Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Planification urbaine »

Sommaire des résultats de l’Enquête Origine-Destination 2017

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 janvier 2020 Commentaires fermés sur Sommaire des résultats de l’Enquête Origine-Destination 2017

Communauté métropolitaine de Québec

Le sommaire des résultats de l’Enquête Origine-Destination 2017 est maintenant disponible sur notre site Internet. Rappelons que cette enquête avait été réalisée auprès de plus de 35 000 ménages, dont près de 33 000 sont localisés sur le territoire de la CMQ.

Les données recueillies serviront, notamment, à adapter les politiques, planifier les projets de transport en fonction des besoins réels de la population, à améliorer les infrastructures et les services de transport en commun, à localiser et estimer les besoins en matière de stationnements incitatifs et, finalement, à assurer une meilleure intégration entre l’aménagement du territoire et le transport.

Cette enquête est le fruit d’un partenariat entre le ministère des Transports du Québec, le Réseau de transport de la Capitale, la Société de transport de Lévis, la Communauté métropolitaine de Québec, la Ville de Québec et la Ville de Lévis. Ce projet est aussi rendu possible grâce au financement du gouvernement du Canada dans le cadre du Programme d’aide financière du Fonds pour l’infrastructure de transport en commun.

Toutes les informations 195 pages.

Voir aussi : Projet - Tramway, Projet - Troisième lien, Publications & ressources Internet, Transport, Transport en commun.

Revue de l’Ordre des urbanistes du Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 janvier 2020 Commentaires fermés sur Revue de l’Ordre des urbanistes du Québec


La revue

Une série d’articles fort intéressants.

Voir aussi : Publications & ressources Internet.

Le quartier St-Roch attire les commerces de type « Airbnb »

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 décembre 2019 Commentaires fermés sur Le quartier St-Roch attire les commerces de type « Airbnb »

Le projet

Source : David Rémillard, Radio-Canada, le 29 décembre 2019

Les projets de résidences de touristes pour la location court terme se multiplient dans le quartier Saint-Roch, à Québec. En à peine un mois, 54 nouvelles unités ont été annoncées par des promoteurs immobiliers.
L’un de ces nouveaux projets aura pignon sur rue au 335, rue Saint-Joseph Est, où se trouve actuellement la radio communautaire CKIA. Comme d’autres organismes et entreprises qui y logeaient, la radio devra déménager à échéance de son bail commercial.
Le Groupe Norplex, dont le président représente la compagnie à numéro actuellement propriétaire du bâtiment, a officiellement dévoilé ses intentions le 23 décembre. Les Lofts du Théâtre compteront 18 condos destinés à la location touristique. Chaque unité, meublée, sera rénovée au goût du jour.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Nouvel urbanisme.

Un conseiller municipal (Pierre-Luc Lachance) s’exprime sur le projet du réseau de transport structurant

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 décembre 2019 43 commentaires

Pierre-Luc Lachance
Conseiller municipal
District 3 – Saint-Roch – Saint-Sauveur

Je suis POUR le projet de RSTC et je m’explique

En réponse au point de vue de Donald Charette paru le 11 décembre 2019 dans le journal Le Soleil.

Il y a bientôt 3 ans, lorsque j’ai décidé de me présenter en politique municipale, j’ai eu à passer des entrevues auprès des autorités d’Équipe Labeaume. Lors de mon entrevue finale avec le Maire, il m’a demandé pourquoi je voulais me lancer en politique. Ma réponse fut instantanée : « Je veux réaliser des projets pour ma Ville et je veux qu’on remette le SRB en vie » (on se souviendra qu’il y a 3 ans c’est le projet du SRB qui était le projet prévu, même s’il battait de l’aile à cause du retrait de la Ville de Lévis). Le Maire m’a répondu du tact au tact : « Excellent Pierre-Luc, on va travailler ensemble pour doter Québec d’un grand projet de transport structurant à Québec ». Ainsi, lors de l’élection de 2017, j’ai fait mon porte à porte en mettant à l’avant-plan le 2e de nos engagements de la campagne 2017 : « Poursuivre des travaux visant à doter Québec d’un Réseau structurant de transport en commun attrayant, moderne et efficace. »

