Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Types de projet »

Projet de 35 maisons à Beauport sur un cimetière et les terres des sœurs

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 octobre 2020 Commentaires fermés sur Projet de 35 maisons à Beauport sur un cimetière et les terres des sœurs

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

La Ville de Québec est sur le point d’autoriser un projet de construction de 35 résidences unifamiliales, à Beauport, sur l’ancien cimetière et les terres des Sœurs servantes du Saint-Cœur de Marie qui ont déménagé dans les dernières années.

Ce projet est dans l’air depuis deux ans et demi. En 2018, les religieuses s’étaient adressées au tribunal pour exhumer les restes humains de 601 personnes, principalement des religieuses, enterrées dans le cimetière de leur communauté.

La cour avait autorisé ce déménagement pour le moins inusité. Les restes humains avaient ensuite été inhumés au cimetière Saint-Charles. Les Sœurs servantes du Saint-Cœur de Marie, elles, ont déménagé dans une nouvelle résidence sur le site des Jardins d’Évangéline à Beauport. Leur ancien couvent de l’avenue des Cascades sera éventuellement restauré, agrandi et converti en résidence pour aînés.

Le projet domiciliaire de Nova Construction sur le vaste terrain à l’arrière du convent, incluant la portion de l’ancien cimetière, vient de franchir une étape importante. Les élus du comité exécutif ont entériné le projet de lotissement. Les travaux de prolongement de la rue Étienne-Parent et l’ouverture d’une nouvelle rue au sud de l’avenue Coubertin pourraient débuter en décembre.

Un projet populaire

Joint par Le Journal, Peter David, de Nova Construction, dit avoir déjà trouvé preneur pour une vingtaine de terrains sur 35, réservés avant même que le projet soit officialisé. «Je n’ai jamais vu ça», dit-il au sujet de l’engouement qu’il a constaté.

La présence d’un cimetière, pendant plusieurs décennies, n’a pas rebuté non plus les futurs acheteurs, qui ont tous été mis au courant. «Aucun n’a reculé. La présence des sœurs était même perçue comme quelque chose de rassurant. Ce sont des anges», a relaté M. David.

«Un développement au sud de l’autoroute de la Capitale, avec des maisons unifamiliales, ça fait des années qu’il n’y en a pas eu», rappelle-t-il. La rareté de terrains à proximité de la ville, des services et de l’autoroute pour des maisons neuves isolées aurait donc séduit plusieurs acheteurs potentiels. Les maisons coûteront 450 000 $ en moyenne, peut-on lire dans des documents de la Ville. La réalisation du projet devrait s’étaler jusqu’en 2024.

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Voir aussi : Arrondissement Beauport, Résidentiel.

Airbnb: démarche référendaire dans le Vieux-Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 octobre 2020 Commentaires fermés sur Airbnb: démarche référendaire dans le Vieux-Québec

Taïeb Moalla
Journal de Québec

Les citoyens qui s’opposent à un projet de 45 unités Airbnb sur la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Québec, ont jusqu’à mercredi prochain pour tenter de forcer la tenue d’un référendum.

Le conseil d’arrondissement de La Cité-Limoilou a voté, plus tôt cette semaine, un changement de zonage qui ouvre la voie au promoteur Nicolas Paradis pour réaliser son projet de transformer l’immeuble désaffecté du 196, rue Saint-Paul en 45 unités Airbnb.

Toutefois, ce changement de zonage entraîne également la publication d’un «avis de participation référendaire». Il suffit désormais que 12 citoyens de la zone concernée signent les registres, d’ici mercredi, pour qu’un référendum ait lieu.

En ce contexte de pandémie, les signatures doivent être envoyées par courriel par l’intermédiaire du site internet de la Ville de Québec.

Aucune date pour un éventuel référendum n’a été communiquée. Il faut d’abord attendre que les registres soient fermés avant d’en savoir plus, nous a-t-on fait savoir.

Opposé au projet, Michel Masse, président du Comité des citoyens du Vieux-Québec (CCVQ), appelle les résidents du secteur à signer les registres pour obtenir ultérieurement la possibilité de se prononcer par référendum. «Le Vieux-Québec a plus besoin de nouveaux résidents [que d’] un nouvel établissement touristique», a-t-il insisté.

