Émilie Pelletier
Le Soleil

Trudel ne fera pas de concession sur la hauteur de ses immeubles à construire sur l’îlot Dorchester. Mais dans la version «bonifiée» de son projet de redéveloppement, le promoteur diminue la place de l’hôtellerie pour ajouter plus de logements. Un «compromis» parmi d’autres, dans l’espoir de rallier les citoyens de Saint-Roch.

«La perfection est l’ennemie du bien. Pour nous, un projet imparfait est mieux que pas de projet pantoute», tranche en entrevue au Soleil David Chabot, directeur du bureau du président chez Trudel.

Le promoteur s’apprête à présenter une version révisée de son projet immobilier et commercial qui doit prendre place à l’îlot Dorchester. La population est conviée ce mercredi par la Ville de Québec à une séance de participation citoyenne pour se faire entendre sur la requalification de l’actuel stationnement au coeur de Saint-Roch.

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La consultation

La consultation écrite si vous voulez apporter votre opinion

François Pouliot
Radio-Canada

Depuis quelques jours maintenant, une partie du stationnement de l’îlot Dorchester, dans le quartier Saint-Roch, fait l’objet de travaux préparatoires. Si les amoncellements de terre peuvent laisser croire que Trudel Corporation, promoteur du futur bâtiment qui doit s’ériger sur 20 étages à cet endroit en a entamé la construction, la réalité est que le terrain fait plutôt l’objet de fouilles archéologiques qui s’étendront sur un mois.

« C’est un processus qui est optionnel », affirme David Chabot, directeur du bureau du président de Trudel Corporation, en entrevue mardi à l’émission Première heure. « On n’était pas obligés de le faire. »

« Puisque le terrain se situe à l’extérieur des limites du site patrimonial déclaré du Vieux-Québec », la Ville confirme par courriel que les fouilles en question n’étaient effectivement pas exigées.

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* Merci à Franks, fidèle lecteur, qui nous informe de cet article.

Olivier Alain
Monmontcalm

Une étape de plus a été franchie dans la longue mobilisation citoyenne visant la préservation et la requalification de l’église du Très-Saint-Sacrement. La paroisse Saint-Pierre-Julien-Eymard, constituée au printemps 2023, est officiellement accréditée comme organisme à but non lucratif.

À l’occasion d’une assemblée ordinaire du conseil de quartier de Saint-Sacrement, le président, Bertrand Gemme, a encouragé les administrateurs et administratrices ainsi que les membres de l’assistance à faire passer le mot pour que le plus de personnes possible intègrent la paroisse.

Il y a un peu plus d’un mois, le conseil de la paroisse envoyait aux 252 paroissiens, une lettre pour savoir s’ils voulaient renouveler leur adhésion en tant que membre de la paroisse. Pour l’instant, M. Gemme indique n’avoir reçu qu’une quarantaine de retours.

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QUÉBEC, le 8 oct. 2024 /CNW/ – La promenade Samuel-De Champlain a été visitée près d’un million de fois l’été dernier, un succès doublé d’un taux de satisfaction global qui atteint la perfection.

Au total, 954 000 visites ont été faites sur la promenade entre le 1er juillet et le 8 septembre 2024, par quelque 305 000 visiteurs uniques, selon une étude de fréquentation menée par Léger pour la Commission de la capitale nationale du Québec (CCNQ). Selon les données estimées par le sondeur, les adeptes sont donc revenus en moyenne trois fois au cours de l’été pour profiter de la promenade.

(…)

La station de la Plage, inaugurée en juillet 2023, est l’endroit le plus prisé, alors que les trois quarts des visiteurs rencontrés sur place dans le cadre de l’étude s’y sont rendus.

Le sondage effectué fait ressortir que l’accès au site se fait principalement en voiture ou en motocyclette.

En moyenne, les visiteurs de la promenade Samuel-De Champlain passent un peu plus de deux heures et demie sur place. L’espace attire des gens de toutes les générations, qui viennent en couple, en famille ou entre amis.

Le communiqué

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Trois édifices fédéraux situés dans le Vieux-Port de Québec sont rendus disponibles par Ottawa pour la réalisation de projets de logements, a appris Le Journal.

Les édifices, situés aux 94, 104 et 112, rue Dalhousie, seront inscrits mardi à la banque de terrains publics du Canada. Cette banque vise la construction rapide de logements abordables sur des terrains fédéraux, une initiative qui a été lancée en août dernier.

Les trois bâtiments appartenaient à la Garde côtière canadienne et sont actuellement vides. Ils s’ajouteront aux propriétés fédérales qui figurent maintenant sur la liste et qui sont désignées comme pouvant accueillir des logements. Ils sont destinés à la location et aux prêts en vue de la soumission de plans de la part des constructeurs. Le gouvernement fédéral vise «la location à long terme à un prix réduit».

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Stéphanie Martin
Journal de Québec

Au terme des consultations publiques sur l’avenir du secteur du Colisée, la Ville de Québec étudie la possibilité de conserver ou non le vieil édifice, que le maire Bruno Marchand préférerait démolir; il reviendra à la Commission d’urbanisme de trancher.

«Pour trancher cette possibilité-là, on va aller voir la Commission d’urbanisme et de conservation d’ici les Fêtes pour voir si d’un point de vue patrimonial ça vaut la peine ou pas de garder ce bâtiment-là», a indiqué en entrevue la présidente d’ExpoCité et membre de l’exécutif responsable du patrimoine, Mélissa Coulombe-Leduc.

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Le communiqué de la ville

Le projet

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Le projet

Émilie Pelletier
Le Soleil

Le projet QG Vieux-Québec se met finalement en branle après des années d’attente, a appris Le Soleil. Avec toutes ses autorisations en main, le promoteur Capwood se montre déterminé à livrer le nouveau «milieu de vie» de l’Îlot Charlevoix, au terme d’un réel «parcours du combattant».

(…)

Mais avec 29 unités d’habitation à vendre en condo sur cinq étages plutôt que les 40 que le promoteur projetait construire en 2021, Capwood a été contraint de revoir à la baisse ses ambitions. Et de les repousser à plus tard.

(…)

De quoi lui donner raison d’avoir poursuivi l’aventure, soutient-il, visiblement soulagé. «C’est sûr que c’est un parcours du combattant», relate le gestionnaire.

La pandémie a d’abord retardé d’un an le calendrier.

Mais c’est davantage le ministère de la Culture qui a joué les trouble-fête ces dernières années. Soucieuses de «préserver l’histoire», les autorités provinciales ont dit non à un développement qui devait s’étendre aux bâtiments adjacents du secteur, comme la Banque de Montréal, l’Hôtel du Vieux-Québec et le pavillon Collin, un édifice excédentaire de l’Hôtel-Dieu de Québec.

(…)

«Ça a pris sept ans avant qu’on ait un permis et la sanction du ministère de la Culture. Ce n’est pas parce qu’on ne voulait pas commencer la construction plus tôt, mais ils s’assurent que les règles sont respectées et parfois, quand on ne les connaît pas, il faut changer et ça traîne», déplore Denis Epoh.

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Le projet

À l’occasion de cette séance d’information et d’échanges, la Ville souhaite entendre les commentaires des citoyens. Le promoteur présentera son projet et des personnes-ressources de la Ville présenteront le contexte réglementaire ainsi que les étapes de consultation publique à venir. Les participants à distance pourront suivre les échanges et contribuer à l’aide de l’outil Q et R.

Séance d’information et d’échanges

Mercredi 23 octobre 2024, à 19 h

Maison de la coopération
155, boulevard Charest Est

et sur Teams

* La soirée sera passionnante