Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Geste de solidarité & communautaires »

La grande guignolée des médias – édition 2008

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 décembre 2008 3 commentaires

En-tête

Sources: La grande guignolée des médias.

La grande guignolée des médias 2008 se tiendra le jeudi 4 décembre. Les porte-parole de cette année sont Sophie Durocher (Ici), Isabelle Maréchal (98,5 FM, Corus Québec), Marie-Christine Trottier (Espace musique, SRC Radio), Chéli Sauvé-Castonguay (Astral Media), Mélissa Lavergne (Télé-Québec), Marie Grégoire (Metro), Josée Boudreault (Rythme FM) et Anouk Meunier (TQS).

La grande guignolée des médias rappelle à tous que les notions d’amour, d’espoir et de partage sont toujours d’actualité. Le jeudi 4 décembre 2008, jour de La grande guignolée des médias, sera celle de la solidarité. Une centaine de médias ainsi que plusieurs centaines de bénévoles s’uniront et ce, partout dans la province, pour amasser des denrées non périssables et des dons en argent dans le but de venir en aide aux plus démunis. (…)

À lire aussi: Le nombre de personnes ayant fréquenté une banque alimentaire continue d’augmenter (Presse canadienne, 25 novembre 2008). À consulter aussi, entre autres billets: LES VISAGES DE LA PAUVRETÉ: Regarder la pauvreté en face.

Voir aussi : Geste de solidarité & communautaires, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

7e Soirée bénéfice du Fonds d’emprunt: jeudi 27 novembre 2008

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 novembre 2008 Commentaires fermés sur 7e Soirée bénéfice du Fonds d’emprunt: jeudi 27 novembre 2008

Je tiens à rappeler que plusieurs petites entreprises maintenant bien connues (et reconnues!) dans les quartiers centraux ont pris leur envol avec l’aide d’un coup de pouce de ce fonds: La Barberie et la boutique Caseüs [ces billets], à titre d’exemples.

Source: FEÉCQ, novembre 2008.

L’Équipe du Fonds d’emprunt vous invite à la 7e Soirée bénéfice du Fonds d’emprunt qui aura lieu le jeudi 27 novembre 2008, à la Salle Albert-Rousseau, avec, en spectacle, Robert Charlebois (15 musiciens sur scène). Nous vous proposons deux formules :

Le Cocktail «Divinatoire» et Spectacle: dès 17h00, dans le Foyer de la salle Albert-Rousseau. Coût: 150$ (reçu pour fins d’impôts sur demande);

Le Spectacle seulement : à 20h00. Coût: 90$ (reçu pour fins d’impôts sur demande). Spécial : à l’achat de 4 billets à 90 $, le 4e est à 50%

Pour réserver le Cocktail «Divinatoire» et Spectacle, cliquez ici
Pour réserver le Spectacle seulement, cliquez ici.

À consulter, entre autres billets: 10e anniversaire pour le Fonds d’emprunt économique communautaire – Mise à jour.

Voir aussi : Commercial, Conférences / évènements, Geste de solidarité & communautaires, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Dernier adieu à la chapelle des Franciscaines

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 novembre 2008 11 commentaires

Jean Cazes.

Ci-haut, une photo de mon cru.

Source: Josée Guimond, Le Soleil, 3 novembre 2008.

Près d’une centaine de personnes ont bravé le froid de ce dimanche du début de novembre, hier, pour venir saluer, une dernière fois, la chapelle des Franciscaines, sur Grande Allée, qui tombera sous le pic des démolisseurs d’ici quelques semaines.

La cérémonie d’adieu, qui s’est déroulée tout à côté, sur le terrain de l’édifice BMO, avait été organisée par la coalition Héritage Québec et sa présidente, Anne Guérette, architecte et conseillère municipale indépendante du district de Montcalm. Mme Guérette et Héritage Québec avait tout tenté, l’an dernier, pour éviter la démolition de la chapelle, mais la Commission d’urbanisme de la Ville a tout de même émis un permis, en septembre 2007. Il faut dire que l’édifice, datant de 1896, n’a pas de valeur patrimoniale officielle. La chapelle des soeurs franciscaines missionnaires de Marie est abandonnée depuis 1987 et sa détérioration rend toute intégration à un nouveau bâtiment impossible.
(…)

Justement, la façade et la partie avant du 388, Grande Allée seront conservées, de même que le clocher. La partie arrière, comprenant la chapelle, est quant à elle trop abîmée et devra être démolie. (…)

Quant au nouveau projet domiciliaire qui sera érigé sur les ruines de la chapelle des Franciscaines, il comprendra une centaine de condos, dans la première phase d’un complexe qui comptera environ 280 unités. Les plans du projet, propriété de Michel Cadrin et de son associé Michel Boutin, sont sur le point d’être terminés et la construction devrait débuter au printemps prochain.

