Gilles Angers
Le Soleil
Rue Dalhousie à Québec, la Caserne de technologies scénographiques de Robert Lepage. On passe devant, en toute innocence. Sans se rendre compte qu’à gauche, il y a un parement en fibre de verre, sur une hauteur de 35 pieds, assuré par des barres d’acier galvanisé. Il paraît faire corps avec le reste de l’immeuble. Mais ce n’est qu’une impression.
Dans le livre Architecture contemporaine à Québec (Les Publications du Québec, 2002), écrit sous la supervision de Martin Dubois, consultant en architecture et en patrimoine (société Patri-Arch), on le décrit comme une «peau en fibre de verre imitant, tel un trompe-l’oeil, les détails d’ornementation de la façade, à la façon d’un décor de théâtre».








