* André-Philippe Côté, Le Soleil

le 11 septembre 2024 – La Ville de Québec demandera à la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) de percevoir, à partir du 1er janvier 2025, une taxe sur l’immatriculation des véhicules de promenade de 60 $ auprès d’environ 300 000 automobilistes. Ces sommes additionnelles, estimées à 18,4 M$ par année, permettront essentiellement d’accélérer le développement du transport en commun dans la couronne nord.

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Les ressources financières supplémentaires que va générer cette nouvelle taxe sur l’immatriculation seront affectées au maintien mais surtout au développement et à l’amélioration des services offerts par le RTC.

Chaque année, dès 2025, le RTC ajoutera :

Un nouveau parcours rapide et à haute fréquence de type Métrobus pour desservir la couronne nord.
Un nouveau secteur périphérique desservi avec Flexibus et la révision des parcours locaux en conséquence.
Une extension du service àVélo en périphérie.
Un Parc-O-Bus.

Le plan sera complété en 2028, alors qu’une augmentation de l’achalandage de l’ordre de 10 % à 15 % est attendue.

Le communiqué

Félix Lajoie
Le Soleil

Jusqu’à 80 unités de logement pourraient être aménagées sur le site de l’ancienne boulangerie Gailuron, situé sur l’avenue Royale, dans un projet de «densification douce» de la Ville de Québec.

Le terrain d’une superficie d’un peu plus de 16 000 mètres carrés, acheté par la Ville en 2021, sera développé afin «de dynamiser l’avenue Royale», indique Marie-Pierre Boucher, membre du comité exécutif de la Ville et responsable de l’aménagement du territoire et des dossiers de logement.

De 70 à 80 unités seront éventuellement aménagées sur le site, mais la Ville ne peut se prononcer sur les détails exacts du projet, puisque celui-ci sera éventuellement soumis à une consultation citoyenne.

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Québec, le 9 septembre 2024 – La Ville de Québec annonce son intention de faire l’acquisition de l’église Saint-Jean-Baptiste au coût de 175 000 $. La Ville s’engage du même coup à terminer les réflexions entamées en 2022 pour la mise en valeur de ce joyau exceptionnel du patrimoine religieux dans un projet porteur pour la communauté

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Un projet de carrefour Estelle Lévêque (Le Carrefour)

Québec, le 6 septembre 2024 – La Ville de Québec annonce le lancement d’un projet pilote de seuils de ralentissement dans neuf rues résidentielles sur son territoire, dans tous les arrondissements. L’installation d’un total de 31 seuils de ralentissement se déroulera jusqu’au début du mois d’octobre.
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Rues où seront installés les seuils de ralentissement

Avenue du Mont-Thabor (La Cité-Limoilou)
Avenue de l’Émerillon (La Cité-Limoilou)
Rue Chauvet (Les Rivières)
Rue Bourbonnière (Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge)
Rue Jean-Bosco (Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge)
Rue des Wapitis (Charlesbourg)
Avenue du Sault (Beauport)
Rue Pincourt (La Haute-Saint-Charles)
Rue Castel (La Haute-Saint-Charles)

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Québec, le 3 septembre 2024 – La Ville de Québec informe la population que d’importants travaux de réfection de l’ascenseur du Faubourg se dérouleront cet automne ainsi qu’au printemps 2025.

La première phase des travaux, qui débute le mardi 3 septembre et qui se terminera en décembre 2024, vise le nettoyage de la falaise adjacente à l’ascenseur et la réfection de la brique et des fenêtres du bâtiment. La deuxième phase, prévue au printemps 2025, sera consacrée à la réfection des entrées et à l’installation d’un nouvel ascenseur. Le coût total des travaux s’élève à 1,975 M$.

Accès à l’ascenseur et au café pendant les travaux
De septembre à décembre 2024, le café et l’ascenseur demeurent accessibles selon l’horaire habituel. Une fermeture temporaire est toutefois prévue le mercredi 4 septembre, de 9 h à midi, pour permettre la prise de relevés. D’autres fermetures, ponctuelles et de courte durée, pourraient être nécessaires cet automne. La Ville informera les citoyens lorsque de telles fermetures devront avoir lieu.

Au printemps 2025, la fermeture complète de l’ascenseur et du café pendant une dizaine de semaines sera nécessaire pour effectuer le remplacement de la machinerie. Des mesures seront mises en place pour permettre aux citoyens de circuler de la haute-ville à la basse-ville. La Ville informera la population des détails à l’approche du début des travaux.

