Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le chantier de l’hôtel Hilton (Québec)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 juin 2020 Commentaires fermés sur Le chantier de l’hôtel Hilton (Québec)

Hilton Québec: le meilleur «timing» pour rénover un hôtel de A à Z Jean-Luc Lavallée (Journal de Québec)

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Du résidentiel pour les terrains vagues bordant la 41e rue

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 juin 2020 Commentaires fermés sur Du résidentiel pour les terrains vagues bordant la 41e rue

Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 15 juin 2020

Les résidents de Lairet peuvent se réjouir. La Ville abandonne la construction d’un centre d’entretien et d’exploitation secondaire du tramway dans l’axe de la 41e rue. La volonté municipale est maintenant d’y développer un ensemble immobilier incluant du logement social entre le boulevard Henri-Bourassa et l’avenue Duval. L
e Bureau de projet du Réseau structurant de transport en commun (RSTC) en a fait l’annonce jeudi lors de la présentation de l’insertion du tramway sur la 1re Avenue. Son directeur, Daniel Genest, explique que le concept a évolué depuis la première annonce de 2018 et que des impératifs budgétaires ont aussi guidé la décision d’abandonner la construction d’un second bâtiment d’entretien.
«C’est normal qu’on se questionne sur la notion d’avoir [ou pas] un centre d’exploitation secondaire. À l’époque, ça nous semblait plus critique pour l’exploitation du réseau. On a fait l’analyse du coût-bénéfice. Et on en est venu à la conclusion qu’on peut arriver à la même qualité de service avec un seul centre. Mon rôle est de trouver l’équilibre entre la portée [le déploiement du réseau], les coûts et la qualité du projet. Ça représentait une économie importante.»

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Terrains 41e Rue : le conseil de quartier imagine le futur de Lairet.

La bande de terrain en question sur Google Maps.

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Logement locatif ou social.

Protection du patrimoine bâti : encore du chemin à faire à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 juin 2020 1 commentaire

David Rémillard
Radio-Canada

Seule ville de la province à compter sur une instance comme la Commission d’urbanisme et de conservation, Québec n’échappe pourtant pas aux démolitions de bâtiments à valeur patrimoniale. Si la situation semble sous contrôle dans les arrondissements historiques, des voix réclament de nouveaux pouvoirs pour la Ville et une révision de la Commission.

Dans son rapport rendu public la semaine dernière, la vérificatrice générale du Québec a vilipendé le ministère de la Culture et des Communications, taxant l’État de n’avoir aucune vision pour conserver le patrimoine bâti. Le constat, particulièrement sévère, était global et généralisé.

La Commission d’urbanisme et de conservation de Québec (CUCQ) n’a cependant pas fait l’objet d’une analyse approfondie. L’instance décisionnelle est unique au Québec de par ses pouvoirs et son rôle de tribunal administratif.

L’église Saint-Cœur-de-Marie, la maison des Pasquier, la Villa Livernois : des bâtiments à valeur patrimoniale ont disparu ces dernières années, négligés, détruits ou abandonnés. D’autres donnent l’impression d’être sur le respirateur artificiel, comme la Maison Pollack, sur la Grande Allée.

Pourtant, ils figurent tous à l’inventaire du patrimoine bâti de la Ville de Québec.

Dans ce contexte, Jean Rousseau, conseiller municipal du district de Cap-aux-Diamants, où la Commission est fort active, dresse un bilan mitigé de ses actions, surtout à l’extérieur du Vieux-Québec.

Il admet d’emblée qu’elle accompagne bien les citoyens propriétaires dans leurs demandes de travaux, a fortiori dans les arrondissements historiques. Elle est très exigeante, ajoute-t-il, à propos de son rôle de maintenir la cohérence architecturale des différents territoires sous sa responsabilité.

Mais l’élu de Démocratie Québec identifie plusieurs lacunes quand vient le temps de protéger des bâtiments à valeur patrimoniale en manque d’amour, ou qui ne sont plus dans les plans de développement d’un propriétaire. Cette stratégie de la démolition par abandon a d’ailleurs été relevée par la vérificatrice générale.