C’est donc une grande fierté pour moi, 2 ans plus tard, de livrer la marchandise, non pas avec seulement un tramway, comme certains tentent souvent de diminuer le projet, mais bien avec un Réseau Structurant de Transport en Commun (RSTC) (Tramway, trambus et des voies dédiées pour les autobus) qui permettront une desserte de 65 % des citoyens, plus de 81 % des principaux générateurs de déplacement et qui réduira de 151 000 tonnes la production de GES d’ici 2041.

Depuis un mois, le bureau de projet du RSTC livre les principales études d’impacts sur plusieurs sujets (Environnement, bruits, vibrations, déplacements et achalandages, toutes disponibles sur www.reseaustructurant.info) et il rassurant de voir que la vision souhaitée s’avère à être le bon choix scientifique, économique et logistique pour notre Ville.

Dans son point de vue du 11 décembre, M. Charette exprime plusieurs irritants qu’apporterait le projet et je tiens à le féliciter d’avoir lu les études pour élaborer son argumentaire. Je veux dire à M. Charette, oui le projet du RSTC entraînera des changements majeurs pour notre Ville tout comme d’autres grands projets que notre région réalise tels que l’élargissement de l’autoroute Henri IV. Ainsi, je souhaite remettre en perspective certains éléments avancés par M. Charette et peut-être d’autres citoyen(ne)s qui partagent ses inquiétudes :

1. Avec la croissance démographique prévue (+ 57 000 habitants d’ici 2036) et la croissance continue du nombre de véhicules immatriculés, ce n’est plus 748 000 déplacements quotidiens dans la zone d’influence du projet (+ — 2 km de part et d’autre du tracé) que nous aurons, mais bien 847 000 tous modes confondus, dont 77 % en voiture, augmentant donc significativement la congestion. Avec le RSTC, il est envisagé, selon les études, de capter 53 % de cette augmentation en 2041 et il s’agit d’hypothèses dites conservatrices, car dans d’autres villes des pourcentages plus élevés ont été observés.

2. Oui, il est envisagé d’interdire le camionnage de transit au centre-ville et cela est une excellente nouvelle pour tous les résident(e)s du district que je représente. Avez-vous idée du bruit, de la poussière et des dangers qu’apporte le camionnage lourd sur des artères urbaines tel que le boulevard Charest ? Si vous restez en banlieue, imaginez-vous des camions 53′ qui passent à 50 km/h (parfois plus vite) 6 fois par heure (jour et nuit) sur l’artère principale de votre quartier et vous n’aurez qu’une fraction des inconvénients que les résidents du centre-ville subissent. Il m’apparaît donc sain de profiter de ce grand changement pour corriger une erreur historique et de relocaliser ces déplacements sur des artères avec moins de résidents et de piétons (ex : les autoroutes).

3. Bien que les axes perpendiculaires au futur RSTC subiront une augmentation des temps moyens de parcours par km, des gains de 100 % sont prévus sur les temps de parcours des axes du Tramway et Trambus, car les automobilistes vont bénéficier de la priorisation des feux de circulation.

4. Effectivement, 1241 places de stationnement sur rue devront être retirées dû au projet et cela représente une opportunité intéressante pour la Ville de revoir la dynamique du stationnement pour les quartiers centraux. En effet, le système de vignettes, tel que nous le connaissons aujourd’hui (sans limitation du nombre par zone) fonctionne comme des « permis de chasse » et cela entraîne des irritants majeurs pour les résidents et je ne vous parle même pas des problématiques de logistique avec lesquelles la Ville doit composer lors d’opération de déneigement. Bien que des réflexions sur ces problématiques aient déjà été entamées avant, le projet du RSTC nous donnera simplement plus de moyens pour amener des solutions durables autant pour les résidents que pour les visiteurs des quartiers.