En procédant en deux phases, la Ville est en mesure de limiter le plus possible les impacts pour les citoyens, notamment en maintenant en fonction cet important lien mécanique en période hivernale.

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Jean Cazes
Monsaintroch

Plusieurs projets immobiliers de diverses vocations sortent de terre ou se sont réalisés depuis la publication de notre précédent bilan, en octobre 2023, des chantiers majeurs de Saint-Roch. D’autres devraient voir le jour l’an prochain. Tour d’horizon.

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* Un excellent article fouillé et abondamment illustré de Jean Cazes qui fut longtemps un collaborateur très apprécié sur Québec Urbain.

* Photo: Stevens Leblanc

Diane Tremblay
Journal de Québec

Une partie du site de l’ancien garage automobile Giguère, sur le boulevard Wilfrid-Hamel à Québec, accueillera un complexe santé dont l’ouverture est prévue dans deux ans.

En partenariat avec GM Développement, le Réseau MAclinique fera construire un complexe santé sur une partie du lot de terrain. La première pelletée de terre doit avoir lieu à la fin de l’automne. Les travaux s’échelonneront sur 18 mois.

«GM Développement a un projet sur ce terrain-là depuis plusieurs années. Nous, on s’insère dans une partie de ce projet pour faire un complexe santé qui, on l’espère, va ouvrir ses portes dans environ deux ans», a confirmé la Dre Chantal Guimont, présidente et cheffe de la direction du Réseau MAclinique.

Selon les plans envisagés, le futur complexe aura une hauteur de 4 à 6 étages.

«Le projet est très avancé. Nous avons eu des discussions avec la Ville à quelques reprises. Il n’y a pas de permis octroyés encore, mais les étapes préliminaires sont faites. Pour obtenir les permis, on doit avoir la volumétrie totale du projet qui est dans la dernière phase de discussions», a ajouté la Dre Guimont.

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Un billet précédent en … 2011

* Photos: Martin Otiss

Alexandre Painchaud
Raphaël Beaumont-Drouin
Radio-Canada

Les tours à logements et immeubles en copropriété de plusieurs étages se sont multipliés sur la Rive-Sud au cours des dernières années. Si la densification et la création de logements reçoivent généralement un bel accueil, des élus et citoyens critiquent la vitesse et la manière dont l’administration du maire Gilles Lehouillier densifie.

Près de la tête des ponts, dans le secteur de Saint-Romuald, la densification urbaine a transformé le quartier aux alentours du magasin-entrepôt Costco. Les tours à logements ont poussé comme des champignons depuis dix ans.

L’administration Lehouillier voulait bâtir 850 nouvelles habitations par année jusqu’en 2026, c’est plutôt près de 1500 logements qui sont construits annuellement sur la Rive-Sud.

La Ville tente ainsi de répondre à l’augmentation de sa population et à la crise du logement qui sévit partout au Québec.

Or, le développement fulgurant suscite de la grogne auprès des résidents. « Je trouve que ça va trop vite », lance une citoyenne rencontrée sur place. Ces nouvelles constructions ont amené plus de résidents dans le quartier, mais aussi, plus de congestion routière.

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Olivier Lemieux
Radio-Canada

Le nouveau rôle foncier que s’apprête à déposer l’administration Marchand doit refléter l’impact de la pandémie sur le marché immobilier de Québec. Certains analystes s’attendent à des hausses de valeur records.

« C’est une situation exceptionnelle », admet Charles Brant, directeur de l’analyse de marché à l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).

D’ici quelques semaines, la Ville de Québec doit dévoiler son prochain rôle d’évaluation 2025-2026-2027, lequel tentera de se rapprocher le plus possible des valeurs marchandes sur le territoire.

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L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec évalue que le prix médian des maisons unifamiliales a fait un bond de 30 % entre 2020 et 2023 dans la capitale, pour atteindre 350 000 $ l’été dernier. Les condos se sont appréciés de 26 % sur la période, contre 24 % pour les immeubles de type plex.

(…)

L’APCIQ constate par ailleurs que les nouveaux arrivants sont de plus en plus nombreux à choisir la périphérie de Québec, ce qui contribuerait à faire gonfler les prix en dehors du centre-ville.

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