Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Québec La cité »

Hausse marquée des citoyens satisfaits à l’égard des services municipaux avec un taux de 90%

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 février 2021 4 commentaires

Québec, le 15 février 2021 – La Ville de Québec rend publics les résultats du sixième sondage, mené auprès des citoyens à la fin de l’automne, afin de mesurer leur degré de satisfaction à l’égard de différents services municipaux. Les citoyens de Québec accordent cette saison, la note de satisfaction la plus élevée des deux dernières années c’est-à-dire que 90 % des répondants sont satisfaits des services rendus par leur ville.

Soulignons d’entrée de jeu que les citoyens de Québec ont des attentes élevées envers les services de la Ville, dans une proportion de 71%.

En tout, dix services ont connu une hausse de satisfaction, dont quatre des cinq services de transport et de mobilité intelligente évalués. Ainsi, la satisfaction des citoyens a augmenté quant à la propreté des quartiers, les services policiers, la qualité des équipements sportifs, le niveau de bruit dans les quartiers, la signalisation routière, l’entretien des rues (excepté le déneigement), la règlementation sur les limites de vitesse, les instances de participation publique, la gestion de la circulation automobile et la synchronisation des feux de circulation.

Les services saisonniers obtiennent quant à eux une note significativement plus élevée, particulièrement pour quatre des six services saisonniers évalués, soit la collecte des feuilles, l’entretien des pistes cyclables, l’entretien des parcs municipaux et les travaux de réfection des rues.

« Malgré la pandémie qui perdure et ses conséquences dans nos vies, je suis très fier du travail des employés de la Ville qui déploient des efforts constants pour améliorer la qualité des services offerts aux citoyens, a déclaré le maire de Québec, M. Régis Labeaume. L’exercice de mener des sondages en vue d’améliorer notre performance est concluant et nous poursuivrons dans cette voie. »

« Je tiens à remercier les citoyens qui participent à nos sondages, a ajouté Mme Michelle Morin-Doyle, membre du comité exécutif responsable de l’interaction citoyenne (311). Leurs réponses nous permettent de prendre les meilleures décisions quant aux services à améliorer et nous encouragent lorsque nous sommes sur la bonne voie. »

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Une série de tableaux et d’informations très intéressantes

Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité.

Québec championne provinciale du marché immobilier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 janvier 2021 Commentaires fermés sur Québec championne provinciale du marché immobilier

Jonathan Lavoie
Radio-Canada

L’année 2020 aura été celle de tous les records en immobilier, et la région métropolitaine de Québec arrive en tête de liste dans la province avec une augmentation des ventes résidentielles de 28 %.

Les hausses les plus marquées sont pour les ventes de copropriétés et de petits immeubles de logements avec des augmentations qui frôlent les 40 %, alors que les ventes d’unifamiliales ont grimpé de 24 % dans les douze derniers mois.

Même si tous les marchés ont été extrêmement actifs, la région métropolitaine de Québec détient vraiment la plus forte croissance, confirme Charles Brant, directeur de l’analyse du marché à l’Association professionnelle des courtiers du Québe.

Selon le spécialiste, la région de la Capitale s’est démarquée notamment en raison de l’augmentation des revenus disponibles des ménages, plus rapide que dans plusieurs autres régions, et de la hausse des prix des immeubles, vraiment plus modérée à Québec qu’ailleurs.

Il souligne au passage la région de Charlevoix, où les ventes ont pratiquement doublé par rapport à 2019.

Surprise générale

Charles Brant avance que l’effervescence du marché a surpris tout le monde au cours de cette année d’exception marquée par la pandémie de COVID-19.

Après quelques mois d’incertitude liée au confinement du printemps, l’année 2020 n’a pas cessé d’enfiler les records depuis le deuxième trimestre. À l’échelle du Québec, le dernier record remontait à l’an dernier et il a été fracassé avec plus de 112 000 ventes, soit une augmentation de 17 %.

Selon l’analyste, l’année 2020 sera difficile à battre à court terme. C’est sûr que pour 2021 on prévoit un petit ressac du fait que le marché a évolué tellement vite que la disponibilité des propriétés sur le marché commence à devenir moins évidente.