5. Il est vrai que selon les plans d’implantation prévus à ce jour, 148 intersections (sur 266 que le RSTC traversera) ne permettront plus de tourner à gauche. Cependant, comme le mentionne l’étude de déplacement : « L’élimination des intersections et des virages à gauche […] réduit les risques d’aléas et améliore la sécurité en diminuant le nombre de conflits avec les autres usagers et favorise par conséquent l’exploitation de la ligne. » Et pour moi cela est un facteur de succès important pour assurer une exploitation efficace du réseau.

6. M. Charette conclut qu’avec les informations disponibles, il serait préférable de creuser une ligne de Métro. Je ne sais pas sur quelles études M. Charrette s’appuie pour avancer cela, car, outre les coûts nécessairement beaucoup plus élevés pour la construction de 23 km de réseau sous-terrain ; privant au passage la Ville de composantes majeures du projet soit 15 km de Trambus et de 16 km de voies dédiées, les études d’achalandages démontrent hors de tout doute qu’un métro se serait rempli qu’au tiers de sa capacité en 2041. Personnellement, c’est dans ce contexte que je n’hésiterais pas à dire que les gouvernements jetteraient l’argent par les fenêtres.

En somme, comme le mentionne la firme experte AECOM, les bénéfices qu’apporteront le projet du RSTC tel que le bilan positif en matière de réduction de GES et d’îlot de chaleur, l’amélioration des infrastructures urbaines, l’amélioration significative de l’offre de transport en commun pour rendre la Ville plus fonctionnelle et attractive pour la main-d’œuvre nécessaire pour combler les besoins de nos entreprises sont des éléments qui surpassent largement les inconvénients qui feront leur apparition. En fait, il clair qu’il aurait été contreproductif voire dangereux de poursuivre simplement le développement urbain hérité des modèles américains où tout est fait principalement en fonction de l’auto. Ce modèle n’est plus soutenable si nous souhaitons que Québec soit une Ville Durable pour assurer son développement social, économique et environnemental à long terme.

Source

Voir aussi : Projet - Tramway, Publications & ressources Internet, Transport, Transport en commun.

Les Voeux de Noël sur le site internet de la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 décembre 2019 Commentaires fermés sur Les Voeux de Noël sur le site internet de la Ville de Québec

Le lien

Voir aussi : Publications & ressources Internet, Québec La cité.

Le temps des Fêtes à Québec du XVIIe au XXe siècle

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 novembre 2019 Commentaires fermés sur Le temps des Fêtes à Québec du XVIIe au XXe siècle

À la veille du temps des Fêtes, nous vous proposons un titre tout indiqué pour vous mettre dans l’esprit de la saison. Avec « La Noël au Temps des carrioles », les Services historiques Six Associés vous offrent un petit ouvrage qui permet d’en apprendre plus sur les traditions de nos ancêtres : Messe de minuit, réveillon, échanges de vœux et de présents, décorations, sans oublier le magasinage et l’arrivée du père Noël…

Ce livre intéressera spécialement les gens de la région de Québec puisqu’il permet d’arpenter les rues de la ville et de les (re)découvrir sous un autre angle. À quels endroits les gens de Québec allaient-ils acheter leurs cadeaux de Noël ? Que proposaient les commerces de la ville pour le temps des Fêtes ? Où se déroulait la messe de Noël la plus solennelle en ville ? Ce sont à ces questions et à bien plus encore qui répond ce petit livre accessible autant par sa forme et son prix abordable que par son contenu original et son ton dynamique.

L’ouvrage plaira également aux gens d’ailleurs puisque qu’il est abondamment illustré et qu’il fait revivre la magie des Noëls d’antan au Québec. Peu de livres ont en effet été consacrés à l’histoire du temps des Fêtes dans la province. Il s’agit donc d’un titre à ajouter aux bas de Noël des amateurs d’histoire des quatre coins du Québec !