Appelé à commenter, le promoteur Nicolas Paradis a dit avoir discuté avec de nombreux citoyens du secteur pour expliquer son projet. «J’ai eu beaucoup de satisfaction des citoyens et des commerçants, a-t-il assuré. On a répondu à pas mal toutes les attentes.» Selon lui, «si les citoyens décident qu’ils ne veulent pas du projet et qu’ils veulent laisser la rue Saint-Paul comme ça, c’est un droit qu’ils ont».

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Un billet précédent La façade d’un immeuble de la rue Saint-Paul menace de s’effondrer

Voir aussi : Airbnb, Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Secteur Chaudière : développement résidentiel et commercial, TOD et conservation de milieux naturels

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 octobre 2020 13 commentaires

Québec, le 29 octobre 2020 – La Ville de Québec a présenté aujourd’hui la version préliminaire de sa Vision d’aménagement pour le secteur Chaudière. Ce territoire est appelé à se développer rapidement et la Ville souhaite encadrer la construction d’habitations, de commerces et d’entreprises de haute technologie, en plus de conserver des milieux naturels et d’améliorer les déplacements actifs dans le secteur et vers les quartiers voisins.

En juin 2020, la Ville a lancé une démarche de participation publique afin de soutenir le développement de ce secteur d’importance bénéficiant de grands espaces où tout est à définir, en plus de profiter de l’arrivée du réseau structurant de transport en commun.

Réponse à un besoin de logements

La Ville veut favoriser le développement résidentiel dans le secteur Chaudière afin de répondre à la demande associée à la croissance démographique anticipée. Entre 2021 et 2031, le nombre de logements à construire pour répondre à l’arrivée des nouveaux ménages attendus sur le territoire de la ville de Québec est estimé
à 11 850.

Durant cette période, en comptant sur les lotissements autorisés, la construction sur les terrains vacants et l’insertion de logements dans les quartiers déjà construits, 8 510 logements pourront être construits sur l’ensemble du territoire. Il manquerait donc 3 340 logements pour répondre à la demande.

« La construction de 4 210 logements additionnels dans le secteur Chaudière permettra de venir combler les manques à gagner en matière d’habitation d’ici les dix prochaines années, a annoncé M. Régis Labeaume, maire de Québec. Les terrains étant vacants sur cette partie du territoire, la construction peut donc se faire à court terme. En priorisant l’élaboration de cette vision, nous souhaitons concevoir un environnement réfléchi et cohérent, qui tient compte du développement du transport en commun. »

Un milieu de vie axé sur le transport en commun

Dans ce secteur, la Ville souhaite créer des environnements de type Transit Oriented Development (TOD) qui peut être traduit par « développement orienté vers le transport en commun ». Un TOD vise à créer un milieu de vie dynamique entièrement pensé autour d’une station de transport en commun, ce qui est particulièrement souhaité aux abords du futur terminus Le Gendre et de la station Chaudière, à l’extrémité ouest du tracé du tramway.

Déjà implanté dans plusieurs grandes villes, on y trouve généralement une concentration de logements, de services, de commerces, de bureaux et de places publiques, tous accessibles à pied et qui s’organisent autour d’une station de transport en commun.

(…)

Démarche consultative : activités à venir

Les personnes intéressées à s’exprimer sur la version préliminaire de la Vision d’aménagement pour le secteur Chaudière sont invitées à participer aux activités suivantes :

Séance d’information en ligne. (Zoom). Jeudi 19 novembre 2020, à 19 h

Consultation écrite : commentaires ou dépôt de mémoires. (Plateforme de participation publique). Du 19 novembre 2020 au 8 janvier 2021

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Autour du terminus du tramway: le pôle Chaudière pour combler le manque de terrains Stéphanie Martin (Journal de Québec). Un extrait: « Puisque les terres des Sœurs de la Charité ne peuvent accueillir des maisons, la Ville de Québec a besoin du développement autour du terminus du tramway, près du IKEA, pour accueillir ses futurs résidents sans causer d’étalement urbain. La Ville de Québec compte énormément sur cette «petite ville» où 9000 résidents et employés vivront et travailleront quotidiennement. «Si on ne fait pas le développement, on va manquer de place», laisse tomber le maire de Québec, Régis Labeaume. »

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Écoquartier, Étalement urbain, Commercial, Densification, Environnement, Qualité et milieu de vie, Résidentiel, Urbanisme.