La pandémie qui perdure est évidemment la principale cause d’incertitude pour l’année qui s’amorce. Charles Brant soutient néanmoins que la région de Québec est bien positionnée pour mieux résister à un choc économique avec son économie assez robuste et ses nombreux emplois dans les secteurs gouvernementaux et institutionnels.

Si la croissance économique est moins forte et que le chômage a tendance à stagner ou à augmenter, c’est sûr que ça va avoir un impact négatif sur le marché. Mais en ce qui concerne Québec, je pense que si ça devait arriver, c’est un des marchés qui va rester le plus robuste.

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Voir aussi : Condo, Québec La cité, Résidentiel.

La folie immobilière partout au Québec… sauf à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 janvier 2021 3 commentaires

Daniel Germain
Journal de Montréal

J’ai comme l’impression que l’actualité abuse des stéroïdes. Entre une information au sujet de la prise du Capitole et une autre sur le couvre-feu imposé aux Québécois, mon oreille a capté une donnée stupéfiante sur le marché immobilier.

Quelque part dans les Laurentides, on rapportait des hausses de quelque 50 % du prix des maisons !
Énorme ! La croissance des valeurs de l’immobilier semble sans limites. Il n’y a presque nulle part où les hausses trimestrielles des prix ne dépassent pas les 10 %. À plusieurs endroits, elles atteignent plus de 20 % ! Cette frénésie a réveillé des marchés qu’on croyait pour toujours plongés dans le coma, comme celui de Shawinigan qui a progressé de 20,4 % à la fin de l’année dernière.

Les prix explosent partout, à cette exception notable : la ville de Québec et sa voisine d’en face, Lévis. C’est franchement pépère, là-bas. Au dernier trimestre de 2020, le prix des maisons unifamiliales a monté respectivement de… 3,6 % et 3,3 %.

Ça dure depuis longtemps

Ces chiffres proviennent de la firme de recherche JLR dont la base de données est constituée des actes notariés. Il s’agit donc des prix payés, et non ceux affichés par les vendeurs. La vraie affaire, quoi.
En temps normal, des augmentations de plus de 3 % seraient qualifiées de « robustes ». Mais en comparaison de ce qu’on observe ailleurs, l’immobilier de Québec paraît amorphe.

Dans Portneuf, juste à côté, le prix des maisons a grimpé de plus de 21 % au quatrième trimestre. Dans Bellechasse, sur la Rive-Sud, on a enregistré des hausses de plus de 13 % durant la même période. Montmagny : 68 % !

Peut-être que Québec reprend son souffle, pensez-vous. Même pas ! Ce manque de vigueur se confirme trimestre après trimestre. Dans toute l’année 2020, les propriétaires de la région ont vu la valeur de leur maison s’accroître de 2,8 % par rapport à 2019.

En reculant plus loin, on constate toujours le même marasme. Le prix médian des maisons de la capitale est passé de 256 000 $ au dernier trimestre de 2015 à 285 000 $ à la fin de l’année dernière, selon la base de données de JLR. Cela représente une augmentation de 11 % en cinq ans.

Québec rattrapée par les régions

Dans la MRC de Drummondville, loin du champ d’influence de Montréal, les prix des résidences unifamiliales se sont accrus de 16,8 % au cours des trois derniers mois de 2020 seulement. Le prix médian : 230 000 $

(…)

Sur le marché des copropriétés, qui représente le tiers des transactions immobilières de la Vieille Capitale, c’est pire encore. Depuis 2015, le prix médian des unités a baissé au pays de Bonhomme, résultat de mises en chantier excessives.

Selon Joanie Fontaine, économiste chez JLR, les valeurs de l’immobilier en région rejoignent peu à peu celles de Québec. Si la tendance se maintient, mais on ne peut parier là-dessus, un citoyen de Québec qui voudrait vendre sa maison pour s’établir dans les environs de Victoriaville, Berthierville ou Valleyfield ne gagnerait pas au change.

Et dès qu’il s’approchera un peu trop de Montréal, il trouvera la bouchée difficile à avaler !
Quant aux Montréalais qui voudraient s’établir à Québec, ils feront une sacrée bonne affaire.