Ceux qui le désirent sont d’ailleurs invités à être des nôtres pour le lancement de l’ouvrage qui se tiendra jeudi le 28 novembre à la librairie Pantoute du Vieux-Québec (1100, rue Saint-Jean) à compter de 18 h.

Le livre chez Septentrion

Voir aussi : Histoire, Publications & ressources Internet, Québec La cité.

Écoquartier D’Estimauville: les terrains de la phase II mis en vente

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 novembre 2019 7 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

La Ville de Québec franchit une nouvelle étape dans le développement de l’écoquartier D’Estimauville. Dans le cadre de la phase II, trois grands terrains seront mis en vente pour la construction d’immeubles de logements et de maisons en rangées.

La municipalité ayant «complété ses travaux de génie civil et d’aménagement paysager […] de la rue des Moqueurs, de la rue des Gros-Becs et du parc des Gazouillis», elle juge venu le temps d’attirer des développeurs intéressés à poursuivre la renaissance de ce quadrilatère, à la jonction du boulevard Sainte-Anne et de l’avenue D’Estimauville, lit-on dans des documents municipaux mis en ligne jeudi. Les entrepreneurs auront trois ans pour faire pousser des bâtiments de trois à six étages.

«La Ville souhaite vendre les terrains en 2020», précise Audrey Perreault, conseillère en communication.

Puisque les lots sont situés dans un écoquartier, les compagnies devront soumettre des projets «respectueux de l’environnement». La mairie exige notamment une certification LEED, 50 % de logements «permettant des courants d’air et un éclairage naturel», des balcons, des toitures en partie végétalisées, 80 % des stationnements cachés à l’intérieur…

Aussi, une architecture distinctive sera de mise : «Il est souhaité que les nouveaux bâtiments deviennent des références dans le paysage urbain et contribuent à la signature de l’écoquartier D’Estimauville», lit-on dans une présentation des critères d’évaluation des soumissions.

Selon la Ville, les promoteurs immobiliers n’auront toutefois pas à procéder à de dispendieux travaux de décontamination sur les trois lots mis en vente. Des tests ont indiqué que la qualité du sol répond aux critères gouvernementaux pour la vocation résidentielle.

Les travaux seront surveillés par la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec.

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Voir aussi : Arrondissement Beauport, Écoquartier.

Limoilou: Une mobilisation citoyenne qui aboutit à une collaboration fructueuse

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 novembre 2019 1 commentaire

Oui Dans Ma Cour

En janvier 2018, un projet de tour de 18 étages sur le site d’une église à Québec avait suscité une forte opposition citoyenne. Comme annoncé récemment, une nouvelle proposition a été soumise à la population le 20 novembre 2019 dans le cadre d’une séance de consultation publique organisée par le conseil de quartier du Vieux-Limoilou. Cette nouvelle mouture, fortement influencée par la collaboration entre le promoteur ACERO et les citoyens regroupés au sein d’Action Limoilou, a été nettement mieux accueillie.

La hauteur, principal irritant de la première mouture, a été réduite à 7 étages. Le nombre de logements passe quant à lui de 103 à 92, au profit de plus grandes unités. Il s’agit donc d’une refonte complète du projet de remplacement de l’église Saint-François-d’Assise, située dans le quartier Limoilou à Québec.

Le premier projet, présenté en amont des démarches réglementaires, avait suscité une véritable levée de boucliers et mené les citoyens à s’investir dans la création d’un nouveau regroupement, Action Limoilou. Cette fois, la séance de consultation publique a plutôt permis à de nombreux citoyens de saluer l’écoute du promoteur et les efforts consentis pour réviser son projet en fonction de leurs préoccupations. Benoit Raymond, président d’ACERO, a quant à lui profité d’une prise de parole en fin de séance pour souligner la collaboration du regroupement citoyen, qualifiée d’exemplaire. Cette collaboration a notamment permis d’orienter les concepteurs vers une gradation des hauteurs et l’intégration de maisons de ville sur un des côtés de l’immeuble, une évolution dont il s’est dit particulièrement fier.

