Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Projet – Tramway »

Foresterie urbaine et tramway : près de 400 arbres déjà plantés à l’Université Laval

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 novembre 2022 Commentaires fermés sur Foresterie urbaine et tramway : près de 400 arbres déjà plantés à l’Université Laval

Le boulevard Rene Levesque possede de grands arbres qui pourrait disparaitre avec le Tramway de Quebec. Photo Francis Vachon pour Le Devoir.

Québec, le 2 novembre 2022 – La Ville de Québec et l’Université Laval présentent aujourd’hui les fruits de la première phase de plantation de près de 400 arbres effectuée en amont de l’insertion du tramway sur le campus. Une amorce concluante qui jette les bases des efforts de verdissement de la cité universitaire et du quartier.

« Il s’agit d’une première étape dans les objectifs de verdissement que la ville s’est fixée. C’est près de 400 arbres qui viendront enrichir la diversité forestière du campus et qui permettront à l’ensemble des citoyennes et des citoyens de profiter d’une meilleure qualité de vie, indique Mme Maude Mercier Larouche, membre du comité exécutif et élue responsable des relations avec les citoyens dans le dossier du tramway. Plus d’arbres sur le campus, c’est aussi plus d’arbres en ville. Nous pouvons être fiers de ces premiers résultats et de pouvoir compter sur l’expertise de l’Université Laval! »

Plus d’arbres sur le campus universitaire

La plantation de 394 nouveaux arbres sur le campus au cours des dernières semaines n’est que le début. À terme, une plantation de 1 200 arbres d’alignement sera effectuée par la Ville sur le campus de l’université afin de remplacer les 330 qui devront être abattus. Ces efforts de plantation contribueront à faire croître l’indice de canopée sur le campus de l’Université Laval de même qu’à l’atteinte du ratio municipal de 20 arbres plantés pour chaque arbre abattu dans le quartier qui englobe le campus.

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Tramway: un «lien temporaire de sécurité» pour désenclaver une partie de Saint-Sacrement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 octobre 2022 1 commentaire

Taïeb Moalla
Journal de Québec

Durant les travaux du tramway, l’accès à la rue Gérard-Morisset, dans le quartier Saint-Sacrement, sera passablement perturbé. La Ville de Québec se voit donc dans l’obligation de faire construire un «lien temporaire de sécurité» en vue de désenclaver le secteur et d’assurer l’accès des véhicules d’urgence.

C’est ce que 230 citoyens du secteur ont appris mardi soir lors d’une séance d’information virtuelle portant sur l’insertion du tramway.

Il faut dire que la rue Gérard-Morisset, perpendiculaire au boulevard René-Lévesque Ouest, représente un défi de taille. Il s’agit d’un «long cul-de-sac» avec une forte densité résidentielle, a rappelé l’administration municipale.

L’accès à cette rue sera maintenu, mais il faudra s’habituer à emprunter de nouveaux itinéraires quand débuteront les travaux du tramway à partir de l’été 2023.

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Proposition pour un plan de mobilité durable dans la grande région de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 septembre 2022 7 commentaires

Frédéric Paquet
Un paquet d’affaires.com

Cette semaine, je vous présente une proposition d’un réseau de transport dans la Capitale-Nationale qui inclut la ville de Lévis. Un projet améliorant la mobilité globale de la région et surtout, de façon durable.

Une mise en contexte s’impose

Pour faire une histoire courte de la mobilité, la ville de Québec est principalement desservie par un réseau d’autoroutes élaborées dans les années 1960 provenant du rapport Vandry et Jobin. Certains morceaux de cette vision se sont concrétisés, comme l’autoroute Dufferin-Montmorency et l’autoroute Champlain, désormais en boulevard urbain, et d’autres ont été abandonnés tels que le prolongement de l’autoroute de la Capitale vers l’aéroport, le prolongement de l’autoroute Dufferin-Montmorency sous la colline parlementaire et l’autoroute de la Falaise qui aurait emprunté la côte d’Abraham.

