
Le début / fin de l’autoroute Laurentienne à Québec à l’entrée du quartier St-Roch, vu de l’Observatoire de la Capitale, le 5 février 2020. Photo Francis Vachon pour Le Devoir.
David Rémillard
Radio-Canada
Pendant que tous les yeux sont rivés à l’est, Québec tarde à traduire les mêmes ambitions pour l’autoroute Laurentienne, dont la transformation pourrait avoir des impacts encore plus « positifs » que Dufferin-Montmorency.
(…)
Si la CAQ semble appuyer sur l’accélérateur pour Dufferin-Montmorency, aucun engagement n’a encore été pris en ce qui concerne l’autoroute Laurentienne. Au contraire, le gouvernement Legault envisage plutôt un élargissement, avec l’ajout d’une voie réservée au transport collectif afin de mieux desservir les banlieues au nord.
Depuis 2011, l’entrée au centre-ville, entre les rues Soumande et de la Croix-Rouge, figure au Plan de mobilité durable de la Ville de Québec. La transformation du tronçon en boulevard urbain permettrait, croit-on, de reconnecter les quartiers Vanier et Limoilou, d’apaiser la circulation, d’améliorer la qualité de l’air, de verdir et de densifier les espaces récupérés par le retrait des voies.
Des esquisses ont été produites en 2017 par des étudiantes et des étudiants en design de l’Université Laval. Aucun projet concret n’a encore été annoncé.
Un billet précédent en … 2011 !