Voici la nouvelle école Joseph-François-Perrault!

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 octobre 2020 4 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Voici à quoi ressemblera la nouvelle école secondaire Joseph-François-Perrault, du quartier Montcalm. Un projet de plus de 15,5 millions $ qui émergera dès l’été, pour une occupation officielle à la rentrée 2022.
Les projections architecturales ont été discrètement mises en ligne par la directrice, Marlène Bureau. Fenestration avec vue sur les montagnes, petite cour intérieure, gymnase haut de deux étages, 13 classes à la fine pointe… Le seul établissement secondaire public de la Haute-Ville sera plus à l’aise.

«On a hâte parce que nous, ici, on vit à l’étroit», se réjouit Mme Bureau. «Depuis deux, trois ans, on est à pleine capacité. […] Actuellement, je ne peux pas accepter d’autres élèves.»

Pour l’heure, l’école héberge 5 groupes à chacun des niveaux du secondaire. «On est autour de 650 élèves. […] Avec l’agrandissement, on devrait pouvoir accueillir 1000 élèves.»

Et même si tous ces jeunes — et leurs profs — sont brassés par la pandémie de COVID-19, même si l’administration gère les feux chaque fois que le virus frappe, le projet immobilier, lui, suit son cours. Dès l’été, les ouvriers seront à l’œuvre. «Normalement, l’école devrait être livrée pour la rentrée 2022, septembre 2022.»

Marlène Bureau souligne que les croquis diffusés ne sont pas tout à fait définitifs, qu’il pourrait encore y avoir quelques petits ajustements. Mais on approche pas mal de l’aspect final. D’ailleurs, les plans pour la construction seront remis au ministère de l’Éducation d’ici décembre.

Aussi, la Ville de Québec a déjà donné son accord.

Donc, la future bâtisse devrait avoir un étage de plus que l’école actuelle, plantée au bas de l’avenue Cartier. Mme Bureau évalue néanmoins que la pente du terrain et le gymnase en sous-sol demi-enterré permettront d’atténuer la perception de hauteur, malgré les cinq niveaux.

La cour intérieure, une «faille» entre les deux pavillons, coupera en outre le volume tout en offrant un espace extérieur aux jeunes.

Quoi d’autre? La directrice évoque l’écologie, la géothermie, l’éclairage à DEL, l’efficacité énergétique, la réduction de la consommation d’eau.

Joseph-François-Perrault est une «école urbaine» à la clientèle «hétérogène», «diversifiée», note Mme Bureau. Voilà qui créerait de la «couleur», favoriserait «l’ouverture».

À la suite de l’agrandissement, l’établissement pourrait recevoir les élèves de la Haute-Ville ainsi que d’une partie de la Basse-Ville, du pied de la falaise. Déjà, son programme international (PEI) attire des jeunes de la périphérie de son bassin naturel.

Outre le pavillon de 15,5 millions $, l’école Joseph-François-Perrault bénéficiera d’une mise aux normes; entre autres, de l’installation d’un ascenseur.

Une consultation publique écrite est en cours sur le site Web de la Ville de Québec concernant ce projet notamment parce que : l’immeuble projeté est un peu plus haut que le permet le zonage actuel, soit 19 mètres au lieu des 12 mètres acceptés; aucun espace de stationnement n’est prévu dans les plans. Les citoyens ont jusqu’au 11 novembre pour participer.

Le nouveau pavillon de l’école Joseph-François-Perrault sera planté sur une partie du stationnement servant aux usagers du centre communautaire Lucien-Borne ainsi qu’aux résidents du quartier les soirs de déneigement. Ces espaces seront éliminés.

La Ville de Québec et le Centre de services scolaire de la Capitale ont une entente pour l’usage partagé du dortoir à voitures qui chevauche leurs deux propriétés, explique la conseillère en communication municipale, Audrey Perreault. La portion située directement à l’arrière de l’établissement scolaire disparaîtra.

