De toute évidence, plus de gens pourront profiter du jardin communautaire de la Cité Verte et ce probablement dès le printemps prochain car les travaux sont avancés pour la nouvelle partie jouxtant le cottage Ross.
De toute évidence, plus de gens pourront profiter du jardin communautaire de la Cité Verte et ce probablement dès le printemps prochain car les travaux sont avancés pour la nouvelle partie jouxtant le cottage Ross.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Écoquartier, Qualité et milieu de vie.
Réseau de transport de la Capitale (RTC) a reçu plus de 600 candidatures de citoyens souhaitant tenter le Défi 30 jours mobilité. Dès demain, les 100 participants sélectionnés pour participer à cet exercice débuteront l’expérience et tenteront de vivre autrement leurs déplacements en combinant différentes offres de transport.
Portrait des participants
Les 100 personnes qui participeront au défi ainsi que les employés sélectionnés de la Caisse Desjardins de Québec ont des profils variés, ce qui permettra d’identifier les facilitateurs et les bloqueurs à l’utilisation du transport en commun indépendamment de la réalité de chacun.
60 % des candidats retenus disent ne jamais utiliser le bus ou l’utiliser moins d’une fois par mois.
80 % d’entre eux utilisent leur automobile comme principal moyen de transport.
Au total, 52 % des participants proviennent des quartiers centraux, tandis que 48 % proviennent de la périphérie et des autres villes de l’agglomération, soit L’Ancienne-Lorette et Saint-Augustin-de-Desmaures.
Sur l’ensemble des candidatures retenues, on compte 86 travailleurs, 5 étudiants et 7 retraités.
Plus de la moitié des participants disent être en télétravail/télé-études partiellement ou totalement, ce qui reflète bien la nouvelle réalité de plusieurs depuis la pandémie.
Bien que 74 participants aient entre 25 et 54 ans, 18 personnes de 55 ans et plus ont accepté de se prêter à l’exercice et 8 ont entre 18 et 24 ans. Parmi les participants, 42 ont des enfants d’âge mineur.
« Les 100 participants retenus pour participer au Défi 30 jours mobilité joueront un rôle important dans le futur de notre ville en nous permettant de bien comprendre les besoins en déplacement, et ce peu importe la réalité de chacun. Grâce à Voie libre, la plateforme de consultation Web pour les clients et les non-clients du RTC, celles et ceux qui ne participent pas à l’expérience peuvent également s’impliquer dans la discussion. Les commentaires et les suggestions reçus nourriront les réflexions pour bâtir l’avenir de la mobilité intégrée visant à faire de Québec un modèle d’innovation » a souligné Maude Mercier Larouche, présidente du RTC.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Transport, Transport en commun.
Source : Mikaël Lalancette, Carl Tardif, Émilie Pelletier, Le Soleil
Le Stade Canac
Démolir le vieux Colisée et le remplacer par un nouveau stade de baseball pourrait être une option considérée par la Ville de Québec dans les prochains mois dans l’analyse du dossier entourant l’avenir du stade Canac, dont les signes de vieillissement avancés sont connus depuis longtemps. Le «besoin d’amour» est criant selon ses locataires, les Capitales de Québec.
Interrogé sur les différents scénarios, dont celui de la construction d’un nouveau stade, le conseiller indépendant et membre associé du comité exécutif de la Ville de Québec en tant que responsable des loisirs et des sports, Jean-François Gosselin, a indiqué à TVA Québec que toutes les options étaient sur la table. «Au moment où on se parle présentement, c’est certain que la porte est ouverte, il n’y a aucune porte de fermée», a-t-il dit.Une somme de 10 millions de dollars a déjà été prévue dans le plan quinquennal de la Ville, montant qui servirait à donner une cure de jouvence à la construction remontant à 1938.
Toujours selon TVA, le site de l’ancien Colisée, sur les terrains d’ExpoCité, serait privilégié dans l’éventualité où la Ville décidait de se tourner vers une nouvelle construction. «Quand on parle de stade, on parle de complexe de baseball, avec une surface pour les professionnels et peut-être d’autres plus petites surfaces pour le baseball mineur», a ajouté M. Gosselin.
Voir aussi : Amphithéâtre, Arrondissement La Cité-Limoilou, Équipements sportifs, Infrastructures sportives.
Photo: Sarah Desaulniers
Claudia Larochelle, professionnelle de recherche, Centre de recherche en aménagement et développement du territoire (CRAD) et réseau Villes Régions Monde.