L’article

* Merci à un lecteur très assidu

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5 projets à surveiller pour 2021

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 décembre 2020 Commentaires fermés sur 5 projets à surveiller pour 2021

Source : Stéphanie Martin et Taïeb Moalla, Journal de Québec, le 31 décembre 2020

Québec entre de plain-pied en année électorale, alors que les citoyens seront appelés en novembre à choisir l’équipe qui mènera la barque à l’hôtel de ville. Mais, d’ici là, plusieurs projets sont à surveiller aux paliers municipal et régional. Le Journal vous donne un avant-goût de ce que 2021 nous réserve.

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Le budget 2021 de la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 novembre 2020 Commentaires fermés sur Le budget 2021 de la Ville de Québec

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Le déneigement en hiver à Québec: une nouvelle politique

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 septembre 2020 Commentaires fermés sur Le déneigement en hiver à Québec: une nouvelle politique

Québec, le 8 septembre 2020 – À la suite de la révision de la politique de déneigement, la Ville de Québec présente son projet de politique de viabilité hivernale, fruit des ateliers de travail et des séances de consultation avec les citoyens, les experts et les représentants d’organismes.

« Notre politique de déneigement s’est transformée en politique de viabilité hivernale, a mentionné M. Jérémie Ernould, membre du comité exécutif responsable des travaux publics. Nous avons repensé nos pratiques de déneigement pour les adapter à la réalité des quartiers. Nous sommes sensibles à la réalité changeante des utilisateurs de nos différents réseaux : conducteurs, piétons et cyclistes. »

Une politique axée sur les habitudes des citoyens
Le déneigement doit être flexible et adapté à l’environnement urbain et aux conditions climatiques variables au cours de l’hiver. L’axe de la nouvelle politique de viabilité hivernale repose entre autres sur cette flexibilité, soit de faire la bonne action, au bon moment.

La nouvelle politique de viabilité hivernale compte cinq grands domaines d’amélioration pour une bonification de l’expérience des piétons, des cyclistes et des automobilistes en période hivernale. Les actions de la nouvelle politique seront déployées progressivement sur trois ans.

1. Améliorations au réseau piétonnier

Déneigement de tous les trottoirs, sauf contrainte technique (anciennement certains trottoirs n’étaient pas déneigés).
Déclenchement des opérations de grattage à 3 cm de neige au sol pour les trottoirs de niveau 1 (plutôt que 5 cm).
Pour les trottoirs d’autres niveaux, déclenchement des opérations de grattage à une accumulation maximale de neige à 5 cm en période de précipitations de jour (anciennement 10 cm pour les trottoirs de priorité 3).
Révision des critères de priorité pour le déneigement des trottoirs, axés sur les besoins des usagers.

2. Améliorations au réseau cyclable

Mise en place d’un réseau utilitaire quatre saisons (environ 51 km).

3. Améliorations au réseau routier

Révision des critères de priorité d’enlèvement de la neige selon l’achalandage et la configuration des rues.

Priorités 1 : déclenchement des opérations d’enlèvement à 7,5 cm de neige au sol (plutôt que 10 cm), excluant les chaussées permettant l’accumulation de neige en bordure de rue sans nuire à la circulation.
Priorités 2 : diminution du délai d’enlèvement à 72 heures pour les précipitations de plus de 22 cm (plutôt que 120 heures).
Priorités 3 : déclenchement des opérations d’enlèvement basé sur la largeur résiduelle des rues à 8 mètres (plutôt que basé sur une quantité de 30 cm de neige au sol).
Mise en place d’écoroutes d’hiver : accentuation du grattage pour limiter l’épandage de sels de voirie afin de protéger les prises d’eau potable.
Consolidation des côtes prioritaires : grattage en continu aux heures de pointe, en semaine.

4. Information améliorée

Ajout de 500 feux clignotants sur 5 ans.
Information sur les conditions de déplacement et les nouveaux niveaux de service.

5. Assurance qualité

Bonification de la surveillance des opérations en régie et à contrat.