«Le stationnement compte globalement 91 cases, dont 24 dans la portion de terrain appartenant au Centre de services scolaire de la Capitale qui seront perdues par l’agrandissement de l’école», explique Mme Perreault. «La Ville n’entrevoit pas compenser cette perte […] puisqu’aucun autre espace n’est disponible dans l’environnement immédiat. Le stationnement aura 67 espaces […]. Au lieu d’un agrandissement du stationnement, la Ville a préféré conserver la totalité des espaces verts du parc Lucien-Borne pour l’utilisation par les citoyens ainsi que pour les activités des programmes vacances-été. Rappelons toutefois que ce secteur du centre-ville est bien desservi par le transport en commun.»

«Le stationnement du centre communautaire Lucien-Borne et de l’école Joseph-François-Perrault est utilisé par une clientèle variée : les usagers du centre, le personnel de l’école et certains détenteurs de vignettes de stationnement. Il est également utilisé lors des opérations de déneigement l’hiver (vignettes tempête).»

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Institutionnel.

Nouveau campus de l’UQTR à Place Fleur de Lys

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 octobre 2020 1 commentaire

Daphnée Viens
Jean-Michel Genois Gagnon
Journal de Québec

Un nouveau campus de l’Université du Québec à Trois-Rivières ouvrira ses portes à l’été 2021 sur le site du centre commercial Place Fleur de Lys, à Québec, a appris Le Journal. Selon nos informations, le projet vient tout juste d’obtenir le feu vert de Québec. Les locaux seront situés dans l’ancien magasin Sears et devraient accueillir quelques centaines d’étudiants, dans une première phase.

Québec a donné son aval à la location d’un espace de 2300 mètres carrés pendant 15 ans pour une somme de 15 M$, incluant les coûts d’exploitation.

Le nouveau campus sera axé sur les sciences psychosociales. L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) est déjà présente à Québec depuis plus de 20 ans où elle loue des locaux dans le secteur de Sainte-Foy.
L’institution loue des locaux dans le Collège Stanislas, où elle accueille principalement des étudiants en psychoéducation.

Interrogée au sujet de ce projet jeudi avant-midi, l’UQTR s’est contentée d’indiquer qu’une annonce pourrait être faite sous peu. «On regarde la possibilité de s’installer dans des locaux qui conviendraient davantage à nos besoins», a affirmé son porte-parole, Jean-François Hinse.

Du côté du centre commercial Place Fleur de Lys, la direction confirme avoir eu des échanges avec l’UQTR pour l’aménagement d’un nouveau campus sur le site de Vanier. Elle refuse toutefois de confirmer qu’une entente est déjà conclue.

Ce chantier devrait notamment être l’un des piliers importants dans le développement de 750 M$ du centre commercial.

«À terme, nous parlons de plusieurs milliers d’étudiants avec plusieurs facultés. Il s’agira d’un nouveau campus universitaire», a indiqué au Journal le président et chef de la direction de Trudel Alliance, William Trudel.

«Notre organisation travaille avec l’UQTR depuis plus de deux ans. Dans le cadre de nos démarches visant à redévelopper notre site, la population du quartier nous a clairement identifié le besoin d’avoir accès à un enseignement supérieur de qualité dans ce secteur», a ajouté M. Trudel.

Le campus ne nécessiterait aucune nouvelle construction, pour le moment.

Dans son plan pour revigorer le secteur et Place Fleur de Lys, Trudel Alliance envisage la construction d’une résidence pour personnes âgées, d’espaces de bureaux, de logements et l’aménagement d’espaces verts.
Le promoteur québécois devrait présenter l’ensemble de son projet, qui sera réalisé par phases, d’ici Noël.
Au début du mois d’octobre, la Ville de Québec avait annoncé qu’elle souhaitait réaménager l’axe Hamel-Laurentienne et intégrer notamment dans ce secteur des espaces verts pour les citoyens.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Un projet de maison de ville viendra «remplir» un terrain vacant dans Saint-Sauveur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 octobre 2020 Commentaires fermés sur Un projet de maison de ville viendra «remplir» un terrain vacant dans Saint-Sauveur

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Un terrain à l’abandon depuis plusieurs années au pied de la falaise, au bas de la côte de l’Aqueduc dans Saint-Sauveur, servira finalement d’assise à une copropriété de 9 «maisons de ville» et deux appartements.
Au fil des ans, les nombreux automobilistes et piétons grimpant la côte menant tout droit au quartier Montcalm ont peut-être aperçu les pancartes promotionnelles promettant des logis neufs. Un affichage périmé qui a déjà été recouvert par des artistes urbains voulant sans doute colorer le paysage de barrières métalliques chambranlantes protégeant un trou sablonneux.

