Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


TramCité : Plus de 15 000 arbres déjà plantés

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 décembre 2025 Aucun commentaire

Québec, le 2 décembre 2025 – La Ville de Québec annonce avoir déjà planté 15 000 arbres d’alignement, soit la moitié des 30 000 prévus le long du tracé du tramway et dans les quartiers avoisinants, et ce, depuis 2021. Cet engagement ambitieux, propre au projet, prévoit le remplacement de chaque arbre dont l’abattage est inévitable par 20 arbres plantés (20 pour 1). Les prochaines plantations pourront progressivement reprendre une fois les chantiers du projet TramCité complétés.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arbres, Projet - Tramway.

L’Espace Quatre Cents accueillera la Maison des sciences

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 décembre 2025 Aucun commentaire

Source : Cédric Bélanger, Journal de Québec , le 2 décembre 2025

La future Maison des sciences de Québec s’installera à l’Espace Quatre Cents. Photo STEVENS LEBLANC

En gestation depuis une vingtaine d’années, la future Maison des sciences de Québec s’installera à l’Espace Quatre Cents et devrait finalement ouvrir ses portes en 2029, a révélé au Journal la directrice générale du Musée de la civilisation, Julie Lemieux.

Une étude de faisabilité réalisée par le Musée, qui porte le projet de Maison des sciences depuis environ une décennie, a confirmé le potentiel du bâtiment qui a servi de lieu de ralliement lors des célébrations du 400e anniversaire de la ville de Québec, en 2008. À l’origine, le sixième étage du pavillon Camille-Roy du Séminaire de Québec avait été désigné pour recevoir les adeptes des sciences. La création du Musée national de l’histoire du Québec, qui a pris possession de presque tout le bâtiment en vue de son ouverture en juin 2026, a forcé les promoteurs de la Maison des sciences à chercher une autre demeure.

Un mal pour un bien, selon Julie Lemieux, qui estime qu’Espace Quatre Cents a «tout ce qu’il faut pour répondre à nos besoins».

«Ce bâtiment est magnifique, mais il est sous-utilisé présentement», dit-elle. «J’ai visité plusieurs maisons des sciences et elles sont souvent près de l’eau, dans des lieux au cœur de l’action, autant touristique que communautaire.»

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port.

Québec brutaliste

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 novembre 2025 2 commentaires

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Marie-Christine Gagnon
Radio-Canda

Si vous regardez Québec à partir de Lévis, vous verrez se détacher de l’horizon toutes sortes de formes, des flèches du séminaire aux tourelles du Château Frontenac, à la silhouette reconnaissable entre toutes. Ce joyeux mélange architectural côtoie les formes massives, souvent mal aimées, des tours de béton issues du mouvement brutaliste. L’ensemble peut sembler incohérent; pourtant, c’est ce tout qui forge la signature visuelle si unique de Québec. Alors, si on considère le panorama général de la ville, devrait-on être plus sensibles à ces mastodontes?

Brutalisme vient du mot brute, comme dans matière brute — le fameux béton. Ça, c’est le dénominateur commun, explique Martin Dubois, consultant en architecture et patrimoine chez Patri-Arch, en donnant les grandes lignes de ce type de construction. Un peu partout où le mouvement brutaliste s’est exprimé, la population n’était pas attirée par tout le béton à l’allure austère, voire étrange, de ces édifices au beau milieu des centres-villes.

Les architectes du brutalisme voulaient exprimer une nouvelle façon de voir la ville et de l’habiter, mais cette volonté-là n’a pas été bien saisie, à Québec comme ailleurs. Qualifiés de monstruosités ou de chefs-d’œuvre, ces immeubles laissent peu de place à l’indifférence. Un peu plus d’un demi-siècle plus tard, ils sont redécouverts sous un autre angle, souvent par les photographes qui révèlent une certaine beauté dans cette simplicité. Et parce que, dans certains cas, leurs travaux de maintien ou de revalorisation commencent à s’imposer.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine.

Le rêve d’une maison devenu inaccessible

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 novembre 2025 Aucun commentaire

Martin Jolicoeur
Journal de Québec

rêve tout simple d’habiter sa propre maison est devenu, en une décennie à peine, à peu près inaccessible pour la plupart des nouveaux acheteurs.

C’est l’un des constats les plus forts que l’on peut tirer d’une nouvelle étude produite par l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). Cette dernière met en lumière la croissance vertigineuse des coûts de la propriété ces dernières années dans les différentes régions de la province.

Les auteurs soulignent qu’entre 2015 et aujourd’hui, les prix des maisons unifamiliales n’ont ni plus ni moins que doublé en moyenne dans la plupart des régions de la province. Or, pendant la même période, les revenus des ménages québécois, après impôts et ajustés à l’inflation, n’ont progressé, eux, que de 15% à 25%.

Pour Simon Langelier, le directeur des relations gouvernementales et des affaires publiques de l’APCIQ, ces données devraient suffire à elles seules à convaincre les plus réfractaires des gouvernements du sérieux du problème qui se pose dans notre société et de l’urgence d’intervenir pour le régler.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Maison.

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