La suite. À consulter, entre autres billets: Église des Franciscaines: le permis de démolir aurait été accordé.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Geste de solidarité & communautaires, Logement locatif ou social, Patrimoine et lieux historiques, Scènes urbaines.

Itinérance: moins visible, bien présente

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 octobre 2008 3 commentaires

Photothèque Le Soleil

Source: Ian Bussières, Le Soleil, 27 octobre 2008.

Dans son mémoire que les conseillers municipaux Raymond Dion et Denise Trudel présenteront demain devant la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, la Ville de Québec évalue à 250 le nombre de personnes qui ont besoin d’être logées à Québec au plus dur de l’hiver.

Cette évaluation du nombre d’itinérants dans la capitale se base sur diverses sources d’information, dont une étude réalisée en novembre 2006 par la Direction régionale de santé publique de la Capitale-Nationale et le département de médecine sociale préventive de l’Université Laval. (…)

Un dénombrement réalisé en 1996 pour la Ville de Québec signalait également que plus de 11 000 personnes différentes avaient fréquenté les ressources d’hébergement, les soupes populaires et les centres de jour et que 3600 personnes s’étaient retrouvées sans domicile fixe au cours de l’année.

«Évidemment, le taux d’inoccupation des logements, qui tourne autour de 1 % à Québec, contribue à cette situation. Beaucoup de sans-abri habitaient autrefois dans des maisons de chambres et plusieurs d’entre elles ont été transformées en appartements car les propriétaires déploraient leur aspect moins sécuritaire et moins lucratif», poursuit M. Dion. (…)

La suite. À consulter entre autres billets: Itinérance: Un problème difficile à cerner.

Voir aussi : Geste de solidarité & communautaires, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Manger dans les poubelles pour dénoncer la surconsommation

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 octobre 2008 4 commentaires

Caroline Bélanger et son complice, Geoffroy Ménard, récupèrent des légumes encore bons pour la consommation. Le Soleil, Patrice Laroche

Petit bémol, ici, sur le titre quelque peu sensationnaliste de l’article. Pour le reste, il y a de quoi réfléchir, en effet, sur notre société de surconsommation. Gaspillage et fuite en avant!

Pendant ce temps à Québec et Montréal, paradoxalement, les banques alimentaires manqueraient de plus en plus de vivres…

Source: Annie Morin, Le Soleil, 23 octobre 2008.

(…) Cueilleurs urbains, glaneurs, gratuivores, déchettariens, dump­ster divers, freegans… Les noms ne manquent pas pour décrire ces grands critiques de la société de consommation, qui fouillent les poubelles à la recherche d’aliments comestibles n’ayant pas trouvé preneurs.

Le mouvement a commencé aux États-Unis, avant de s’étendre en Europe et maintenant au Québec. (…)

La motivation est politique bien plus qu’économique. Se nourrir avec les restes des commerçants devient une façon de protester contre la société de surconsommation. On plonge dans les ordures comme d’autres se promènent à vélo ou s’habillent dans les friperies. Caroline, elle, fait les trois.

Le Marché du Vieux-Port, c’est le centre d’approvisionnement numéro un des glaneurs de Québec pour les produits frais. Mais tous les conteneurs des boulangeries, des fruiteries et des supermarchés sont susceptibles d’être visités. (…)

Geneviève, 26 ans, s’y rend régulièrement : «C’est tellement plus facile!» Elle a fait ses armes à Montréal et en France, où le grand nombre de marchés publics, de fruiteries, de boulangeries et de marchés ethniques est synonyme d’abondance pour les glaneurs.

Des cartes sont d’ailleurs disponibles dans Internet pour indiquer les meilleurs endroits de collecte et les heures auxquelles il vaut mieux se présenter. Des membres de coopératives d’habitation s’y adonnent régulièrement. (…)

La suite et l’article suivant: Un aliment sur deux n’est pas consommé. À consulter enfin, entre autres billets: 2 500 bénévoles en action pour la grande collecte.

Voir aussi : Environnement, Geste de solidarité & communautaires, Marché du Vieux-Port, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Val-Bélair: « Protégez les boisés qui sont en voie de destruction massive et qui ont un certain intérêt »

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 octobre 2008 10 commentaires

Extrait YouTube.

