Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives de l'année « 2008 Â»

Où sont les vraies “webcams� à Québec? (3)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 février 2008 Commentaires fermés sur Où sont les vraies “webcams� à Québec? (3)

Une vue de Québec à partir de Lévis, direction NO, 21 février 2008, 8h45. Source: Monsieur Balayeuse.

Québec, ville touristique par excellence, et pourtant… Heureusement qu’il y a des « privés » pour nous montrer de jolies scènes de notre belle ville sur la Toile…

Merci à « Monsieur Balayeuse » (une référence de Michel Proulx) pour sa webcam de Lévis (en cours d’ajustement) qui offre depuis peu un magnifique coup d’oeil d’ensemble et en direct sur la Vieille Capitale!

À consulter, ce billet: Où sont les vraies “webcams� à Québec? (2).

Voir aussi : Québec La cité.

La fin du pétrole, pas de la voiture

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 février 2008 17 commentaires

Source: Mathieu Perreault, Cyberpresse, février 2008.

Pour beaucoup d’écologistes, la fin de l’ère du pétrole est synonyme de la disparition de l’automobile. Moins de stations service, plus de trains, tramways et métros à gogo, et des kilomètres de rues piétonnes.

Pas si vite, disent cependant deux journalistes du mensuel The Economist. Dans leur livre Zoom, ils admettent que la consommation de pétrole ne pourra pas continuer à augmenter indéfiniment. Mais ils considèrent que l’automobile est trop pratique pour disparaître.

«C’est dommage pour les gens qui détestent les automobiles, mais la fin du pétrole ne signera pas l’arrêt de mort de la voiture», a expliqué, en entrevue depuis Londres, l’un des coauteurs, Iain Carson. «Les transports en commun ne peuvent tout simplement pas remplacer totalement les déplacements individuels. Et du point de vue du transport des marchandises, le camion est tout simplement indispensable sur les derniers kilomètres.» (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: La fête est terminée.

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

Pour une ville qui marche, de Marie Demers

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2008 1 commentaire

Page couverture. Source: Éditions Écosociété.

Géographe de formation, je m’assume aussi comme « pell’teux d’nuages », « oiseaulogue rêveur » et « un peu gauchiste sur les bords »! C’est pourquoi cet ouvrage risque fort de grossir ma collection d’essais critiques…

Quoi de mieux en effet, pour son coeur et sa culture, que de découvrir et de « vivre » sa ville à pied, pardi!

Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 16 février 2008.

Les éditions Écosociété viennent de publier un livre de l’auteure Marie Demers sur la place qu’occupe la marche comme moyen de locomotion dans nos villes nord-américaines. Pour une ville qui marche se veut une enquête fouillée sur notre rapport à la marche. L’auteure nous explique comment notre environnement est devenu hostile à la marche au cours des dernières décennies avec la prolifération de la flotte automobile, et nous informe des conséquences sociales et médicales de notre sédentarité. Elle termine en proposant des solutions collectives pour remédier à ces problèmes.

Pour en savoir plus, consultez Pour une ville qui marche. Aménagement urbain et santé. Montréal, Éditions Écosociété, 2008, 287 pages.

Le reportage radio (env. 6 min.). Par ailleurs, de nombreux billets de QU ont effleuré ces derniers mois différents points traités dans cet essai: La suprématie de la voiture, Sondage exclusif – La rue Saint-Jean piétonne : 81,9% disent OUI! et “La banlieue, un mauvais rêve?â€? Retour sur une étude qui a fait jaser l’hiver dernier… entre autres billets.

Voir aussi : Étalement urbain, Environnement, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Deux villes, deux incinérateurs municipaux…

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2008 Commentaires fermés sur Deux villes, deux incinérateurs municipaux…

Nouvel incinérateur d'ordures de Vienne. Crédit photo: Genove, décembre 2003.

Le Soleil a publié récemment un court article portant sur l’oeuvre urbaine illustrée ci-haut, devenue au fil des années une véritable attraction touristique. J’ai de plus découvert un artiste et un penseur autrichien qui a vraiment marqué l’architecture de la fin du XXe siècle!

Genove commente ainsi sa photo: « Oui, vous avez bien lu! C’est le nouvel incinérateur d’ordure de Vienne (Autriche) qui est d’ailleurs en pleine ville. Son architecte, célèbre là-bas, s’appelle Hundertwasser. »

Ci-bas, notre « propre » incinérateur…

Bon, le contexte est différent, j’en conviens; on parle à Québec d’un site industriel tout à fait marginal par rapport au reste du centre-ville. Tout de même, il est toujours intéressant d’observer l' »audace architecturale » de gens créatifs, engagés, poussée à son maximum dans des villes européennes comme Vienne, Rotterdam ou Barcelone à titres d’exemples.

À consulter, ce billet: Une cure de jouvence pour l’incinérateur de Québec.

Incinérateur de Québec, vue en direction S. Crédit photo: Jean Cazes, 19 février 2008, 9h04.

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement Limoilou, Art urbain, Lieux magiques, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.

L’École hôtelière entre à Cataraqui

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2008 2 commentaires

«Le domaine du chemin Saint-Louis à Sillery devient un point de service de l’École hôtelière, située, elle, près du stade municipal du parc Victoria. Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve.

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 20 février 2008.

«Encore un peu de vin, M. Sarkozy?» Les étudiants de l’École hôtellière de la capitale auront l’occasion, d’ici quelques mois, d’exercer leurs talents de cuisiniers et de serveurs lors des réceptions protocolaires au domaine Cataraqui.