Pour bien comprendre la complexité de la région, il faut inévitablement adresser la question topographique de Québec. La vallée du Saint-Laurent oppose deux hautes et longues falaises le long du fleuve. D’ailleurs, le fleuve est très profond avec une profondeur moyenne de 50m entre Québec et Lévis. Il y a également la Faille Logan qui s’y trouve. Une grande différence de hauteur se trouve entre les abords de la rivière Saint-Charles et le plateau de la colline reliant le Vieux-Québec à la Pointe de Sainte-Foy. Finalement, la chaîne de montagnes des Laurentides vient refermer le territoire plus au nord.

Cette topographie particulière et les visions d’un plan des années 60 ont façonné la mobilité de la région et par le fait même le développement du territoire. Dans les premières années de l’administration Labeaume, une réflexion avait été amorcée sur l’avenir de la mobilité dans la région et c’est le projet du tramway qui en ressortira comme la vision à adopter (je vous évite ici la décennie de conflits sur ce sujet, mais si c’est quelque chose qui vous intéresse, je vous suggère la lecture d’un livre à ce sujet : Comment survivre aux controverses sur le transport à Québec).

Les objectifs de l’administration Marchand

Pour en revenir à ma proposition, je vous ramène en 2022, avec la première phase du tramway (ligne orange) dont les travaux préparatoires sont présentement en cours. La ville de Québec changera la mobilité au sein de sa ville et encadrera le développement, donc sa densification à ses pourtours, c’est-à-dire dans un rayon de plus ou moins 1km de la ligne de tramway.

L’administration Marchand a mentionné lors des élections et pendant son mandat, qu’une réflexion serait amorcée pour les prochaines phases du réseau. Les objectifs sont de relier Charlesbourg, Lebourgneuf, l’aéroport Jean-Lesage et la Gare du Palais, pour l’éventuelle connexion avec le TGF (train à grande fréquence) annoncée par le gouvernement fédéral dans le corridor Windsor-Québec. En reliant les principaux secteurs de la ville, avec une offre variée de mobilité, il y aura un véritable éventail de choix de mobilité dans la région.

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* Frédéric Paquet est un architecte ayant gradué à l’Université Laval en 2019 et membre du Conseil de quartier de Saint-Sauveur depuis 2022. Il habite le quartier Saint-Sauveur de la ville de Québec et est passionné de design urbain, de mobilité et de la vie de quartier. Lorsqu’il ne travaille pas, vous allez le retrouver parcourir différents quartiers, essayer divers restaurants et prendre un verre avec ses amis.

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Tramway, Projet - Troisième lien, Transport, Transport en commun.

La mobilité intégrée à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 août 2022 5 commentaires

Lancement du défi 30 jours mobilité

Un extrait:

Du 1er au 30 octobre 2022, 100 personnes provenant de tous les secteurs de l’agglomération, ainsi que des employés sélectionnés de la Caisse Desjardins de Québec, entreprise partenaire du défi, pourront vivre autrement leurs déplacements en combinant différents modes et offres de transport. Les participants seront invités à privilégier des modes comme le transport en commun, le vélopartage, l’autopartage ou Flexibus, sans oublier la marche et le vélo, par exemple, et recevront gratuitement un ensemble de titres de transport, incluant :

Un laissez-passer mensuel RTC bus + FLEXauto (inclut un laissez-passer mensuel du RTC, 10 trajets FLEX Commuanuto d’une durée de 30 minutes, l’accès au service de transport à la demande Flexibus et l’accès au service de traverse Québec-Lévis)
Des crédits pour effectuer jusqu’à 200 km de déplacements supplémentaires avec Communauto
Un abonnement 30 jours àVélo (inclut un nombre illimité de trajets de 45 minutes en vélopartage à assistance électrique)
Deux courses de taxi

Le communiqué

Pour participer

La conférence de presse

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Réseau structurant – Le tramway de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 juillet 2022 28 commentaires

Un excellent article sur le Portail Constructo qui résume bien le projet et son échéancier.

