Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « 0 – Revue de presse »

Marché de luxe pour le résidentiel au Québec en 2024

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 décembre 2024 Commentaires fermés sur Marché de luxe pour le résidentiel au Québec en 2024

JLR Solutions foncières

Chalets avec vue panoramique sur le fleuve, penthouses modernes au centre-ville, l’immobilier de luxe, bien qu’en croissance, a toujours été un marché d’exception au Québec. C’est donc à partir des actes colligés par JLR et publiés au registre foncier du Québec que nous allons explorer ce segment du marché résidentiel.

De janvier à novembre 2024, 91 268 ventes immobilières résidentielles (unifamiliales, condominiums et chalets) ont été enregistrées au registre foncier du Québec. Parmi celles-ci, 3 637 ont été conclues pour un montant de 1 million de dollars et plus, représentant près de 4 % du total. Les unifamiliales dominent ce segment avec 2 854 transactions, suivies des condominiums avec 689 et finalement les chalets avec 94.

Répartition géographique des transactions

Le tableau suivant présente le nombre de ventes résidentielles par région administrative. Il est intéressant de constater que 84.7% des propriétés se sont vendues à moins de 2 millions de dollars. C’est dans la région de Montréal que se concentre la grande majorité des transactions, tous segments de prix confondus. Par la suite, nous retrouvons la Montérégie et les Laurentides, 2 régions qui se retrouvent tout près de Montréal. Fait notable, pour les propriétés vendues entre 2 et 5 millions de dollars, l’Estrie se démarque avec un nombre d’acquisition supérieur à celui des Laurentides. Enfin, les transactions au-delà de 5 millions de dollars sont rares, totalisant 35 propriétés et représentant près de 1 % des transactions de luxe.

(…)

Plusieurs transactions de notre palmarès ont été médiatisées, notamment la vente d’un penthouse des résidences du Ritz-Carlton à Montréal (Ville-Marie). Cette transaction, d’un montant de 18 750 000 $, est la plus élevée de l’histoire pour un condominium au Québec (l’unité est évaluée à 15 536 700 $ par la ville). L’autre condominium du palmarès, situé dans les résidences du Four Seasons Montréal, occupe la 5e position avec un prix de vente de 11 626 890 $ (évaluation municipale : 14 125 300 $).

La 2e place est occupée par une résidence unifamiliale de Westmount, vendue pour 16 750 000 $ (évaluation : 10 997 400 $). En 3e position, on retrouve une propriété de l’arrondissement d’Outremont, vendue pour 12 000 000 $.

Magog est une destination de choix pour les acheteurs de résidences de luxe, en particulier celles situées près du lac Memphrémagog. Une propriété de cette ville occupe la 6e place du palmarès avec un prix de vente de 11 555 000 $. Une autre propriété de Magog, située dans le Club Hermitage, a été vendue pour 9 250 000 $.

Le seul chalet du palmarès est situé à Ivry-sur-le-Lac, aux abords du lac Manitou. Il a été vendu avec plusieurs terrains pour un montant total de 11 896 000 $.

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Ce passage piétonnier n’est pas une décoration

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 décembre 2024 1 commentaire

Philippe Mercure
La Presse

Pour les Québécois qui voyagent hors de la province, le phénomène a quelque chose de presque magique. Ailleurs, vous vous approchez d’un passage piétonnier… et les voitures s’arrêtent pour vous laisser traverser !

Si vous êtes comme moi, vous en éprouvez peut-être même un certain malaise.

« Je ne voulais quand même pas interrompre le trafic, j’aurais pu attendre mon tour », me dis-je parfois en me hâtant de traverser pour ne retarder personne.

Le non-respect des traverses piétonnières fait partie de la spécificité québécoise, au même titre que la poutine ou les débats sur la façon de prononcer le mot « baleine ». Mais au moment où des groupes réclament un « protecteur en sécurité routière » pour améliorer la sécurité des piétons1, je me suis demandé si faire appliquer cette disposition du Code de la sécurité routière ne serait pas une solution simple pour y parvenir.

(…)

Je ne veux pas opposer des perceptions aux statistiques. Mais je persiste à penser qu’il y a un problème de culture dans le respect des passages piétonniers. Et que le régler contribuerait à la sécurité des piétons.

