La paroisse de Saint-Louis-de-Courville. crédits : Louise Côté
La paroisse de Saint-Louis-de-Courville. crédits : Louise Côté
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Patrimoine et lieux historiques.
La page du projet Beau Port sur-le-fleuve.
Dans l’ordre habituel :
Vue d’ensemble du projet; bâtiments du côté ouest; bâtiments du côté est
Terrain en construction au nord-est; immeuble du côté ouest (toujours au nord); vue nord-est de la dernière série de bâtiments avant d’amorcer la descente vers le carrefour giratoire au pied de la pente.
Le carrefour giratoire au bas de la rue principale; deux photos de ce qui semble être une autre partie du développement un peu plus à l’ouest
Finalement les résidents du secteur feront peut-être jouer la musique du grand Félix lors de leur congé du dimanche, qui sait…
Voir aussi : Arrondissement Beauport, Condo, Logement locatif ou social, Projet - Développement de l'ancienne cimenterie Saint-, Résidentiel.
Voici un arrêt d’autobus typique du centre-ville de Winnipeg. (cliquez pour une version plus grande)
Chacun de ses arrêts comprend :
1) Une massive colonne visible de loin, surmonté du nom de la station et sa direction (ici : RWB, Westbound). Remarqué la grosseur et son positionnement. Dans l’autobus, il est facile de voir de loin la station qui s’en vient, tout en rendant facile sa localisation pour les piétons.
2) La liste complète des autobus passant par cette station
3) Un panneau électronique indiquant l’heure de passage des prochains autobus
4) l’horaire et le trajet de tous les autobus passant par cette station
5) Une VASTE cabine, avec des vitres qui vont jusqu’au sol, avec des bancs NOMBREUX et une porte qui se ferme, et incluant une section couverte mais hors de l’abris.
6) D’autres bancs à l’extérieur de l’abris-bus.
Voir aussi : S'inspirer d'ailleurs, Transport en commun.
Québec International
Le palmarès « American Cities of the Future 2011/12 » du magazine britannique fDi, une publication du groupe The Financial Times, place la ville de Québec au TOP 10 dans trois catégories. Ainsi, non seulement Québec se classe parmi les 10 premières dans la catégorie Meilleure qualité de vie et Meilleures stratégies de promotion et de prospection, elle a également réussi à se classer parmi les meilleures pour sa performance sur l’ensemble des critères à l’étude, soit le potentiel économique, la qualité de vie, les infrastructures, l’environnement d’affaires, le coût de la vie et les stratégies de promotion. Québec s’inscrit ainsi au Top 10 des « Large Cities of the future 2011/2012 ».
Voir aussi : Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Radio-Canada (Québec)
(…) Ils profitent de la longue fin de semaine pour faire circuler une pétition pour signifier leur opposition au projet. La Ville veut accueillir un immeuble d’au plus six étages pouvant abriter 195 logements sur le terrain de l’église Sainte-Maria-Goretti.
Ordre du jour, conseil d’arrondissement, lot 1 127 431 et le rôle d’évaluation pour ce lot
Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Logement locatif ou social.
Cet article fait partie d’une série portant sur le premier plan d’urbanisme pour la Ville de Québec commandé par le maire Lucien Borne réalisé par Jacques Gréber, Edouard Fiset et Roland Bédard entre 1949 et 1956.
Ce qui frappe en lisant le rapport d’urbanisme de Gréber, Fiset & Bédard déposé en 1956 à la Ville de Québec est sa vision. Les paramètres ont tout de même changé énormément depuis un demi-siècle. L’étalement urbain s’est réalisé et le centre-ville a souffert du déplacement de l’activité commerciale vers la banlieue avec la venue des centres d’achat et plus récemment des « power-centers ». En le comparant au plan de mobilité durable de la Ville de Québec publié en juin 2010, on constate qu’ils ont beaucoup de similitudes. En regardant les dernières réalisations et les derniers projets développés pour la région, on dirait même que le plan de Gréber est toujours d’actualité. (suite…)
Voir aussi : Histoire, Nouvel urbanisme, Qualité et milieu de vie, Transport en commun, Voyage dans le temps.
Moins d’un mois depuis le dernier billet et les deux chantiers ont beaucoup progressé.
Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité - Haute-ville, Commercial.
Une chronique historique n’attend pas l’autre. Cette fois, découvrez les origines véritables de ce restaurant très connu à Québec. Bonne lecture à tous gracieuseté de M. Pierre Dubeau.
Le Restaurant Le Relais, sur la rue Sainte-Anne, a changé de nom pour le Bistro 1640 récemment.
Ce plan de 1640 de Pierre-Louis Morin serait peut-être à l’origine de ce changement de nom. Selon ce plan, en E, la maison des cent-Associés correspond à l’emplacement exact du restaurant Bistro 1640. Cependant, ce plan est fortement contesté car on n’a jamais trouvé l’original soi-disant de Jean Bourdon. Pour plus de détails, voir cette page.