La Ville de Québec prépare le plus grand projet de son histoire : le tramway de Québec, un réseau de mobilité durable reliant Cap-Rouge à D’Estimauville.

Le réseau structurant vise entre autres 29 stations (dont deux souterraines) sur 19,3 km, incluant 2,1 km souterrains, deux terminus de fin de ligne, cinq pôles d’échange ainsi qu’un centre d’exploitation et d’entretien.

Les grands axes du chantier visent les infrastructures souterraines, la voirie de surface, les infrastructures de distribution d’énergie (gaz et électricité) et de télécommunications, le réseau d’éclairage, le système de signalisation et bien sûr, la construction de tunnels, infrastructures ferroviaires et bâtiments abritant notamment les stations.

Les travaux relatifs aux infrastructures souterraines permettront la relocalisation et le rebranchement des conduites d’aqueduc, d’égouts sanitaires et pluviaux ainsi que les branchements privés, sur pas moins de 84 km. La réfection de voirie prévoit notamment la mise en place de la plateforme du tramway et des rails. La reconfiguration complète des infrastructures de rue serait planifiée pour intégrer au projet les modes de transports actifs tels que la marche et le vélo. De nouvelles structures de rue devront être construites. Les tunnels seront construits sur 2,1 km. En amont sera réalisé l’aménagement urbain, qui intègrera du mobilier urbain et de l’aménagement paysager. Des stationnements incitatifs seront aménagés en périphérie, pour un total de 6 000 cases réparties en sept Parc-O-Bus.

De dimensions variables, les stations se déclinent en aires ouvertes – chacune intégrant une marquise protectrice de verre faisant office de « toit » – et en bâtiments fermés ou semi-fermés. Le concept de quai radiant est retenu pour toutes les stations de surface. Leur revêtement sera composé de béton coulé, de pavés de béton, de bandes en granite et de bandes podotactiles en fonte. Les stations souterraines comprendront un édicule hors terre vitré faisant office de point d’entrée. Des escaliers roulants et des ascenseurs relieront le bâtiment de surface aux quais d’embarquement souterrains. Toutes les stations seront séparées d’une distance approximative de 650 mètres.

Cout
3 965 G $

Parts de financement :
Gouvernement du Québec : 1 865 M$
Gouvernement du Canada : 1 200 M$
Ville de Québec : 300 M$

Partenaires
Réseau de transport de la Capitale
Gouvernement du Québec
Gouvernement du Canada

Promoteur et maître d’œuvre
Ville de Québec

Grandes étapes de réalisation La suite

Voir aussi : Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.

Tramway de Québec: trois nouvelles rues partagées

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 juin 2022 17 commentaires

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

Le passage du tramway dans le Vieux-Limoilou et Maizerets modifiera la circulation dans ces quartiers et entraînera la mise en place de trois nouvelles rues partagées. Certains déplacements en auto prendront à peine deux minutes de plus, minimise toutefois la Ville de Québec.

Il n’y a pas que la rue de la Couronne, le secteur Cartier (boulevard René-Lévesque) et possiblement Saint-Charles-Garnier qui devront composer avec une rue à 20 km/h, où les véhicules partageront le même espace que les cyclistes et les piétons.

Le Bureau de projet du tramway a confirmé, hier, que des rues partagées verront aussi le jour dans Limoilou, à l’occasion d’une longue présentation technique sur les fins détails de l’insertion du futur tram entre le pôle Saint-Roch et le pôle D’Estimauville.

Rappelons qu’un changement de tracé majeur avait été annoncé en avril 2021. Le gouvernement Legault préférait miser sur le pôle D’Estimauville plutôt que sur le secteur Charlesbourg, jusqu’à la 76e Rue, ce qui avait forcé le Bureau de projet à retourner à la planche à dessin.

Faute d’espace, et pour limiter les acquisitions, trois nouvelles sections de rues partagées seront donc aménagées sur une distance totale de 750 mètres (voir la carte).

