Source: Luc Fournier, Québec Hebdo, 24 novembre 2008.

Le projet de route reliant Lac St-Charles au boulevard Valcartier a fait un pas de plus vers sa création, la semaine dernière, dans le dépôt par le maire de Québec, Régis Labeaume, du plan d’investissements de la Ville de Québec pour les trois prochaines années. Parmi les millions de dollars qui serviront à restaurer routes et canalisations, quelque trois millions de dollars sont réservés à la construction de cette route qu’attendent les citoyens de Lac-Saint-Charles depuis plus de quinze ans. (…)

La suite.

Merci à Jacques Teasdale pour m’avoir signalé cet article!

Source: Comité populaire Saint-Jean-Baptiste, 13 novembre 2008.

Le comité populaire Saint-Jean-Baptiste et les résidants de la rue D’Aiguillon réunis au sein du comité Action D’Aiguillon se réjouissent de la confirmation reçue hier de la tenue d’une consultation publique le 4 décembre prochain sur les solutions à mettre de l’avant pour diminuer de façon tangible et définitive le problème de circulation de transit sur la rue D’Aiguillon. (…)

Les 350 familles qui vivent sur la rue D’Aiguillon ont droit à la même qualité de vie que les autres résidants de Québec. La circulation de transit doit passer sur les boulevards urbains conçus à cette fin, pas au ras des maisons et sous le nez d’une cour d’école! (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Quartier Saint-Jean-Baptiste: Non à la circulation de transit.

Source: Brigitte Breton, Le Soleil, 24 novembre 2008.

Les chicanes de voisins, ce n’est jamais facile. Encore moins lorsque le voisin est une entreprise. La Cour suprême du Canada vient cependant de fournir une arme à tous les petits David aux prises avec des Goliath qui empoisonnent leur quotidien même s’ils respectent les lois. (…)

Certains pourraient voir dans cet arrêt une forme de droit nouveau au goût pro-environnemental du jour, une menace pour les entreprises. D’autres, la cohabitation toujours plus ardue entre le résidentiel et l’industriel. Pour certains, il s’agira d’une manifestation d’intolérance. Des précisions et des nuances s’imposent. (…)

La suite. Aussi, cet autre opinion (La Presse): Les voisins. À consulter enfin, entre autres billets: Ciment St-Laurent: Fin d’une longue bataille juridique.

Un documentaire sur l’artiste de rue Montréalais Roadsworth est présentement à l’affiche à Montréal (à Québec un jour?). Le National Post traite de Roadsworth: Crossing the Line dans un article publié hier. Le Post aborde le côté moral de cet art qui demeure quand même illégal.

Comme le mentionne l’article en conclusion, « it doesn’t look as though their preferred medium will be made completely legal any time soon ». Assez simple : Pour chaque génie comme Roadsworth ou Banksy, il y a 1000 vandales qui défigurent nos villes.

Source : Gilbert Leduc, Le Soleil, le 22 novembre 2008

Québec) Lorsqu’il levait le voile, le 31 mai 2007, sur La NeuroCité ? le projet sur lequel il planchait loin des feux de la rampe depuis plus de deux ans ? le Dr Michel Maziade veillait à refréner les attentes des observateurs pressés d’assister à la cérémonie de première pelletée de terre dans l’axe de l’avenue D’Estimauville à Québec.

Le président-directeur général de La NeuroCité se chargeait, à l’époque, de rappeler à qui voulait l’entendre que la création d’un complexe privé universitaire et industriel de calibre international sur le neurone, le cerveau et les maladies du cerveau allait se faire par étapes. L’objectif étant d’attirer des investissements de 250 millions $ et de créer 2000 emplois d’ici 2017.

Et cette première pelletée de terre? Le Dr Maziade invitait à la patience. La NeuroCité ne commencerait pas à sortir du sol avant «deux ou trois ans», affirmait-il en mai 2007.

Plus d’un an et quelques mois ont passé depuis l’annonce du projet La NeuroCité. Et comme prévu, pas l’ombre d’un bulldozer dans le paysage. Le Dr Maziade et les membres du conseil d’administration de La NeuroCité ? présidé par l’ancien maire de Québec Jean-Paul L’Allier ? sont retournés loin des feux de la rampe pour continuer à bâtir la future neurotechnopole scientifique.

la suite de cet intéressant article

à consulter aussi ce billet qui remonte à plus d’un an

avec des emplois hautement qualifiés et rénumérés, l’économie de Québec ne ‘sen porterait que mieux ainsi que le rayonnement international que cela pourrait procurer…bref on se croise les doigts pour que ce projet devienne réalité et qu’il n’aboutisse pas la filière du bac à recyclage.

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 21 novembre 2008.

Le projet de piste cyclable du maire Labeaume pour relier l’Université Laval à la Colline parlementaire risque d’être beaucoup plus coûteux que prévu. Loin du million de dollars anticipé, une première évaluation place plutôt à 5 millions $ ces travaux, a appris Le Soleil.

Le tracé envisagé sur le boulevard René-Lévesque frappe en effet un obstacle de taille : sa largeur. L’artère est jugée trop étroite sur environ le tiers des 6 km de piste cyclable projetés, ce qui forcerait la Ville à l’élargir.

Évaluation sommaire du coût de l’opération : 5 millions $. C’est cinq fois le montant anticipé par le maire et inscrit au Plan directeur du réseau cyclable de la Ville de Québec récemment adopté par le conseil municipal.

