Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 25 novembre 2009

(Québec) L’hiver s’installe à peine que les membres de l’Association québécoise de planche à roulettes (AQPR) rêvent déjà au printemps. C’est à ce moment que commenceront les travaux de construction d’un premier véritable skatepark au parc Victoria dont l’ouverture est prévue en juillet. Des installations qui sauront plaire aux amateurs comme aux experts, promet Rébecca Filion, elle-même une férue de la planche.

L’AQPR a vu le jour en 2007 avec, entre autres missions, convaincre les autorités municipales de la nécessité d’aménager un skatepark à Québec. Après deux ans de promotion, c’est mission accomplie.

«C’est formidable. Nous n’avons rien à envier à aucun autre skatepark ailleurs. Il est à la fine pointe», s’exclame Mme Filion, membre fondatrice de l’AQPR.

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Le dernier article en date sur ce dossier.

Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 25 novembre 2009

(Québec) Dégâts d’eau à répétition, présence de vermine, locaux con damnés, absence de sécurité, exiguïté des lieux. Depuis longtemps décriée, la centrale de police du parc Victoria arrive à la fin de sa vie utile. La Ville cherche d’ailleurs activement le meilleur endroit au centre-ville où reconstruire un édifice flambant neuf.

Depuis 2008, les employés de la cour municipale doivent se munir d’un masque et de gants pour se rendre dans la salle des archives située au sous-sol de l’immeuble. Un dégât d’eau survenu à l’été 2007 a fait apparaître des champignons et endommagé des documents importants.

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Déjà en mars 2008 on s’interrogeait sur la viabilité du bâtiment actuel. Reste à voir si l’investissement pourra être intégré au prochain PTI et les endroits envisageable pour une nouvelle construction. Parc Victoria ? Secteur Pierre-Bertrand ? Autre ?

C’est jeudi le 26 que s’ouvrira le « Marché de Noël » au Marché du Vieux-Port. Quelques commerçants semblaient déjà sur place depuis un certain temps pour vendre leurs produits (confitures, ketchup, canneberges, pommes, produits de l’érable, décorations de Noël, etc) et pour d’autres on s’affairait à installer le tout.

Marché de Noël: 26 novembre au 31 décembre
Tous les jours de 9h à 18h.
Jusqu’à 19h le jeudi et vendredi.
(Le marché est fermé les 25 et 26 décembre ainsi que les 1er et 2 janvier)

Source ainsi que la page du Marché de Noël.

Et n’oublions pas cet article qui nous indiquait l’intention de Régis Labeaume de garder le marché du Vieux-Port à cet endroit.

Source : Pierre Pelchat, Le Soleil, le 18 novembre 2009

(Québec) Le RTC pourrait tripler sa flotte de minibus électriques au cours des prochaines années. Un des scénarios à l’étude est de cons truire un garage pouvant abriter 24 Écolobus.

«L’autre scénario est un garage pour 12 autobus électriques», a précisé, hier, le porte-parole de la société de transport, Claude Lévesque. Pour l’heure, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) loue des locaux dans Limoilou pour ses neuf bus électriques de fabrication italienne. «Il n’y a pas assez d’espace dans le garage actuel pour accueillir d’autres véhicules et pour répondre à notre expansion», a-t-il expliqué.

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Pourtant en juin 2008, les petits bus éprouvaient quelques ratés…

Source : Éric Moreault, Le Soleil, le 17 novembre 2009

(Québec) Québec et Lévis prendront sous peu une décision importante pour l’implantation de leur usine de compostage. Cette annonce par le gouvernement provincial d’une enveloppe de 650 millions $ pour des infrastructures de biométhanisation et de compostage, lundi, déclenche une course aux subventions parmi les municipalités québécoises.

Selon La Presse de mardi, six projets sont déjà sur les rails dans la région de Montréal. Québec et Lévis jonglent aussi depuis plusieurs mois avec leurs usines. Dans les deux cas, on a retenu le procédé de biométhanisation, qui consiste à extraire du biogaz des matières organiques (surtout les restes de table) et à composter la matière solide. L’extraction du biogaz permet de transformer le méthane, un gaz à effet de serre, en combustible.

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Déjà en janvier dernier, le projet semblait être en retard et Québec Urbain en parlait.

Six endroits mentionne l’article, dont Limoilou près de l’incinérateur. Quels sont les 5 autres endroits « prospectés » ? Puisque l’avenir de l’incinérateur est nébuleux il semble un peu hasardeux d’aller de l’avant avec la première option…Enfin, je vous laisse en discuter..