Comme le précise le jeune auteur de ce remarquable documentaire photo en ligne sur YouTube:

C’est un projet que je fais à temps perdu. Je prends des photos de la forêt pour m’amuser. J’ai ensuite eu l’idée de faire un vidéo. Avec une des photos [ci-bas], j’ai gagné le premier prix de la Catégorie jeunesse du concours Je clique sur les boisés.

Mon but est de préserver les restes de l’écosystème local. Si je réussis, j’essaie de faire pareil à plus grande échelle. J’avais l’intention de faire une pétition, mais je ne sais trop comment faire…

Philippe Leclerc

À consulter, entre autres billets: Val-Bélair, ville de nature (reportage audio, Radio-Canada) et Bricolages de jours de pluie sur Youtube (en particulier, mon diaporama de la tourbière Grande Plée Bleue).

Un futur « Hugo Latulippe« ? Mes plus sincères félicitations, Philippe!

Ruisseau. Philippe Leclerc.

Voir aussi : Arrondissement Laurentien, Étalement urbain, Environnement, Geste de solidarité & communautaires, Message d'intérêt public, Parc, Reportages photo.

Environnement: Place à la réduction!

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 octobre 2008 Commentaires fermés sur Environnement: Place à la réduction!

Source: Radio-Canada (Québec), 16 octobre 2008.

La 8e édition de la Semaine québécoise de réduction des déchets débutera le 19 octobre prochain partout dans la province. De nombreuses activités auront notamment lieu dans la Vieille Capitale pour souligner cet évènement.

Collecte de vélos, atelier sur le vermicompostage et initiation au vélo d’hiver font partie des activités qui se dérouleront à Québec.

Pour sa part, la Ville de Québec appuie la tenue de l’événement Art et Récup. Cette initiative regroupera des artistes qui redonnent vie à des objets quotidiens. Du cuir, de la fourrure et du bois sont parmi les éléments utilisés.

« L’objectif premier, c’est de donner le goût aux gens de réutiliser des produits qu’ils ont à la maison pour finalement consommer moins et réutiliser plus », explique la responsable du projet, Lucie Paquette.

À consulter, le site de la SQRD. Aussi, entre autres billets: Semaine Québécoise de la réduction de déchets, du 16 au 22 octobre 2006.

Voir aussi : Environnement, Geste de solidarité & communautaires, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Vélo.

Nuit lumineuse pour l’itinérance

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 octobre 2008 8 commentaires

La nuit dernière a été plus chaude qu'à l'habitude à la place de l'Université-du-Québec dans Saint-Roch où une vigile animée de 23h à 6h ce matin a favorisé la réflexion sur l'itinérance. Le Soleil, Laetitia Deconinck.

Source: Jean-Pascal Lavoie, Le Soleil, 11 octobre 2008.

(…) À sa septième présentation à Québec, la Nuit des sans-abri est toujours aussi pertinente. Nathalie Bris­seau, du Regroupement pour les itinérants et itinérantes de Québec, souligne que le phénomène est d’ail­leurs en hausse. «Bien que le dé­nombrement précis des itinérants soit très difficile, la progression est notable, d’où l’importance d’un événement comme la Nuit des sans-abri, pour sensibiliser le public autant que les gouvernements.»

Une étude réalisée en 2003 chiffrait à 16 000 personnes la clientèle ayant recours aux différentes ressources de la région. «Sans être toutes sans-abri, ces personnes sont à très haut risque de le devenir», signale Mme Brisseau, qui organise l’événement cette année. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Vendredi 19 octobre [2007]: la Nuit des sans-abris.

Voir aussi : Geste de solidarité & communautaires, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.

Comme une odeur de morgue

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 septembre 2008 14 commentaires

Jean Cazes, 24 septembre 2008.

Obsession de la sécurité, sensationnalisme des médias, pouvoir des grandes entreprises sur les petits producteurs ou marchands artisanaux qui donnent vie aux quartiers centraux et aux régions, dénigrement populiste d’une forme de culture proprement québécoise…

Décidément, l’article récent (et magnifiquement écrit) de David Desjardins a fait vibrer chez moi plusieurs cordes sensibles, d’autant plus qu’on y relate un événement qui s’est déroulé dans mon quartier!

Heureusement, Caseus devrait rouvrir le 1er octobre…

Source: David Desjardins, Voir (Québec) (Chronique), 17 septembre 2008.

Ce qui m’écœure le plus, c’est qu’on m’a fait passer pour une cochonne.