Sandrine Cabana-Degani, directrice générale de Piétons Québec, est d’accord. « C’est clair qu’il y a un problème ! dit-elle. On sort du Québec, on va en Ontario, au Nouveau-Brunswick, aux États-Unis, on le remarque. Dès qu’on met le pied sur la rue ou même qu’on s’approche du passage piéton, les conducteurs et conductrices s’arrêtent. »

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Tramway de Québec – Un partenariat est créé pour réaliser le TramCité à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 décembre 2024 5 commentaires

QUÉBEC, le 16 déc. 2024 /CNW/ – Le gouvernement du Québec, la Ville de Québec et CDPQ Infra annoncent la signature des ententes scellant le partenariat pour la planification du volet tramway de la phase 1 du Plan CITÉ. Les partenaires dévoilent par la même occasion que le projet sera officiellement nommé TramCité.

Ces ententes définissent notamment les rôles et responsabilités des parties, la gouvernance du projet ainsi que la portée des travaux. Le gouvernement, à titre de maître d’ouvrage, définit l’objectif du projet, les échéanciers et le budget. Il confie à CDPQ Infra la maîtrise d’œuvre du TramCité. La Ville, quant à elle, est partenaire et bénéficiaire du projet.

Chaque partenaire a maintenant un mandat clair pour faire avancer le projet et livrer aux citoyens de Québec un réseau structurant de transport en commun qui améliorera le service sur l’ensemble du territoire.

Entente avec la Ville de Québec : portée des responsabilités municipales

La Ville s’engage dès maintenant à poursuivre les acquisitions foncières ainsi que les travaux préparatoires sous sa responsabilité. Elle offrira également du soutien à CDPQ Infra dans ses activités et travaux ainsi qu’un guichet unique qui facilitera l’accès aux services municipaux.

Pour sa part, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) veillera à mettre en place un réseau de de transport en commun de transition durant les travaux afin de maintenir la mobilité.

Finalement, la Ville soutiendra le RTC, qui se préparera à assurer l’exploitation du tramway à titre de futur propriétaire des actifs de transport.

Cette entente valorise les expertises de la Ville et du RTC et définit la limite maximale de la contribution financière municipale dans le respect du cadre financier de la Ville.

Entente avec CDPQ Infra : portée des travaux de la phase de planification

La signature de l’entente permet à CDPQ Infra de mettre en place une équipe consacrée au projet et d’entamer les études techniques et les analyses requises pour la réalisation. Celle-ci suivra une démarche collaborative, dite de codéveloppement, visant à établir un prix et un échéancier cibles avec les fournisseurs sélectionnés, qui seront connus à l’issue de la phase de planification, en 2027.

CDPQ Infra définira une stratégie d’approvisionnement rigoureuse pour sélectionner des fournisseurs pour des contrats majeurs, notamment pour les travaux de génie civil et la fourniture des systèmes. Un avis au marché sera publié dans les prochains jours afin de fournir à l’industrie les détails relatifs au processus d’approvisionnement.

CDPQ Infra entreprendra également une démarche d’information auprès des communautés dès le début de l’année 2025.

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Un tramway à 7,6 milliards en 2033 Émilie Pelletier (Le Soleil)


TramCité sera un réseau de tramway moderne dont la première phase de développement totalisera 19 kilomètres.

Ce réseau structurant à haute fréquence doublera l’offre de transport collectif dans l’axe le plus achalandé de la communauté métropolitaine de Québec.

Il comprendra 29 stations, reliant les secteurs Le Gendre, Sainte-Foy, Université Laval, colline Parlementaire, Saint‑Roch et Charlesbourg.

Le réseau améliorera la mobilité tout en offrant des gains de temps importants aux usagers du transport collectif.

TramCité

Le maire Marchand a répété que l’entente conclue entre la Ville et le gouvernement du Québec respecte la capacité de payer des citoyens de Québec. La participation de la Ville dans le mégaprojet doit en effet être de 678 M$ avec un plafond à 750 M$ et un plancher à 600 M$, a-t-on appris. (Journal de Québec)

La conférence du maire et du directeur-général de la Ville le 17 décembre 2024: Évaluée à 675 M$, la contribution financière de la Ville au projet TramCité représente 50 % des coûts des travaux préparatoires et autres activités sous sa responsabilité. Son financement sera rendu possible grâce à la prolongation de la contribution de la Ville à sa réserve climatique jusqu’en 2034 ainsi que le réinvestissement des retombées fiscales découlant des projets immobiliers qui seront réalisés dans la zone d’influence du tramway au cours de la même période. Cette méthode de financement permettra notamment d’éviter des frais d’intérêt avoisinant 500 M$.