Notons que les automobilistes qui accéderont au quartier Limoilou à partir du pont Drouin seront désormais détournés sur la 3e Rue alors que ceux qui feront le chemin inverse pourront toujours utiliser la 4e Rue, laquelle deviendra un sens unique. La Ville rasera une station-service à ce carrefour ainsi qu’une quincaillerie pour construire la station 3e Avenue.

Des effets « peu significatifs »

Les changements aux patrons de circulation auront des effets « peu significatifs » sur les temps de parcours ou la circulation de transit, assure le grand patron du Bureau de projet, Daniel Genest.

« Oui, ça génère des impacts au niveau de la circulation locale, mais je vous dirais qu’il n’y a pas d’impacts sur les temps de déplacement et c’est ça qu’il faut se rappeler », a-t-il insisté, promettant une sécurité accrue et un apaisement de la circulation dans plusieurs petites rues.

Dans le pire des scénarios, les automobilistes circulant sur la 3e Avenue, au nord de la 4e Rue, et ceux qui utilisent l’axe Montmorency (entre le chemin de la Canardière et D’Estimauville) pourraient voir leur temps de déplacement augmenter d’environ 2 minutes 30 selon les études de circulation qui ont été réalisées.

« Il y a des endroits où ça s’améliore, mais les endroits où ça allonge, on parle de deux minutes… On ne fera pas une syncope avec ça, pour tous les bénéfices qu’on amène. Personne ne vient de perdre sa journée », a résumé le maire Bruno Marchand, évoquant un effet « marginal ».

Une faible opposition anticipée

Le maire s’est par ailleurs dit confiant de ne pas rencontrer la même opposition qu’en Haute-Ville avec les rues partagées. Dans Limoilou, dit-il, il y a un « grand appétit » pour ce type d’aménagement. « Je n’appréhende pas que ça va être la catastrophe, du tout. Je pense même que ça va être positif et grandement apprécié ».

« On sent que ce qu’on présente aujourd’hui va être bien accueilli par les citoyens et les commerçants du Vieux-Limoilou », a renchéri Daniel Genest, qui dit avoir senti une « ouverture d’esprit » lors des consultations publiques l’an dernier.

D’autres séances d’information sont prévues, la semaine prochaine, pour expliquer ces changements dans le menu détail aux résidents des quartiers concernés.

Satisfait des aménagements proposés, le chef de l’opposition, Claude Villeneuve, ne s’attend pas lui non plus à une levée de boucliers dans Limoilou ni dans le quartier Maizerets, qu’il représente à l’Hôtel de Ville.

La Ville a également confirmé, hier, l’implantation d’une station dans le secteur Bardy, une information qui apparaissait depuis un bon moment déjà sur le site web du projet et la carte du tracé.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Projet - Tramway.

Acquisition du terrain pour la station Cartier du projet de tramway

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 juin 2022 Commentaires fermés sur Acquisition du terrain pour la station Cartier du projet de tramway

Les parties désirent procéder à la conclusion d’une promesse de vente (annexe 3) afin de permettre à la Ville d’acquérir l’Immeuble pour une somme de 2 400 000,00 $, plus les taxes applicables, le tout selon les conditions substantiellement conformes à celles mentionnées dans la promesse de vente jointe au présent sommaire décisionnel pour en faire partie intégrante.

Le sommaire décisionnel dont l’annexe 3 contient tous les éléments de la transaction, soit la démolition du bâtiment ainsi que l’enlèvement des réservoirs à essence aux frais du vendeur, sans oublier les coûts de décontamination à sa charge.

P.S. En parlant d’expropriation, aucune nouvelle diffusée du dossier pour l’Îlot Saint-Vincent-de-Paul. Mais après communication avec la Ville, le dossier est en attente d’une date d’audition devant le tribunal de l’expropriation.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Projet - Tramway.

Hausse d’achalandage de 30 % prévue dès l’an un pour le tramway de Québec et son réseau

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 juin 2022 10 commentaires

Québec, le 8 juin 2022 – Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a présenté en conférence de presse les résultats du rapport d’achalandage 2022 à la lumière des modifications apportées à la portée du projet du tramway de Québec et de son réseau, dont le changement de tracé vers le Pôle D’Estimauville.