La Commission scolaire de la Capitale et la Commission de la Capitale nationale (CCNQ), gestionnaire du lieu officiel de fonction du gouvernement du Québec, se sont entendues hier soir sur la vocation éducative du lieu, à l’abandon depuis 2002.

Grâce à une entente d’une durée minimale de 10 ans, le domaine du chemin Saint-Louis à Sillery devient un point de service de l’École hôtelière, située, elle, près du stade municipal du parc Victoria. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Domaine Cataraqui.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Parc, Patrimoine et lieux historiques.

Projet Le Port-Royal: une mise au point…

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2008 Commentaires fermés sur Projet Le Port-Royal: une mise au point…

Contrairement à ce que j’avais écrit dans mon billet en date du 29 janvier, l’image en introduction était un dessin d’artiste d’un projet qui n’a pas encore été présenté à la Commission d’urbanisme.

Cette information vient d’une source sûre que je garde anonyme! ;-)

À consulter: Le Port-Royal: un projet “réactualisé� de condos….

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Condo.

Les fêtes du 400e de Québec: Un numéro spécial de « Le Beaver »

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2008 3 commentaires

A l’occasion du 400e anniversaire de la fondation de la Ville de Québec, plusieurs ouvrages sont publiés. Je vous signale cette revue d’histoire: Le Beaver. Si vous ne la trouvez pas en kiosque, on peut commander par téléphone.

Voir aussi : Conférences / évènements, Fêtes populaires et événements publics.

Pollution lumineuse

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2008 13 commentaires

Une vue en direction E à partir de Limoilou. Photo: Jean cazes, 4 octobre 2007.

Source: Yves Randon (Québec), Le Soleil (Carrefour des lecteurs), 19 février 2008.

Grâce à Chloé Legris et à Radio-Canada (Découverte), nous avons pu nous familiariser avec la «pollution lumineuse». De même que les opposants au bruit inutile parlent d’un «droit au silence», ne pourrions-nous pas faire valoir notre «droit à l’obscurité»?

Depuis quelque temps, Québec est devenue une «ville lumière», c’est-à-dire une ville où la pollution lumineuse y est extrême : Château Frontenac, Pont de Québec, Musée national des beaux-arts, Parlement et autres édifices publics, églises, remparts de la vieille ville (avec en prime, ce ridicule et infantilisant light show des canons qui crachent leurs petites lueurs orangées)… Tout est «mis en valeur» par un suréclairage électrique. À cela s’ajoutent, comme partout ailleurs, des projecteurs commerciaux toujours plus violents, des lampadaires qui éblouissent souvent plus qu’ils n’éclairent, et une myriade d’ampoules et de spots parfaitement inutiles.

Tout cela surstimule le système nerveux — c’est sûrement excellent pour le commerce des antidépresseurs! Pourquoi toutes ces lumières? Pour faire beau? Mais la beauté, c’est d’abord un contact avec ce qui est naturel. Et la beauté, la nuit, ne vient-elle pas d’abord des étoiles et de la lune avec son éclairage si poétique, c’est-à-dire si plein de vérité?

À consulter aussi, ce billet: Gaspillage d’énergie à Québec; Vers une révision de l’éclairage?.

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie.

Îlot des Palais : des archéologues sonnent l’alarme

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2008 6 commentaires

Source: Geneviève Bouchard, Le Soleil, 19 février 2008.

Le sort des vestiges archéologiques de l’îlot des Palais soulève l’inquiétude. Jugeant inacceptable que des trésors du passé de Québec soient abandonnés au climat hivernal sans protection appropriée, quatre professeurs d’archéologie de l’Université Laval ont pris la plume pour exhorter le maire Labeaume de clarifier ses intentions quant à l’avenir du lieu historique. (…)

M. Auger [l’un des signataires] déplore la décision «trop hâtive» du maire et son «manque de vision d’ensemble du projet». Il invite M. Labeaume à demander conseil au service d’urbanisme de la Ville. «Avant d’arrêter un chantier, on va voir plus loin que le gars qui conduit la pépine. Québec est presque la seule ville en Amérique du Nord qui a des archéologues à son service. Il faut les consulter avant de faire des choses comme ça.» (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Îlot des Palais: À la fonte des neiges?.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Patrimoine et lieux historiques.

À la place du monastère

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 février 2008 39 commentaires

Le projet de Francis Falardeau-Laperle se développe selon différents pôles, comme l’église Saint-Dominique et la tour du pavillon Charles-Baillairgé.

Source: Yvon Larose, Au fil des événements, 14 février 2008.

Quinze étudiantes et étudiants de troisième année du baccalauréat en architecture étaient inscrits, l’automne dernier, à un atelier avancé d’architecture donné par l’architecte Diana Cardas. Ils ont eu pour tâche d’imaginer un nouveau pavillon autonome lié physiquement au Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ). Situé sur les plaines d’Abraham à Québec, le MNBAQ fait actuellement l’objet d’un ambitieux projet d’agrandissement. L’emplacement envisagé est le monastère des Dominicains. Un nouveau pavillon de 8 000 mètres carrés sera érigé à cet endroit. Il s’ouvrira directement sur la Grande Allée, face à l’avenue Bourlamaque. Il abritera les collections d’art du 20e et du 21e siècles, des expositions d’envergure et des espaces annexes. L’église Saint-Dominique et le presbytère seront conservés. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet: Une promenade au musée avec John Porter.

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité - Haute-ville, Patrimoine et lieux historiques.