Ainsi, autobus et cyclistes seraient appelés à partager un même corridor.

4,3 km de largeur

Mais voilà, pour être complètement sécuritaire, cette «voie mixte» devrait être large d’au moins 4,3 m. Selon une évaluation des 6 km du tracé, le boulevard René-Lévesque ne permettrait pas un tel aménagement sur le tiers de cette distance. Certes, un corridor moins large pourrait tout de même être aménagé, mais le danger pour les cyclistes augmenterait rapidement. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Piste cyclable sur le boulevard René-Lévesque: Le RTC parle d’une « décision politique ».

Source : Nicolas Bégin, Québec Hebdo, le 20 novembre 2008

Les quelque 250 élèves de l’école Vision Sillery bougeront dans un gymnase flambant neuf à leur retour en classe, en janvier prochain. Construite en bois du Québec au coût de 1 M$, cette salle sportive respectera les valeurs environnementales.
L’école Vision Sillery regroupe des enfants de 3 à 12 ans depuis 2002. Ces derniers développent des compétences en français, en anglais et en espagnol, le tout dans un contexte scolaire familial.

«Le gymnase sera tout en bois, explique l’architecte Claude Guy. C’est une richesse qu’on peut retrouver au Québec. Nous ne sommes pas obligés d’en exporter et d’en faire venir de l’extérieur.»

Le projet comprend aussi une toiture blanche, c’est-à-dire une membrane, laquelle reflète la chaleur des rayons du soleil. Mentionnons aussi l’installation d’un système de chauffage géothermique

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les projets pour les équipements sportifs continuent de voir le jour à Québec, c’est bon signe, n’oublions pas celui-çi à l’Ancienne-Lorette; intéressant aussi de savoir qu’il sera entièrement construit en bois

« En me promenant sur le Web, je suis tombé sur votre site que j’ai trouvé des plus intéressants. Je me permets de vous suggérer un site que j’anime depuis quelques mois seulement et qui partage certains sujets similaires. Je tente de militer en faveur de rues plus humaines, dans le sens que l’on peut y déambuler de manière plus agréable. L’idée m’est venue de mon quotidien qui se trouve quotidiennement agressé par le nombre effarant de voitures qui envahissent nos rues. Vos commentaires seront appréciés.– C. Reny

À consulter, entre autres billets: Portail Livablestreets.com: l’exemple du Mobilien (Paris) .

Merci à Charles Reny pour m’avoir fait découvrir ce blogue fort bien documenté!

J’ai appris cette information en revenant du travail, ce soir. Il y a quelques années, j’ai eu l’occasion de rencontrer des citoyens gravement affectés au plan de la santé, qui, de bonne foi, avec raison, avec patience, se sont démenés comme des diables dans l’eau bénite pour enfin se faire entendre.

Bref, c’est ma « Bonne nouvelle TVA du jour », et le message lancé est percutant dans notre société (encore, Dieu soit loué!) sociale-démocratique…

Source: Radio-Canada (Québec), 20 novembre 2008.

Les résidents du quartier Villeneuve de l’arrondissement Beauport à Québec ont gain de cause sur toute la ligne contre Ciment St-Laurent. La Cour suprême confirme que la cimenterie devra les dédommager pour la poussière et le bruit qu’ils ont endurés durant des années.

Le jugement, qui devrait faire jurisprudence, souligne l’importance de ne pas nuire à ses voisins (…)

« On reconnaît que malgré l’utilisation des meilleurs équipements de contrôle des émissions de poussière et sa conformité aux standards de l’industrie, l’exploitation de l’usine a entraîné des conséquences pour les résidents des environs. » — Angela Burton, porte-parole de Ciment St-Laurent.

Les procédures dans ce dossier ont commencé en 1993 lorsque les 2000 voisins de la cimenterie ont obtenu l’autorisation de déposer un recours collectif contre la cimenterie. Ils devraient recevoir chacun entre 1000 $ et 15 000 $.

Ciment St-Laurent a fermé son usine de Beauport en 1997.

La suite. À consulter, entre autres billets: Bruit et poussière: Ciment St-Laurent veut éviter les dédommagements et Poursuites stratégiques pour contrer la participation citoyenne.

Source : Pierre-André Normandin, Le Soleil, le 20 novembre

(Québec) Si la meilleure façon de mettre fin à une rivalité est de trouver une cause commune, les automobilistes de Québec et de Montréal risquent de devenir les meilleurs alliés du monde. Faisant rager les Montréalais depuis maintenant cinq ans, les bornes de stationnement s’apprêtent à remplacer les parcomètres dans la capitale aussi.

Québec investira en effet 2,8 millions $ en 2009 pour remplacer ses 1700 parcomètres par des bornes électroniques, indique le programme triennal d’immobilisations (PTI) présenté hier par l’administration Labeaume. Déjà cinq de ces appareils ont fait leur apparition l’hiver dernier dans le Vieux-Québec pour un projet-pilote.

Invoquant les nombreuses plaintes contre ses parcomètres vieux de 10 ans, la Ville de Québec donne ainsi le feu vert à ces appareils ayant déjà fait leurs preuves dans la métropole depuis cinq ans.

la suite et à consulter cet article sur l’absence de ses « petits arbres » sur la rue St-Joseph…

n’ayant pas de voiture, je me sens assez neutre dans ce débat que je vous laisserai alimenter…