On a peu d’information sur la localisation de la maison des cent-Associés. On présume qu’elle occupait le site du Sénéchaussée, construite par le Gouverneur Lauzon vers 1651.
Plan de Bourdon de 1660 (détail). En pointillé, anciennement, la terre du Gouverneur d’Ailleboust.
De fait, Il s’agit plutôt de la maison de Jean Jobin construite sur son terrain acquis de Louis d’Ailleboust en date de juin 1658. Cette bâtisse est bien présente sur le véritable plan de Jean Boudon de 1660.
Extrait de cet acte :
« Une place sise en cette ville de Québec contenant demi arpent de terre ou environ faisant moitié d’un arpent de terre au dit sieur bailleur appartenant, joignant d’un côté à la rue qui passe entre l’église paroissiale et la dite terre, d’autre côté à Jacques Boisselle en partie et à Louis Côté, d’un bout à une rue qui passe entre le Fort des Sauvages et la ditte terre, et d’autre bout à la place Abraham Martin en partie et aux terres non concédés »
Près du fort des Hurons, c’est la cabane en écorce occupée par Martin Boutet, maître de chapelle. Nous savons ces précisions par l’apport de l’abbé Provost qui a analysé cette lettre de Mme D’Ailleboust à Mgr de Laval, datée de septembre 1661.
En 1947 Honorius Provost conclu :
« A part l’école de Martin Boutet, qu’y avait-il alors, en fait de constructions, sur la réserve de M. d’Ailleboust? Sa veuve nous parle du « sieur Jobin ». Il s’agit d’un nommé Jean Jobin, tailleur d’habits, à qui l’ancien gouverneur avait accordé en concession, le 30 juin 1658, rien moins que la moitié de sa réserve, un demi-arpent en superficie, détaché dans la direction nord-sud et le long de la rue du Trésor. Jean Jobin s’était tout de suite installé sur son emplacement… En fait, comme on le voit par la suite, il s’est bâti une maison sur là ou se trouve à peu près le restaurant Old Homestead, sur la rue Sainte-Anne. »
Conclusion.
Pour respecter les sources historiques, le restaurant aurait eu avantage à être nommé Bistro Jobin.
Sources documentaires :
Provost, Honorius, « La réserve de M. d’Ailleboust à Québec », Bulletin des recherches historiques, Lévis, 1947, vol. 53, no.6, pp. 178-187
Plan de Pierre-Louis Morin (1811-1886) aux archives de la Ville de Montréal.
Déposé dans un premier temps à la Bibliothèque de la Ville de Montréal le 3 décembre 1881.
Cote de rangement: BM5,S3, D39, Inv. 1909, Cartable 71 no. 172-01-12
Plan de Jean Bourdon de 1660. Archives nationales d’outre-mer (ANOM). Dépôt des Fortifications des Colonies, Amérique septentrionale, no. 341.
Greffre de Pauvret, Bail à rente à Jean Jobin, 30 juin 1658.
Voir aussi : Histoire, Les commerces de ma ville, Message d'intérêt public.
La phase C10 est maintenant avancée.
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières.
J’utilise l’Écolobus depuis le début (2008), très fréquemment. Mon point de départ vers la Basse-Ville est toujours le même, soit au Parc de l’Amérique Française.
Aujourd’hui, je me retrouve avec des touristes français à cet endroit. En entrant dans le bus, le chauffeur nous informe aussitôt que nous aurons à payer 1$ pour nous rendre à l’autre point de départ situé au Manège Militaire et que nous aurons à débourser à nouveau 1$ pour se rendre en Basse-Ville.
Étonné, surpris, tout comme les touristes français, je m’informe et découvre qu’il faut (pour le trajet Haute-Ville/Basse-Ville) se rendre à l’arrêt du Manège Militaire. Sinon il faut débourser deux fois si, par exemple, nous partons du Hilton en direction de la Basse-Ville. Le principe étant que le trajet a son point de départ du Manège Militaire. Si les touristes du Hilton traversent la rue et vont à l’arrêt du côté sud, il n’y a pas de problème.
Le chauffeur ajoute que cette politique n’est pas suivie par tous ses collègues. J’en sais quelque chose. C’est la première fois qu’on m’en informe depuis que l’Écolobus est payant.
Les touristes n’y comprenaient rien, et moi non plus.
Au retour de la Basse-Ville, à l’arrêt du traversier Québec-Lévis, un autre chauffeur était en pleine discussion avec des touristes du Nouveau-Brunswick qui avaient pris le bus un peu plus loin, croyant pouvoir aller en Haute-Ville. Même problème. Même exigence du déboursé de 1$ à deux reprises. Si ces derniers, au lieu d’embarquer au Musée de la Civilisation, du côté nord, avaient traversé la rue pour prendre le bus du côté sud, ils n’auraient pas eu cette savante explication du chauffeur.
Les touristes n’y comprenaient rien, et moi non plus.
Vous avez une explication ? Merci.
P.S. Pour une ville touristique, voici une excellente façon de compliquer inutilement les choses.
Voir aussi : Transport en commun.