Voilà un peu moins d’une décennie que des développeurs songent à transformer le grand lot situé au confluent des rues de l’Aqueduc, Franklin et Châteauguay. Celui qui avait mis la main sur l’ancien garage du coin et l’immeuble résidentiel voisin a tout démoli en 2013. Dès décembre de cette année-là, un projet de copropriétés était promu.

Cet homme d’affaires beauceron a cependant eu quelques pépins parce qu’il avait rasé et décontaminé le site sans autorisation préalable. Cela lui avait valu un avis d’infraction, rappellent d’anciens documents officiels remis aux élus de la capitale.

Il faut croire qu’il était pressé de faire le ménage. Le lot était souillé par divers produit pétrolier, car, depuis au moins les années 1960, une station-service Shell y trônait, tel qu’on peut le voir dans les archives photographiques de la Ville de Québec. Plus récemment, un atelier de mécanique, sans pompes à essence, occupait une partie du terrain.

Le promoteur de l’époque a également bataillé afin de convaincre la mairie de Québec de modifier le zonage. Il désirait construire plus haut que permis, sur quatre étages, avec un stationnement souterrain. Dans un premier temps, cela lui avait été refusé. Mais la Ville avait finalement acquiescé, rêvant d’y voir germer un complexe de 21 logements.

«Livraison juin 2014», clamait alors une publicité bien en vue, croquis du bâtiment à naître à l’appui. Une affiche qui a tenu quelques années avant de s’effondrer, tout comme le projet immobilier.

(…)

Venons-en au plan actuel de 11 logis. Les 9 «maisons de ville» auront deux ou trois étages, avec terrasse sur le toit; elles sont vendues entre 250 000 à 390 000 $. Il y a aussi deux appartements, dont un loft à 150 000 $.

Le projet a un nom : Accès Urbain.

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Le courtier

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Condo.

Nouveau projet des Immeubles Roussin: L’Aromate

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 octobre 2020 Commentaires fermés sur Nouveau projet des Immeubles Roussin: L’Aromate

Source

Le projet de condos locatifs situé près du secteur marchand du Campanile avec livraison au printemps 2022

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Condo, Logement locatif ou social.

RMR de Québec, troisième trimestre: les chiffres

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 octobre 2020 Commentaires fermés sur RMR de Québec, troisième trimestre: les chiffres

JLR Solutions foncières, une société d’Équifax

Voir aussi : Condo, Résidentiel.

Nouveau projet : le Destimo

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 octobre 2020 6 commentaires

Entre le nouvel immeuble de la CNESST et le premier édifice du fédéral, un projet résidentiel est en train de voir le jour : le Destimo. Du studio au 5 1/2, les 192 unités mettront un terme à la phase 2 de la revitalisation de ce secteur, qui comprend aussi un parc, que je n’ai malheureusement pas eu le temps de visiter. Maintenant, que les premiers pas sont faits dans ce secteur, voyons voir les prochaines étapes qui permettront de changer ce secteur qui a fait l’objet de plusieurs annonces avant une réelle prise en charge.

Voir aussi : Arrondissement Beauport, Logement locatif ou social.

Immeuble de la CNESST – état des travaux (5)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 octobre 2020 2 commentaires

Un projet dans le secteur d’Estimauville qui tire à sa fin, c’est le futur siège social de la CNESST. L’extérieur est presque complété et on s’affaire à compléter le bâtiment à l’intérieur et finaliser le garage étagé.

Immeuble de la CNESST – état des travaux (4).

Voir aussi : Arrondissement Beauport, Institutionnel.