Ian Bussières
Le Soleil
Les gros sous n’assurent pas le succès

L’accueil doit être positif dès le départ

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Source : Alain Bergeron, Journal de Québec, le 15 novembre 2009

Il dispose de trois années pour définir les besoins en infrastructures sportives et s’imprégner des traditions à Québec? Claude Rousseau s’est fait donner sa première leçon en accéléré, hier matin, à l’anneau Gaétan Boucher.

Pour sa première sortie depuis le lancement d’Équipe Québec, Rousseau a assisté à une activité soulignant le 40e anniversaire du Club de patinage de vitesse de Sainte-Foy. Serrer la main de Gaétan Boucher, Sylvain Bouchard et autres acteurs au passé et au présent de l’organisation lui a certes suffi pour mesurer toute la richesse en énergie humaine qu’évoquent les 40 années de cette organisation. Voilà pour l’histoire.

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Consultez aussi cet article de Québec sur le même sujet en mars 2009, ici. C’est un autre « item » de la fameuse « liste d’épicerie » du maire, mais il semble que c’est un peu plus difficile à régler pour ce dossier. Et faut-il que cet anneau fasse partie d’un complexe comme celui d’en éventuel nouveau Colisée ou l’emplacement actuel ne doit tout simplement qu’être recouvert ?

Annie Saint-Pierre
Journal de Québec

Pour créer une nouvelle image à la ville de Québec, le psychanalyste français et pro du marketing Clotaire Rapaille s’inspirera largement du quartier Saint-Roch, où il compte s’installer avec son équipe pendant les mois de mars et février prochains.

Comme le révélait Le Journal de Québec, hier, c’est vers M. Rapaille que le maire de Québec, Régis Labeaume, se tourne pour donner à la ville une identité commerciale autre que celle de Vieille Capitale, encore véhiculée aux quatre coins de la planète.

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Radio-Canada

Une entrevue

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Si M. Clotaire Rapaille veut un espace à louer, j’ai vu un espace superbe au 9e étage de l’édifice Beenox, qui est justement plein de « créatifs ».

Source : Jean-Luc Lavallée, Journal de Québec, le 11 novembre 2009

Une étude a été lancée il y a quelques semaines pour évaluer la faisabilité d’un amphithéâtre multifonctionnel comprenant deux patinoires, une piscine et une salle communautaire à Wendake et qui pourrait profiter à l’ensemble de la population de la couronne nord.

Le grand chef de la nation huronne-wendat, Konrad Sioui, travaille en collaboration avec la Ville de Québec (qui finance plus de la moitié de l’étude avec une contribution de 65 000 $) afin de doter le Nord d’une infrastructure sportive moderne dont il évalue le coût à de 30 à 40 millions de dollars. « C’est criant dans le Nord. On ne se le cachera pas, le nord de la ville de Québec, c’est probablement l’enfant pauvre », a affirmé M. Sioui en entrevue au Journal.

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En mai 2009, on parlait de Giffard. Il y a aussi le futur aréna de l’Ancienne-Lorette (même s’il ne fait pas partie intégrante de la ville) qui fait jaser, ici. Et comment oublier le projet de Colisée, ici.

C’est la « ruée » vers les nouveaux arénas : peut-on blâmer les anciennes administrations d’avoir délaissé ce secteur ? Toujours est-il que si tous ces projets se concrétisent c’est beaucoup d’heure de « sports » pour nos jeunes et la population en général qui seront à leur disposition. Verra-t-on au bout de la ligne une population, en général, en meilleure santé ? Des jeunes qui ont à leur disposition des équipements sportifs seraient-ils moins tentés par des phénomènes sociaux moins valorisant ? (ici je ne porte aucun jugement social, je ne fais que « lancer » une question) J’imagine qu’il y a des experts qui pourront nous en parler…

Source : Régys Caron, Le Journal de Québec, le 11 novembre 2009

La Ville de Québec s’apprête à privatiser le service de cueillette des matières résiduelles sur l’unique territoire encore desservi par ses employés en sachant qu’elle paiera plus cher.

C’est ce que démontrent les documents permettant de comparer le coût du service offert par les employés de la Ville et la proposition déposée par le plus bas soumissionnaire, la firme Gaudreau Environnement, de Victoriaville.

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