Projets de densification urbaine, quels impacts sur les valeurs immobilières? Un modèle inspiré de la méthode des prix hédoniques pour éclairer le choix de la ville.
Interview avec François Des Rosiers, professeur au département de finance, assurance et immobilier de la Faculté des sciences de l’administration, Université Laval
Vous travaillez depuis quelques années sur des projets de recherche qui visent à mesurer l’impact des interventions de densification urbaine sur la valeur des propriétés avoisinantes. Pourriez-vous me parler un peu du contexte et des principaux objectifs de ces projets de recherche?
Depuis 40 ans, je travaille au développement de méthodes d’analyse des valeurs immobilières et, plus largement, à l’avancement des connaissances en matière d’économie urbaine et immobilière. Je travaille actuellement avec mes collègues Jean Dubé (professeur, ESAD, FAAAD, Université Laval, membre du CRAD) et Nicolas Devaux (professeur, Université du Québec à Rimouski, membre du CRDT) sur deux projets. Le premier est financé par le CRSH et la Ville de Québec et s’intéresse à l’impact des projets de reconversion résidentielle sur les valeurs immobilières. Le deuxième est financé par la Ville de Québec et s’intéresse à l’impact de l’ajout de logements sociaux sur les valeurs immobilières. Au chapitre de la reconversion, il peut s’agir par exemple du fait de remplacer une vieille maison par une plus moderne ou plus luxueuse, mais aussi de remplacer un bâtiment vétuste unique par plusieurs bâtiments, un duplex, un immeuble collectif de type condo locatif, ou encore de construire une ou plusieurs propriétés sur un terrain vacant. L’objectif est de mesurer l’impact net sur les valeurs des maisons unifamiliales à proximité de ces projets. Il s’agit donc de mesurer des externalités urbaines. Ce concept fait référence aux effets d’initiatives privées – comme la reconversion résidentielle – ou encore publiques – comme l’implantation d’une station de métro ou de tramway – sur le prix des valeurs immobilières des maisons avoisinantes. En cas d’impact net positif sur les valeurs immobilières, la Ville va en tirer un bénéfice financier, non pas directement, mais par l’intermédiaire de l’augmentation des taxes foncières lorsque le marché aura intégré l’information.
Cette problématique de la reconversion se pose notamment dans les quartiers anciens, où des groupes de citoyens et de citoyennes se forment pour s’opposer à la densification, sous prétexte que cela affecte à la baisse la valeur de leur propriété. Il en est de même de l’ajout de logements sociaux qui, comme dans le premier cas, relève du syndrome du « pas dans ma cour ». L’idée est donc de voir ce que la littérature et les données ont à dire à ce sujet.
Selon la littérature, le fait de remplacer une maison modeste par une maison plus grande et plus luxueuse (mansionization) a un effet positif, le taux d’augmentation de la valeur des maisons avoisinantes se situant entre 1,3 % et 8,1 %. Ce phénomène est bien connu en évaluation immobilière (principe de conformité) : lorsque l’environnement d’une propriété se bonifie, le simple fait que cette propriété se situe dans un secteur plus haut de gamme qu’auparavant a un effet à la hausse sur sa valeur. Les projets de reconversion qui impliquent une nuisance visuelle (p. ex., on érige un immeuble de plusieurs étages qui prive un ménage voisin d’une vue dégagée) peuvent toutefois avoir un impact négatif.
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En ce qui a trait à l’ajout d’immeubles de logement social dans un secteur, on l’associe souvent à une hausse de la criminalité, de la congestion et du bruit. Mais cet ajout peut aussi se traduire par une augmentation de la demande pour les terrains du secteur et par une hausse du prix des propriétés. L’impact dépend surtout de l’importance relative des impacts positifs et négatifs. Est-ce qu’ils s’annulent? Est-ce qu’il y en a un qui domine l’autre? Le problème sur le plan méthodologique est de séparer les impacts positifs et négatifs. Quand il y a un impact positif, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’impact négatif, mais simplement que le positif l’emporte. Pour cette raison, c’est l’impact net qu’on estimera.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Densification, Maison, Planification urbaine, Publications & ressources Internet.
Stéphanie Martin
Journal de Québec
Le segment reliera Charlesbourg et le centre-ville.
L’administration Marchand implantera dès l’an prochain un premier « corridor cyclable » entre Charlesbourg et le centre-ville, dans un projet de voies sécuritaires appelé Vélo Cité, a appris Le Journal.
Le tracé détaillé de ce premier tronçon de Vélo Cité n’est pas encore coulé dans le béton, car il fera l’objet de consultations.