Un changement de zonage accepté, avec une nuance

Portant principalement sur les usages et les hauteurs autorisés, le changement de zonage proposé pour le nouveau projet a donc été bien accueilli par la quarantaine de personnes présentes, même si des préoccupations subsistaient notamment en matière de préservation du patrimoine ou d’impacts sur la circulation.

La consultation a également permis à certains citoyens de manifester des inquiétudes quant à l’impact du changement de zonage sur les autres terrains de la zone concernée qui comprend un ancien presbytère occupé par un organisme communautaire, une résidence, et un centre communautaire.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Densification, Logement locatif ou social.

Génération Y : 5 conseils pour devenir propriétaire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 novembre 2019 Commentaires fermés sur Génération Y : 5 conseils pour devenir propriétaire

Immofab

La Génération Y a ses avantages, mais lorsqu’il s’agit de devenir propriétaire, « le rêve américain » ne fait pas l’unanimité chez les jeunes adultes. Les jeunes gens d’une vingtaine d’années ont du mal à bien gagner leur vie et ne gagnent pas assez pour économiser toutes les semaines ou tous les mois dans le but d’acheter leur première maison. En plus, c’est dur d’emprunter quand on est jeune, les banques sont un peu plus réticentes et on n’a souvent du mal à se projeter dans le futur, on se dit que c’est un gros investissement et qu’il vaudrait mieux attendre.

Malgré les obstacles, il n’est pas impossible de devenir propriétaire, c’est même un excellent but à avoir. Si on en croit quelques magnats de l’immobilier, une personne propriétaire d’une maison serait 38 fois plus riche au cours de sa vie. Alors suivons les conseils de ces pros.

#1 – L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt

Regardez les endroits où les projets verront bientôt le jour. Il y a beaucoup de quartiers qui se développent afin de combler les besoins croissants de la population. Faites une petite recherche internet, allez-vous balader dans les quartiers résidentiels et gardez l’œil ouvert. Regardez quelle vie de quartier vous plait le plus et quel quartier est à proximité de votre emploi. On ne sait jamais, vous pourrez même tomber sur un terrain pour y faire construire un beau jumelé ou une maison unifamiliale!

#2 – Négociez à la Trump

C’est votre maison et surtout votre budget qui est en jeu, alors n’hésitez pas à négocier! Et si vous ne vous savez pas comment faire, demandez à votre agent immobilier car ça fait partie de son travail. Par contre, les nouvelles constructions sont plus difficiles à négocier car les prix sont généralement assez justes. Mais on ne sait jamais, peut-être obtiendrez-vous un petit bonus.

#3 – Faites votre magasinage au bon moment

Le printemps c’est le moment où la plupart des gens font une recherche immobilière, c’est aussi à ce moment-là qu’on renouvelle sa garde-robe J. C’est le temps du renouveau, et un excellent moment pour l’industrie immobilière. Mais ça veut aussi dire que vous aurez plus de compétition. Alors si vous avez trouvé la maison de vos rêves, on vous conseille de commencer les démarches, acheter ou faire construire une maison prend un certain temps.

#4 – Partagez les frais

Qui dit que devenir propriétaire c’est aussi tout payer. Non. Partagez les frais et louer une chambre ou deux. La location ce n’est pas donné à tout le monde, mais si un peu plus de travail ne vous fait pas peur et que vous aimez avoir des colocataires alors tant mieux!

