bonheur des Québécois. Les derniers champions de ce classement étaient Sainte-Julie (2014), Varennes (2019) et Shefford (2021). Cette fois-ci, quelles sont les villes du Québec où les gens sont les plus heureux? Voici le classement:
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Nathalie Collard
La Presse
C’est en planifiant des espaces qui favorisent la rencontre et le lien qu’on crée des villes où les gens se sentent bien. De passage à Montréal, l’urbaniste et auteur à succès Charles Montgomery explique à notre chroniqueuse comment y arriver.
La conférence de Charles Montgomery a commencé par un jeu. « Levez-vous, allez vers une personne que vous ne connaissez pas, et agissez comme si vous retrouviez un vieil ami après le confinement de la COVID », a lancé l’urbaniste à l’auditoire qui participait aux 9es Rendez-vous Collectivités viables, un évènement annuel organisé par l’organisme Vivre en Ville.
Montgomery voulait que les participants ressentent dans leur corps l’effet stimulant de l’ocytocine, qu’on nomme aussi l’« hormone du lien ». Un effet qu’il recherche lorsqu’il imagine, avec sa firme Happy Cities, des espaces qui favorisent les interactions entre les habitants d’un même édifice ou d’un même quartier.
Dans son livre Happy City : Transforming Our Lives Through Urban Design, Montgomery rappelle que la confiance est au plus bas dans les grandes villes.
« Seulement le tiers des gens sondés croient qu’on leur rapporterait leur porte-monnaie s’ils le perdaient », lance-t-il à l’auditoire réuni au Marché Bonsecours, au début du mois de juin. Or, une expérience menée par sa firme montre qu’en réalité, plus de 60 % des gens rapportent le porte-monnaie perdu. Ce qui fait dire à Montgomery que le lien de confiance est brisé. Et qu’il faut le réparer.
(…)
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Olivier Lemieux
Radio-Canada
La construction résidentielle s’emballe dans la région de Québec. Les mises en chantier ont explosé en mai, elles ont augmenté de 219 % comparé au même mois l’an dernier.
Au total, plus de 2000 mises en chantier d’habitations ont été confirmées, selon les données de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).
Le mois de mai a été assez exceptionnel, constate Francis Cortellino, économiste à la SCHL. Il y a eu sept gros projets locatifs mis en chantier dans la région.
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Régis Labeaume
La Presse
Si j’étais dans la trentaine, ou même dans la quarantaine, je pesterais et haïrais les générations qui m’ont précédé. Ça donnerait les Y et les Z contre les X, et surtout les maudits baby-boomers. J’aurais le sentiment que ces derniers se sont servis, ont les fesses bien installées dans leur cabane, et n’ont rien prévu pour nous.
Ce choc générationnel est la conséquence d’une grande injustice : l’incapacité financière actuelle pour un très très grand nombre de jeunes et moins jeunes adultes d’acquérir un logis.
Pour beaucoup, ils réussissent en plus à se faire plumer avec des coûts de location qui tiennent presque de l’usure, et qui obligent certains à devenir des Tanguy, à retraiter sous le toit familial. Humiliant.
Au total, cela veut aussi dire l’impossibilité de commencer à se créer un patrimoine pour la suite du monde, de leur vie.
Ce problème a un nom : la rareté.
(…)
D’autant qu’il faut combattre les fonctionnaires québécois qui s’amusent depuis longtemps à empiler les règlements, à un point tel que la construction de logements, pour un investisseur et une ville, se transforme en parcours du combattant.
C’est ainsi qu’aujourd’hui, une poignée de voisins peuvent facilement déclencher un référendum et tuer un projet d’habitation, parfois sous des représentations douteuses, alors qu’un gouvernement municipal s’est justement fait élire, dans l’intérêt général, avec l’engagement de densifier la ville à l’intérieur d’un périmètre d’urbanisation sur lequel il a consulté, et qu’il a adopté démocratiquement.
Mais évidemment, les conditions de celui-ci ne sont pas immuables, par exemple, le zonage peut et doit s’adapter et être modifié quand les conditions changent et l’exigent.
Un de ces exemples douteux : vous déboisez un secteur, identifié toujours dans ce périmètre d’urbanisation, et planifiez un quartier d’habitation. Vous construisez une première phase et des citoyens s’installent dans les premières rues. Lorsque débute la planification de la phase suivante, les premiers installés exigent que vous cessiez la construction et que vous ne touchiez pas à « leur » bois.
« C’est parce que l’année passée, mon chum, là où tu habites, c’était un bois, et y a d’autres humains qui cherchent à se loger, comprends-tu ça ! »
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Mais il y a aussi des inconvénients Radio-Canada
* Merci à un très fidèle lecteur (Franks) pour la photo
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Le Portrait de Saint-Roch – 2025 réunit une foule de données, de faits historiques et de témoignages sur le quartier, recueillis lors d’une consultation à laquelle ont participé plus de 500 personnes.
Issue d’une démarche collective, la réalisation du portrait a impliqué une vingtaine de citoyen·nes bénévoles, partenaires communautaires et universitaires au terme d’un travail qui s’est échelonné sur près de deux ans.
Il offre un éclairage sur plusieurs thématiques déclinées en 10 chapitres
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