Il prend pour exemple l’église Saint-Cœur-de-Marie, détruite après des années d’affrontement avec un promoteur. Ou encore la Maison Pollack, toujours debout, mais abîmée au point d’être la prochaine qu’on va perdre.

Quand on regarde les bâtiments dont elle a la responsabilité, quand on est rendu là, on voit que ses pouvoirs, ça ne veut rien dire, ça n’a pas de portée, se désole Jean Rousseau. Si vous êtes dans un environnement où le patrimoine ce n’est pas important, la Commission ne signifie pas grand-chose.

Et quand les leviers manquent et qu’il faudrait se tourner vers l’autorité supérieure qu’est le ministère de la Culture, M. Rousseau n’y va pas par quatre chemins : À Québec, on a une capacité de bien faire. […] Par contre, le ministère de la Culture n’est pas du tout aidant, il est aux abonnés absents. Il nous nuit, littéralement.

Et ce, même si la Ville jouit d’une grande expertise comparativement à la majorité des municipalités de la province.

Le conseiller relève également une certaine opacité de la Commission d’urbanisme. Il se questionne aussi sur un potentiel biais politique à travers ses orientations. Il soutient que dans certaines situations, la Commission est à la traîne du comité exécutif.

En vertu du règlement qui la gouverne, l’instance est présidée par le maire de la ville. Régis Labeaume a délégué cette tâche à la conseillère Suzanne Verreault. Deux autres élus d’Équipe Labeaume y siègent actuellement, alors que les six membres restants sont des architectes, des conseillers en patrimoine ou encore des urbanistes.

Impossible toutefois d’évaluer son travail en profondeur. Les délibérations se font à huis clos, elle ne publie pas ses avis ni de rapport annuel. Elle a toutefois l’obligation d’expliquer ses décisions à ceux qui lui déposent des projets.

Le Bureau de l’ombudsman de la Ville de Québec ne peut l’évaluer non plus. Notre bureau ne peut enquêter sur les décisions du conseil de ville, du comité exécutif, d’un conseil d’arrondissement, d’un comité ou d’une commission de la Ville, y rappelle-t-on.

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Voir aussi : Patrimoine et lieux historiques.

D’autres parcs où seront permis les BBQ et la consommation d’alcool

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juin 2020 Commentaires fermés sur D’autres parcs où seront permis les BBQ et la consommation d’alcool

Québec, le 12 juin 2020 – La Ville de Québec continue de créer de l’espace pour ses citoyens en ajoutant dès aujourd’hui 9 parcs où la consommation d’alcool, accompagnée d’un repas, ainsi que l’utilisation d’un BBQ au gaz sont permises.

« À notre plus grand bonheur, les citoyens profitent des espaces de façon responsable et ont d’ailleurs demandé que plus de parcs conviviaux soient ajoutés à la liste existante, a déclaré le maire de Québec, M. Régis Labeaume. C’est pourquoi nous sommes heureux de faire cette annonce aujourd’hui. Malgré les circonstances que nous vivons actuellement, l’été sera beau et agréable à Québec et les citoyens auront l’occasion de socialiser et de passer du bon temps. »

Les endroits suivants s’ajoutent donc à la liste des parcs et bases de plein air autorisant la consommation d’alcool avec repas et l’utilisation d’un BBQ au gaz, sous certaines conditions :

Arrondissement de Charlesbourg

Parc Henri-Casault
Parc Maurice-Lortie
Parc Saint-Pierre
Arrondissement de La Cité-Limoilou

Parc de l’Espace 400e
Parc de Saint-Sacrement
Parc Durocher
Parc Notre-Dame-de-Bellevue
Arrondissement des Rivières

Parc linéaire des Berges des rivières Saint-Charles et du Berger
Arrondissement de Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge

Parc Myrand

La liste complète

Voir aussi : Parc.

Le 155 Grande Allée : état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juin 2020 Commentaires fermés sur Le 155 Grande Allée : état des travaux

Le site internet du projet

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Logement locatif ou social.

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