#5 – Commencez par le début

Avant de vous lancer, on vous conseille de suivre dans l’ordre quelques étapes importantes. La première chose à faire, c’est d’aller directement voir votre banque. Vous pourrez d’ores et déjà établir le budget parfait pour vous, mais surtout approuvé par votre établissement financier. Vous saurez alors par ou et quoi commencer. Un petit terrain avec un beau jumelé à Sillery ça vous dit ?

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Voir aussi : Condo, Publications & ressources Internet, Résidentiel.

Québec la Douce

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 novembre 2019 Commentaires fermés sur Québec la Douce

KARINE PROUST
Châteauneuf-sur-Charente, France
Point de vue
Le Soleil

Douces sont les promenades au fil des quartiers de Québec. Pendant mon séjour, j’ai marché pendant des heures sans jamais me lasser. Chaque coin de rue était une nouvelle découverte soit vers un quartier, soit sur une nouvelle vue qui s’offrait à moi. Que vous aimiez ou non la culture, l’histoire, la nature, le tourisme, le shopping, Québec est une invitation à la flânerie, à la poésie, un savoureux mélange de rencontres surprenantes, délicieuses et inattendues.

En me promenant du côté de la Gare du Palais, 40 chaises «poétiques», oeuvre de l’artiste Michel Goulet, vous offre le privilège de vous asseoir sur des poèmes ou de déambuler entre ceux-ci. C’est ici que j’y ai rencontré Denis Côté, fils du peintre impressionniste de Maizerets, Valmont-Côté (1921-2003) qui, me voyant admirer l’installation, se mit tout naturellement à me conter la culture québécoise. Et c’est ainsi qu’en parlant avec lui, j’appris que la fontaine Charles Daudelin derrière lui avait sa petite soeur à Paris, place du Québec, et là, en toute parisienne que je suis, alors que j’ai sillonné des milliers de fois la ville qui m’a vu naître, rien de pareil me rappelait cette fontaine. Soit dit entre nous, je suis allée voir sur internet et effectivement je l’ai trouvée.

Denis Côté me parla de l’oeuvre de son père avec douceur, simplicité et humilité. Il attendait sagement le bus qui le conduirait à Baie-St-Paul afin d’y chercher les toiles de son père qui ont été récemment exposées dans ce joyau d’artisanat. Ce fut une belle rencontre.

Un petit détour et hop me voilà sur le lieu historique Cartier-Brébeuf, là où une autre partie historique vous emmènera sur les traces de Jacques Cartier.

C’est pour cela que je marche autant. Pour laisser l’imprévu et la possibilité des rencontres de lieux, de personnes ou d’animaux… Car vous ne pourrez pas rater les rendez-vous impromptus avec les écureuils aux pelages bien fournis. J’ai beaucoup observé leurs allers et venues aux Plaines d’Abraham ou dans le centre-ville. Ils sont vifs. Je n’ai pu les approcher qu’aux abords de la Rivière St-Charles lors d’une de mes grandes balades quotidiennes. J’avais emmené quelques noix avec moi au cas où… Et j’en fut bien heureuse! Les écureuils arrivaient en courant très proches de moi car ils savaient, sans doute par habitude, puisqu’il est fréquent de voir les habitants leur donner à manger, qu’un petit mets les attendaient. Quelques noix, quelques petits moments à les observer et ma route reprenait son cours jusqu’à l’exposition extérieure proposée par Avocats Sans Frontières Canada devant le centre récréatif de St-Roch. Le photographe Lassine Coulibaly nous plonge au travers de ses photos au coeur de la violence faites sur les femmes et filles durant les conflits au Mali. Les photos et légendes en disent long…

(…)

Québec, havre de paix, pour moi parisienne qui connaît le stress permanent d’une ville agitée sous toutes ses formes, merci pour l’accueil si chaleureux qui fait du bien au coeur. Une parisienne de passage qui resterait bien chez vous. Je reviendrai car je me garde d’autres visites comme celle de l’observatoire et du musée des plaines d’Abraham entres autres.

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Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Témoignage, Tourisme.