Les yeux de Nathalie Filion quittent la rue qu’ils scrutaient depuis une minute pour me fixer tandis qu’elle laisse tomber ces mots qui la font ensuite rire, même si cela n’a rien de drôle.

La propriétaire de la boutique Caseus sur la 3e Avenue à Limoilou fait partie des 300 commerces qu’a vidés le MAPAQ quelques jours plus tôt. Une véritable job de bras à forte teneur politique qui trahit l’état d’hystérie qu’ont provoqué quelques cas de listériose au Québec pour lesquels des fromages artisanaux ont été tenus responsables. (…)

Aucun appel possible, 90 % des produits allaient être détruits sur-le-champ, sans même qu’on sache s’ils pouvaient ou non contenir la fameuse bactérie, sans même qu’on fasse un seul prélèvement sur les lieux. Ne restaient que quelques charcuteries, mais on ne demeure pas ouvert pour un morceau de jambon, comme l’indique la commerçante. (…)

Dehors, une affiche explique les raisons de cette fermeture, laissant planer le doute quant à la réouverture éventuelle de la fromagerie ouverte depuis maintenant quatre ans et qui peut être considérée comme une pierre d’assise du renouveau de la 3e Avenue. Scandalisé, le quartier se mobilise. Au coin de la rue, dans le club vidéo, une pétition s’étale sur le comptoir, un fonds d’aide a été lancé par les gens du coin. «C’est vraiment très touchant, je sens que j’ai vraiment ma place ici», affirme Nathalie Filion, qui a aussi appris que son assureur consent à lui verser l’équivalent de 60 % du montant des produits perdus. (…)

Je ne survivrai pas à une seconde destruction de mes stocks. Pire que tout cela, selon celle qui détient un certificat en production fromagère en plus d’avoir une formation de nutritionniste, c’est un lien de confiance qui vient d’être rompu. (…)

Si ce n’est pas la première fois qu’on entend le milieu de l’alimentation artisanale pester contre le MAPAQ, on constate maintenant de quel bois se chauffe un ministère contre lequel on ne peut jamais argumenter, puisqu’il sauve des vies. Enfin, c’est ce qu’il prétend. Et cette mini-crise – dont les chiffres nous disent finalement qu’elle n’a rien d’alarmant – risque pourtant de lui donner raison. Car on peut faire dire ce que l’on veut aux chiffres. Surtout lorsqu’on y associe des vies humaines.

On a déjà fait freaker le monde de la même manière avec le virus du Nil, la salmonellose, la grippe aviaire, la maladie du hamburger et que sais-je encore. Les années passent. Les périls changent au gré des obsessions du moment.

Des épidémies? Il n’y en a eu aucune. Ce qui n’empêche pas les crises d’apoplexie collectives, alimentées par les médias. On a droit à une ou deux par année, en attendant l’apocalypse qui ne vient évidemment jamais.

Ici, le MAPAQ aurait tout aussi bien pu mettre les fromages en quarantaine et effectuer des prélèvements chez Caseus afin d’éviter à Mme Filion qu’elle frôle la ruine. Mais non, on tire dans le tas. (…)

La suite. À lire, cet article: Listériose – Contre le MAPAQ: Vers un recours collectif (Canoë).

Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Commercial, Geste de solidarité & communautaires, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie.

Une fête pour faire connaître l’économie sociale

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 septembre 2008 Commentaires fermés sur Une fête pour faire connaître l’économie sociale

Source: Yves Therrien, Le Soleil, 17 septembre 2008.

L’économie sociale est une autre manière de voir le monde des affaires, que ce soit les coopératives, grandes ou petites, le commerce équitable, les petites entreprises d’aide dans leur milieu ou la réinsertion sociale par l’emploi. Dans la région de Québec, il y a plus de 500 entreprises dans cette catégorie représentant quelques milliers d’emplois.

Pour faire connaître ces entreprises, leurs produits et leurs services, le Pôle régional d’économie sociale de la Capitale nationale organise une première fête pour l’économie sociale. L’événement Économie sociale en fête se tiendra le samedi 27 septembre, de 9h à 17h, à la place de l’Université du Québec, coin Charest et de la Couronne. (…)

En conférence de presse, hier matin, M. Jacques Beaudet, directeur général du CDEC, rappelait l’importance de rendre visibles les entreprises d’économie sociale dont la philosophie est basée sur la coopération, l’implication dans leur milieu, les actions respectueuses de l’environnement et la consommation responsable. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Le Relais d’espérance vit d’espoir, mais….

Voir aussi : Fêtes populaires et événements publics, Geste de solidarité & communautaires, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.