Bilan des projets pilotes

Cinq projets pilotes ont été déployés l’hiver dernier. Prémices de la nouvelle mouture de la politique de déneigement, ces expérimentations sur le terrain ont alimenté la réflexion des pratiques à inclure dans le projet de politique de viabilité hivernale.

Parmi les projets pilotes, quatre ont mené à des changements dans la politique de viabilité hivernale : les axes piétonniers prioritaires, les pratiques de soufflage dans les quartiers résidentiels, le déneigement en alternance dans certains quartiers avec feux clignotants et les voies cyclables quatre saisons.

Seul le déneigement des accès aux abribus en période de précipitations n’a pas donné de résultats notables.

Déneigement : au-delà de l’hiver

Le déneigement n’est pas l’affaire d’une seule saison. La Ville assurera une coordination de l’ensemble des projets municipaux en maintenant une vigie sur le déneigement. Tous les services municipaux seront appelés à inclure le déneigement dans la liste des critères d’évaluation et de planification de leurs activités, que ce soient des projets d’ingénierie, d’aménagement ou même de loisirs. L’intégration du déneigement dans tout l’univers municipal facilitera les opérations une fois l’hiver venu, mais également l’expérience des citoyens dans leurs activités et leurs déplacements.

Prochaines étapes:

Jusqu’au 28 septembre. Période de consultation en ligne. Les citoyens sont invités à déposer leurs commentaires sur le projet de politique de viabilité hivernale sur la plateforme de participation citoyenne de la Ville de Québec.

17 septembre 2020, 19 h

Séance d’information virtuelle, présidée par M. Jérémie Ernould, membre du comité exécutif responsable des travaux publics. Les coordonnées de la rencontre Zoom seront diffusées sur la plateforme de participation citoyenne.

Automne 2020

Dépôt du rapport de consultation, analyse des mémoires et ajustement au projet de politique de viabilité hivernale. Adoption de la politique de viabilité hivernale.

Hiver 2020-2021

Début de la mise en œuvre progressive des améliorations proposées par la politique de viabilité hivernale.
Le déploiement de la nouvelle politique est planifié sur trois ans et représente des acquisitions de 8 M$ en équipements, ainsi qu’une somme de 6,8 M$ intégrée graduellement au budget annuel de fonctionnement du déneigement d’ici 2022.

Le communiqué

Et d’autres informations:

Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité.

Québec: meilleure destination canadienne par les lecteurs du Travel + Leisure pour une 5e année consécutive !

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 juillet 2020 Commentaires fermés sur Québec: meilleure destination canadienne par les lecteurs du Travel + Leisure pour une 5e année consécutive !

Still, no city has managed to unseat Hall of Famer Quebec City. Keep reading for the reasons why it continues to earn T+L readers’ affections — and, of course, the full list of the best cities in Canada.

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Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité, Tourisme.

En parlant de densification

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 juillet 2020 Commentaires fermés sur En parlant de densification

Québec, le 6 juillet 2020 – Le Comité pour une densification respectueuse (CDR) rend public aujourd’hui sa position concernant l’intention de la Ville de Québec de modifier les exigences du Règlement d’harmonisation sur l’urbanisme (adoption prévue ce soir, 6 juillet, au Conseil de Ville). Ces modifications touchent les projets de densification résidentielle, un sujet cher au CDR et qui prend finalement une tournure favorable.

Cette série de modifications correspond à plusieurs des revendications historiques du CDR, exprimées à maintes reprises, notamment à l’occassion de la publication de notre bilan de juin 2019, portant sur les projets de densification résidentielle. Elles sont donc accueillies avec une grande satisfaction.

Les nouvelles exigences déterminent enfin des règles du jeu favorables à la densification respectueuse. Les promoteurs et les entrepreneurs auront ainsi l’occasion de partir sur la même ligne de départ pour offrir à leur clientèle des constructions dont ils sont fiers et qui ont le potentiel de susciter l’adhésion du voisinage.

Il reste maintenant à voir si ces exigences seront appliquées uniformément par les intervenants de l’émission d’un permis de construction résidentiel, soit les analystes de la Ville, les comités consultatifs d’urbanisme et les conseils d’arrondissement. La vigilance sera également de mise pour accompagner en amont autant les promoteurs, leurs clients que les futurs voisins afin, de non seulement limiter les délais d’émission de permis, mais en garantir la double finalité : une densification respectueuse.