Le rapport confirme la forte attractivité du tramway de Québec et de son réseau avec une hausse de l’achalandage du transport en commun de 30 % prévue dès sa mise en service en 2028. Cette augmentation se traduit par un gain de 10,4 millions de déplacements supplémentaires dès l’an un de la mise en service du tramway, pour un total de 45,1 millions de déplacements. Quinze ans plus tard, 47 millions de déplacements annuels sont prévus, soit une hausse de 35 % de l’achalandage en transport en commun.

En pointe du matin, soit entre 6 h et 9 h, une hausse de 13 600 clients est envisagée à l’an un, soit l’équivalent de l’achalandage de 160 Métrobus. À l’an 15, la hausse envisagée est de 15 600 clients.

Ainsi, la part de la population qui fera le choix d’utiliser le transport en commun s’établira à 10,6 % dès la première année d’opération du tramway. En pointe du matin, à destination de l’aire de desserte du Tramway, c’est près d’une personne sur quatre qui utiliserait le transport en commun en 2028, faisant bondir la part de marché de 17,8 % à 24,6 %, une hausse de presque 7 points de pourcentage. Il s’agit donc de gains historiques de part de marché des déplacements qui sont prévus pour le transport en commun. Rappelons que la part de marché du transport en commun n’a connu aucune augmentation depuis plus de 30 ans. Elle se situe actuellement à 8,1 % pour la grande région de Québec.

Effets potentiels de la pandémie et du télétravail

Bien que les effets potentiels de la pandémie et du télétravail n’aient pas été ajoutés au modèle, il a été possible d’anticiper une diminution de 10 % des déplacements sur l’ensemble du réseau en 2028 par rapport à 2019, soit l’année de référence.

Précisons qu’il s’agit d’anticipations basées sur les hypothèses de scénarios probables considérant que le télétravail représente un nouveau phénomène, et que d’autres facteurs pourraient influencer l’utilisation du transport en commun, pensons par exemple à la hausse du prix de l’essence.

« Les résultats confirment que le tramway demeure nécessaire pour la ville de Québec avec les modifications apportées au tracé et les changements dans les habitudes de déplacement des citoyens. Le tramway et son réseau permettront d’atteindre une part de marché historique pour le transport collectif à Québec, ce qui ne serait pas envisageable sans ce projet. Au final, ce sont tous les usagers de la route qui en profiteront » a souligné Maude Mercier Larouche, présidente du RTC.

Le rapport

Voir aussi : Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.

Tramway: un autre sondage

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 juin 2022 13 commentaires

Québec, le 6 juin 2022 – La Ville de Québec dévoile aujourd’hui les résultats du plus récent sondage portant sur l’appui au projet de tramway. Par rapport aux données récoltées en janvier dernier, le degré d’accord avec le projet passe de 41 % à 44 %.

« On parle d’une hausse de trois points dans l’ensemble de la ville, mais de près de 15 points au total dans les deux arrondissements centraux, précise Mme Cyntia Darisse, vice-présidente au bureau de Québec de la firme Léger. Ces hausses au centre-ville sont non seulement statistiquement significatives, elles sont assez importantes, compte tenu qu’il n’y a que quelques mois qui séparent les deux mesures. Les chiffres montrent une hausse significative du taux de familiarité avec le projet, et la hausse du taux d’adhésion suit la même tendance. »

Dans les quartiers où les activités d’information et d’échanges avec les citoyens ont été les plus soutenues, l’appui au projet augmente effectivement de façon considérable.

Dans l’arrondissement de Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge, où six rencontres rejoignant 356 citoyens ont été tenues du 23 février au 26 mai, le degré d’accord avec le projet s’accroît de 19 points, passant de 46 % à 65 %. Une augmentation de sept points est également remarquée dans La Cité-Limoilou, où l’appui passe de 47 % à 54 % à la suite de 19 rencontres réalisées avec 1681 citoyens.

Le communiqué

La conférence de presse du maire

Résultats du sondage diffusés le 6 juin 2022

Voir aussi : Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.