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Annonce concernant le projet de tramway de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 décembre 2024 Commentaires fermés sur Annonce concernant le projet de tramway de Québec

Philippe Chabot
Le Soleil

C’est officiel, le gouvernement, la Ville de Québec et CDPQ Infra annonceront le projet du tramway, lundi à 10 h 45, et il s’appellera «TramCité», selon ce qu’a appris Le Soleil.

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Plus de 4800 logements prêts à construire le long du tramway

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 décembre 2024 1 commentaire

Jonathan Lavoie
Radio-Canada

Les promoteurs immobiliers s’activent le long du tracé du tramway et une dizaine de chantiers pourraient être lancés d’ici l’été 2026. Un document détaillant les subventions octroyées à partir d’un fonds de développement durable de la Ville de Québec fait état de 10 projets retenus, allant de 50 à 3400 unités d’habitation.

Le document obtenu par Radio-Canada indique que deux de ces projets sont déjà en construction, alors que tous les autres devraient être mis en chantier dans un horizon de moins de deux ans.

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Les informations dans le communiqué de la Ville

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Piste cyclable du chemin Sainte-Foy: les ventes dans les commerces ont augmenté depuis l’implantation

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 décembre 2024 4 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Depuis l’implantation de la piste cyclable sur le chemin Sainte-Foy, les ventes nettes dans les commerces de proximité ont augmenté, la circulation a été apaisée et l’achalandage piéton et cycliste est à la hausse, révèlent des chiffres que Le Journal a pu consulter.

Inauguré à l’été 2023, le corridor VivaCité situé sur le chemin Sainte-Foy est sous la loupe de la Ville de Québec, qui mesure son impact sur plusieurs plans.

La crainte exprimée par certains en vue de l’implantation de ce corridor ne s’est pas matérialisée. Le nouveau flux de personnes qui circulent à pied ou à vélo sur l’artère commerciale semble avoir apporté de l’argent dans les caisses des commerces de proximité.

«On a la certitude qu’on n’a pas de baisse économique», constate Jean-François Martel, directeur de la division de la coordination des projets d’aménagement et de mobilité durable à la Ville. «Cela nous rassure et on est très heureux de voir ça», renchérit David O’Brien, directeur de projet mobilité.

«Les données économiques de l’année 2024 démontrent que les ventes nettes par cartes de crédit et de débit ont augmenté en moyenne de 9,93% entre 2023 et les trois premiers trimestres de 2024», révèlent les chiffres recueillis par la Ville.

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La présentation officielle

La piste cyclable sur le chemin St-Foy est-elle rentable pour les commerçants? FM93 à 07:27

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Projet Laforest: Innovation tous azimuts

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 décembre 2024 Commentaires fermés sur Projet Laforest: Innovation tous azimuts

Danielle Bonneau
La Presse

Le premier bâtiment de grande envergure à carbone zéro au Québec verra le jour dans la capitale.

Le moment était propice, à Québec, pour y faire pousser un premier bâtiment de grande envergure à carbone zéro, qui innove sur plusieurs fronts. L’équipe derrière le projet Laforest vise haut et est en train de remporter son pari.

La construction d’un complexe de 13 étages visant la certification BCZ design, et qui comportera 358 logements locatifs et des commerces, a débuté dans le secteur du chemin Saint-Louis, à la tête des ponts de Québec et Pierre-Laporte.

Inspiré par les projets immobiliers remarquables qu’il a vus ailleurs en Amérique du Nord, dans le cadre de son emploi chez Pomerleau, l’ingénieur Nicolas Constantin a eu le goût d’amener ce côté exceptionnel dans des marchés comme ceux de Québec et de Montréal.

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Volée de critiques du projet d’immeuble de 20 étages dans Saint-Roch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 décembre 2024 7 commentaires

Nathalie Côté
Droit de parole

Cent quarante personnes se sont présentées au conseil de quartier de Saint-Roch, jeudi 23 octobre, pour assister à une « activité de participation publique de la Ville » sur le projet du promoteur Trudel à l’îlot Dorchester. Les gens se sont présentés en grand nombre : une deuxième salle a été mise à leur disposition et une centaine de personnes ont participé en ligne. Pierre-Luc Lachance, conseiller de Saint-Roch–Sauveur, était présent en ligne. Sur place : Mélissa Coulombe-Leduc, conseillère de Cap-aux-Diamants, accompagnée de deux représentants du promoteur et des représentants de la Ville. Mélissa Coulombe-Leduc a annoncé d’emblée : « Ce soir, on est dans une rencontre d’information. On est vraiment en amont du processus. » Elle a précisé que cette première rencontre précède à tout ce qui pourrait suivre comme consultation publique légale sur l’aménagement et l’urbanisme.