Si oui, des avancées majeures sont observées, il y a encore place à l’amélioration. Nous demeurons donc à l’affut et particulièrement sur les sujets suivants :

• l’abattage des arbres matures demeure trop facile sur les sites des nouvelles maisons, au détriment de la canopée. Le patrimoine végétal est sous valorisé par la réglementation et pourtant il donne l’identité et la plus-value à des quartiers qui ont du vécu, de l’intimité, de la qualité de vie. Les évaluations des projets proposés par les promoteurs dans leur demande de permis doivent s’appuyer sur des exigences qui font de l’abattage des arbres matures une réelle exception;

• absence de mécanisme pour supporter l’adhésion sociale des projets : la Vision de l’habitation en développement à la Ville de Québec se promet d’en traiter mais il y a lieu d’être inquiet. Encore aujourd’hui, les citoyens apprennent la teneur brutale d’un projet de densification en voyant débarquer les démolisseurs. Ils découvrent ensuite ce qui prendra progressivement place. Pour le CDR, une adhésion sociale à un projet signifie que l’information circule dans le voisinage bien avant le début des travaux, une fois le permis accordé;

• bilan de la densification respectueuse à Québec : le CDR a fait connaître au public et ce à trois reprises depuis 2014, son propre bilan sur la question. Il n’est pas normal que cette tâche soit assumée par un groupe de citoyens. La Ville devrait faire connaître le sien et en dédier une partie de son site Internet;

• charte de la densification respectueuse : le CDR a soumis un projet de Charte et suggère de le faire adopter par l’ensemble des parties prenantes. « Ce geste unirait toutes les parties concernées autour d’une vision commune, des plus productive en matière de densification», a conclu Michel Fournier, porte-parole du CDR.

Rappelons que le Comité pour une densification respectueuse (CDR) désire préserver et améliorer la qualité de vie des citoyens de la Ville en favorisant une densification en harmonie avec le patrimoine arboricole et bâti existants.

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Voir aussi : Environnement, Initiatives citoyennes, Nouvel urbanisme, Québec La cité, Urbanisme.

10 choses à savoir sur la fondation de Québec pour le 412e anniversaire de la Ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 juillet 2020 Commentaires fermés sur 10 choses à savoir sur la fondation de Québec pour le 412e anniversaire de la Ville

Société historique de Québec
Journal de Québec

Jean-François Caron
Historien

Le 3 juillet 2020, la Ville de Québec célèbre le 412e anniversaire de sa fondation. Le petit comptoir commercial établi par Samuel de Champlain est devenu une ville unique en Amérique du Nord.

Québec a conservé son caractère patrimonial parce que plusieurs générations de ses résidents n’ont cessé de la protéger, d’en faire la promotion et de la mettre en valeur, bien souvent contre les vents et marées du progrès. C’est notamment ce à quoi s’active la Société historique de Québec depuis sa fondation en 1937

En cet anniversaire, nous vous proposons 10 faits pour vous faire connaître davantage Québec à l’époque où son fondateur y vivait. Joyeux 412e!

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Voir aussi : Histoire, Québec La cité.

Les pires étés de l’histoire à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juillet 2020 Commentaires fermés sur Les pires étés de l’histoire à Québec

L’historien Jean-François Caron, membre de la Société historique de Québec, tient une chornique tout l’été à la radio de Radio-Canada (Émission Première Heure). Ce matin, ce fut l’été du choléra en 1832. Les prochaines chroniques traiteront de l’été du siège de Québec (1759), de l’été des grandes incendies de la ville (1854), de l’été de la grande crise agricole (1837), de l’été de la grande crise économique (1930) et enfin une chronique qui traitera des plages de la région lorsque les piscines publiques étaient inexistantes.

L’été du choléra (1832)

N.B. Cet historien a aussi publié deux livres à découvrir sur les curiosités de Québec. Il est également reconnu comme un spécialiste de la légende du Chien d’Or.

Voir aussi : Histoire, Québec La cité.