Source : Ian Bussières, Le Soleil, le 18 jullet 2009
(Québec) C’est parce que les dirigeants de la corporation NeuroCité refusaient de reconnaître les droits de l’Université Laval en matière de formation et de recherche que l’institution d’enseignement a décidé de se retirer du projet de 250 millions $ de supercentre de recherche consacré au cerveau.
«Nous avons discuté avec les gens de NeuroCité, nous avons travaillé au dossier durant un an et demi, toujours en protégeant les intérêts de l’Université Laval. En bout de ligne cependant, le bottom line, c’est qu’on ne peut permettre au privé d’utiliser les installations de l’Université Laval», a déclaré hier le recteur Denis Brière.
«Ces gens ne connaissaient pas les rouages de l’université. Ils ne reconnaissaient pas les droits de l’Université Laval en termes de formation et de recherche. Ça prenait une autre tangente», a-t-il poursuivi, refusant cependant d’élaborer davantage sur cet aspect.
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Sur Québec Urbain on se demandait si le maire Labeaume arriverait à rassembler les intervenants de ce projet, il semble que la réponse est « non »; à lire ici.