Il se trouve cependant généralement dans l’axe qui avait à l’origine été choisi pour le tramway et qui a été abandonné.
Selon nos informations, la Ville de Québec a choisi de commencer par le tracé entre Charlesbourg et le centre-ville parce qu’il s’agit de l’axe le plus dense, après celui de la haute-ville, entre Sainte-Foy et la colline Parlementaire.
Espace dédié
Dès 2023, les usagers pourront donc emprunter une voie pour vélo bidirectionnelle entre ces deux secteurs de la ville.
Il s’agira d’un espace dédié, donc protégé de la circulation. On procédera aussi à la mise à niveau des installations existantes.
On souhaite dans la mesure du possible qu’il soit direct. Le corridor ne retranchera pas de voies de circulation automobile.
Dans la vision de l’administration de Bruno Marchand, ce premier segment sera suivi par d’autres.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Transport, Vélo.
Un autobus du RTC (Reseau de Transport de la Capitale) circule dans les rues de Quebec le 16 juillet 2020. Photo Francis Vachon pour Le Devoir
François Bourque
Le Soleil
CHRONIQUE / Depuis le début de cette campagne, le troisième lien a occulté presque tous les sujets locaux et s’est imposé comme enjeu national. N’en déplaise à François Legault qui aurait préféré que Montréal ne s’en mêle pas.
Encore jeudi au débat des chefs de Radio-Canada, le troisième lien a été le carburant des attaques les plus incisives d’Éric Duhaime contre la CAQ.
Comme si le troisième lien du Parti conservateur et son pont à travers le patrimoine de l’île d’Orléans tenaient mieux la route.
M. Duhaime plaide que la CAQ proposait la même chose en 2018. C’est vrai, mais ce n’est pas une référence. Au lendemain du débat à TVA, la semaine dernière, le chat a fini par sortir du sac.
«Il n’y a aucune étude» sur le projet de tunnel à quatre voies, a admis M. Legault. «Il n’y en a aucune, aucune».
On s’en doutait, mais de l’entendre aussi candidement, ça surprend.
M. Legault soutenait jusque là qu’il y avait des études, mais qu’il fallait les mettre à jour.
Nous mentait-il ou jouait-il sur les mots? Je vous laisse en juger.
En entendant qu’il n’y a pas d’étude, j’ai pensé que M. Legault voulait peut-être ouvrir la porte à un abandon du tunnel autoroutier.
S’il s’avérait que les études soient défavorables, il aurait beau jeu de reculer et on saluerait même son humilité et sa sagesse.
Je me trompais.
Si les études devaient être défavorables au tunnel, la CAQ le construirait quand même. Décision «politique», a-t-il expliqué.
Au diable la science et la rigueur.
Cela a le mérite d’être clair, mais c’est une mince consolation.
Le tunnel de la CAQ et le pont conservateur souffrent du même mal : avoir mis la charrue devant les bœufs; avoir choisi à l’avance une solution sans connaître les besoins réels et fait le tour des solutions possibles. Sous cet angle, on pourrait faire le même reproche au train léger du Parti québécois ou au tramway de Lévis du Parti libéral.
Le mode de transport a été «choisi» avant les études.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Environnement, Transport, Transport en commun, Trolleybus à Québec?, Véhicules électriques, Vélo.
Voir aussi : 0 - Contenu original, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.
Source: JLR Solutions foncières
Voir aussi : 0 - Contenu original, 0 - Revue de presse, Maison, Publications & ressources Internet.
Quelqu’un en saurait plus ? Il semble que GM Développement avait un projet sur ce terrain. A noter que l’équipement lourd sur une des photos est là pour des travaux sur la rue Caron.
Voir aussi : 0 - Contenu original, Arrondissement La Cité-Limoilou, Évènements sportifs.
Suzie Genest
monQuartier
Le bureau d’arrondissement de La Cité-Limoilou quitte ses locaux de la rue Saint-Joseph, rappelle la Ville de Québec dans un communiqué diffusé mercredi. Comme prévu, il déménage au 4e étage du 500, rue du Pont, dans l’édifice où l’on trouve le YMCA. C’est à compter du 11 octobre que les citoyen.ne.s trouveront à la nouvelle adresse les services du bureau d’arrondissement. Il emménage dans le Carré Lépine, « à seulement sept minutes de marche de l’emplacement actuel », souligne le communiqué municipal.
Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement La Cité-Limoilou, Institutionnel, Patrimoine et lieux historiques.