Le projet immobilier planifié par le groupe Trudel compte quatre bâtiments de 7 à 12 étages et un immeuble de 20 étages, dont les 10 derniers seraient réservés à un hôtel. Le promoteur prétend que cette partie est essentielle à la rentabilité du projet et présente les dépassements au zonage actuel conditionnels à sa réalisation. Les règles actuelles du PPU de Saint-Roch (plan particulier d’urbanisme) adopté en 2017 par la Ville de Québec limitent la hauteur des constructions à 10 étages dans cette partie du quartier Saint-Roch.

(…)

Nicolas Saucier, du quartier Saint-Roch, a rappelé : « J’étais membre du conseil de quartier quand on a adopté le PPU. Il faut faire attention. Dans la limite maximum qu’on avait mise à l’époque, c’était l’édifice Beenox qui était le plus haut des édifices du secteur. » Le promoteur se réfère aujourd’hui à la Tour Fresk pour justifier la hauteur du projet. Pour Nicolas Saucier : « C’est un peu comme si on disait aux gens de la rue Cartier [qu’] on va construire quelque chose d’aussi haut que le Concorde… J’ai vécu dans Sillery, dans Saint-Roch, à Montréal. Partout les propriétaires achètent des terrains en connaissant les normes en vigueur. Ils tentent toujours de changer les normes. C’est un peu agaçant à la longue. Je ne vous vise pas vous (les Trudel), mais c’est comme un pattern qu’on voit tout le temps », a-t-il laissé tomber.

Un citoyen de Saint-Roch a aussi demandé si une étude sur les vents a été réalisée : « Pas encore », a répondu le promoteur. « On ne peut faire une étude des vents à cette étape-ci, cela est trop coûteux ». Des gens ont aussi critiqué le fait qu’un supermarché s’installe au rez-de-chaussée du projet. Ils ont noté l’importance de consolider la rue Saint-Joseph qui a déjà plusieurs espaces commerciaux vacants. Un citoyen s’est plutôt demandé qu’elles garanties ont-ils d’y voir un supermarché dans le projet. Là encore, le promoteur affirme que cela est conditionnel aux modifications de zonage.

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Ville de Québec: l’avenir de la maison Pollack toujours inconnu

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 décembre 2024 Commentaires fermés sur Ville de Québec: l’avenir de la maison Pollack toujours inconnu

Taïeb Moalla
Journal de Québec

La Ville de Québec n’a toujours pas formellement mis en vente la maison Pollack, située au 1, Grande Allée Est, même si elle en a exprimé l’intention il y a plus d’un an et qu’elle juge désormais ce bâtiment patrimonial «excédentaire».

«On attend après le Service de la Culture pour en connaître l’avenir», a répondu Jean Rochette, directeur du Service de la gestion des immeubles, vendredi matin, à l’opposition officielle lors des comités pléniers budgétaires de la Ville de Québec.

(…)

Les travaux de préservation et de rénovation, qui ont nécessité des investissements de 2,5 M$, se sont terminés au printemps 2024. Il faut y ajouter des coûts d’expropriation de 1,55 M$. La Ville a acquis ce bâtiment patrimonial en 2021 après une longue saga judiciaire.

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Découverte archéologique « majeure » dans le Vieux-Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 décembre 2024 Commentaires fermés sur Découverte archéologique « majeure » dans le Vieux-Québec

David Rémillard
Radio-Canada

Il pourrait s’agir d’une partie des premières fortifications de Beaucours, sous le Régime français.

Les vestiges de ce qui s’apparente à une ancienne fortification ont été découverts au parce que Cavalier-du-Moulin, dans le Vieux-Québec. Selon l’hypothèse privilégiée par les archéologues responsables de la trouvaille, il pourrait s’agir d’une construction liée à la palissade de Beaucours, formant la première enceinte fortifiée de la ville.

(…)

Selon Martin Royer, coordonnateur pour la firme Etchnoscope, les vestiges seraient liés à la palissade de Beaucours, construite à la fin du 17e siècle. « En 1693, Beaucours construit une ligne de fortification en bois et quelques années plus tard, au début des années 1710, cette fortification est refaite en maçonnerie dans certaines sections », indique M. Royer dans la publication de la CCNQ.

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